- CarabasVénérable
Ah oui, j'en garde un bon souvenir.Mélu a écrit:
Dans l'Angleterre victorienne du milieu du 19e siècle, la jeune et belle Margaret Hale mène une vie confortable auprès de ses parents, dans la paisible et conservatrice région de la Cornouailles. Son père, ministre paroissial, décide un jour de renoncer à l'Eglise et part vivre avec sa famille dans le Nord de l'Angleterre. Margaret se retrouve alors plongée dans le monde industriel, ses duretés et sa brutalité. Au contact des ouvriers, la conscience sociale de la jeune fille va s'éveiller et la transformer radicalement.
Un roman plein de finesse, de romance et d'engagement. Je conseille !
- gelsomina31Grand Maître
Toujours en parallèle à "It" de Stephen King (livre de chevet) , je viens de commencer à relire :
et
J'avais oublié à quel point le début de ce "roman-policier" (lu une première fois en 1ère L, sur les conseil de ma prof de français) est savoureux.
et
J'avais oublié à quel point le début de ce "roman-policier" (lu une première fois en 1ère L, sur les conseil de ma prof de français) est savoureux.
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Fear buildswalls.Hope builds bridges !
« De chacun selon ses forces, à chacun selon ses besoins. »
- LeilEsprit éclairé
Le thème de la maternité me plaisait, le roman a reçu quelques prix ... eh bien mal m'en a pris, j'ai été déçue.
http://www.bricabook.fr/2014/05/chambre-2-julie-bonnie/
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http://www.bricabook.fr/
- BabayagaGrand sage
Bon, ça fait un moment que j'étais pas venue poster, et pour cause :
Et encore, je n'ai lu que le rouge et le noir, j'ai aimé, mais pas suffisamment pour lire d'un bloc les deux autres romans compris dans le recueil.
Et encore, je n'ai lu que le rouge et le noir, j'ai aimé, mais pas suffisamment pour lire d'un bloc les deux autres romans compris dans le recueil.
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Je ne gère plus la rubrique en accès restreint, adressez-vous à Hermione, merci
- LouisBarthasExpert
« Anéantie, elle sortit, et ses jambes de paille s’effondrèrent. Immobile sur les pavés du trottoir. Pourquoi un échec en rappelle-t-il d’autres ? Pourquoi, tant qu’il y a du mouvement, tant qu’on rêve de l’avenir, la voix du passé se fait-elle sourde ? Pourquoi, dès qu’un verdict tyrannique biffe d’un trait tout espoir et fait régner dans votre cœur les sombres lois du monde, le passé, vainqueur, revient-il, tambour battant, et s’empare-t-il du présent ? »
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- MéluEmpereur
Shanghai, 1941. Une vieille famille crispée autour de sa douairière semble avoir pour seule ambition d'arrêter le temps. Quand madame Hsü y introduit un riche héritier aux moeurs décadentes pour épouser la Septième Demoiselle, c'est bien davantage sa soeur, Pai Lio-su, la jeune et belle divorcée retournée vivre dans sa famille, qui intéresse Fan Liu-yuan. Devant 1'hostilité montante du clan, Pai Lio-su quitte Shanghai pour Hongkong... Il y a dans Love in a Fallen City un accent fitzgeraldien qui lui donne toute sa modernité. L'art achevé d'Eileen Chang entretisse, avec un sens du détail et une émotion des couleurs tout picturaux, un jeu de métaphores subtiles, des portraits acerbes de personnages prisonniers de leur rôle social, tout cela dans la grâce saisie sur le vif du sentiment intime comme il naît et s'épanouit.
Un très court roman extrêmement délicat, un peu trop court peut-être pour s'attacher réellement aux personnages, mais que je conseille tout de même.
Il est suivi d'une nouvelle qui raconte 24 h de la vie d'une bonne à Shanghai.
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"Pourquoi sommes-nous au monde, sinon pour amuser nos voisins et rire d'eux à notre tour ?"
[ Jane Austen ] - Extrait de Orgueil et préjugés
- LouisBarthasExpert
]
« À mes yeux, le Ve siècle fut le théâtre d’une crise militaire et politique profonde, provoquée par le fait que les envahisseurs s’emparèrent violemment du pouvoir et d’une bonne partie des richesses. La population autochtone fut capable, dans une certaine mesure, de s’adapter à ces conditions nouvelles, mais dans des circonstances très difficiles. J’affirme que les siècles post-romains connurent un déclin spectaculaire de la prospérité économique et de modèles élaborés, et que ce déclin frappa l’ensemble de la société, de la production agricole à la haute culture, et des paysans jusqu’aux rois. Un effondrement démographique se produisit très probablement, et l’ample circulation des marchandises de qualité cessa tout à fait. Des outils culturels de haut niveau, tels que l’écrit, disparurent de certaines régions et se restreignirent dans toutes les autres. »
« À mes yeux, le Ve siècle fut le théâtre d’une crise militaire et politique profonde, provoquée par le fait que les envahisseurs s’emparèrent violemment du pouvoir et d’une bonne partie des richesses. La population autochtone fut capable, dans une certaine mesure, de s’adapter à ces conditions nouvelles, mais dans des circonstances très difficiles. J’affirme que les siècles post-romains connurent un déclin spectaculaire de la prospérité économique et de modèles élaborés, et que ce déclin frappa l’ensemble de la société, de la production agricole à la haute culture, et des paysans jusqu’aux rois. Un effondrement démographique se produisit très probablement, et l’ample circulation des marchandises de qualité cessa tout à fait. Des outils culturels de haut niveau, tels que l’écrit, disparurent de certaines régions et se restreignirent dans toutes les autres. »
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- LeilEsprit éclairé
Aujourd'hui, un audiolib que j'aurais préféré lire qu'écouter ... (quand la voix de la lectrice coupe tout ...)
Un coup de théâtre final glaçant !
http://www.bricabook.fr/2014/05/esprit-dhiver-laura-kasischke-lu-par-irene-jacob-audiolib/
Mardi, un billet sur un navet même pas émoustillant ...
http://www.bricabook.fr/2014/05/sexe-mensonges-et-banlieues-chaudes-marie-minelli/
Et toujours aujourd'hui, la nouvelle photo pour l'atelier de lundi !
Un coup de théâtre final glaçant !
http://www.bricabook.fr/2014/05/esprit-dhiver-laura-kasischke-lu-par-irene-jacob-audiolib/
Mardi, un billet sur un navet même pas émoustillant ...
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http://www.bricabook.fr/
- Hervé HervéFidèle du forum
http://www.magazine-litteraire.com/critique/fiction/art-francais-guerre-alexis-jenni-31-08-2011-31927
Un classique contemporain.
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« Et je demande aux économistes politiques, aux moralistes, s’ils ont déjà calculé le nombre d’individus qu’il est nécessaire de condamner à la misère, à un travail disproportionné, au découragement, à l’infantilisation, à une ignorance crapuleuse, à une détresse invincible, à la pénurie absolue, pour produire un riche ? » (Almeida Garrett cité parJosé Saramago).
- DerborenceModérateur
Un peu déçue par ce thriller.
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"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- BabayagaGrand sage
Première fois que je lis Grass, je n'ai pas du tout accroché au style. Je comptais lire le Tambour, du coup je me tâte, de toute façon je ne l'ai pas sous la main.
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Je ne gère plus la rubrique en accès restreint, adressez-vous à Hermione, merci
- PhénimeNiveau 10
C'est un bon roman. je l'avais lu et apprécié à sa sortie mais ce n'est pas un peu oxymorique " classique contemporain" ?Hervé Hervé a écrit:
http://www.magazine-litteraire.com/critique/fiction/art-francais-guerre-alexis-jenni-31-08-2011-31927
Un classique contemporain.
- zizzaNiveau 10
[img][/img]
Un roman assez court (par rapport aux autres plus connus de Stendhal), qui parle d'une histoire d'amour impossible à cause de l'orgueil et des hésitations de l'un et l'autre, sur un fond d'amitié néanmoins, mais entrecoupé de malentendus.
Cette histoire rappelle bien aussi le mouvement romantique, pour les thèmes récurrents du mal-être du héros, etc.
J'ai pris du plaisir à le lire, mais ai été aussi un peu agacée par les personnages: ils sont amis, mais en fait s'aiment mais ne veulent surtout pas se marier, puis ne s'aiment plus... À cause de toutes ces hésitations, puis ces retours en arrière, je n'ai vraiment pas pu m'attacher à eux. Parfois, on se demande "mais où veulent-ils en venir?" (ou plutôt où Stendhal veut-il en venir?), ou alors c'est moi qui n'ai pas compris le livre.
Un roman assez court (par rapport aux autres plus connus de Stendhal), qui parle d'une histoire d'amour impossible à cause de l'orgueil et des hésitations de l'un et l'autre, sur un fond d'amitié néanmoins, mais entrecoupé de malentendus.
Cette histoire rappelle bien aussi le mouvement romantique, pour les thèmes récurrents du mal-être du héros, etc.
J'ai pris du plaisir à le lire, mais ai été aussi un peu agacée par les personnages: ils sont amis, mais en fait s'aiment mais ne veulent surtout pas se marier, puis ne s'aiment plus... À cause de toutes ces hésitations, puis ces retours en arrière, je n'ai vraiment pas pu m'attacher à eux. Parfois, on se demande "mais où veulent-ils en venir?" (ou plutôt où Stendhal veut-il en venir?), ou alors c'est moi qui n'ai pas compris le livre.
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2014-2015: 4e, 3e LV2 et 2de, 1e S + ES + STI2D + STL, Tle S + STMG + STI2D + STL LV2 dans 2 lycées (T2)
2013-2014: 4e, 3e LV2 sur 2 collèges (T1)
2012-2013: 2de, 1e S, 1e ES, TS LV2 (stage)
2011-2012: 6e, 5e, 4e, 3e LV1 bis + 4e, 3e LV2 (stage)
- LeilEsprit éclairé
http://www.bricabook.fr/2014/05/reparer-les-vivants-maylis-de-kerangal/
J'ai été complètement embarquée par la prose si particulière du narrateur.
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- DerborenceModérateur
Palpitant !
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"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- LeilEsprit éclairé
Euh, ne vous fiez pas au titre tout doux, ce livre retourne comme une crêpe.
http://www.bricabook.fr/2014/05/juste-avant-le-bonheur-agnes-ledig/
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- PatissotDoyen
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« Déjà, certaines portions de ma vie ressemblent aux salles dégarnies d'un palais trop vaste, qu'un propriétaire appauvri renonce à occuper tout entier. »
- LeilEsprit éclairé
Si vous ne l'avez pas lu, il faut à tout prix découvrir ce bijou ...
http://www.bricabook.fr/wp-content/uploads/2014/05/tout-seul-chaboute-227x300.jpg
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- LouisBarthasExpert
]
" Voyez-vous, il m'est arrivé quelque chose qui m'a stupéfié, quelque peu ému et rassuré aussi. Un matin, très tôt, j'étais allé faire un tour par là, sur cette route. On arrive à Monte Zebio, le Monte Zebio de Lussu. En rentrant par la route, je croise un garçon qui devait avoir une vingtaine d'années ; il avait un petit livre à la main, il marchait, il lisait, il s'arrêtait parfois, et il regardait autour de lui. Curieux comme je suis, je jette un oeil. Il lisait L'Histoire de Tönle. Donc, ce garçon-là, qui ne m'avait pas reconnu, me demande : « Êtes-vous d'ici ? - Oui, dis-je, je suis d'ici. Il reprend : - Pouvez-vous me dire approximativement où habitait Tönle, où était sa maison… » Alors, je lui indique divers lieux. Pas loin de là, il y avait une ancienne étable, dont il ne reste que des ruines ; je raconte que Tönle s'y était réfugié à l'arrivée des Autrichiens. « Eh bien, voyez-vous, celle-là, là-bas, dis-je, c'est l'étable où Tönle s'était caché. Le garçon regarde autour de lui, puis il me demande : Mais comment faites-vous pour vous rappeler tout cela ? - Eh bien ! dis-je, c'est moi qui ai écrit le livre. » Nous étions tous deux émus… Trouver un garçon qui lit mon livre et qui va chercher sur place les mots que j'ai écrits, c'est vraiment singulier. "
" Voyez-vous, il m'est arrivé quelque chose qui m'a stupéfié, quelque peu ému et rassuré aussi. Un matin, très tôt, j'étais allé faire un tour par là, sur cette route. On arrive à Monte Zebio, le Monte Zebio de Lussu. En rentrant par la route, je croise un garçon qui devait avoir une vingtaine d'années ; il avait un petit livre à la main, il marchait, il lisait, il s'arrêtait parfois, et il regardait autour de lui. Curieux comme je suis, je jette un oeil. Il lisait L'Histoire de Tönle. Donc, ce garçon-là, qui ne m'avait pas reconnu, me demande : « Êtes-vous d'ici ? - Oui, dis-je, je suis d'ici. Il reprend : - Pouvez-vous me dire approximativement où habitait Tönle, où était sa maison… » Alors, je lui indique divers lieux. Pas loin de là, il y avait une ancienne étable, dont il ne reste que des ruines ; je raconte que Tönle s'y était réfugié à l'arrivée des Autrichiens. « Eh bien, voyez-vous, celle-là, là-bas, dis-je, c'est l'étable où Tönle s'était caché. Le garçon regarde autour de lui, puis il me demande : Mais comment faites-vous pour vous rappeler tout cela ? - Eh bien ! dis-je, c'est moi qui ai écrit le livre. » Nous étions tous deux émus… Trouver un garçon qui lit mon livre et qui va chercher sur place les mots que j'ai écrits, c'est vraiment singulier. "
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- BabayagaGrand sage
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Je ne gère plus la rubrique en accès restreint, adressez-vous à Hermione, merci
- yphrogEsprit éclairé
Un livre misogyne, misandre, sur fond d'humanisme. C'est l'histoire d'un auteur qui fait souffrir ses lecteurs à un tel point qu'ils finissent à l'asile, à rire de tout. Vonnegut, en bon agent de notation, le donne un C, malgré ses illustrations à la Saint-Ex. Je suis plutôt d'accord avec lui.
- InvitéENiveau 4
"Les Jacarandas de Téhéran" de Sahar Delijani
Un livre qu'il faut lire!
Nous sommes à Téhéran peu après la révolution.
Tout commence dans la prison, d'Evin, une jeune femme est "trimbalée" d'hôpital en hôpital sur le point d'accoucher. La première partie du texte raconte l'arrivée de sa petite fille et sa vie avec elle en prison, jusqu'à ce que la porte de sa cellule s'ouvre et qu'une main réclame la petite!
Puis l'histoire continue avec les enfants de l'une de ses co-détenues et ainsi de suite.
Ces récits assez courts, toujours liés par la parenté ou l'amitié, nous offrent un tableau assez précis de ce que pouvait et peut être la vie en Iran pour les femmes, grand-mère, mère ou fille.
Le texte commence dans l'horreur et s'achève sur une note d'espoir! Du grand art! Ce premier roman sera je l'espère suivi de nombreux autres. Sahar Delijani, une auteure à suivre!
Un livre qu'il faut lire!
Nous sommes à Téhéran peu après la révolution.
Tout commence dans la prison, d'Evin, une jeune femme est "trimbalée" d'hôpital en hôpital sur le point d'accoucher. La première partie du texte raconte l'arrivée de sa petite fille et sa vie avec elle en prison, jusqu'à ce que la porte de sa cellule s'ouvre et qu'une main réclame la petite!
Puis l'histoire continue avec les enfants de l'une de ses co-détenues et ainsi de suite.
Ces récits assez courts, toujours liés par la parenté ou l'amitié, nous offrent un tableau assez précis de ce que pouvait et peut être la vie en Iran pour les femmes, grand-mère, mère ou fille.
Le texte commence dans l'horreur et s'achève sur une note d'espoir! Du grand art! Ce premier roman sera je l'espère suivi de nombreux autres. Sahar Delijani, une auteure à suivre!
- zizzaNiveau 10
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Très belle histoire. le style de l'auteur est déroutant en donnant une impression de naïveté, mais qui n'est qu'apparente et cache en fait une profonde noirceur...
Très belle histoire. le style de l'auteur est déroutant en donnant une impression de naïveté, mais qui n'est qu'apparente et cache en fait une profonde noirceur...
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2014-2015: 4e, 3e LV2 et 2de, 1e S + ES + STI2D + STL, Tle S + STMG + STI2D + STL LV2 dans 2 lycées (T2)
2013-2014: 4e, 3e LV2 sur 2 collèges (T1)
2012-2013: 2de, 1e S, 1e ES, TS LV2 (stage)
2011-2012: 6e, 5e, 4e, 3e LV1 bis + 4e, 3e LV2 (stage)
- InvitéENiveau 4
"Neurocomix" Hara Ros
Un ouvage scientifique original par la forme (roman graphique). Le fonctionnement de notre cerveau est bien expliqué, les scientifiques qui ont effectué les recherches amenant à ces connaissances, présentés.
Pour une découverte mais pas pour approfondir.
J'avoue cependant que la littéraire que je suis éprouve le besoin de relire pour mieux comprendre cette simple découverte....
Un ouvage scientifique original par la forme (roman graphique). Le fonctionnement de notre cerveau est bien expliqué, les scientifiques qui ont effectué les recherches amenant à ces connaissances, présentés.
Pour une découverte mais pas pour approfondir.
J'avoue cependant que la littéraire que je suis éprouve le besoin de relire pour mieux comprendre cette simple découverte....
- dorémyExpert spécialisé
Oula ! ça faisait un moment que je n'avais pas posté ici. Les vacances approchent, j'ai de nouveau le temps de lire un peu. Je viens de terminer :
Pas lu le Da Vinci Code du même auteur, mais je comprend son succès. L'intrigue est rondement menée, à la façon d'un roman policier. Un livre à conseiller aux fanas de la cryptologie et à ceux qui sont un peu geek sur les bords (ma maman voulait le lire, je pense qu'elle va être un peu larguée par le vocabulaire informatique...)
Très américain comme histoire, on dirait un livre écrit pour finir en blockbuster !
Le thème n'est pas très intéressant en soi mais la narration prenante, et on ne se laisse avoir.
Dommage que l'histoire d'amour ne soit pas davantage développée.
Pas lu le Da Vinci Code du même auteur, mais je comprend son succès. L'intrigue est rondement menée, à la façon d'un roman policier. Un livre à conseiller aux fanas de la cryptologie et à ceux qui sont un peu geek sur les bords (ma maman voulait le lire, je pense qu'elle va être un peu larguée par le vocabulaire informatique...)
Très américain comme histoire, on dirait un livre écrit pour finir en blockbuster !
Le thème n'est pas très intéressant en soi mais la narration prenante, et on ne se laisse avoir.
Dommage que l'histoire d'amour ne soit pas davantage développée.
- InvitéENiveau 4
"La tour de guet" d'Ana Maria Matute
Un roman inclassable, halluciné!
Dans des temps anciens, dans une contrée obscure, naît un jeune garçon, dernier rejeton d'un non moins obscur seigneur. Traité cruellement par sa famille, il mène une vie semblable à celle des gueux dans la douleur, la faim, le froid. Ses seuls amis Krimm-le-guerrier qui fait son éducation et Krimm-le-cheval. Puis un jour, comme ses frères, il est envoyé à la cour de Mohl. Un autre monde de raffinement et de cruauté. Le jeune héros a des visions terribles et fugitives, visions que la sentinelle de la tour de guet, sorte d'alchimiste involontaire va étayer. Une terrible légende va naître dans les steppes.....
Un roman inclassable, halluciné!
Dans des temps anciens, dans une contrée obscure, naît un jeune garçon, dernier rejeton d'un non moins obscur seigneur. Traité cruellement par sa famille, il mène une vie semblable à celle des gueux dans la douleur, la faim, le froid. Ses seuls amis Krimm-le-guerrier qui fait son éducation et Krimm-le-cheval. Puis un jour, comme ses frères, il est envoyé à la cour de Mohl. Un autre monde de raffinement et de cruauté. Le jeune héros a des visions terribles et fugitives, visions que la sentinelle de la tour de guet, sorte d'alchimiste involontaire va étayer. Une terrible légende va naître dans les steppes.....
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