- gelsomina31Grand Maître
Re-re-relecture de ce beau livre et sensation renouvelée de re-découvrir cette aventure alors que c'est ma troisième lecture...
Vu aussi le dvd hier, à moitié endormie sur mon canapé... je n'irai pas mourir au fond de l'Alaska mais je reprends goût à la vie, à la lecture, à la littérature.
Il y a des livres comme ça qui vous aide à explorer vos douleurs/peurs/angoisses, vous font creuser encore plus profond dans la déprime pour mieux vous raccrocher à la vie et vous aider à pardonner (peut être un jour) leurs insuffisances aux gens qui vous aiment et que vous aimez, malgré les doutes.
- NadejdaGrand sage
Bientôt dans mes mains pour les vacances
http://fluctuat.premiere.fr/Livres/News/Guerre-et-guerre-de-Laszlo-Krasznahorkai-la-geniale-surprise-de-la-rentree-3873180
- LouisBarthasExpert
Nadejda a écrit:
C'est peut-être Metropolis mais j'ai un doute et je n'ai pas le courage de revoir le film !
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- JPhMMDemi-dieu
L'illustration du livre est une affiche de Boris Bilinsky.
http://encinematheque.net/tech/T11/
http://www.uow.edu.au/~morgan/metrojc.htm
http://encinematheque.net/tech/T11/
http://www.uow.edu.au/~morgan/metrojc.htm
'Metropolis - Cityscape Montage #1', ?poster, 120 x 160cm / 47 x 63 inches, Farblithografie, Bédos et Cie, Paris, 1927. Based on an original photomontage / collage by Boris Bilinsky, using images from the film. René Clémenti-Bilinsky cat. no.1033. No extant copy of this poster is known.
The history and precise identification of this poster / photomontage was, until quite recently, surrounded in mystery. Since the 1970s this famous image has been attributed to a variety of artists, including Fritz Lang (Ades 1976) and 1920s Berlin-based collage artists such as Paul Citroen and Laszlo Moholy-Nagy (1895-1946). Research indicates that Bilinsky was the creator of the photomontage and that it was first published in the Paris trade newspaper Ciné-Miroir on 16 April 1927, prior to the French release of the film. Therein it was presented without any labels, inscription, or attribution. That image was most likely based upon a photograph supplied to the magazine as part of the preliminary French release campaign. The montage was subsequently transformed by Bilinsky into a poster and presumably used during the local release of Metropolis. The montage as a fully realised poster, bearing the signature of Bilinsky, the full title, and the insignia of ACE, was reproduced in an anonymous article entitled 'Plakate für deutsche Filme in Frankreich' [Posters for German Films in France], published in the Berlin Zeitbilder during January 1928. Shortly thereafter, in March 1928, the montage image appeared once again, this time within Robert Rousseau de Beauplan's special Metropolis-edition of the La Petite Illustration magazine, issued in Paris at the time of the French release of the film.
It is possible Bilinsky was motivated to produce this montage following a viewing of the film during its initial German season (January-April 1927). Perhaps aware of Paul Citroen's famous 'Metropolis' series of montages, which first appeared in 1923, Bilinsky was moved to produce a variant using actual material from Lang's film. When, later in the year, the French distributors ACE came to assign an artist to work on posters and images for the local release, Bilinsky was an obvious candidate. He was perhaps moved to adapt his earlier montage into a poster for wider distribution, appropriately titled and inscribed, though the lettering is rough and haphazard, yet the artist may have meant this to be so. It had been stated in works such as Willett (1984) that this montage / poster was apparently derived from an original stage setting collage model for Metropolis, mounted as part of the German season, though there is no evidence for this and Bilinsky is undoubtedly its creator. The precise history of this collage and associated poster is therefore still shrouded in some mystery.
The collage / photomontage is a classic example of an artistic technique which was in vogue in Europe during the immediate post-WWI years and throughout the 1920s. Photomontage and collage were used widely by German and Russian artists and set-designers (both for film and theatre) as a reaction to modernism and new technologies being introduced into everyday life in the form of, production line mass employment, motor vehicles, and electrical appliances. Strongly featuring in such works were images of skyscrapers and other modern buildings, factory equipment, and household aids. Bilinsky, in his Metropolis photomontage, has utilised some of the strongest images from the film, including the groups of slave-like workers at the base of the picture, supporting a mass of towering city skyscrapers, overhead carriageways, and cold, concrete steps and arches. Combined together these photographic snippets provide an impression of some of the themes presented in Lang's film. The opening scenes of Metropolis are themselves a cinematic montage, featuring a confusion of dissolving images of machines at work, gears turning and shafts pumping.
It should be noted that the above sepia-toned image has been reconstructed from the 1928 photomontage printed in Beauplan (March, 1928) - without signature or titles - and a copy of the poster as reproduced in the Zeitbilder article of January 1928. The exact size, printing details, and colours of the original poster are not known, though, based on information contained in the French Press Book, it may have been one of the 120 x 160cm posters referred to in that kit. If not, the ACE poster featuring the head of the robot (see below) may have been the fourth item. Unfortunately the Press Book does not contain any images of the accompanying posters, which is unusual.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ParatgeNeoprof expérimenté
Et si la Renaissance était née d'un livre ? Un livre perdu, connu par fragments, recopié par quelques moines et retrouvé par un humaniste fou de manuscrits anciens ? L'idée, audacieuse, vertigineuse, ouvre les portes de l'histoire de Poggio Bracciolini, dit le Pogge, qui découvrit une copie du De rerum natura de Lucrèce dans un monastère allemand. C'était à l'aube du XVe siècle.
Ainsi s'ouvre à nous un monde inouï. celui d'une cour papale où s'agitaient agents cupides, moines séducteurs, filous. femmes de petite vertu et humanistes d'exception: un monde a la fois sévère et déprave, contraignant mais libre. En découvrant. copiant et diffusant l’œuvre de Lucrèce, le Pogge aura levé le voile sur les temps modernes, et influence des esprits aussi puissants que Montaigne ou Machiavel. Car tout, selon Lucrèce, est fait d'atomes en mouvement, qui s'entrechoquent au hasard, se séparent et se rencontrent à nouveau. Telle fut l'intuition géniale du poète latin, une célébration de la danse de la matière et un bréviaire d'athéisme qui allaient bouleverser le Moyen Age finissant. Conteur né, érudit et brillant, Stephen Greenblatt emporte le lecteur au coeur de ce Quattrocento qui fit revivre l'Antiquité pour la porter jusqu'à nous.
Ainsi s'ouvre à nous un monde inouï. celui d'une cour papale où s'agitaient agents cupides, moines séducteurs, filous. femmes de petite vertu et humanistes d'exception: un monde a la fois sévère et déprave, contraignant mais libre. En découvrant. copiant et diffusant l’œuvre de Lucrèce, le Pogge aura levé le voile sur les temps modernes, et influence des esprits aussi puissants que Montaigne ou Machiavel. Car tout, selon Lucrèce, est fait d'atomes en mouvement, qui s'entrechoquent au hasard, se séparent et se rencontrent à nouveau. Telle fut l'intuition géniale du poète latin, une célébration de la danse de la matière et un bréviaire d'athéisme qui allaient bouleverser le Moyen Age finissant. Conteur né, érudit et brillant, Stephen Greenblatt emporte le lecteur au coeur de ce Quattrocento qui fit revivre l'Antiquité pour la porter jusqu'à nous.
- LouisBarthasExpert
Ainsi l'affiche est faite pour Metropolis... Grand merci, JPhMM ! vous m'avez fait découvrir un artiste.JPhMM a écrit:L'illustration du livre est une affiche de Boris Bilinsky.
http://encinematheque.net/tech/T11/
http://www.uow.edu.au/~morgan/metrojc.htm
La page lui rend un bel hommage. C'était un russe blanc, des cadets d'une école militaire de Transnitrie - son père officier sera fusillé par les Bolcheviks - à la Sicile, en passant par Berlin puis Paris. Affiches, décors, costumes pour le cinéma, le ballet, le théâtre, l'opéra, la publicité et même des modèles de chaussures de femmes ! Mort trop jeune...
Il a fait quatre affiches pour Metropolis : Metropolis
Des maquettes pour les robes d'Arletty : Arletty
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- sandovalNiveau 6
Très beau livre, certaines pages sont magnifiques (superbe traduction d'ailleurs).
- PatissotDoyen
"La dernière mode" et les articles de l'inénarrable Marguerite de Ponty. :lol:
- PatissotDoyen
Quels livres de Montherlant et Drieu la Rochelle me conseilleriez vous ?
- LouisBarthasExpert
" La folie n'est plus. Elle a perdu son mystère, son énigme, sa sacralité, son effroi et sa terreur pour devenir la multitude des troubles psychiques dans l'immense marché mondial de l'industrie pharmacologique. Si nul n'est fou tous le sont, si nul n'est atteint tous sont touchés. Tel est le nouveau credo de la vision néolibérale de la folie : le marché. D'où cette question : quel type d'homme, de citoyen, d'individu fabrique la pensée néolibérale ? À quelles aliénations il consent, aspire, désire ?
On entrevoit déjà que les futures aliénations passeront par l'esprit, elles seront moins exigeantes et moins disciplinaires mais d'une surveillance infiniment plus accrue.
La société libérale autorise un certain nombre de déviations à condition de pouvoir toujours être en mesure de les contrôler. Cette surveillance s'étend à tous les domaines, militaires, sécuritaires, économiques, agroalimentaires, sanitaires participant ainsi à la grande bataille commerciale de la mondialisation. Géolocalisation, vidéosurveillance, interconnexions informatiques, constitutions de bases de données, forment le socle d'une société sous surveillance qui pénètre dans le quotidien de tout un chacun, depuis les cartes bancaires, les consultations Internet, le téléphone portable, RFID, etc. Chaque jour dans les rues, sur les autoroutes, dans les magasins, les gares, les aéroports, les supermarchés, les banques, les espaces publics ou privés, des milliers de caméra filment tous les gestes du quotidien. L'expansion de la vidéo-surveillance développe non seulement une surveillance des individus, mais produit aussi une modification de la conscience par une intériorisation de la surveillance, un abaissement du seuil de l'intimité, une intrusion jusque dans les actes les plus intimes, une accoutumance, une acclimatation à considérer tout événement sur le versant sécuritaire.
Haine de l'irréductible singularité du sujet, dont on voudrait que ses signifiants fussent statistiquement répertoriés comme des objets inertes, scannérisés après chaque geste, chaque parole, chaque acte, pour en faire des objets de calcul. Ce que demandent tous les évaluateurs, les gestionnaires de la libido, les fabricants d'automates comportementaux, les comptables du désir, c'est la gestion d'une ingénierie sociale débarrassée du sujet et de sa singularité, réduite enfin à des courbes, des diagrammes, des statistiques. La disparition du sujet sous l'individu dissout le caractère incommensurable du premier, et mesure le second à l'aune du marché.
Aucun cerveau, aucune biologie, aucun gène ne peut livrer la rencontre de l'autre, comme aucune biologie ne dira l'imprévisible, le mystère au coeur de toute vie.
Toute mesure de l'homme est dans la démesure, sa valeur reste sans valeur, elle échappe à l'évaluation, l'échange, l'équivalence."
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Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
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Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- NLM76Grand Maître
Je viens de lire la préface de La nouvelle Héloïse. Double JR y atteint des sommets de mauvaise foi que je n'avais pas encore imaginés... J'adore.
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- NLM76Grand Maître
Ça a l'air amusant. Avez-vous vu le lien que j'ai mis sur Lucrèce dans la partie langues anciennes ?Paratge a écrit:Et si la Renaissance était née d'un livre ? Un livre perdu, connu par fragments, recopié par quelques moines et retrouvé par un humaniste fou de manuscrits anciens ? L'idée, audacieuse, vertigineuse, ouvre les portes de l'histoire de Poggio Bracciolini, dit le Pogge, qui découvrit une copie du De rerum natura de Lucrèce dans un monastère allemand. C'était à l'aube du XVe siècle.
Ainsi s'ouvre à nous un monde inouï. celui d'une cour papale où s'agitaient agents cupides, moines séducteurs, filous. femmes de petite vertu et humanistes d'exception: un monde a la fois sévère et déprave, contraignant mais libre. En découvrant. copiant et diffusant l’œuvre de Lucrèce, le Pogge aura levé le voile sur les temps modernes, et influence des esprits aussi puissants que Montaigne ou Machiavel. Car tout, selon Lucrèce, est fait d'atomes en mouvement, qui s'entrechoquent au hasard, se séparent et se rencontrent à nouveau. Telle fut l'intuition géniale du poète latin, une célébration de la danse de la matière et un bréviaire d'athéisme qui allaient bouleverser le Moyen Age finissant. Conteur né, érudit et brillant, Stephen Greenblatt emporte le lecteur au coeur de ce Quattrocento qui fit revivre l'Antiquité pour la porter jusqu'à nous.
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- Asha KrakenNeoprof expérimenté
N'ayant lu que " Les jeunes filles" il y a fort longtemps, je ne vais guère vous aider. Par contre , j'ai souvent entendu/lu que le meilleur Drieu était " le feu follet".Patissot a écrit:Quels livres de Montherlant et Drieu la Rochelle me conseilleriez vous ?
- PatissotDoyen
J'ai commencé à lire "Les jeunes filles" (ou "les Jeunes filles" ? je ne suis pas très familier des règles qu'il convient d'appliquer lorsque l'on cite le titre d'un ouvrage), je vais m'empresser de commander les trois autres tomes qui suivent (mais il semblerait que "les Lépreuses" soit difficile à trouver).
L'adaptation qu'à faite Louis Malle du "Feu-Follet" ne m'a pas laissé un souvenir impérissable, je vais peut être commencé par autre chose, "Gilles" peut être ?
L'adaptation qu'à faite Louis Malle du "Feu-Follet" ne m'a pas laissé un souvenir impérissable, je vais peut être commencé par autre chose, "Gilles" peut être ?
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« Déjà, certaines portions de ma vie ressemblent aux salles dégarnies d'un palais trop vaste, qu'un propriétaire appauvri renonce à occuper tout entier. »
- JPhMMDemi-dieu
Non : http://www.chasse-aux-livres.fr/search?query=les+l%C3%A9preuses+montherlant&catalog=fr&page=1Patissot a écrit:mais il semblerait que "les Lépreuses" soit difficile à trouver
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- ErgoDevin
Je me suis offert ça en Angleterre:
J'ai hâte de l'ouvrir, avec un recueil de nouvelles dystopiques également.
Mais d'abord, j'ai très envie de relire ça:
J'ai hâte de l'ouvrir, avec un recueil de nouvelles dystopiques également.
Mais d'abord, j'ai très envie de relire ça:
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"You went to a long-dead octopus for advice, and you're going to blame *me* for your problems?" -- Once Upon a Time
"The gull was your ordinary gull." -- Wittgenstein's Mistress
« Cède, cède, cède, je le veux ! » écrivait Ronin, le samouraï. (Si vous cherchez un stulo-plyme, de l'encre, récap de juillet 2024)
- AlcyoneFidèle du forum
La Reine morte de Montherlant ainsi que Aux fontaines du désir ou La petite infante de Castille.
Moi je le trouve imbuvable car misogyne au possible, ses personnages féminins sont souvent ridiculisés.
Cela me fait penser aux pages fort justes que de Beauvoir a écrit sur cet auteur.
Moi je le trouve imbuvable car misogyne au possible, ses personnages féminins sont souvent ridiculisés.
Cela me fait penser aux pages fort justes que de Beauvoir a écrit sur cet auteur.
- Asha KrakenNeoprof expérimenté
Je le trouve également assommant et lourdingue à lire en tant que femme (menfin, si on devait sortir des bibliothèques tous les auteurs violemment misogynes, elles se videraient considérablement). Mais j'ai un problème avec la littérature française de la période 1920-1970 que je trouve d'une platitude et d'une tristesse morale absolues.
- JPhMMDemi-dieu
Même Guy des Gares ?Asha Kraken a écrit:Je le trouve également assommant et lourdingue à lire en tant que femme (menfin, si on devait sortir des bibliothèques tous les auteurs violemment misogynes, elles se videraient considérablement). Mais j'ai un problème avec la littérature française de la période 1920-1970 que je trouve d'une platitude et d'une tristesse morale absolues.
- Spoiler:
- Non j'déconne.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- FrisouilleEnchanteur
Le titre d'une œuvre doit être mi en italique sur word, souligné en manuscrit.Patissot a écrit:J'ai commencé à lire "Les jeunes filles" (ou "les Jeunes filles" ? je ne suis pas très familier des règles qu'il convient d'appliquer lorsque l'on cite le titre d'un ouvrage), je vais m'empresser de commander les trois autres tomes qui suivent (mais il semblerait que "les Lépreuses" soit difficile à trouver).
L'adaptation qu'à faite Louis Malle du "Feu-Follet" ne m'a pas laissé un souvenir impérissable, je vais peut être commencé par autre chose, "Gilles" peut être ?
Moi je le trouve très drôle Montherlant, dans sa misogynie trouble...
Par ailleurs je recommanderai également la Petite infante de Castille ainsi que La Rose des sables, cette dernière dans la veine d'une certaine littérature des années 30 commençant à dénoncer la colonisation...
- InvitéENiveau 4
"Histoire d'une femme libre" Françoise Giroud
J'avais quelques réticences à lire ce texte, après tout sa publicatoin n'avait pas été voulue par l'auteur! Mais.... on me l'a offert! Tant mieux!
Ce texte retrace l'enfance, l'adolescence (quoiqu'on a l'impression que Françoise Giroud passe cette case) et sa vie de jeune femme. Incidemment, c'est également un témoignage sur le cinéma des années d'après-guerre (débuts de script) et, surtout, sur le journalisme de la même époque (Elle, l'Express).
JJSS, la jeune femme cultivée qui s'est fait toute seule, comme on dit, les mentalités de l'époque et quelques vérités.
Très intéressant.
J'avais quelques réticences à lire ce texte, après tout sa publicatoin n'avait pas été voulue par l'auteur! Mais.... on me l'a offert! Tant mieux!
Ce texte retrace l'enfance, l'adolescence (quoiqu'on a l'impression que Françoise Giroud passe cette case) et sa vie de jeune femme. Incidemment, c'est également un témoignage sur le cinéma des années d'après-guerre (débuts de script) et, surtout, sur le journalisme de la même époque (Elle, l'Express).
JJSS, la jeune femme cultivée qui s'est fait toute seule, comme on dit, les mentalités de l'époque et quelques vérités.
Très intéressant.
- JPhMMDemi-dieu
Formidable. A tous points de vue.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Asha KrakenNeoprof expérimenté
Ah merveilleux, Guy des Cars, Le Château de la Juive, quel chef-d'oeuvre! Tout comme ce brave Cesbron ou ce cher Frison-Roche aujourd'hui tombés en désuétude, ça c'était de la littérature patrimoniale et populaire monsieur !JPhMM a écrit:Même Guy des Gares ?Asha Kraken a écrit:Je le trouve également assommant et lourdingue à lire en tant que femme (menfin, si on devait sortir des bibliothèques tous les auteurs violemment misogynes, elles se videraient considérablement). Mais j'ai un problème avec la littérature française de la période 1920-1970 que je trouve d'une platitude et d'une tristesse morale absolues.
- Spoiler:
Non j'déconne.
- Spoiler:
- Beuh, j'avais compris ! Ca cadrait très moyennement avec les références que vous citez habituellement. Et je voue une haine tenace à Guytou car chaque fois que je débarque dans un C.D.I, j'ai au moins dix guytou à mettre au pilon, et le pilon, c'est le carton, et le carton, ça encombre...
- Jim ThompsonExpert
La violence des Riches du couple Pinson
très très bien
très très bien
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CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- Asha KrakenNeoprof expérimenté
Je confirme !Jim Thompson a écrit:La violence des Riches du couple Pinson
très très bien
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