- SeiGrand Maître
Abraxas a écrit:Ah, si seulement j'avais encore à découvrir Kawabata… Quelle chance, Sei !
C'est exactement ce que je me suis dit. Je suis toujours émue et surprise lorsque je découvre une merveille, et que je prends conscience de tout ce qu'il me reste à découvrir.
Jph, merci pour ce conseil. Je crois que je vais m'empresser de découvrir l'oeuvre entière de Kawabata.
Jenny, j'attends avec impatience ton compte-rendu sur Ronis.
- JPhMMDemi-dieu
Il y aurait encore les deux tomes de ça :Abraxas a écrit:Ah, si seulement j'avais encore à découvrir Kawabata… Quelle chance, Sei !
Et les deux tomes de ça aussi :
Et après... je ne sais pas.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- A.vanWordenNiveau 6
Tanizaki après Kawabata, c'est un peu fade, quand même, non ? Et je ne parle pas d'Inoue...
_________________
- JPhMMDemi-dieu
Tanizaki, fade ?
Euh... j'utilise mon joker.
Euh... j'utilise mon joker.
- Mon joker:
- « Désolé, je ne suis que professeur de mathématiques. » :lol!:
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- AbraxasDoyen
Z'avez relu récemment la Confession impudique ? c'est étonnant. Détonnant. Superbe.
- A.vanWordenNiveau 6
Pas lu, mais je prends bonne note. J'avoue que je ne me souviens même plus de ce que j'avais essayé de lire exactement de Tanizaki (en même temps, c'est pas bon signe). Mais j'étais peut-être tombé sur un mauvais cru.
_________________
- Reine MargotDemi-dieu
j'avais lu de kawabata les servantes d'auberge, très beau mais un peu énigmatique.
Je préfère "un amour insensé" de Tanizaki ou "l'école de la chair" de Mishima.
Je préfère "un amour insensé" de Tanizaki ou "l'école de la chair" de Mishima.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- LouisBarthasExpert
Nous vivons, insensibles au pays qui nous porte.
A dix pas, nos voix ne sont plus assez fortes.
Mais il suffit d’un semi-entretien,
Pour évoquer le montagnard du Kremlin.
Ses doigts épais sont gras comme des asticots,
Et ses mots tombent comme des poids de cent kilos.
Il rit dans sa moustache énorme de cafard,
Et ses bottes luisent, accrochant le regard.
Un ramassis de chefs au cou mince l’entourent,
Sous-hommes empressés dont il joue nuit et jour.
L’un siffle, l’autre miaule, et un troisième geint,
Lui seul tient le crachoir et montre le chemin.
Il forge oukaze sur oukaze, en vrai forgeron,
Atteignant tel à l’aine, tel à l’œil, tel au front.
Et chaque exécution est un régal,
Dont se pourlèche l’Ossète au large poitrail.
A dix pas, nos voix ne sont plus assez fortes.
Mais il suffit d’un semi-entretien,
Pour évoquer le montagnard du Kremlin.
Ses doigts épais sont gras comme des asticots,
Et ses mots tombent comme des poids de cent kilos.
Il rit dans sa moustache énorme de cafard,
Et ses bottes luisent, accrochant le regard.
Un ramassis de chefs au cou mince l’entourent,
Sous-hommes empressés dont il joue nuit et jour.
L’un siffle, l’autre miaule, et un troisième geint,
Lui seul tient le crachoir et montre le chemin.
Il forge oukaze sur oukaze, en vrai forgeron,
Atteignant tel à l’aine, tel à l’œil, tel au front.
Et chaque exécution est un régal,
Dont se pourlèche l’Ossète au large poitrail.
Ossip Mandelstam
(Novembre 1933)
(Novembre 1933)
"Quand se produirait l’irrévocable ? Où ? Comment cela arriverait-il ? Peu importait… Résister était inutile. Je perdis la conscience de la mort car j’étais entrée dans le domaine du non-être. Lorsqu’on se sait condamné, on n’a même plus peur. La peur, c’est une lueur d’espoir, c’est la volonté de vivre, c’est l’affirmation de soi. C’est un sentiment profondément européen. Il est né du respect de soi, de la conscience de sa propre valeur, de ses droits, de ses valeurs et de ses désirs. L’homme se cramponne à ce qui fait sa personnalité et craint de la perdre. La peur et l’espoir sont liés. En perdant l’espoir, nous cessons également d’avoir peur : nous n’avons rien à défendre."
"Nous étions tous soit des moutons qui se laissaient égorger sans protester, soit des aides respectueux des bourreaux. Les uns et les autres se montraient parfaitement soumis et réprimaient en eux tout instinct humain. Pourquoi n’avions-nous pas brisé un carreau et sauté par la fenêtre, en donnant libre cours à la peur irraisonnée qui nous aurait fait fuir sous les balles en direction de la forêt ? Pourquoi étions-nous restés debout, immobiles, en regardant les soldats fouiller dans nos affaires ? Pourquoi Mandelstam les avait-il suivis docilement, et pourquoi ne m’étais-je pas jetée sur eux comme une bête ? Qu’avions-nous à perdre ? Aurions-nous eu peur d’être accusés en plus de rébellion au moment de l’arrestation ? De toute façon, la fin aurait été la même, il n’y avait donc rien à craindre. Mais ce n’était pas la peur qui nous guidait. C’était un sentiment tout autre : c’était la conscience de sa propre impuissance qui paralysait tout le monde sans exception, aussi bien les victimes que les bourreaux. Écrasés par le système à l’édification duquel chacun d’entre nous avait participé d’une façon ou d’une autre, nous n’étions même plus capables de résistance passive. Notre docilité faisait se déchaîner les serviteurs zélés du système. Comment aurions-nous pu sortir de ce cercle vicieux ?"
Cher Choura,
Je suis à Vladivostok, au U.S.V.I.T.L (Direction des Camps de Travail correctif du Nord-Est), baraque n°11.
Le Tribunal spécial m’a condamné à cinq ans pour activité contre-révolutionnaire. Le convoi a quitté Boutyrki le 9 septembre, et nous sommes arrivés ici le 12 octobre. Ma santé est très mauvaise. Je suis maigre et complètement épuisé, presque méconnaissable, mais je ne sais pas si cela vaut la peine d’envoyer des vêtements, de la nourriture et de l’argent. Vous pouvez essayer quand même. J’ai très froid sans vêtements appropriés.
Nadia aimée, es-tu en vie ma chérie ? Choura, écris-moi tout de suite à propos de Nadia. Ici, c’est un centre de transit. Je n’ai pas été pris pour la Kolyma, et il se peut que j’aie à passer l’hiver ici.
Je vous embrasse mes chéris.
Ossia
_________________
Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- yphrogEsprit éclairé
ah oui. Nadejda = Hope. :livre:
:shock:
:shock:
- Spoiler:
- Je lis quelqu'un qui s'appelle Rahula, pour apprendre que dukkha est peut-être mal traduit comme "souffrance".
978-2-02-004799-9 Les enseignements du ...
- zizzaNiveau 10
" />
Un roman qui raconte l'histoire d'un écrivain qui accepte de participer à une téléréalité pour écrire son nouveau roman. En gros, pour chaque chapitre qu'il écrit, les téléspectateurs doivent donner leur avis en disant "j'aime, je partage". Ce sont eux qui décident de la suite de l'histoire. Sauf que l'écrivain finit par se rendre compte que le concept ne lui correspond pas du tout, et regrette amèrement d'avoir accepté.
J'ai vraiment aimé, c'est agréable à lire, et la réflexion qui est menée est très intéressante car elle ouvre des questionnements variés: jusqu'à quel point peut-on s'insérer dans la vie des gens dans le cadre d'une émission de téléréalité? Quelles peuvent en être les dérives? Peut-on vraiment rendre accessible la littérature au plus grand nombre, et si oui, comment? ...
Ce qui m'a un peu gênée: le livre se déroule sur un an environ, mais la narration n'est pas chronologique, et c'est un peu difficile à suivre. Mais si on s'accroche, ça va.
En plus, j'ai eu la chance de rencontrer l'auteur au Salon du Livre, donc j'ai pu avoir le livre dédicacé
Un roman qui raconte l'histoire d'un écrivain qui accepte de participer à une téléréalité pour écrire son nouveau roman. En gros, pour chaque chapitre qu'il écrit, les téléspectateurs doivent donner leur avis en disant "j'aime, je partage". Ce sont eux qui décident de la suite de l'histoire. Sauf que l'écrivain finit par se rendre compte que le concept ne lui correspond pas du tout, et regrette amèrement d'avoir accepté.
J'ai vraiment aimé, c'est agréable à lire, et la réflexion qui est menée est très intéressante car elle ouvre des questionnements variés: jusqu'à quel point peut-on s'insérer dans la vie des gens dans le cadre d'une émission de téléréalité? Quelles peuvent en être les dérives? Peut-on vraiment rendre accessible la littérature au plus grand nombre, et si oui, comment? ...
Ce qui m'a un peu gênée: le livre se déroule sur un an environ, mais la narration n'est pas chronologique, et c'est un peu difficile à suivre. Mais si on s'accroche, ça va.
En plus, j'ai eu la chance de rencontrer l'auteur au Salon du Livre, donc j'ai pu avoir le livre dédicacé
_________________
2014-2015: 4e, 3e LV2 et 2de, 1e S + ES + STI2D + STL, Tle S + STMG + STI2D + STL LV2 dans 2 lycées (T2)
2013-2014: 4e, 3e LV2 sur 2 collèges (T1)
2012-2013: 2de, 1e S, 1e ES, TS LV2 (stage)
2011-2012: 6e, 5e, 4e, 3e LV1 bis + 4e, 3e LV2 (stage)
- gelsomina31Grand Maître
zizza a écrit:" />
Un roman qui raconte l'histoire d'un écrivain qui accepte de participer à une téléréalité pour écrire son nouveau roman. En gros, pour chaque chapitre qu'il écrit, les téléspectateurs doivent donner leur avis en disant "j'aime, je partage". Ce sont eux qui décident de la suite de l'histoire. Sauf que l'écrivain finit par se rendre compte que le concept ne lui correspond pas du tout, et regrette amèrement d'avoir accepté.
J'ai vraiment aimé, c'est agréable à lire, et la réflexion qui est menée est très intéressante car elle ouvre des questionnements variés: jusqu'à quel point peut-on s'insérer dans la vie des gens dans le cadre d'une émission de téléréalité? Quelles peuvent en être les dérives? Peut-on vraiment rendre accessible la littérature au plus grand nombre, et si oui, comment? ...
Ce qui m'a un peu gênée: le livre se déroule sur un an environ, mais la narration n'est pas chronologique, et c'est un peu difficile à suivre. Mais si on s'accroche, ça va.
En plus, j'ai eu la chance de rencontrer l'auteur au Salon du Livre, donc j'ai pu avoir le livre dédicacé
ce livre a l'air très intéressant!
_________________
Fear buildswalls.Hope builds bridges !
« De chacun selon ses forces, à chacun selon ses besoins. »
- AbraxasDoyen
Fini (enfin…) le numéro de la revue le Débat consacré à l'enseignement de l'Histoire.
C'est tout à fait passionnant, y compris pour des béotiens dans mon genre… Articles et débats de pointe.
C'est tout à fait passionnant, y compris pour des béotiens dans mon genre… Articles et débats de pointe.
- zizzaNiveau 10
Oui Gelsomina, j'ai passé un très bon moment!!
_________________
2014-2015: 4e, 3e LV2 et 2de, 1e S + ES + STI2D + STL, Tle S + STMG + STI2D + STL LV2 dans 2 lycées (T2)
2013-2014: 4e, 3e LV2 sur 2 collèges (T1)
2012-2013: 2de, 1e S, 1e ES, TS LV2 (stage)
2011-2012: 6e, 5e, 4e, 3e LV1 bis + 4e, 3e LV2 (stage)
- JPhMMDemi-dieu
L'horreur du monde, brutale et aveugle. Dan Simmons nous plonge dans une reconstruction chirurgicale de nos peurs les plus primitives. Certaines scènes sont vertigineuses d'horreur absolue. Certaines phrases sont des poignards.
A vos risques et périls.
http://www.cafardcosmique.com/Le-Chant-de-Kali-de-Dan-Simmons
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- AlbiusNiveau 10
Nouvelles:
Roman:
Je profite du fil pour faire de la publicité pour Georges-Olivier Châteaureynaud, dont le relatif manque de reconnaissance me scandalise toujours. Les trois ouvrages ci-dessus me paraissent les plus réussis.
Je suis enthousiasmé par cet auteur. C'est sans doute le meilleur représentant francophone du genre fantastique -fantastique, hein, pas science-fiction, ni anticipation, ni "fantasy", ni... -. Une imagination débordante, servie par une langue d'un certain classicisme, ciselée, maîtrisée, et aussi convaincant dans ses nouvelles que dans le tour de force qu'est son roman L'Autre Rive, utopie ayant pour cadre une cité d'allure contemporaine construite sur l'une des rives du Styx, et dont les édiles ont entrepris de construire un pont pharaonique pour aller voir "sur l'autre rive" ce qu'il y a...
Roman:
Je profite du fil pour faire de la publicité pour Georges-Olivier Châteaureynaud, dont le relatif manque de reconnaissance me scandalise toujours. Les trois ouvrages ci-dessus me paraissent les plus réussis.
Je suis enthousiasmé par cet auteur. C'est sans doute le meilleur représentant francophone du genre fantastique -fantastique, hein, pas science-fiction, ni anticipation, ni "fantasy", ni... -. Une imagination débordante, servie par une langue d'un certain classicisme, ciselée, maîtrisée, et aussi convaincant dans ses nouvelles que dans le tour de force qu'est son roman L'Autre Rive, utopie ayant pour cadre une cité d'allure contemporaine construite sur l'une des rives du Styx, et dont les édiles ont entrepris de construire un pont pharaonique pour aller voir "sur l'autre rive" ce qu'il y a...
- mayalabeilleNiveau 5
J'ai pris plein de titres en prévision de les prendre à la médiathèque mais quand est-ce que je vais trouver le temps de lire tout ça ??? ( en + des oeuvres au programme que je (re)lis...
L'autre rive de Chateaureynaud me branche bien, je note... Merci.
L'autre rive de Chateaureynaud me branche bien, je note... Merci.
- JPhMMDemi-dieu
Quelque chose de murakami-esque ?Albius a écrit:Nouvelles:
Roman:
Je profite du fil pour faire de la publicité pour Georges-Olivier Châteaureynaud, dont le relatif manque de reconnaissance me scandalise toujours. Les trois ouvrages ci-dessus me paraissent les plus réussis.
Je suis enthousiasmé par cet auteur. C'est sans doute le meilleur représentant francophone du genre fantastique -fantastique, hein, pas science-fiction, ni anticipation, ni "fantasy", ni... -. Une imagination débordante, servie par une langue d'un certain classicisme, ciselée, maîtrisée, et aussi convaincant dans ses nouvelles que dans le tour de force qu'est son roman L'Autre Rive, utopie ayant pour cadre une cité d'allure contemporaine construite sur l'une des rives du Styx, et dont les édiles ont entrepris de construire un pont pharaonique pour aller voir "sur l'autre rive" ce qu'il y a...
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- AlbiusNiveau 10
D'après ce que je sais de Murakami (Haruki, hein ?. Pas Murakami Ryu ?), que je n'ai au demeurant pas lu, oui, semble-t-il. Enfin, pour moi, ce serait Murakami qui serait châteaureynaud-esqueJPhMM a écrit: Quelque chose de murakami-esque ?
- JPhMMDemi-dieu
Haruki oui.Albius a écrit:D'après ce que je sais de Murakami (Haruki, hein ?. Pas Murakami Ryu ?), que je n'ai au demeurant pas lu, oui, semble-t-il. Enfin, pour moi, ce serait Murakami qui serait châteaureynaud-esqueJPhMM a écrit: Quelque chose de murakami-esque ?
Merci pour la réponse.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- LeilEsprit éclairé
Son roman le plus abouti, selon moi.
Clic.
_________________
http://www.bricabook.fr/
- MéluEmpereur
C'est les vacances, je lis une connerie !
C'est une suite à Harry Potter, assez bonne pour que Rowling accepte sa publication. Bon, ça se laisse lire, on est ravi de retrouver Poudlard et ceux qui le peuplent, mais ce n'est pas aussi addictif, loin s'en faut, que l'original ! Et puis, la traduction est parfois approximative.
Une bonne dystopie, facile à lire est très prenante. Je l'ai lu d'une traite et le ferai acheter au CDI ! Je suis en train de lire la suite.
C'est une suite à Harry Potter, assez bonne pour que Rowling accepte sa publication. Bon, ça se laisse lire, on est ravi de retrouver Poudlard et ceux qui le peuplent, mais ce n'est pas aussi addictif, loin s'en faut, que l'original ! Et puis, la traduction est parfois approximative.
Une bonne dystopie, facile à lire est très prenante. Je l'ai lu d'une traite et le ferai acheter au CDI ! Je suis en train de lire la suite.
_________________
"Pourquoi sommes-nous au monde, sinon pour amuser nos voisins et rire d'eux à notre tour ?"
[ Jane Austen ] - Extrait de Orgueil et préjugés
- zizzaNiveau 10
Mélu a écrit:
Une bonne dystopie, facile à lire est très prenante. Je l'ai lu d'une traite et le ferai acheter au CDI ! Je suis en train de lire la suite.
C'était mon livre préféré quand j'étais gamine. J'avais dû l'emprunter au moins 20 fois au CDI.
_________________
2014-2015: 4e, 3e LV2 et 2de, 1e S + ES + STI2D + STL, Tle S + STMG + STI2D + STL LV2 dans 2 lycées (T2)
2013-2014: 4e, 3e LV2 sur 2 collèges (T1)
2012-2013: 2de, 1e S, 1e ES, TS LV2 (stage)
2011-2012: 6e, 5e, 4e, 3e LV1 bis + 4e, 3e LV2 (stage)
- Ibn KhaldounNiveau 8
:study:
_________________
Qui pourrait, en France, parler de « race » ? Notre Midi a sa pinte de sang sarrasin, espagnol, andalou. [...] Tant d'« immigrés », depuis si longtemps, depuis notre Préhistoire jusqu'à l'histoire très récente, ont réussi à faire naufrage sans trop de bruit dans la masse française que l'on pourrait dire, en s'amusant, que tous les Français, si le regard se reporte aux siècles et aux millénaires qui ont précédé notre temps, sont fils d'immigrés. Très diverse, la France ne peut-elle courir le risque de le devenir, biologiquement, davantage encore ?
L'identité de la France - Fernand Braudel
- JPhMMDemi-dieu
Merveille.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- MéluEmpereur
C'est le deuxième tome de la trilogie commencée avec Le Passeur, mais ce n'est pas une suite, car chaque récit est totalement indépendant. Ca ne se passe pas au même endroit, et les personnages y sont différents, mais l'un comme l'autre montrent une société où l'homme ne peut pas être heureux. J'ai préféré Le Passeur, mais L'Elue se lit très bien et très vite, avec beaucoup de plaisir !
_________________
"Pourquoi sommes-nous au monde, sinon pour amuser nos voisins et rire d'eux à notre tour ?"
[ Jane Austen ] - Extrait de Orgueil et préjugés
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum