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- LoraNeoprof expérimenté
Ah, ça doit être l'élève dont j'ai été la secrétaire.Loreleii a écrit:J'ai eu droit à une rédac sans aucune ponctuation !!!
- linotteFidèle du forum
Domenico n'a pas raison en murmurant "La vie comence" car sa vie a déjà commencé. (ah, ça !)
J'en ai eu plusieurs aussi ...
Cette question a été très mal traitée, dans l'ensemble.
Sinon, en rédac, bien sûr les visites guidées, les achats de maison ( et même l'attentat du 11/09) etc : ils ont eu des difficultés à contextualiser, ce que je peux comprendre. Quelques ( bonnes) surprises avec la recherche d'emploi dans les usines Ford, ou le récit des examens médicaux : ça sentait le cours d'histoire.
'L'empayeur stade bulding'
'Le temps est le futur. C'est du présent de narration'
- User5899Demi-dieu
De quoi sur quoi ?henriette a écrit:Circé a écrit:La seule question de grammaire:
"L'auteur aurait quand même pu mettre une virgule entre les deux phrases."
... et je suppose que l'élève a tenté de faire une personnification avec "les pieds indécis qui hésitaient à se poser sur le sol..."
C'est rien moins qu'un hypallage, ma bonne dame !
- yogiSage
fabecben a écrit:Brooklyn a écrit:Je retiendrai pour ma part une rédaction :
- Les personnages descendent du bateau et ils se dirigent vers Hollywood pour " rencontrer des stars"
- Puis ils embarquent pour Miami où ils vont faire la fête au bord d'une piscine
- Enfin, ils terminent à Las Vegas, "ville que je nommerais la ville des Lumières"
" Et mince, le voyage est fini, c'est passé trop vite."
Je pense que je n'ai jamais lu une rédaction aussi grotesque.
ça fait très "horizon culturel W9"... y a une émission, dont j'ai oublié le titre, du genre "les Chtis" (comprendre les beaufs) à Miami ou les Marseillais à Las Vegas... J'en ai vu quelques extraits au zapping, c'est à pleurer. Et ça vien contaminer le brevet... !
Complètement,Les Anges de la Téléréalité: leur référence:pale:
_________________
"Jboirai du lait le jour où les vaches mangeront du raisin!"
- LoreleiiNeoprof expérimenté
Lora a écrit:Ah, ça doit être l'élève dont j'ai été la secrétaire.Loreleii a écrit:J'ai eu droit à une rédac sans aucune ponctuation !!!
C'est vrai qu'on est dans la même académie, je crois !
Mais non, ça ne peut pas être ton écriture, elle était trop vilaine ! :lol:
- floMédiateur
Ah oui, c'est ça, j'ai eu les Anges de la téléréalité !
Les personnages ont été accueillis par un guide, installés dans une villa avec piscine. Ensuite, ils ont tout visité, Miami, San Francisco, Hollywood etc. Ils ont passé divers castings auxquels ils ont échoué à cause de l'anglais qu'ils ne parlaient pas. Du coup, ils ont pris des cours de langue et le lendemain, ils ont de nouveau passé les castings avec succès. Leur guide est alors arrivé pour leur dire qu'il était fier d'eux.
Les personnages ont été accueillis par un guide, installés dans une villa avec piscine. Ensuite, ils ont tout visité, Miami, San Francisco, Hollywood etc. Ils ont passé divers castings auxquels ils ont échoué à cause de l'anglais qu'ils ne parlaient pas. Du coup, ils ont pris des cours de langue et le lendemain, ils ont de nouveau passé les castings avec succès. Leur guide est alors arrivé pour leur dire qu'il était fier d'eux.
- manchotte50Niveau 10
franchement je compatis totalement à la douleur des profs qui doivent se taper de telles âneries mais qu'est-ce que ça peut me faire rire !!!! Je ris toute seule au CDI à lire tout ça même si en y réfléchissant c'est à pleurer !
- ZazkFidèle du forum
Quelques perles ramassées aujourd’hui dans les copies que je corrigeais :
Question : De quel continent est-il question dans le texte ? Réponse : « Il s’agit de l’Amérique où les crasseux sont les bienvenus. »
Question : Que pensez-vous du terme « crasseux » ? (ce n'est pas tout à fait la question mais j'essaie d'abréger)
Réponse 1 : « Je pense que « crasseux » n’est pas une parole qu’on peut dire à n’importe qui. Cela peut être très mal pris mais il est évident que ces italiens n’étaient pas toujours propres. »
Réponse 2 : « La formule (« crasseux ») définit qu’il ne sont pas igiénique par raport au continent Américain. »
Réponse 3 : « Les crasseux sont des gens sales et immigrés. Pour moi, cette expression est familière. Mais cette formulation est bien employée pour ce qu’elle désigne. »
Question : Domenico a-t-il raison ? Réponse : « Je pense que Domenico a raison car ils veulent de nouvelles odeurs. » ( ????)
Question : Quels sont les temps utilisés dans ce passage ? Réponse : « Les temps utilisés sont « la joie de ce jour » et « je ne l’oublierai jamais » ».
Dans la rédaction : Après avoir mangé des hots dogs et autres hamburgers dans différents endroits, un élève arrive chez une dame qui accepte généreusement de l’accueillir chez elle. « Je vis qu’elle avait l’eau potable sortant d’un tuyau appelé robinet. »
Un autre élève raconte sa visite de New-York en famille. Ils arrivent dans la « jingle » et puis ils s’écrient : « Allons chercher dans la forêt des choses à manger comme des bananes. »
Pas de problème pour bien se loger à New-York : on peut trouver « un jardin avec vue sur la mère ».
Mais il faut savoir être courageux : « J’ai pris mon courage à demain. »
Si on est courageux, on trouve facilement un travail intéressant comme « l’aveur de carrot ».
Et puis, finalement, on est tous les mêmes : « des Italiens qui comme nous voulaient changer d’odeurs, de lois, d’hommes »…
Question : De quel continent est-il question dans le texte ? Réponse : « Il s’agit de l’Amérique où les crasseux sont les bienvenus. »
Question : Que pensez-vous du terme « crasseux » ? (ce n'est pas tout à fait la question mais j'essaie d'abréger)
Réponse 1 : « Je pense que « crasseux » n’est pas une parole qu’on peut dire à n’importe qui. Cela peut être très mal pris mais il est évident que ces italiens n’étaient pas toujours propres. »
Réponse 2 : « La formule (« crasseux ») définit qu’il ne sont pas igiénique par raport au continent Américain. »
Réponse 3 : « Les crasseux sont des gens sales et immigrés. Pour moi, cette expression est familière. Mais cette formulation est bien employée pour ce qu’elle désigne. »
Question : Domenico a-t-il raison ? Réponse : « Je pense que Domenico a raison car ils veulent de nouvelles odeurs. » ( ????)
Question : Quels sont les temps utilisés dans ce passage ? Réponse : « Les temps utilisés sont « la joie de ce jour » et « je ne l’oublierai jamais » ».
Dans la rédaction : Après avoir mangé des hots dogs et autres hamburgers dans différents endroits, un élève arrive chez une dame qui accepte généreusement de l’accueillir chez elle. « Je vis qu’elle avait l’eau potable sortant d’un tuyau appelé robinet. »
Un autre élève raconte sa visite de New-York en famille. Ils arrivent dans la « jingle » et puis ils s’écrient : « Allons chercher dans la forêt des choses à manger comme des bananes. »
Pas de problème pour bien se loger à New-York : on peut trouver « un jardin avec vue sur la mère ».
Mais il faut savoir être courageux : « J’ai pris mon courage à demain. »
Si on est courageux, on trouve facilement un travail intéressant comme « l’aveur de carrot ».
Et puis, finalement, on est tous les mêmes : « des Italiens qui comme nous voulaient changer d’odeurs, de lois, d’hommes »…
- SaloumHabitué du forum
J'ai eu la version "Into the Wild" : comme ces pauvres immigrés n'ont rien à manger, ils plongent pour pêcher des "poisons", ou pour trouver des pierres rares ou précieuses et les revendre.
A la nuit tombée, la narratrice ramasse des "brindilles d'herbe" pour confectionner des lits, son père trouve du bois pour faire du feu et cuire un lapin qu'il a chassé (dans Central ParK ?).
Et bien sûr la virée shopping où l'on dépense tout son argent dans les magasins ou dans les "starbuck coffee", où la narratrice finit par épouser un Américain nommé "Brook", dont elle se sépare sans lui annoncer qu'elle est enceinte de lui, mais qu'elle finit quand même par recontacter car il ne faut pas séparer un enfant innocent de son père.
Dans une autre copie, les émigrants poursuivent leur voyage en Chine parce qu'ils sont lassés de NY au bout de deux jours.
A la nuit tombée, la narratrice ramasse des "brindilles d'herbe" pour confectionner des lits, son père trouve du bois pour faire du feu et cuire un lapin qu'il a chassé (dans Central ParK ?).
Et bien sûr la virée shopping où l'on dépense tout son argent dans les magasins ou dans les "starbuck coffee", où la narratrice finit par épouser un Américain nommé "Brook", dont elle se sépare sans lui annoncer qu'elle est enceinte de lui, mais qu'elle finit quand même par recontacter car il ne faut pas séparer un enfant innocent de son père.
Dans une autre copie, les émigrants poursuivent leur voyage en Chine parce qu'ils sont lassés de NY au bout de deux jours.
- olive-in-oilSage
Non mais franchement ! C'est trop drôle ! Et vous êtes payés pour vous marrer autant ?!!
Rires jaunes...
Rires jaunes...
- A.vanWordenNiveau 6
Sur l'expression "les crasseux" :
- "C'es des phrases critiquante envers les Européen. Elle produisent des éffet comme quoi les Européens sont mauvais."
- "Ils formulent ça comme ça car ils veulent dire que les Américains sont plus propres quenous eux, les ceux qu'ils viennent du Sud." [on appréciera le repentir...]
Identifier deux temps [imparfait et futur simple] et expliquer leur utilisation :
- "L'imparfait est utilisé pour car il sert à décrire ce qui se passe. Le futur est employé car il raconte ce qui passer [sic] mais il raconte une action qui se terminera jamais."
- "L'imparfait est employé pour rendre le texte plus vivant et le passé-simple est utilisé pour décrire les sentiments de la vieille femme qui nous raconte son enfance."
- "Le conditionnel passé est utilisé pour nous montrer un évènement touchant pour bien nous faire comprendre les sentiments des personnages à ce moment précis."
Sur le "sentiment étrange" :
- "Le sentiment évoqué est qualifié d'étrange parce que c'est des étrangers." [Logique...]
- "Ce sentiment est qualifié d'étrange puisque car c'est un sentiment nouveau qui n'a jamais existé auparavant."
Domenico a-t-il raison de dire "la vie commence" ?
- "À cause des deux guerres mondiales les conditions de vie étaient peut-être meilleures en Amérique."
- "Domenico a raison [...] car ils vont vivre sur une île qu'ils ne connaissent pas."
- "En clair, ils veulent une ville nouvelle".
- [À New York] Il y aussi des mauvaises odeurs, des mauvaises couleurs, des hommes pas très bien etc."
- "Je lui donne raison car chaque être humain doit pouvoir manger à sa faim et de vivre dans un pays propre et civilisés."
- "Domenico a raison car : New York c'est une ville de riche."
*
Rédaction, sujet 1.
Dans une copie, le personnage trouve du travail chez un paysan (à New York, donc....). Dans une autre version, elle préfère passer son temps à regarder "les travailleurs qui travaillés sur leurs ordinateurs" dans les buildings de "Manhatan"...
D'autres encore vont visiter en famille "le monument le plus connu de New York la statue de la lyberté" ; et d'expliquer que "c'est une très belle statue qui est situé sur l'île d'ellis-island".
L'Amérique, terre d'accueil, vend du rêve : "Après cela, avant de repartir [d'Ellis Island], on donner à chaques familles une somme de huit cents dollars pour commencer cette nouvelle vie et pour vivoter durant quelque temps pendant que nous cherchions du travail."
Un de mes préférés :
"Le plus gros inconvenient était qu'ont savaient pas tros parler anglais, alors pour nous aider j'ais eu l'idée d'hacheter un livre ou l'on pouvaient aprendre les mots les plus utile en englais."
Quelque chose me dit que les livres de français ont été passés à la hachette il y a un moment déjà, eux...
Dans une copie à verser au dossier de ceux qui confondent émigration miséreuse au début du XXe siècle et week-end de jet-setteurs au début du XXIe, les personnages décident d'aller profiter des joies de la plage avec son "eau turquoise", son "sable fin" (à New York, donc (bis)) "et plein d'activités : jet ski, surf, pédalo, bouée traqueté". Puis comme ils craignent que l'hôtel ne les garde pas indéfiniment : "Nous cherchons donc un appartement, on en trouver plein ! Mais ils étaient tous pris." ( ). La famille se voit donc dans l'obligation de repartir en Italie malgré leurs protestations car New York c'est trop bien. Heureusement au moment du départ ils croisent quelqu'un qui les entend et les identifie comme étant Italiens. Cette personne qui, elle, veut quitter New York pour l'Italie, les emmène chez elle : "la maison avait jardin, piscine, une salle de foot... Sans ésiter nous achetons la maison !" (Bah oui, quand on peut plus se payer l'hôtel, que faire d'autre à part acheter une villa avec salle de foot intégrée ?). L'Américaine, elle, leur achètera leur maison italienne qui, d'après photo, est "juste magnifique", encore un élément très cohérent avec le texte de départ...
Dans une autre copie, Domenico s'acoquine avec un mauvais élève. Résultat, alors que lui fait de brillantes études, "Angelo lui qui était assez rebelle, est entré dans Cosa Nostra, et n'en est plus jamais ressortis."
Et pour finir, une copie où l'héroïne devient une brillante avocate (hein quoi ? le sujet c'était "les premiers jours" ? bwof...) : "Sa me demanda beaucoup de travail, j'étais débordé, alors je décida de quitter l'Amérique et de retournée en Italie, à Nâples et de montez mon cabinet d'avocate." C'est bien connu, le même travail est moins fatiguant en Italie qu'aux USA...
*
Rédaction, sujet 2 :
Mélanchon n'a qu'à bien se tenir : "Moi si j'étais président je prendrais aux riches un tière de leur argent pour en donné aux personnes qui en ont le plus besoin et je suis sur même certaine qu'il n'y aurais même plus de pauvres."
Empathie, quand tu nous tiens : la richesse d'un pays "importe peu car si le lieu est idillique pauvre ou riche il apportera un sentiment de bien-être et fera obligatoirement rêver" ; en revanche, "Il est certain que les pays en guerre eux n'apportent aucun rêve. Pour commencer les cri, la méchanceté et l'horreur sont contraire à ceci mais aussi du aux bombardements la plupart des lieux sont détruit et sacagés ce qui apporte une sorte de mal-être si on y assiste."
Et en conclusion d'une copie développant comment "l'inconscient de l'homme" a saccagé mère nature : "Au cours des 100 dernières années la nature à été confronté à tellement de choses qu'il ne doit plus lui rester ce que l'homme lui a pris."
*
Et pour finir quelques perles orthographiques trouvées un peu partout, pardon, "un peu de part tout" : "noncelement", "santassé", "sentassé", "sentacer", des Italiens "migrateurs", "un sentiment [...] d'aboutissements de l'heures efforts", "un petit spectacle très conviviable". Mais - et finalement je crois que s'il y a une "perle" à retenir pour moi, ce sera celle-là -, comme le précisait la consigne officielle de correction donnée à l'oral en provenance de notre IPR, quand des collègues ont posé la question de la prise en compte dans la notation de la qualité de la langue : "On enlève déjà des points inconsciemment pour la langue, donc on ne va pas enlever en plus dans le barème..."
- "C'es des phrases critiquante envers les Européen. Elle produisent des éffet comme quoi les Européens sont mauvais."
- "Ils formulent ça comme ça car ils veulent dire que les Américains sont plus propres que
Identifier deux temps [imparfait et futur simple] et expliquer leur utilisation :
- "L'imparfait est utilisé pour car il sert à décrire ce qui se passe. Le futur est employé car il raconte ce qui passer [sic] mais il raconte une action qui se terminera jamais."
- "L'imparfait est employé pour rendre le texte plus vivant et le passé-simple est utilisé pour décrire les sentiments de la vieille femme qui nous raconte son enfance."
- "Le conditionnel passé est utilisé pour nous montrer un évènement touchant pour bien nous faire comprendre les sentiments des personnages à ce moment précis."
Sur le "sentiment étrange" :
- "Le sentiment évoqué est qualifié d'étrange parce que c'est des étrangers." [Logique...]
- "Ce sentiment est qualifié d'étrange puisque car c'est un sentiment nouveau qui n'a jamais existé auparavant."
Domenico a-t-il raison de dire "la vie commence" ?
- "À cause des deux guerres mondiales les conditions de vie étaient peut-être meilleures en Amérique."
- "Domenico a raison [...] car ils vont vivre sur une île qu'ils ne connaissent pas."
- "En clair, ils veulent une ville nouvelle".
- [À New York] Il y aussi des mauvaises odeurs, des mauvaises couleurs, des hommes pas très bien etc."
- "Je lui donne raison car chaque être humain doit pouvoir manger à sa faim et de vivre dans un pays propre et civilisés."
- "Domenico a raison car : New York c'est une ville de riche."
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Rédaction, sujet 1.
Dans une copie, le personnage trouve du travail chez un paysan (à New York, donc....). Dans une autre version, elle préfère passer son temps à regarder "les travailleurs qui travaillés sur leurs ordinateurs" dans les buildings de "Manhatan"...
D'autres encore vont visiter en famille "le monument le plus connu de New York la statue de la lyberté" ; et d'expliquer que "c'est une très belle statue qui est situé sur l'île d'ellis-island".
L'Amérique, terre d'accueil, vend du rêve : "Après cela, avant de repartir [d'Ellis Island], on donner à chaques familles une somme de huit cents dollars pour commencer cette nouvelle vie et pour vivoter durant quelque temps pendant que nous cherchions du travail."
Un de mes préférés :
"Le plus gros inconvenient était qu'ont savaient pas tros parler anglais, alors pour nous aider j'ais eu l'idée d'hacheter un livre ou l'on pouvaient aprendre les mots les plus utile en englais."
Quelque chose me dit que les livres de français ont été passés à la hachette il y a un moment déjà, eux...
Dans une copie à verser au dossier de ceux qui confondent émigration miséreuse au début du XXe siècle et week-end de jet-setteurs au début du XXIe, les personnages décident d'aller profiter des joies de la plage avec son "eau turquoise", son "sable fin" (à New York, donc (bis)) "et plein d'activités : jet ski, surf, pédalo, bouée traqueté". Puis comme ils craignent que l'hôtel ne les garde pas indéfiniment : "Nous cherchons donc un appartement, on en trouver plein ! Mais ils étaient tous pris." ( ). La famille se voit donc dans l'obligation de repartir en Italie malgré leurs protestations car New York c'est trop bien. Heureusement au moment du départ ils croisent quelqu'un qui les entend et les identifie comme étant Italiens. Cette personne qui, elle, veut quitter New York pour l'Italie, les emmène chez elle : "la maison avait jardin, piscine, une salle de foot... Sans ésiter nous achetons la maison !" (Bah oui, quand on peut plus se payer l'hôtel, que faire d'autre à part acheter une villa avec salle de foot intégrée ?). L'Américaine, elle, leur achètera leur maison italienne qui, d'après photo, est "juste magnifique", encore un élément très cohérent avec le texte de départ...
Dans une autre copie, Domenico s'acoquine avec un mauvais élève. Résultat, alors que lui fait de brillantes études, "Angelo lui qui était assez rebelle, est entré dans Cosa Nostra, et n'en est plus jamais ressortis."
Et pour finir, une copie où l'héroïne devient une brillante avocate (hein quoi ? le sujet c'était "les premiers jours" ? bwof...) : "Sa me demanda beaucoup de travail, j'étais débordé, alors je décida de quitter l'Amérique et de retournée en Italie, à Nâples et de montez mon cabinet d'avocate." C'est bien connu, le même travail est moins fatiguant en Italie qu'aux USA...
*
Rédaction, sujet 2 :
Mélanchon n'a qu'à bien se tenir : "Moi si j'étais président je prendrais aux riches un tière de leur argent pour en donné aux personnes qui en ont le plus besoin et je suis sur même certaine qu'il n'y aurais même plus de pauvres."
Empathie, quand tu nous tiens : la richesse d'un pays "importe peu car si le lieu est idillique pauvre ou riche il apportera un sentiment de bien-être et fera obligatoirement rêver" ; en revanche, "Il est certain que les pays en guerre eux n'apportent aucun rêve. Pour commencer les cri, la méchanceté et l'horreur sont contraire à ceci mais aussi du aux bombardements la plupart des lieux sont détruit et sacagés ce qui apporte une sorte de mal-être si on y assiste."
Et en conclusion d'une copie développant comment "l'inconscient de l'homme" a saccagé mère nature : "Au cours des 100 dernières années la nature à été confronté à tellement de choses qu'il ne doit plus lui rester ce que l'homme lui a pris."
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Et pour finir quelques perles orthographiques trouvées un peu partout, pardon, "un peu de part tout" : "noncelement", "santassé", "sentassé", "sentacer", des Italiens "migrateurs", "un sentiment [...] d'aboutissements de l'heures efforts", "un petit spectacle très conviviable". Mais - et finalement je crois que s'il y a une "perle" à retenir pour moi, ce sera celle-là -, comme le précisait la consigne officielle de correction donnée à l'oral en provenance de notre IPR, quand des collègues ont posé la question de la prise en compte dans la notation de la qualité de la langue : "On enlève déjà des points inconsciemment pour la langue, donc on ne va pas enlever en plus dans le barème..."
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- A.vanWordenNiveau 6
Un cas à part que je n'ai pas voulu mettre avec les autres, mais sur lequel je me suis bien arraché les cheveux. Assez manifestement il s'agit d'un élève qui, euuh... n'est pas tout à fait au point dans sa tête.
Voilà ce que ça donnait dans les premières questions (et tout le reste de la copie était à l'avenant) :
1- Continent s'agit-il si qui des couleurs en Vue, les odeurs et les lois et les hommes et continuent où les crasseux comme nous étaient les bienvenus.
2- Les personnage attendent de ce nouveau pays que elle adresse à un personnage nommé don Salvatore. L'action se déroule se déroule dans la première moitié du XXe siècle.
3.a - Les personnages aux différentes étapes du voyage à New-York que ce cours de laquelle sa famille a tenté de fuir pour s'installer.
b - que les étrangers ils comprenions rien et qu'ils sentir perdus ; Mais un sentiment étrange nous envahit, don Slavator.
Y a pas que les étrangers qui comprenions rien... C'était ma première correction de brevet, je me suis longuement demandé comment j'étais censé gérer ce genre de copies... :|
Voilà ce que ça donnait dans les premières questions (et tout le reste de la copie était à l'avenant) :
1- Continent s'agit-il si qui des couleurs en Vue, les odeurs et les lois et les hommes et continuent où les crasseux comme nous étaient les bienvenus.
2- Les personnage attendent de ce nouveau pays que elle adresse à un personnage nommé don Salvatore. L'action se déroule se déroule dans la première moitié du XXe siècle.
3.a - Les personnages aux différentes étapes du voyage à New-York que ce cours de laquelle sa famille a tenté de fuir pour s'installer.
b - que les étrangers ils comprenions rien et qu'ils sentir perdus ; Mais un sentiment étrange nous envahit, don Slavator.
Y a pas que les étrangers qui comprenions rien... C'était ma première correction de brevet, je me suis longuement demandé comment j'étais censé gérer ce genre de copies... :|
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- JPhMMDemi-dieu
Sur la même copie, j'ai eu droit à :
(*) On a une chance sur trois de tirer une femme.
(*) Les hommes touchent plus que les femmes.
(*) On a une chance sur trois de tirer une femme.
(*) Les hommes touchent plus que les femmes.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- leyadeEsprit sacré
Zazk a écrit:
Et puis, finalement, on est tous les mêmes : « des Italiens qui comme nous voulaient changer d’odeurs, de lois, d’hommes »…
Mais c'est d'une poésie torride, ce passage! :lol:
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Maggi is my way, Melfor is my church and Picon is my soutien. Oui bon je sais pas dire soutien en anglais.
LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- JPhMMDemi-dieu
Spéciale dédicace à celui qui se reconnaitra ??? :lol: :lol: :lol:Zazk a écrit:
Et puis, finalement, on est tous les mêmes : « des Italiens qui comme nous voulaient changer d’odeurs, de lois, d’hommes »…
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- cariboucGuide spirituel
JPhMM a écrit:Sur la même copie, j'ai eu droit à :
(*) On a une chance sur trois de tirer une femme.
(*) Les hommes touchent plus que les femmes.
Ca, les mains baladeuses masculines...
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"J'adore parler de rien : c'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances" (O. Wilde)
- CondorcetOracle
caribouc a écrit:JPhMM a écrit:Sur la même copie, j'ai eu droit à :
(*) On a une chance sur trois de tirer une femme.
(*) Les hommes touchent plus que les femmes.
Ca, les mains baladeuses masculines...
Les voies du tirage au sort sont impénétrables. :lol:
- anthinéaGuide spirituel
Heuuuuu vous avez eu des italiens esclaves vous?
Moi oui!
La narratrice a été vendue par son père.
Toute la famille l'a été.
Bon il y a eu le frère zapato, le resto mario pizza, le fast food "ze new yorké"
L'eau très froide et le soleil trés chaud.
L'hotel réservé depuis le bateau.
L'hotel de luxe.
Moi oui!
La narratrice a été vendue par son père.
Toute la famille l'a été.
Bon il y a eu le frère zapato, le resto mario pizza, le fast food "ze new yorké"
L'eau très froide et le soleil trés chaud.
L'hotel réservé depuis le bateau.
L'hotel de luxe.
- SphinxProphète
anthinéa a écrit:Heuuuuu vous avez eu des italiens esclaves vous?
Moi oui!
La narratrice a été vendue par son père.
Toute la famille l'a été.
Oui. Une fois dans la question 6 : vu qu'il y avait l'esclavage aux US à cette époque (sic), ils risquaient de finir esclaves, donc Domenico a peut-être tort. Et une fois dans une rédac : à la réunion annuelle des anciens du bateau, certains avaient trouvé du travail et s'en sortaient bien, d'autres étaient à la rue et avaient sombré dans l'alcool, et d'autres enfin étaient devenus esclaves (c'était pas clair s'ils étaient quand même venus aux réunions mais je dirais que oui).
- Roumégueur IerÉrudit
J'ai eu droit au travail dans les champs de coton et à l'invention du jazz par les émigrés italiens...
- JPhMMDemi-dieu
L'équivalence de la voie passive n'est plus vérifiée ici.PaoloSarpi a écrit:caribouc a écrit:JPhMM a écrit:Sur la même copie, j'ai eu droit à :
(*) On a une chance sur trois de tirer une femme.
(*) Les hommes touchent plus que les femmes.
Ca, les mains baladeuses masculines...
Les voies du tirage au sort sont impénétrables. :lol:
En effet, j'ai aussi eu droit à "Une femme a une chance sur trois d'être tirée", ce qui n'est pas tout à fait équivalent à la phrase mise en gras.
:lol:
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- anthinéaGuide spirituel
Ils ont appris un super jeu le basket!
Ils ne savaient pas parler américain, c'est balot!
Le colysée, la tour de pise et rome leur manquaient.
The must cela aura été le DDN à la place du DNB sur l'entaite de la copie.
Ils ne savaient pas parler américain, c'est balot!
Le colysée, la tour de pise et rome leur manquaient.
The must cela aura été le DDN à la place du DNB sur l'entaite de la copie.
- LédisséEsprit sacré
A. von Worden, tu as eu droit à du lourd de chez lourd pour ta première correction...
- Spoiler:
- La bonne parole de l'inspection relayée chez nous (avec commentaire contraire de notre modérateur, qui visiblement n'appréciait pas ) : "On ne demande pas à un élève d'être Proust... s'il respecte le sujet, on ne fera pas la différence entre une copie mal rédigée et une copie bien rédigée, toutes les deux peuvent avoir 15/15."
(Ce qui n'a pas dû poser problème à tout le monde : comme un correcteur demandait à la ronde un avis sur un hors-sujet plein d'anachronismes, certains étaient pour aller jusqu'à 8/15 si c'était dans un français correct... )
_________________
Life is what happens to you while you're making other plans. John Lennon
Life is not governed by will or intention. Life is a question of nerves, and fibres, and slowly built-up cells in which thought hides itself and passion has its dreams. Oscar Wilde
Bien que femme, je me suis permis_ / demandé_ / rendu_ compte / fait_ désirer... etc._
- roxanneOracle
Je me demande si, tant qu'à faire, on ne ferait pas mieux de faire "sujet libre, remplissez deux pages "
- nitron83Niveau 1
A la question "Don Domenico a-t-il raison lorsqu'il dit "une nouvelle vie commence"?", réponse : "Non, car il est déjà né".... (réponse trouvée à deux reprises)
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