Page 3 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
- NestyaEsprit sacré
Alors, mes perles en français:
-Ce texte se passe entre 1900 et 1950 donc dans la 1ère moitié du XVème siècle.
-C'est un futur de l'indicatif à valeur de passé simple révolu
-les émigrés éprouvaient de la craignance.
-le froid avait congélisé nos os.
-Il accepta de nous émerger chez lui.
-mon père admirait les grade-ciels.
-on sait aujourd'hui que l'Amérique est un lieu envahi par les criminels et les pyromanes
Et puis, ils sont forts les émigrés qui viennent d'arriver à New York. On pourrait s'attendre à ce qu'ils cherchent un logement, un travail...
eh bien, non! Ils préfèrent faire du tourisme. J'ai eu des copies où ils décident d'aller visiter New York, la Maison Blanche, Las Vegas, les Rocheuses et le Canada! Tout ça lors de la même journée! Et bien sûr, ils vont au casino pour jouer au poker et gagner des...euros.
-Ce texte se passe entre 1900 et 1950 donc dans la 1ère moitié du XVème siècle.
-C'est un futur de l'indicatif à valeur de passé simple révolu
-les émigrés éprouvaient de la craignance.
-le froid avait congélisé nos os.
-Il accepta de nous émerger chez lui.
-mon père admirait les grade-ciels.
-on sait aujourd'hui que l'Amérique est un lieu envahi par les criminels et les pyromanes
Et puis, ils sont forts les émigrés qui viennent d'arriver à New York. On pourrait s'attendre à ce qu'ils cherchent un logement, un travail...
eh bien, non! Ils préfèrent faire du tourisme. J'ai eu des copies où ils décident d'aller visiter New York, la Maison Blanche, Las Vegas, les Rocheuses et le Canada! Tout ça lors de la même journée! Et bien sûr, ils vont au casino pour jouer au poker et gagner des...euros.
- SteredDoyen
Je suis déprimée...
1. Les questions :
- L'imparfait est utilisé pour narrater une action.
- Ellis Island est un camp de déportation.
- "oublierai" est au passé composé / imparfait / passé simple. Mais pas au futur, jamais au futur...
- L'emploie des deux temps est que ce n'est pas la même chose la terminaison change au passé simple. Ex : a, as, a, ans, ez, ant. C'est cela, oui...
- L'effet produite est chouquand pour le lecteur.
- Ils sont très émotivés par le voyage.
- Le continent où se passe l'histoire, c'est les crasseux.
- De façon générale, nos élèves confondent les émigrants européens du début du siècle avec les sans-papiers et nous expliquent donc la dureté du sort de clandestins, ce qui n'est pas du tout l'objet du texte.
2. La dictée :
- de grands dortoirs > de grands dortoirent, de grand doctoire, de grands dortiore
- paillasses > payasse, paiasse
- fenêtres > fenaître, fenêtrent
- s'entassaient > sans tacet, sans taser
- débarquaient > débarquet
- auraient > horait
- la plus belle pour la fin : les émigrants > les immigrants, les émmigrants, et surtout les amis grands !
3. La rédaction (sortez mouchoirs, résonnez trompettes...) :
- Qu'un porte cela ! Nous étions heureux !
- Nous étions éblouilles.
- Après une semaine, nous avions économisé assez pour pouvoir s'acheter un appartement. Ah, nos élèves et leur notion de l'argent...
- Notre vie et meilleur qu'avant.
- Les voitures clacçonnaient.
- Mon père ne parlait pas très bien l'Américaine, il se fessait recaler de tous les jobs. Ne rien dire, ne rien dire...
- Selon moi cette porte ne sont à ouvrir à tout le monde. Plaît-il ??
- En arrivant à New York, certaines personnes de la 3e classe étaient mortes dans les dortoires et mangés par les rats et les souris, il ne restaient plus que leur scellette.
- Nous avons dormi dans un park.
- Quand ils sont fini de s'être installés un homme appelé Maykel leur a fait visité la ville. Dans la majorité des copies, d'ailleurs, nos émigrants de 3e classe vont directement à l'hôtel, trois étoiles si possible, pour poser leurs affaires avant d'aller faire des visites touristiques et du shopping. Si, si.
- Ils se sont tous a bié. Relisez en le prononçant à voix haute. Vous voyez maintenant ?
- Il devait apprendre à écrire l'alphbet. Et ce n'est pas le seul !
- On était fatiguer trop marcher même si on était en taxi. Trop dure la vie... Et la syntaxe...
- Il vivait dans une cabane, un baingalot. Au moins a-t-il une salle de bain alors...
- Elle métrisser pas la langue. Voilà, voilà...
1. Les questions :
- L'imparfait est utilisé pour narrater une action.
- Ellis Island est un camp de déportation.
- "oublierai" est au passé composé / imparfait / passé simple. Mais pas au futur, jamais au futur...
- L'emploie des deux temps est que ce n'est pas la même chose la terminaison change au passé simple. Ex : a, as, a, ans, ez, ant. C'est cela, oui...
- L'effet produite est chouquand pour le lecteur.
- Ils sont très émotivés par le voyage.
- Le continent où se passe l'histoire, c'est les crasseux.
- De façon générale, nos élèves confondent les émigrants européens du début du siècle avec les sans-papiers et nous expliquent donc la dureté du sort de clandestins, ce qui n'est pas du tout l'objet du texte.
2. La dictée :
- de grands dortoirs > de grands dortoirent, de grand doctoire, de grands dortiore
- paillasses > payasse, paiasse
- fenêtres > fenaître, fenêtrent
- s'entassaient > sans tacet, sans taser
- débarquaient > débarquet
- auraient > horait
- la plus belle pour la fin : les émigrants > les immigrants, les émmigrants, et surtout les amis grands !
3. La rédaction (sortez mouchoirs, résonnez trompettes...) :
- Qu'un porte cela ! Nous étions heureux !
- Nous étions éblouilles.
- Après une semaine, nous avions économisé assez pour pouvoir s'acheter un appartement. Ah, nos élèves et leur notion de l'argent...
- Notre vie et meilleur qu'avant.
- Les voitures clacçonnaient.
- Mon père ne parlait pas très bien l'Américaine, il se fessait recaler de tous les jobs. Ne rien dire, ne rien dire...
- Selon moi cette porte ne sont à ouvrir à tout le monde. Plaît-il ??
- En arrivant à New York, certaines personnes de la 3e classe étaient mortes dans les dortoires et mangés par les rats et les souris, il ne restaient plus que leur scellette.
- Nous avons dormi dans un park.
- Quand ils sont fini de s'être installés un homme appelé Maykel leur a fait visité la ville. Dans la majorité des copies, d'ailleurs, nos émigrants de 3e classe vont directement à l'hôtel, trois étoiles si possible, pour poser leurs affaires avant d'aller faire des visites touristiques et du shopping. Si, si.
- Ils se sont tous a bié. Relisez en le prononçant à voix haute. Vous voyez maintenant ?
- Il devait apprendre à écrire l'alphbet. Et ce n'est pas le seul !
- On était fatiguer trop marcher même si on était en taxi. Trop dure la vie... Et la syntaxe...
- Il vivait dans une cabane, un baingalot. Au moins a-t-il une salle de bain alors...
- Elle métrisser pas la langue. Voilà, voilà...
- philannDoyen
à lire les erreurs relevées, je me demande si les élèves que tu as corrigés Stered, comprennent simplement ce qu'ils lisent ou disent eux-mêmes!!
_________________
2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- SteredDoyen
Honnêtement, sur le 2e paquet que j'ai fait, je pense que j'avais beaucoup de non-francophones... Il y a eu des copies auxquelles je n'ai RIEN compris. Et dont bien sûr la rédaction faisait quatre pages...
Mais je suis sur un bassin très mixte : collèges corrects d'un côté et très très durs de l'autre.
Mais je suis sur un bassin très mixte : collèges corrects d'un côté et très très durs de l'autre.
- CondorcetOracle
Nestya a écrit:Alors, mes perles en français:
-Ce texte se passe entre 1900 et 1950 donc dans la 1ère moitié du XVème siècle.
-C'est un futur de l'indicatif à valeur de passé simple révolu
-les émigrés éprouvaient de la craignance.
-le froid avait congélisé nos os.
-Il accepta de nous émerger chez lui.
-mon père admirait les grade-ciels.
-on sait aujourd'hui que l'Amérique est un lieu envahi par les criminels et les pyromanes
Et puis, ils sont forts les émigrés qui viennent d'arriver à New York. On pourrait s'attendre à ce qu'ils cherchent un logement, un travail...
eh bien, non! Ils préfèrent faire du tourisme. J'ai eu des copies où ils décident d'aller visiter New York, la Maison Blanche, Las Vegas, les Rocheuses et le Canada! Tout ça lors de la même journée! Et bien sûr, ils vont au casino pour jouer au poker et gagner des...euros.
- Vous regardez trop la télé, bonsoir !
- Retour vers le futur !
- Abuser de la langue, ça craint !
- Apparemment, la congélation menaçait aussi le cortex.
- Émarger chez un propriétaire, un vieux rêve.
- Il a pris du grade depuis !
- Quel pays de gangsters !
- ThalieGrand sage
Même constat ici dans le Sud dans 90% des copies, les crasseux se précipitent dans un hôtel de luxe et font le tour de la ville pour la visiter.
Sur 31, un seul élève avait dû travailler sur E.I. car il décrivait très précisément le sort des émigrants une fois descendus du bateau et qui plus est la copie était bien écrite avec des descriptions très détaillées des lieux qui donnaient de l'assise à son texte.
Une autre se perdait à nouveau dans les incohérences mais au moins toute la première page évoquait les sentiments et les émotions des personnages.
Pour les 29 autres, une narration de niveau primaire avec des actions qui s'enchaînent et se répètent, voire piétinent. Aucun sentiment, aucune émotion, aucune description un tant soit peu écrite. Une langue ultra pauvre, bourrée de fautes d'orthographe, mélange passé/présent permanent.
Avec tout cela, une lecture plus que légère du texte. La narratrice est une vieille dame au moment de son arrivée à NY ou elle est accompagnée de Don Salvatore et de Don Giorgio. Pour d'autres, c'est une enfant qui est avec ses parents. Pour un autre, elle a un fils qui devient un virtuose de la musique et devient célèbre.
Ils évoquent souvent les deux guerres mondiales alors que le sujet précisait bien que cela se déroulait au début du XXe s.
J'ai eu un mal fou cette année à corriger ces rédactions, je n'en pouvais plus et j'ai fini avec des maux de tête...
Sur 31, un seul élève avait dû travailler sur E.I. car il décrivait très précisément le sort des émigrants une fois descendus du bateau et qui plus est la copie était bien écrite avec des descriptions très détaillées des lieux qui donnaient de l'assise à son texte.
Une autre se perdait à nouveau dans les incohérences mais au moins toute la première page évoquait les sentiments et les émotions des personnages.
Pour les 29 autres, une narration de niveau primaire avec des actions qui s'enchaînent et se répètent, voire piétinent. Aucun sentiment, aucune émotion, aucune description un tant soit peu écrite. Une langue ultra pauvre, bourrée de fautes d'orthographe, mélange passé/présent permanent.
Avec tout cela, une lecture plus que légère du texte. La narratrice est une vieille dame au moment de son arrivée à NY ou elle est accompagnée de Don Salvatore et de Don Giorgio. Pour d'autres, c'est une enfant qui est avec ses parents. Pour un autre, elle a un fils qui devient un virtuose de la musique et devient célèbre.
Ils évoquent souvent les deux guerres mondiales alors que le sujet précisait bien que cela se déroulait au début du XXe s.
J'ai eu un mal fou cette année à corriger ces rédactions, je n'en pouvais plus et j'ai fini avec des maux de tête...
- LoreleiiNeoprof expérimenté
Moi aussi, ils ont des euros!
L'histoire se déroule pendant la deuxième guerre mondiale et ces italiens ont fuit le fascisme!
Et nos "crasseux" achètent une maison dès le premier jour avec l'argent qu'ils avaient économisé en Italie !!
Beaucoup de dictées à 0 ou 2 ...
Beaucoup de réécritures qui n'ont que 2 ...
Une des rédacs (sujet 2) que ne suis pas parvenue à comprendre (même un peu...) !
Beaucoup de copies avec une écriture très difficile à lire.
Bref, pas terrible. Sauf une rédac : 14/ 15
L'histoire se déroule pendant la deuxième guerre mondiale et ces italiens ont fuit le fascisme!
Et nos "crasseux" achètent une maison dès le premier jour avec l'argent qu'ils avaient économisé en Italie !!
Beaucoup de dictées à 0 ou 2 ...
Beaucoup de réécritures qui n'ont que 2 ...
Une des rédacs (sujet 2) que ne suis pas parvenue à comprendre (même un peu...) !
Beaucoup de copies avec une écriture très difficile à lire.
Bref, pas terrible. Sauf une rédac : 14/ 15
- NestyaEsprit sacré
Dans une copie, ils fuient l'Europe envahie par les nazis qui torturent tous ceux qui traînent dans la rue.Loreleii a écrit:
L'histoire se déroule pendant la deuxième guerre mondiale et ces italiens ont fuit le fascisme!
Et je ne sais pas pour vous mais l'Amérique semble être un vrai Eldorado. Les émigrés ont à peine débarqué que de parfaits inconnus leur donnent des enveloppes pleines de billets par pure gentillesse.
Ah oui, et aussi, on trouve des centaines d'euros sous les matelas dans les hôtels!
- NestyaEsprit sacré
:lol!:PaoloSarpi a écrit:Nestya a écrit:Alors, mes perles en français:
-Ce texte se passe entre 1900 et 1950 donc dans la 1ère moitié du XVème siècle.
-C'est un futur de l'indicatif à valeur de passé simple révolu
-les émigrés éprouvaient de la craignance.
-le froid avait congélisé nos os.
-Il accepta de nous émerger chez lui.
-mon père admirait les grade-ciels.
-on sait aujourd'hui que l'Amérique est un lieu envahi par les criminels et les pyromanes
Et puis, ils sont forts les émigrés qui viennent d'arriver à New York. On pourrait s'attendre à ce qu'ils cherchent un logement, un travail...
eh bien, non! Ils préfèrent faire du tourisme. J'ai eu des copies où ils décident d'aller visiter New York, la Maison Blanche, Las Vegas, les Rocheuses et le Canada! Tout ça lors de la même journée! Et bien sûr, ils vont au casino pour jouer au poker et gagner des...euros.
- Vous regardez trop la télé, bonsoir !
- Retour vers le futur !
- Abuser de la langue, ça craint !
- Apparemment, la congélation menaçait aussi le cortex.
- Émarger chez un propriétaire, un vieux rêve.
- Il a pris du grade depuis !
- Quel pays de gangsters !
- fabecbenNiveau 5
et dans deux ans, porca miseria, ils feront des sujets d'invention géniaux au bac ! Mais les correcteurs, ces fdp comme dit dans un autre fil,Thalie a écrit:Même constat ici dans le Sud dans 90% des copies, les crasseux se précipitent dans un hôtel de luxe et font le tour de la ville pour la visiter.
Sur 31, un seul élève avait dû travailler sur E.I. car il décrivait très précisément le sort des émigrants une fois descendus du bateau et qui plus est la copie était bien écrite avec des descriptions très détaillées des lieux qui donnaient de l'assise à son texte.
Une autre se perdait à nouveau dans les incohérences mais au moins toute la première page évoquait les sentiments et les émotions des personnages.
Pour les 29 autres, une narration de niveau primaire avec des actions qui s'enchaînent et se répètent, voire piétinent. Aucun sentiment, aucune émotion, aucune description un tant soit peu écrite. Une langue ultra pauvre, bourrée de fautes d'orthographe, mélange passé/présent permanent.
Avec tout cela, une lecture plus que légère du texte. La narratrice est une vieille dame au moment de son arrivée à NY ou elle est accompagnée de Don Salvatore et de Don Giorgio. Pour d'autres, c'est une enfant qui est avec ses parents. Pour un autre, elle a un fils qui devient un virtuose de la musique et devient célèbre.
Ils évoquent souvent les deux guerres mondiales alors que le sujet précisait bien que cela se déroulait au début du XXe s.
J'ai eu un mal fou cette année à corriger ces rédactions, je n'en pouvais plus et j'ai fini avec des maux de tête...
- LoreleiiNeoprof expérimenté
Ah, j'ai oublié : la narratrice meurt au bout de quelques jours, de maladie !
Donc, si on comprend bien, c'est donc un fantôme qui raconte l'arrivée à NY !!!!
Donc, si on comprend bien, c'est donc un fantôme qui raconte l'arrivée à NY !!!!
- Roumégueur IerÉrudit
Allez, à mon tour, attention j'ai eu du lourd (entre parenthèses, mes réactions):
Compréhension :
-Question 1 : le continent c'est l'océan Atlantique / C'est le continent de New York
- question 5a : 'La remarque que je peux faire ces des mots qu'ont utilise pas trop dans la vie de tous les jours' (tu m'étonnes...)
- question 6 : Ils fuient l'Italie à cause du racisme ou de la guerre froide
Rédactions :
- la classique : la narratrice a des enfants (déjà!)
- 'Pendant la visite de New York, nous vîmes Dark Vador qui jouait dans Starwars' (quelle chance!)
- Les émigrants sont accueillis comme par enchantement par une célèbre actrice qui les loge dans sa maison de rêve, mais à la fin ils se brouillent car la famille ayant invité l'actrice a le malheur de lui servir du poisson : 'C'est un plat pour les bons rien' leur dit-elle.
- Le père gagne très rapidement 1 000 000 000 de dollars au loto (si, si, un milliard), il achète 'une porche, une audi, une ferrari ainsi qu'une carrera.
- la ville est dangereuse à cause des trafics de drogue, la famille mange beaucoup de frites, un aliment que l'on vient de découvrir, mais au bout d'une semaine de ce régime, ils se lassent et décident de passer aux boîtes de conserve.
- extrait d'une scène de liesse : 'Les personnes descendirent ainsi que le capitaine, accablaient par la foule. (Tu voulais dire 'Acclamés', non, petit être?). Les gens se serraient la main, les femmes se firent la bize, les chiens aboiyaient, les chats miollaient (c'est l'arche de Noé ton rafiot!)'. La suite de cette histoire : la fête est interrompue par un orage, une fille en sang frappe à la porte d'un homme et lui explique la situation : 'Il y a des hommes avec des haches, des sabres, des fusilles, et pleins d'autres choses encor. Ils ont dit qu'ils cherchaient quelque chose : c'est petit et c'est jaune (Un canari?),je pense que c'est de l'or'. (Ahhh, ok, la ruée vers l'or à NY!). L'homme tente alors de calmer les 'hommes guerriers' mais 30 minutes plus tard il entend un gros boom : une bombe a détruit toute la ville et les voilà qui errent entre les cadavres et les trous de cratère. Là j'ai pris un Doliprane.
Voilà, voilà, heureusement, le reste était plus acceptable!
Compréhension :
-Question 1 : le continent c'est l'océan Atlantique / C'est le continent de New York
- question 5a : 'La remarque que je peux faire ces des mots qu'ont utilise pas trop dans la vie de tous les jours' (tu m'étonnes...)
- question 6 : Ils fuient l'Italie à cause du racisme ou de la guerre froide
Rédactions :
- la classique : la narratrice a des enfants (déjà!)
- 'Pendant la visite de New York, nous vîmes Dark Vador qui jouait dans Starwars' (quelle chance!)
- Les émigrants sont accueillis comme par enchantement par une célèbre actrice qui les loge dans sa maison de rêve, mais à la fin ils se brouillent car la famille ayant invité l'actrice a le malheur de lui servir du poisson : 'C'est un plat pour les bons rien' leur dit-elle.
- Le père gagne très rapidement 1 000 000 000 de dollars au loto (si, si, un milliard), il achète 'une porche, une audi, une ferrari ainsi qu'une carrera.
- la ville est dangereuse à cause des trafics de drogue, la famille mange beaucoup de frites, un aliment que l'on vient de découvrir, mais au bout d'une semaine de ce régime, ils se lassent et décident de passer aux boîtes de conserve.
- extrait d'une scène de liesse : 'Les personnes descendirent ainsi que le capitaine, accablaient par la foule. (Tu voulais dire 'Acclamés', non, petit être?). Les gens se serraient la main, les femmes se firent la bize, les chiens aboiyaient, les chats miollaient (c'est l'arche de Noé ton rafiot!)'. La suite de cette histoire : la fête est interrompue par un orage, une fille en sang frappe à la porte d'un homme et lui explique la situation : 'Il y a des hommes avec des haches, des sabres, des fusilles, et pleins d'autres choses encor. Ils ont dit qu'ils cherchaient quelque chose : c'est petit et c'est jaune (Un canari?),je pense que c'est de l'or'. (Ahhh, ok, la ruée vers l'or à NY!). L'homme tente alors de calmer les 'hommes guerriers' mais 30 minutes plus tard il entend un gros boom : une bombe a détruit toute la ville et les voilà qui errent entre les cadavres et les trous de cratère. Là j'ai pris un Doliprane.
Voilà, voilà, heureusement, le reste était plus acceptable!
- DicloniaExpert
Bonsoir !
A mon tour !
Pour les rédactions :
Les arrivants ont droit à de l'argent : 250 dollars par personne, le 2è jour, ils s'achètent des maisons, ouvrent leur resto, etc., sont hébergés par des dames gentilles...
Beaucoup ne sont là que pour visiter, ensuite, ils rentrent chez eux...
Ils s'émerveillent devant "tant de luxure" !
A l'arrivée, après le contrôle médical, on les déshabille, ils prennent une douche froide, dans une salle fermée, sans fenêtre, qui sent pas bon, on les essuie avec des chiffons qui sentent le "chloroforme", on les renvoie en camion en Italie...
Questions-orth :
5) Ces deux phrases sont toutes les 2 construitent de manière la plus complétive qu'il soit. (sic)
Cela produit un effet de description mais sans action pour chacune d'elle; ça provoque l'incompréhension du lecteur.
3a) Pour les sentiments des voyageurs : D'abord, ils sont "craignants", et ensuite, ils deviennent "espérants."
dictée : Des paillassons super-posés.
Et beaucoup trop d'autres pour beaucoup trop de copies...
A mon tour !
Pour les rédactions :
Les arrivants ont droit à de l'argent : 250 dollars par personne, le 2è jour, ils s'achètent des maisons, ouvrent leur resto, etc., sont hébergés par des dames gentilles...
Beaucoup ne sont là que pour visiter, ensuite, ils rentrent chez eux...
Ils s'émerveillent devant "tant de luxure" !
A l'arrivée, après le contrôle médical, on les déshabille, ils prennent une douche froide, dans une salle fermée, sans fenêtre, qui sent pas bon, on les essuie avec des chiffons qui sentent le "chloroforme", on les renvoie en camion en Italie...
Questions-orth :
5) Ces deux phrases sont toutes les 2 construitent de manière la plus complétive qu'il soit. (sic)
Cela produit un effet de description mais sans action pour chacune d'elle; ça provoque l'incompréhension du lecteur.
3a) Pour les sentiments des voyageurs : D'abord, ils sont "craignants", et ensuite, ils deviennent "espérants."
dictée : Des paillassons super-posés.
Et beaucoup trop d'autres pour beaucoup trop de copies...
- BrooklynNiveau 3
Je retiendrai pour ma part une rédaction :
- Les personnages descendent du bateau et ils se dirigent vers Hollywood pour " rencontrer des stars"
- Puis ils embarquent pour Miami où ils vont faire la fête au bord d'une piscine
- Enfin, ils terminent à Las Vegas, "ville que je nommerais la ville des Lumières"
" Et mince, le voyage est fini, c'est passé trop vite."
Je pense que je n'ai jamais lu une rédaction aussi grotesque.
- Les personnages descendent du bateau et ils se dirigent vers Hollywood pour " rencontrer des stars"
- Puis ils embarquent pour Miami où ils vont faire la fête au bord d'une piscine
- Enfin, ils terminent à Las Vegas, "ville que je nommerais la ville des Lumières"
" Et mince, le voyage est fini, c'est passé trop vite."
Je pense que je n'ai jamais lu une rédaction aussi grotesque.
- fabecbenNiveau 5
Brooklyn a écrit:Je retiendrai pour ma part une rédaction :
- Les personnages descendent du bateau et ils se dirigent vers Hollywood pour " rencontrer des stars"
- Puis ils embarquent pour Miami où ils vont faire la fête au bord d'une piscine
- Enfin, ils terminent à Las Vegas, "ville que je nommerais la ville des Lumières"
" Et mince, le voyage est fini, c'est passé trop vite."
Je pense que je n'ai jamais lu une rédaction aussi grotesque.
ça fait très "horizon culturel W9"... y a une émission, dont j'ai oublié le titre, du genre "les Chtis" (comprendre les beaufs) à Miami ou les Marseillais à Las Vegas... J'en ai vu quelques extraits au zapping, c'est à pleurer. Et ça vien contaminer le brevet... !
- MargotierNiveau 5
- un fan de Céline Dion avec un beau "spairposé" dans la dictée.
- pour la question avec les phrases nominales, un élève a noté qu'il s'agissait d'alexandrins (et qu'ils rimaient).
- 3 élèves ont quand même indiqué que les crasseux désignaient des noirs (mais un a précisé que ça se faisait pas trop quand même de dire ça).
- et les rédactions.... entre les hôtels de luxe avec domestiques en costumes, les hamburgers pris au McDo, les petits détours par les tours jumelles et la statue de la liberté, la mamie qui passe ses vacances à New York en 1998 (ben oui, on est au XXème siècle...) mais qui finalement trouve ça naze alors elle rentre illico à Naples, les italiens qui planquent leurs francs dans leur sac-à-dos, la gagnante au loto qui s'achète villa avec piscine, une page de journal intime et une lettre écrite à Je-ne-sais-qui, et bien... et bien.
- pour la question avec les phrases nominales, un élève a noté qu'il s'agissait d'alexandrins (et qu'ils rimaient).
- 3 élèves ont quand même indiqué que les crasseux désignaient des noirs (mais un a précisé que ça se faisait pas trop quand même de dire ça).
- et les rédactions.... entre les hôtels de luxe avec domestiques en costumes, les hamburgers pris au McDo, les petits détours par les tours jumelles et la statue de la liberté, la mamie qui passe ses vacances à New York en 1998 (ben oui, on est au XXème siècle...) mais qui finalement trouve ça naze alors elle rentre illico à Naples, les italiens qui planquent leurs francs dans leur sac-à-dos, la gagnante au loto qui s'achète villa avec piscine, une page de journal intime et une lettre écrite à Je-ne-sais-qui, et bien... et bien.
- cariboucGuide spirituel
Ma contribution :
Pour les questions :
- Il n' y a pas de verbes. Les seuls verbes conjugués sont compléments du nom
- Dans ces 2 phrases, il y a un rimes. ensuite il y a un chiasme.
- D'après ma culture personnelle, les Etats-Unis est peut être la prémier puissance mondiale, mais c'est pas facille là-bas y'as de endroits vraiments pauvres au états-unis et il y'a encore aussi Beaucoup de Racisme. pfiouuuu
- Le lecteur va utilisé une ponctuation et une lecture plus poétique.
-Domenico n'a pas raison en murmurant "La vie comence" car sa vie a déjà commencé. (ah, ça !)
Peu de perles en rédacs, tellement c''était nul, mais tout de même :
- Le maire de la ville nous offris plus de mille briques de soupe (+ description détaillée du menu : soupe aux carottes ou aux poireaux, pommes ou bananes :lol: )
Et un collègue a eu droit au récit du suicide de la narratrice quand elle était jeune
Pour les questions :
- Il n' y a pas de verbes. Les seuls verbes conjugués sont compléments du nom
- Dans ces 2 phrases, il y a un rimes. ensuite il y a un chiasme.
- D'après ma culture personnelle, les Etats-Unis est peut être la prémier puissance mondiale, mais c'est pas facille là-bas y'as de endroits vraiments pauvres au états-unis et il y'a encore aussi Beaucoup de Racisme. pfiouuuu
- Le lecteur va utilisé une ponctuation et une lecture plus poétique.
-Domenico n'a pas raison en murmurant "La vie comence" car sa vie a déjà commencé. (ah, ça !)
Peu de perles en rédacs, tellement c''était nul, mais tout de même :
- Le maire de la ville nous offris plus de mille briques de soupe (+ description détaillée du menu : soupe aux carottes ou aux poireaux, pommes ou bananes :lol: )
Et un collègue a eu droit au récit du suicide de la narratrice quand elle était jeune
_________________
"J'adore parler de rien : c'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances" (O. Wilde)
- philannDoyen
caribouc a écrit:
Et un collègue a eu droit au récit du suicide de la narratrice quand elle était jeune
[Pleure de rires] et j'ai recraché ma gorgée d'eau C'est malin!! :lol:
- cariboucGuide spirituel
:lol!: Je me suis bien marrée aussi (et d'ailleurs, lui aussi... il poussait des "pfff" de désespoir mais là, ça lui a fait du bien )
_________________
"J'adore parler de rien : c'est le seul domaine où j'ai de vagues connaissances" (O. Wilde)
- JPhMMDemi-dieu
C'est beau, on dirait du Lovecraft.caribouc a écrit:Et un collègue a eu droit au récit du suicide de la narratrice quand elle était jeune
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- User5899Demi-dieu
caribouc a écrit:- Le maire de la ville, Andy Warhol, nous offris plus de mille briques de soupe (+ description détaillée du menu : soupe aux carottes ou aux poireaux, pommes ou bananes :lol:)
- LoreleiiNeoprof expérimenté
J'ai eu droit à une rédac sans aucune ponctuation !!!
- roxanneOracle
En même temps, ils ont une rédac sans consigne, si ce n'est la longueur .Et la vie à New-York dans les années 50, c'est l'inconnu.
- CircéExpert
La seule question de grammaire:
"L'auteur aurait quand même pu mettre une virgule entre les deux phrases."
... et je suppose que l'élève a tenté de faire une personnification avec "les pieds indécis qui hésitaient à se poser sur le sol..."
"L'auteur aurait quand même pu mettre une virgule entre les deux phrases."
... et je suppose que l'élève a tenté de faire une personnification avec "les pieds indécis qui hésitaient à se poser sur le sol..."
- henrietteMédiateur
Circé a écrit:La seule question de grammaire:
"L'auteur aurait quand même pu mettre une virgule entre les deux phrases."
... et je suppose que l'élève a tenté de faire une personnification avec "les pieds indécis qui hésitaient à se poser sur le sol..."
C'est rien moins qu'un hypallage, ma bonne dame !
- LoraNeoprof expérimenté
Ah, ça doit être l'élève dont j'ai été la secrétaire.Loreleii a écrit:J'ai eu droit à une rédac sans aucune ponctuation !!!
Page 3 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum