- LeilEsprit éclairé
Le nouveau roman de Nathalie Rheims : Maladie d'amour !
http://www.bricabook.fr/2014/03/maladie-damour-nathalie-rheims/
- BabayagaGrand sage
J'ai eu envie de manger du pain du début à la fin
Et maintenant je vais pouvoir attaquer mes livres en allemand, ma bibliothèque n'offrait rien en allemand donc je me rabattais sur les traductions, mais je viens d'acheter 25 livres divers en allemand pendant mes vacances en Autriche
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Je ne gère plus la rubrique en accès restreint, adressez-vous à Hermione, merci
- thrasybuleDevin
Oh Baba, je me souviens de ce livre que j'avais adoré! Je ne me souviens plus du nom de la ville quasi-détruite après la guerre qu'il parcourt en revanche. Berlin ou une autre ville allemande?
- BabayagaGrand sage
Cologne.
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- ysabelDevin
J'entame ceci :
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- LeilEsprit éclairé
http://www.bricabook.fr/2014/03/le-horla-guillaume-sorel/
A découvrir et à faire découvrir ! Superbe !
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http://www.bricabook.fr/
- Hervé HervéFidèle du forum
Ça faisait longtemps que je voulais le lire.
Sa réputation n'est pas usurpée même si c'est quand même un peu long (et répétitif) dans le second tome.
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« Et je demande aux économistes politiques, aux moralistes, s’ils ont déjà calculé le nombre d’individus qu’il est nécessaire de condamner à la misère, à un travail disproportionné, au découragement, à l’infantilisation, à une ignorance crapuleuse, à une détresse invincible, à la pénurie absolue, pour produire un riche ? » (Almeida Garrett cité parJosé Saramago).
- ysabelDevin
ysabel a écrit:J'entame ceci :
je me commente moi-même...
C'est très bien. J'aime beaucoup le style de l'auteur (et l'intrigue aussi)
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- ysabelDevin
Hervé Hervé a écrit:
Ça faisait longtemps que je voulais le lire.
Sa réputation n'est pas usurpée même si c'est quand même un peu long (et répétitif) dans le second tome.
cela fait 20 ans que je dois le lire... ça viendra
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- BabayagaGrand sage
Je pensais que c'était "Guerre et Paix"
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- Reine MargotDemi-dieu
Les traductions varient... J'ai lu Guerre et Paix il y a peu et vraiment c'est un immense roman, j'ai tenu bon lors des interminables scènes de bataille (ah, Schoengraben ) mais j'ai été emportée par l'histoire des personnages, un peu le "Dallas" de l'époque. Natacha est extrêmement attachante,
- Spoiler:
- sauf à la fin quand elle se transforme en parfaite mère de famille.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- thrasybuleDevin
J'ai remarqué que, pour les romans russes, souvent il y avait des différences de traductions dans les titres comme Les Possédés, ou Les Démons, ou Souvenirs de la Maison des Morts ou Carnet de la Maison Morte, Le Sous-Sol ou Mémoires écrits dans un souterrain, etc...
- Blan6ineÉrudit
Simone Boué a écrit:Pour en finir avec Eddy Bellegueule, Edouard Louis.
Je suis un peu déçue par ce livre, finalement pas si bien écrit qu'il n'en avait l'air. Certaines descriptions me font presque gerber.
Je l'ai lu ces vacances. Les critiques, élogieuses pour la plupart, m'ont donné envie.
L'atmosphère décrite est intéressante à saisir, une petite piqûre de rappel pour ceux qui ne vivent près de familles ainsi désoeuvrées. L'effet de grossissement peut donner une impression de dégoût.
La fin est un peu rapide et illustre tant l'esprit bourdieusien qu'elle en devient un peu caricaturale; on a toutefois bien la sensation d'un livre qui délivre son auteur...
- FrisouilleEnchanteur
Hervé Hervé a écrit:
Ça faisait longtemps que je voulais le lire.
Sa réputation n'est pas usurpée même si c'est quand même un peu long (et répétitif) dans le second tome.
Je suis dans l'épilogue et j'avoue que j'ai quelques difficultés à suivre les dernières considérations historico-politiques... quand tout ce qui m'intéresse est de connaître le dénouement des intrigues amoureuses des uns et des autres personnages.
Le Dallas de l'époque... c'est tout à fait ça Reine Margot. :lol:
- ysabelDevin
après avoir terminé Mont-Dragon cette nuit (et je n'en regrette pas la lecture )
je me lance dans un grand classique :
je me lance dans un grand classique :
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- leyadeEsprit sacré
Je relis Voyage au bout de la nuit.
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Maggi is my way, Melfor is my church and Picon is my soutien. Oui bon je sais pas dire soutien en anglais.
LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- JUROTHONiveau 2
Pour ma part, je viens de terminer un livre remarquable. Je le conseille vivement. Un livre choral bouleversant.
- JUROTHONiveau 2
Un autre livre très poignant lu il y a déjà quelques temps
- LouisBarthasExpert
"Le 20 juin 451, l’armée hunnique fut sévèrement battue à mi-chemin entre Troyes et Châlons, en un lieu appelé « Champs catalauniques » sans que l’on puisse précisément le localiser. Théodoric y laissa la vie. Quatre ans plus tard, Aetius fut assassiné par l’empereur Valentinien III. À cette date, un certain Aegidius occupa la charge de maître de milice en Gaule, puis ce fut au tour d’un comte nommé Paul, l’un et l’autre dans des conditions similaires à celles qu’avaient connues Aetius. Il est d’ailleurs significatif que Grégoire de Tours attribue à leur successeur, Syagrius, le titre de « roi des Romains », et non plus maître de milice. Ils tentèrent surtout de s’opposer aux ambitions wisigothiques, burgondes et franques, mais les élites gallo-romaines ne leur étaient plus guère favorables, préférant souvent l’autorité des rois fédérés : qu’il suffise ici d’évoquer (…) la lettre qu’adressa l’évêque métropolitain Remi de Reims pour saluer l’accession au pouvoir du jeune Clovis en 481/482.
Lorsque le 4 septembre 476, on apprit en Gaule que l’empereur d’Occident, Romulus Augustule, avait été déposé par le chef de le garde impériale, le Skire Odoacre, et que les insignes impériaux avaient été envoyés à Constantinople, désormais seule capitale de l’Empire romain, la situation de la Gaule ne changea pas. On trouverait même difficilement un événement qui, aux yeux des contemporains, eut aussi peu d’importance que celui-là. Depuis des décennies, le pouvoir était dans les mains de généraux qui se présentaient tous comme romains, bien qu’ils aient commandé indistinctement des armées qui, depuis bien longtemps, étaient tout à la fois romaines et germaniques."
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- BabayagaGrand sage
Ca faisait un bail que je n'avais pas lu en allemand, je lis lentement...
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- Melle ShrekHabitué du forum
Et moi ça faisait un bail que je n'avais pas lu juste pour le plaisir, sans me demander ce que je pourrais bien en faire avec une classe... eh bien je n'ai jamais autant lu juste pour moi que depuis que je n'ai plus à me poser de questions.
Du light, du moins light, de la Fantasy, de la comédie romantique, du thriller... je m'éclate enfin!
Ma dernière lecture m'a été inspirée par ma soeurette qui m'a reconnue dans ce roman: l'intello c'est moi! Le bon sens paysan, c'est mon homme... mais on ne s'est pas rencontrés dans un cimetière! Par contre, sur le "choc des cultures", y'a vraiment matière à comparer! Je me suis retrouvée héroïne romanesque malgré moi :lol: .
Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d'à côté, dont l'apparence l'agace autant que le tape-à-l'œil de la stèle qu'il fleurit assidûment. Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s'en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d'autodérision. Chaque fois qu'il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie. Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis... C'est le début d'une passion dévorante. C'est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d'amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures.
Du light, du moins light, de la Fantasy, de la comédie romantique, du thriller... je m'éclate enfin!
Ma dernière lecture m'a été inspirée par ma soeurette qui m'a reconnue dans ce roman: l'intello c'est moi! Le bon sens paysan, c'est mon homme... mais on ne s'est pas rencontrés dans un cimetière! Par contre, sur le "choc des cultures", y'a vraiment matière à comparer! Je me suis retrouvée héroïne romanesque malgré moi :lol: .
Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d'à côté, dont l'apparence l'agace autant que le tape-à-l'œil de la stèle qu'il fleurit assidûment. Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s'en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d'autodérision. Chaque fois qu'il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie. Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis... C'est le début d'une passion dévorante. C'est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d'amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures.
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- adlidiHabitué du forum
Melle Shrek a écrit:Et moi ça faisait un bail que je n'avais pas lu juste pour le plaisir, sans me demander ce que je pourrais bien en faire avec une classe... eh bien je n'ai jamais autant lu juste pour moi que depuis que je n'ai plus à me poser de questions.
Du light, du moins light, de la Fantasy, de la comédie romantique, du thriller... je m'éclate enfin!
Ma dernière lecture m'a été inspirée par ma soeurette qui m'a reconnue dans ce roman: l'intello c'est moi! Le bon sens paysan, c'est mon homme... mais on ne s'est pas rencontrés dans un cimetière! Par contre, sur le "choc des cultures", y'a vraiment matière à comparer! Je me suis retrouvée héroïne romanesque malgré moi :lol: .
Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d'à côté, dont l'apparence l'agace autant que le tape-à-l'œil de la stèle qu'il fleurit assidûment. Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s'en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d'autodérision. Chaque fois qu'il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie. Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis... C'est le début d'une passion dévorante. C'est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d'amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures.
Il ne te reste plus qu'à lire la suite alors... Bienvenue au club!
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"La vie c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber."
- Milady de WinterNiveau 5
Lu l'Art de battre sa maîtresse, d'un petit-maître érudit un peu oublié du XVIIIème siècle, Pierre-Jean Grosley :
Et trouvé sur Bonnetdane, l'un des blogs de JP Brighelli, une analyse alléchante :
http://blog.causeur.fr/bonnetdane/lart-de-battre-sa-maitresse,00453
Et trouvé sur Bonnetdane, l'un des blogs de JP Brighelli, une analyse alléchante :
http://blog.causeur.fr/bonnetdane/lart-de-battre-sa-maitresse,00453
- Melle ShrekHabitué du forum
adlidi a écrit:
Il ne te reste plus qu'à lire la suite alors... Bienvenue au club!
Quoi, y'a une suite? où ça, où ça? Il me la faut immédiatement! Dès demain je pars en quête du précieux volume donc...
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