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- Mike92Niveau 10
Au-delà de toutes les théories et modes pédagogiques, un inspecteur voit si le cours de LV : 1) est fait dans une bonne langue (une très bonne prononciation, par exemple, met le prof à l'abri de bien des désagréments) ; 2) si la progression et l'apprentissage de nouvelles structures sont bien menés, dans un cadre aussi naturel que possible ; 3) si la participation des élèves est correcte, ce qui implique qu'on leur donne les moyens linguistiques de s'exprimer (une aide écrite sur le sujet, par des mots et expressions bilingues donnée en début de cours peut être une bonne solution) ..et de ne pas les prendre pour des demeurés en posant des questions trop simples ou sans aucun intérêt...Absolument. L'obsession que j'en ai fait ne m'a vraiment valu que des embêtements, donc bon..
- InvitéInvité
C'est grosso modo ça, à ceci près qu'on nous demande de sortir un peu du questionnement
- keroGrand sage
Deux choses à dire:
1) S'il est vrai que dans l'EN et au niveau des programmes on associe assez souvent activités et démarche inductive, en réalité ce sont deux dimensions totalement différentes. On peut parfaitement faire de l'inductif en mode totalement magistral.
2) IL me semble qu'en réalité, la logique inductive imposée par les programmes (en histoire-géo du moins) n'est pas une vraie méthode inductive car dans les faits, il ne s'agit pas tant de les amener à tirer des lois générales à partir de cas particuliers. Il s'agit plutôt de traiter d'abord de cas concrets (la classique étude de cas), permettant de comprendre comment les réalités s'articulent dans les faits, pour ne faire qu'ensuite un discours général.
Accessoirement, ainsi envisagé, j'ai pu constater, dans mes classes, que ce n'est pas totalement incohérent. En tout cas, lorsque je commence directement par un discours général, je les perds très rapidement.
1) S'il est vrai que dans l'EN et au niveau des programmes on associe assez souvent activités et démarche inductive, en réalité ce sont deux dimensions totalement différentes. On peut parfaitement faire de l'inductif en mode totalement magistral.
2) IL me semble qu'en réalité, la logique inductive imposée par les programmes (en histoire-géo du moins) n'est pas une vraie méthode inductive car dans les faits, il ne s'agit pas tant de les amener à tirer des lois générales à partir de cas particuliers. Il s'agit plutôt de traiter d'abord de cas concrets (la classique étude de cas), permettant de comprendre comment les réalités s'articulent dans les faits, pour ne faire qu'ensuite un discours général.
Accessoirement, ainsi envisagé, j'ai pu constater, dans mes classes, que ce n'est pas totalement incohérent. En tout cas, lorsque je commence directement par un discours général, je les perds très rapidement.
- Isis39Enchanteur
kero a écrit:Deux choses à dire:
1) S'il est vrai que dans l'EN et au niveau des programmes on associe assez souvent activités et démarche inductive, en réalité ce sont deux dimensions totalement différentes. On peut parfaitement faire de l'inductif en mode totalement magistral.
2) IL me semble qu'en réalité, la logique inductive imposée par les programmes (en histoire-géo du moins) n'est pas une vraie méthode inductive car dans les faits, il ne s'agit pas tant de les amener à tirer des lois générales à partir de cas particuliers. Il s'agit plutôt de traiter d'abord de cas concrets (la classique étude de cas), permettant de comprendre comment les réalités s'articulent dans les faits, pour ne faire qu'ensuite un discours général.
Accessoirement, ainsi envisagé, j'ai pu constater, dans mes classes, que ce n'est pas totalement incohérent. En tout cas, lorsque je commence directement par un discours général, je les perds très rapidement.
C'est vrai, mais cela dépend des sujets. En troisième l'empilement d'EDC à une vitesse vertigineuse les perd aussi.
- ludie87Je viens de m'inscrire !
Merci beaucoup pour ces témoignages. Je pense qu'effectivement mes cours doivent être trop théorique, je dicte trop alors qu'il faudrait que mes élèves prennent des notes. J'ai tout l'été pour revoir mes séances et j'espère réussir a faire mieux à la prochaine inspection.
- Isis39Enchanteur
N'en pourrais-tu aller dans les cours d'un collègue pour voir ?
- CatLeaBon génie
En ce qui me concerne, je pars de documents, les lis avec eux, leur demande d'en tirer des infos. Cette partie peut se faire sous forme de questions, legender un schéma, tracer une courbe etc... Puis, je fais une synthèse ecrite des conclusions qu'ils ont tiré de ces documents et je les fait passer au tableau pour les schémas à legender ou les courbes à tracer.
- celitianSage
Perso, je trouve que la vraie prise de notes est un objectif irréaliste même avec des BTS mais bon c'est certain que les inspecteurs préfèrent.ludie87 a écrit:Merci beaucoup pour ces témoignages. Je pense qu'effectivement mes cours doivent être trop théorique, je dicte trop alors qu'il faudrait que mes élèves prennent des notes.
- Mike92Niveau 10
Il est certain qu'il faut alléger la prise de notes par des docs de nature diverse (y compris à compléter) fournis en début de cours.je trouve que la vraie prise de notes est un objectif irréaliste même avec des BTS mais bon c'est certain que les inspecteurs préfèrent.
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Fais bon accueil aux étrangers, car toi aussi, tu seras un étranger. (Roger Ikor)
site : http://allemand-postbac.npage.de
manuels publiés : http://www.decitre.fr/auteur/141431/Michel+Luciani/
- User5899Demi-dieu
Oui, il doit bien rester en France une bonne centaine d'élèves qui savent encore deux ou trois choses, ce scandale doit cesser.Artysia a écrit:en histoire géo, il est clairement dit qu'on DOIT faire de l'inductif
Eh bien, on fera un projet sur les pets des vaches, voilà toutJPhMM a écrit:Enseigner la constitution de l'atome ou les principes de la relativité restreinte par induction à partir du concret, ça doit pas être de la tarte.
:shock:
- Ibn KhaldounNiveau 8
Concernant la prise de notes au lycée, à quel niveau commencez vous en lycée ? Et par quels moyens ? Comment faut-il s'y prendre selon vous ? Est-il vrai que les élèves voient ça (le fait de s'exercer à la prise de notes) avec leur professeur de Français ?
Merci.
Merci.
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Qui pourrait, en France, parler de « race » ? Notre Midi a sa pinte de sang sarrasin, espagnol, andalou. [...] Tant d'« immigrés », depuis si longtemps, depuis notre Préhistoire jusqu'à l'histoire très récente, ont réussi à faire naufrage sans trop de bruit dans la masse française que l'on pourrait dire, en s'amusant, que tous les Français, si le regard se reporte aux siècles et aux millénaires qui ont précédé notre temps, sont fils d'immigrés. Très diverse, la France ne peut-elle courir le risque de le devenir, biologiquement, davantage encore ?
L'identité de la France - Fernand Braudel
- MrCaillouxExpert
Ibn Khaldoun a écrit:Concernant la prise de notes au lycée, à quel niveau commencez vous en lycée ? Et par quels moyens ? Comment faut-il s'y prendre selon vous ? Est-il vrai que les élèves voient ça (le fait de s'exercer à la prise de notes) avec leur professeur de Français ?
Merci.
A l'époque, j'avais commencé en 2nde, on le faisait en HG et en français. (C'etait en module qu'on faisait ça)
- CatLeaBon génie
Je confirme que la prise de notes, même en BTS est une catastrophe. J'ai essayé mais il faut répéter x fois la même phrase et il suffit que je change quelque chose dans la phrase (genre inverser deux adjectifs) pour qu'ils soient perdus et me signalent que ça n'est pas ce que j'ai dit juste avant. On est loin de la prise de note en même temps que le professeur explique.
- pedro771Niveau 7
Ca va me faire tout drôle de devoir faire la dictée (j'ai donné quelques cours à la fac)
Au collège il faut quand même pas écrire sur le tableau?
Au collège il faut quand même pas écrire sur le tableau?
- celitianSage
pedro771 a écrit:Ca va me faire tout drôle de devoir faire la dictée (j'ai donné quelques cours à la fac) Au collège il faut quand même pas écrire sur le tableau?
Même en lycée techno, mais lycée qd même, des profs écrivent tout au tableau.
De +, moi la 1ère, bcp de profs se sont laissés piéger par l'utilisation des diaporamas ; en effet, tout est noté sur les diapos et les élèves recopient et ce, même en BTS.
Depuis, j'ai modifié tous mes cours de manière à utiliser "correctement" les diapos mais tu as toujours des élèves qui te disent que c'est mieux avec tel prof car tout est écrit sur son diapo.
- CatLeaBon génie
Concernant mes diapos, je ne projette que les illustrations du cours et j'écris uniquement les mots scientifiques dont ils doivent impérativement connaître l'orthographe exacte au tableau. Il m'arrive de leur réécrire des mots non scientifiques au tableau quand ils ne sont plus sûrs de l'orthographe mais c'est tout. Je n'écris pas tout au tableau. Hors de question de bosser autant qu'eux pendant la séance. J'en fais déjà assez avant. Ils sont quand même assez grands pour être capables de noter ce que j'explique, même si c'est en version dictée.
- pedro771Niveau 7
Hum... En Term notre classe a eu un choc car notre prof de SES (qui avait été PRAG) ne nous dictait rien et n'écrivait que les titres au tableau. Cependant je ne le remercierai jamais assez car c'est grâce à lui que j'ai pu former mon esprit de synthèse.
Je ne suis pas très fan du tableau, tout écrire je trouve ça pas très joyeux, surtout que j'ai une calligraphie assez effrayante. Les diapos c'est traître en effet, mes étudiants ne m'écoutaient plus si je leur mettait un power-point (il n'y a pas de video-projo dans le secondaire?). En l'utilisant "correctement" c'est un outil formidable.
@ darkcoffee: tu parles de lycée ou de collège?
Je ne suis pas très fan du tableau, tout écrire je trouve ça pas très joyeux, surtout que j'ai une calligraphie assez effrayante. Les diapos c'est traître en effet, mes étudiants ne m'écoutaient plus si je leur mettait un power-point (il n'y a pas de video-projo dans le secondaire?). En l'utilisant "correctement" c'est un outil formidable.
@ darkcoffee: tu parles de lycée ou de collège?
- User5899Demi-dieu
Euh, au lycée, pour bien faire (ie qu'ils gardent une trace), il faut tout écrire. Mais bon, ils développent chez moi une démarche de survie, vu que je n'écris plus rien après la Toussaint.pedro771 a écrit:Ca va me faire tout drôle de devoir faire la dictée (j'ai donné quelques cours à la fac)
Au collège il faut quand même pas écrire sur le tableau?
- Isis39Enchanteur
Je suis au college et je varie : dictée pour les réponses aux études de documents (réponses faites par les élèves), résumé souvent projeté (les enfants dyslexiques ne s'en sortent pas sinon). J'écris au tableau les mots nouveaux et/ou difficiles qui apparaissent.
Il y a quelques années, j'essayais de commencer en 3ème l'apprentissage de la prise de note, mais c'est devenu très compliqué en collège.
Il y a quelques années, j'essayais de commencer en 3ème l'apprentissage de la prise de note, mais c'est devenu très compliqué en collège.
- CatLeaBon génie
pedro771 a écrit:Hum... En Term notre classe a eu un choc car notre prof de SES (qui avait été PRAG) ne nous dictait rien et n'écrivait que les titres au tableau. Cependant je ne le remercierai jamais assez car c'est grâce à lui que j'ai pu former mon esprit de synthèse.
Je ne suis pas très fan du tableau, tout écrire je trouve ça pas très joyeux, surtout que j'ai une calligraphie assez effrayante. Les diapos c'est traître en effet, mes étudiants ne m'écoutaient plus si je leur mettait un power-point (il n'y a pas de video-projo dans le secondaire?). En l'utilisant "correctement" c'est un outil formidable.
@ darkcoffee: tu parles de lycée ou de collège?
Je suis en lycée.
- HARDYPINKKNiveau 9
Mon collegue ecrit tout tout au tableau.
Perso, j'ecris comme un chat, et au tableau je fais beaucoup de fautes, ce support ne me convient pas, j'ecris de travers, je ne vois pas ce que j'ecris. Par contre je fais beaucoup de schemas. J'adore ca, ce qui ne manque pas d'amuser mes eleves. J'ai voulu dessiner un cochon pour faire une tirelire, n'y parvenant pas, j'ai voulu dessuner un ciffre fort, puis finalement j'ai dessine une bourse. Je vous dis pas la rigolade.
Sinon j'ecris les mots compliques comme psychologique, physiologique, allocation (jai eu la location des ressources au lieu de l'allocation), et quand je demande de prendre des notes, comment dire, j'ai l'impression qu'ils ne savent pas ce que c'est. Je vais travailler ca en demi groupe je pense.
Mais ils me demandent souvent de tout ecrire au tableau comme Mr X, je reponds HDQ, hors de question. Quelle perte de temps. Au lieu de cela, si je dicte je passe dans les rangs et verifie que le cours soit a peu pres bien ecrit.
Perso, j'ecris comme un chat, et au tableau je fais beaucoup de fautes, ce support ne me convient pas, j'ecris de travers, je ne vois pas ce que j'ecris. Par contre je fais beaucoup de schemas. J'adore ca, ce qui ne manque pas d'amuser mes eleves. J'ai voulu dessiner un cochon pour faire une tirelire, n'y parvenant pas, j'ai voulu dessuner un ciffre fort, puis finalement j'ai dessine une bourse. Je vous dis pas la rigolade.
Sinon j'ecris les mots compliques comme psychologique, physiologique, allocation (jai eu la location des ressources au lieu de l'allocation), et quand je demande de prendre des notes, comment dire, j'ai l'impression qu'ils ne savent pas ce que c'est. Je vais travailler ca en demi groupe je pense.
Mais ils me demandent souvent de tout ecrire au tableau comme Mr X, je reponds HDQ, hors de question. Quelle perte de temps. Au lieu de cela, si je dicte je passe dans les rangs et verifie que le cours soit a peu pres bien ecrit.
- Spinoza1670Esprit éclairé
Une jolie dissert : Existe-t-il une méthode inductive en pédagogie ?
http://www.itereva.pf/disciplines/philo/Enseignement de la philosophie/Bulletins/Bulletin12/induction/induction 1.htm
Introduction
1 Qu'est-ce que la science ?
2 La naissance de la science moderne et l'inductivisme
3 Qu'est-ce que percevoir ?
4 La méthode expérimentale selon Claude Bernard
5 L'apport de l'histoire des sciences
6 La formation de l'esprit scientifique
7 Quelques arguments encore
8 Du côté de la géographie et de l'histoire
9 La pédagogie inductive dans les sciences de la nature et de l'homme
10 Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés
11 Même la philosophie !
En guise de conclusion
source : http://www.itereva.pf/disciplines/philo/Enseignement%20de%20la%20philosophie/Bulletins/Bulletin12/induction/induction%20plan.htm
http://www.itereva.pf/disciplines/philo/Enseignement de la philosophie/Bulletins/Bulletin12/induction/induction 1.htm
PlanExiste-t-il une méthode inductive en pédagogie ? a écrit:Il est courant d'opposer à une pédagogie dite traditionnelle, définie péjorativement, la plupart du temps, comme magistrale et abstraite, une pédagogie active concrète, par laquelle l'élève construit son savoir ou au moins participe à son élaboration. On utilise alors parfois, pour désigner cette dernière approche conçue comme supérieure à la première, l'expression de méthode inductive. Alors que la méthode déductive consisterait à transmettre à l'élève des connaissances toutes faites, théoriques et générales, la méthode inductive permettrait à l'élève d'élaborer progressivement des concepts à partir de l'observation active d'objets concrets ou de documents. Cette conception est invoquée essentiellement dans l'enseignement des sciences (de la matière ou de l'homme) et prétend tirer sa légitimité d'un principe d'analogie : de même que le savant effectue une observation rigoureuse et systématique de phénomènes naturels et induit à partir d'elle, par des procédés logiques non moins rigoureux, des lois générales et abstraites, et que ce fondement empirique ou expérimental garantit le caractère objectif et scientifique des résultats de cette recherche, de même l'enfant doit, en classe, s'élever de l'observation concrète vers les notions abstraites qui constituent le savoir de la chose observée.
Ce principe d'analogie a été formulé en premier lieu sans doute par Bruner : celui-ci écrit en effet, dans son livre Le processus de l'éducation, que "ce qu'un savant fait dans son bureau ou dans son laboratoire (…) est du même ordre que ce que fait n'importe qui d'autre quand il est engagé dans de semblables activités (…) La différence est de degré, et non de nature. L'écolier qui apprend la physique est un physicien". Ce principe est affirmé aussi par exemple par Astolfi et Develay dans leur livre consacré à La didactique des sciences : la fonction de l'enseignement scientifique est, selon ces deux auteurs, de transmettre aux élèves des connaissances qui leur permettent de mieux comprendre le monde qui les entoure, mais aussi de développer en eux "des méthodes de pensée qui s'apparentent à celles que les scientifiques mettent en œuvre dans leur laboratoire. Dans son approche du réel, l'apprenant devrait alors se comporter de manière voisine à celle du savant". Mais ce raisonnement, pour être formellement valide sans doute, ne peut être matériellement juste qu'à la condition que ses prémisses le soient également, et c'est précisément là que le problème semble se poser : "il apparaît que les principes psychopédagogiques sur lesquels s'appuie l'école pour mettre en place des apprentissages scientifiques sont caractéristiques d'une épistémologie aujourd'hui largement remise en cause". En d'autres termes, si la méthode inductive de la science n'est pas autre chose qu'un mythe, quelle est alors la légitimité de la méthode pédagogique qui s'en réclame ?
Introduction
1 Qu'est-ce que la science ?
2 La naissance de la science moderne et l'inductivisme
3 Qu'est-ce que percevoir ?
4 La méthode expérimentale selon Claude Bernard
5 L'apport de l'histoire des sciences
6 La formation de l'esprit scientifique
7 Quelques arguments encore
8 Du côté de la géographie et de l'histoire
9 La pédagogie inductive dans les sciences de la nature et de l'homme
10 Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés
11 Même la philosophie !
En guise de conclusion
source : http://www.itereva.pf/disciplines/philo/Enseignement%20de%20la%20philosophie/Bulletins/Bulletin12/induction/induction%20plan.htm
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
Littérature au primaire - Rédaction au primaire - Manuels anciens - Dessin au primaire - Apprendre à lire et à écrire - Maths au primaire - école : références - Leçons de choses.
- Spinoza1670Esprit éclairé
Compayré, Cours de Pédagogie : http://michel.delord.free.fr/comp-cptp-tdm.html
SECONDE PARTIE : PÉDAGOGIE PRATIQUE PREMIÈRE LEÇON : LES MÉTHODES EN GÉNÉRAL.
Pédagogie pratique. - La méthode en général. - Les méthodes d’enseignement. - Ce qu’on appelle méthodologie. - Utilité des méthodes. - Abus de l'étude des méthodes. - Méthodes et modes d’enseignement. - Méthodes et procédés. - Méthode générale. - Classification des méthodes. - Ordre et enchaînement extérieur des vérités enseignées : induction ou déduction. - Forme extérieure de l’enseignement : exposition suivie ou interrogations. - Énumération des quatre méthodes essentielles. - Réduction de diverses méthodes aux types indiqués. - Analyse et synthèse. - Emploi confus de ces mots. - Ce qu’on appelle méthodes analytique et synthétique. - Y a-t-il une méthode intuitive ! -Divers sens du mot intuition. – L’intuition sensible et intellectuelle. - Méthode expérimentale. - Esprit général d’une bonne méthode.
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J. Leif, Pédagogie générale (Philosophie de l'éducation, tome 1)
http://manuelsanciens.blogspot.com/2012/12/les-methodes-denseignement-pedagogie.html
LIVRE III – LES MÉTHODES D’ENSEIGNEMENT
Chapitre I. - LES MÉTHODES DIDACTIQUES.
LA SIMPLE RÉCITATION PAR CŒUR.
LA MNÉMOTECHNIE.
SOUCI DE LA COMPRÉHENSION.
Chapitre II. - LES MÉTHODES ATTRAYANTES. LE SOUCI DE L’INTÉRÊT.
1. Les méthodes attrayantes
2. La psycho-pédagogie de l’intérêt
Chapitre III. - LA MÉTHODE INTERROGATIVE.
1. Principes de cette méthode
2. Réserves et critiques
Chapitre IV. - LES MÉTHODES INTUITIVES. L’OBSERVATION.
L’intuition. Associer les choses aux mots : Comenius, Basedow. De la sensation à l’idée : Rousseau. Pestalozzi. Froebel. Mme Montessori. Le Dr Decroly. De l’empirique au rationnel : Spencer.
Chapitre V. - LES MÉTHODES ACTIVES.
1. Les principes
Obtenir une connaissance véritable. Obtenir l’activité de l’esprit : L’exemple d’Émile. Des mains à la pensée. Cultiver les facultés. Exercer les esprits. S’adapter à l’enfant : Montaigne. Rousseau. Pestalozzi. Psychologie moderne. L’enfant d’aujourd’hui ou l’adulte de demain ? Le milieu.
2. La pratique
LA PRATIQUE ORDINAIRE DES MÉTHODES ACTIVES.
LES ÉCOLES NOUVELLES.
SECONDE PARTIE : PÉDAGOGIE PRATIQUE PREMIÈRE LEÇON : LES MÉTHODES EN GÉNÉRAL.
Pédagogie pratique. - La méthode en général. - Les méthodes d’enseignement. - Ce qu’on appelle méthodologie. - Utilité des méthodes. - Abus de l'étude des méthodes. - Méthodes et modes d’enseignement. - Méthodes et procédés. - Méthode générale. - Classification des méthodes. - Ordre et enchaînement extérieur des vérités enseignées : induction ou déduction. - Forme extérieure de l’enseignement : exposition suivie ou interrogations. - Énumération des quatre méthodes essentielles. - Réduction de diverses méthodes aux types indiqués. - Analyse et synthèse. - Emploi confus de ces mots. - Ce qu’on appelle méthodes analytique et synthétique. - Y a-t-il une méthode intuitive ! -Divers sens du mot intuition. – L’intuition sensible et intellectuelle. - Méthode expérimentale. - Esprit général d’une bonne méthode.
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J. Leif, Pédagogie générale (Philosophie de l'éducation, tome 1)
http://manuelsanciens.blogspot.com/2012/12/les-methodes-denseignement-pedagogie.html
LIVRE III – LES MÉTHODES D’ENSEIGNEMENT
Chapitre I. - LES MÉTHODES DIDACTIQUES.
LA SIMPLE RÉCITATION PAR CŒUR.
LA MNÉMOTECHNIE.
SOUCI DE LA COMPRÉHENSION.
Chapitre II. - LES MÉTHODES ATTRAYANTES. LE SOUCI DE L’INTÉRÊT.
1. Les méthodes attrayantes
2. La psycho-pédagogie de l’intérêt
Chapitre III. - LA MÉTHODE INTERROGATIVE.
1. Principes de cette méthode
2. Réserves et critiques
Chapitre IV. - LES MÉTHODES INTUITIVES. L’OBSERVATION.
L’intuition. Associer les choses aux mots : Comenius, Basedow. De la sensation à l’idée : Rousseau. Pestalozzi. Froebel. Mme Montessori. Le Dr Decroly. De l’empirique au rationnel : Spencer.
Chapitre V. - LES MÉTHODES ACTIVES.
1. Les principes
Obtenir une connaissance véritable. Obtenir l’activité de l’esprit : L’exemple d’Émile. Des mains à la pensée. Cultiver les facultés. Exercer les esprits. S’adapter à l’enfant : Montaigne. Rousseau. Pestalozzi. Psychologie moderne. L’enfant d’aujourd’hui ou l’adulte de demain ? Le milieu.
2. La pratique
LA PRATIQUE ORDINAIRE DES MÉTHODES ACTIVES.
LES ÉCOLES NOUVELLES.
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« Let not any one pacify his conscience by the delusion that he can do no harm if he takes no part, and forms no opinion. Bad men need nothing more to compass their ends, than that good men should look on and do nothing. » (John Stuart Mill)
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- Histoire STMG: pratiquez vous la méthode inductive ?
- question pédagogique sur une méthode d'enseignement
- Lecture : la méthode syllabique écrase la méthode globale
- [Café Pédagogique] Interview d'André Tricot à l'occasion de la sortie de « L'innovation pédagogique, mythes et réalité »
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