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- philannDoyen
Dans la série: changements à l'Université.
Le Sénat a adopté dans sa séance du 21 juin(articles additionnels à l'article 43bis), contre l'avis du Gouvernement, un amendement n°6 du groupe écologiste visant à la suppression pure et simple de l'actuel article L. 952-6 du code de l’éducation. Celui-ci prescrivait que " la qualification des enseignants-chercheurs est reconnue par une instance nationale.".
Articles sur le sujet:
Gaïa Universitas
article de Serge Slama
Le Sénat a adopté dans sa séance du 21 juin(articles additionnels à l'article 43bis), contre l'avis du Gouvernement, un amendement n°6 du groupe écologiste visant à la suppression pure et simple de l'actuel article L. 952-6 du code de l’éducation. Celui-ci prescrivait que " la qualification des enseignants-chercheurs est reconnue par une instance nationale.".
Articles sur le sujet:
Gaïa Universitas
article de Serge Slama
- CondorcetOracle
- philannDoyen
Oui j'ai préféré distingué les sujets, car même s'ils sont liés...cette suppression est d'une autre portée!!
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- CondorcetOracle
Une immense lassitude m'a saisi cette année : elle ne découle pas uniquement de revers de fortune personnels (même s'ils y ont puissamment contribué) mais de l'échec de combats idéologiques au long cours. L'effondrement complet des humanités à l'université n'est désormais plus qu'une question de temps à moins d'un ultime et vigoureux sursaut. Les hordes serrées de l'utilitarisme déferlent sur des formations qui, à coût d'injonctions comptables et culpabilisantes qui, brandissant le benchmarking comme seul horizon d'attente. Même lorsque leur propre objet d'étude est menacé, les universitaires seraient-ils incapables de le défendre ? Lorsque l'audiovisuel public grec a cessé d'émettre à l'instigation du gouvernement, aucun historien des médias français n'a élevé sa voix pour dénoncer cette violation flagrante de l'Etat de droit. Mais où sont donc les intellectuels dans ce pays ? Laissera-t-on de la même façon porter atteinte au recrutement national des enseignants-chercheurs ? Où cela va-t-il s'arrêter ?
- barègesÉrudit
Pour la disparition de la qualification : je n'y crois pas. On dirait plutôt une boulette d'une assemblée vide.
Ce qui est aussi inquiétant sur le fonctionnement des institutions, d'ailleurs.
Ce qui est aussi inquiétant sur le fonctionnement des institutions, d'ailleurs.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
John a posté dans l'autre fil la précision d'une sénatrice "verte" elle-même universitaire:
Je ne sais pas si c'est rassurant (car elle admet que c'est une erreur) ou inquiétant (son manque d'implication dans le débat sur cette loi est quand même étrange).
John a écrit:Mise au point de la sénatrice EELV Esther Benbassa :
La suppression pure et simple, sans contrepartie, de la procédure de qualification était une erreur.
Membre et vice-présidente de la Commission des Lois (et non de la Commission de la culture, de l'éducation et de la communication), je n'étais pas chef de file du groupe écologiste sur ce dossier. J'ai livré mon diagnostic dans les trois minutes de temps de parole qui m'ont été accordées dans la discussion générale (http://estherbenbassa.eelv.fr/lintervention-desther-benbassa-sur-le-projet-de-loi-enseignement-superieur-et-recherche-19-juin-2013/). Je n'étais pas présente dans l'hémicycle lorsque l'amendement contesté a été débattu. J'ai fait confiance à mes collègues EELV qui se sont occupés de près de ce projet de loi. Je n'étais moi qu'une cerise sur le gâteau.
L'amendement contesté était un amendement dit d'appel, destiné à attirer l'attention sur certains dysfonctionnements du CNU (ces dysfonctionnements existent, tout le monde le sait). Il semble avoir été voté à la surprise générale, par une assemblée fort clairsemée, au terme de plusieurs jours d'un débat épuisant. Le CNU réapparaît pourtant dans un autre article du même texte de loi. Ce qui permettrait probablement de rétablir la procédure de qualification en invoquant la contradiction.
En tout état de cause, je suis convaincue, comme nombre d'enseignants-chercheurs, que le localisme et le clientélisme sont, à l'Université, de véritables fléaux. Force est d'ailleurs de reconnaître, d'une part, que la procédure de qualification elle-même n'a jamais pu les éradiquer, et, d'autre part, que les établissements d'enseignement supérieur qui, statutairement, n'ont pas à passer par cette procédure, réussissent parfois, malgré tout, à recruter dans la justice. Les mauvaises pratiques et les vieilles habitudes ont hélas souvent raison des dispositifs les mieux pensés. Inversement, et c'est heureux, une bonne pratique peut parfois s'imposer en l'absence même de tels dispositifs. En aucun cas, cependant, on ne saurait se contenter, pour recruter, de l'avis d'un jury de thèse ou d'habilitation.
La Commission Mixte Paritaire, où je ne siègerai pas, devrait pouvoir revenir, mercredi, sur cette suppression de la procédure de qualification. Quoi qu'il en soit, dès lundi, je ferai de mon mieux pour négocier un retour, sur ce point, à la version du texte votée à l'Assemblée nationale, laquelle n'avait pas touché à la procédure de qualification.
La suppression de la procédure de qualification n'est en effet envisageable qu'à la condition que soient mis en place des filtres alternatifs, garants d'une authentique équité. Ce qui n'a pas été fait. Il convient donc bien de corriger cette bévue. Je m'y appliquerai dans la mesure de mes possibilités.
Bien cordialement,
Esther Benbassa
Je ne sais pas si c'est rassurant (car elle admet que c'est une erreur) ou inquiétant (son manque d'implication dans le débat sur cette loi est quand même étrange).
- philannDoyen
Communiqué du bureau de la CP CNU , 22 juin 2013Le bureau de la CP- CNU est scandalisé par le vote au Sénat d’un amendement visant à supprimer la qualification nationale aux fonctions de maître de conférences et de professeur d’université, et tient à réaffirmer son attachement à cette procédure.Le bureau de la CP CNU
Depuis plusieurs décennies , le Conseil National des Universités (CNU) a en charge la « qualification », procédure autorisant les titulaires d’un doctorat ou d’une habilitation à diriger les recherches (HDR) à se présenter sur des postes d’enseignants - chercheurs (Maître de conférence ou Professeur ). Intervenant après l’obtention d’un diplôme de haut niveau, elle est une étape nationale préalable à un éventuel recrutement par les établissements universitaires, en tant que fonctionnaire d'Etat.
La qualification est présentée par les partisans de sa suppression comme une procédure redondante et coûteuse, qui dupliquerait une évaluation scientifique déjà réalisé e par les jurys de soutenance et représenterait un coût élevé dans le budget de l’enseignement supérieur à u n moment où un effort important de réduction des déficits publics est entrepris en France.
La Commission permanente du CNU (CP - CNU) estime que cette décision prise sans aucune concertation avec la communauté universitaire , porte gravement atteinte à la qu alité du recrutement des enseignants - chercheurs en France et au caractère national de leur statut .
La CP-CNU s'inscrit de plus en faux contre les arguments avancés. La qualification, contrairement à la soutenance du diplôme, constitue une évaluation de l’ensemble des activités scientifiques, pédagogiques et administratives de tous ceux qui souhaitent embrasser le métier d’enseignant - chercheur. La qualification est peu coûteuse et sa suppression entraînera un recrutement uniquement basé sur des critères locaux et propres à chaque établissement, mais également un accroissement massif du nombre de candidats se présentant sur chaque poste , dont le coût de traitement serait inéluctablement plus élevé et supporté par les universités.
Les universitaires voient dans le CNU un véritable contrepoids aux pratiques locales. Les décisions de cette instance ne sont que très rarement contestées car elles sont prises collégialement après un débat contradictoire , selon des critères disponibles sur le site du CNU pour assurer la transparence du dispositif.
Les sections CNU ont aussi une fonction de veille scientifique : de par leur empan national, la pluralité de leurs représentants et leur renouvellement régulier, elles constituent un observatoire , à même d’apprécier les évolutions disciplinaires et garant des libertés académiques. Tout e « régionalisation » ou « localisation » de la procédure aurait donc pour conséquence, non seulement l’inégalité de traitement, mais la disparition d’une politique scientifique nationale.
Lors de consultations dans le cadre des Assises de l'ESR, et par des motions spontanées au printemps dernier, les sections CNU se sont prononcées à une très large majorité pour le maintien de la qualification par l'instance nationale qu'est le CNU.
Par ce texte, nous appelons à la mobilisation de tous les enseignants-chercheurs et de tous les établissements pour que soit maintenue la qualification, gage d’un recrutement de qualité dans l’enseignement supérieur et condition essentielle pour la préservation du statut national des enseignants - chercheurs et de la recherche universitaire publique.
Nous exhortons les parlementaires de la Commission Mixte Paritaire à supprimer cet amendement.
Commission Permanente du CNU, MESR, 72-76 rue Regnault, 75243 Paris cédex 13
Source : [url=http://www.cpcnu.fr/documents/36459/259740/Communiqu%C3%A9 du bureau CP-CNU sur l%27amendement pr%C3%A9voyant la suppression de la qualification][Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
[url=http://www.cpcnu.fr/documents/36459/259740/Communiqu%C3%A9 du bureau CP-CNU sur l%27amendement pr%C3%A9voyant la suppression de la qualification][/url]
- philannDoyen
J'aime bien Benbassa, enfin ses bouquins...mais je trouve sa mise au point plutôt inquiétante.
T'as l'impression de petits n'enfants auxquels on aurait donné pour jouer de la nitroglycérine plutôt que de la pâte à modeler!
T'as l'impression de petits n'enfants auxquels on aurait donné pour jouer de la nitroglycérine plutôt que de la pâte à modeler!
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- Collier de BarbeNeoprof expérimenté
Énorme déception sur E. Benbassa
Elle connait nos problèmes mais ne propose aucune solution.
Elle avoue tranquillement qu'elle n'a pas fait son boulot.
N'importe quoi.
Elle connait nos problèmes mais ne propose aucune solution.
Elle avoue tranquillement qu'elle n'a pas fait son boulot.
N'importe quoi.
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CdB
@AbbeCordillere
- OlympiasProphète
Collier de Barbe a écrit:Énorme déception sur E. Benbassa
Elle connait nos problèmes mais ne propose aucune solution.
Elle avoue tranquillement qu'elle n'a pas fait son boulot.
N'importe quoi.
Je la connais très bien, ça me déçoit un peu.
- CondorcetOracle
- User5899Demi-dieu
Je ris à gorge déployée.
Attendons le bal des Tartuffe vertueux, maintenant
Attendons le bal des Tartuffe vertueux, maintenant
- philannDoyen
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Allez Cripure...pour le plaisir!!
et pour faire bonne mesure:
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Le CNU n'évite ni les magouilles ni le localisme mais sans ce sera pire encore...à moins que nous n'adoptions les modes de recrutement de certains pays: 2-3 jours d'audition avec réunions, séminaires devant collègues, étudiants, etc... prise en charge des frais des candidats par les universités recrutantes etc...
MAIS en l'état actuel d'investissement ZERO pour l'enseignement et la recherche...je préfère le CNU à...rien. :|
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Philann
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- User5899Demi-dieu
Non, non, non
J'attends le chœur des pleureuses
J'attends le chœur des pleureuses
- User5899Demi-dieu
Moi ? De classer EELV en ligue dissoute, déjà. Ensuite, de créer un système d'affectation en fac qui soit national, les facs décrivant leurs besoins, le ministère tâchant d'y pourvoir. Chaque fois qu'on éloigne la décision de ceux qui vont l'appliquer, c'est un progrès à mon sens. Mais actuellement, je me propose surtout de continuer à voir se dissoudre l'université française dans la nullité linéaire et concaténée de Pécresse et Fioraso.PaoloSarpi a écrit:Que proposez-vous ?
- CondorcetOracle
Cripure a écrit:Moi ? De classer EELV en ligue dissoute, déjà. Ensuite, de créer un système d'affectation en fac qui soit national, les facs décrivant leurs besoins, le ministère tâchant d'y pourvoir. Chaque fois qu'on éloigne la décision de ceux qui vont l'appliquer, c'est un progrès à mon sens. Mais actuellement, je me propose surtout de continuer à voir se dissoudre l'université française dans la nullité linéaire et concaténée de Pécresse et Fioraso.PaoloSarpi a écrit:Que proposez-vous ?
Je suis bien d'accord. Pour le reste, je suis plus réservé quant à l'opportunité sinon la légitimité de telles mesures.
- philannDoyen
Cripure a écrit:Moi ? De classer EELV en ligue dissoute, déjà. Ensuite, de créer un système d'affectation en fac qui soit national, les facs décrivant leurs besoins, le ministère tâchant d'y pourvoir. Chaque fois qu'on éloigne la décision de ceux qui vont l'appliquer, c'est un progrès à mon sens. Mais actuellement, je me propose surtout de continuer à voir se dissoudre l'université française dans la nullité linéaire et concaténée de Pécresse et Fioraso.PaoloSarpi a écrit:Que proposez-vous ?
Je crains que vous n'ayez raison et que bientôt la seule chose envisageable sérieusement soit l'exil!
Devenir EC devient quasi-impossible, et ceux qui le deviennent prennent du Xanax pour supporter de faire tout sauf de la recherche et de l'enseignement!
Mais qd même...
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- barègesÉrudit
Je me dis souvent que ce qui paraît insupportable aux précaires ou aux prétendants à un poste l'est beaucoup moins vu de l'autre côté.
Et que je vois les choses plus noires qu'elles ne sont parce que vu de l'extérieur, et sans avoir évidemment de pouvoir sur rien, on voit la situation par la lorgnette de ceux qui subissent.
Par exemple sur les services prêtés aux ATER, vacataires ou "contractuels LRU"... Le boulot d'enseignement est fait, malgré tout, par des gens motivés et contents d'être là pour le temps où ils y sont, et il y a des changements réguliers qui, qui sait, donnent de l'air aux équipes ; une nouvelle tête tous les ans, tous les deux ou trois ans, ce n'est en rien catastrophique, finalement.
Que ressentent les gens en place ? réellement en place ?
Et que je vois les choses plus noires qu'elles ne sont parce que vu de l'extérieur, et sans avoir évidemment de pouvoir sur rien, on voit la situation par la lorgnette de ceux qui subissent.
Par exemple sur les services prêtés aux ATER, vacataires ou "contractuels LRU"... Le boulot d'enseignement est fait, malgré tout, par des gens motivés et contents d'être là pour le temps où ils y sont, et il y a des changements réguliers qui, qui sait, donnent de l'air aux équipes ; une nouvelle tête tous les ans, tous les deux ou trois ans, ce n'est en rien catastrophique, finalement.
Que ressentent les gens en place ? réellement en place ?
- CondorcetOracle
Tu ne vois pas les choses plus noires qu'elles ne le sont : j'apprécie au contraire ton objectivité et ta largeur de vue.
- User5899Demi-dieu
Pour EELV ? Sans doute mais Hollande doit y rêver secrètement.PaoloSarpi a écrit:Cripure a écrit:
Moi ? De classer EELV en ligue dissoute, déjà. Ensuite, de créer un système d'affectation en fac qui soit national, les facs décrivant leurs besoins, le ministère tâchant d'y pourvoir. Chaque fois qu'on éloigne la décision de ceux qui vont l'appliquer, c'est un progrès à mon sens. Mais actuellement, je me propose surtout de continuer à voir se dissoudre l'université française dans la nullité linéaire et concaténée de Pécresse et Fioraso.
Je suis bien d'accord. Pour le reste, je suis plus réservé quant à l'opportunité sinon la légitimité de telles mesures.
Pour le système d'affectation ? Il me semble que dans les années 80, le recrutement universitaire était piloté par une instance nationale. Personne ne pourrait nous en dire un peu plus ?
- CondorcetOracle
Cripure a écrit:Pour EELV ? Sans doute :Pmais Hollande doit y rêver secrètement.PaoloSarpi a écrit:
Je suis bien d'accord. Pour le reste, je suis plus réservé quant à l'opportunité sinon la légitimité de telles mesures.
Pour le système d'affectation ? Il me semble que dans les années 80, le recrutement universitaire était piloté par une instance nationale. Personne ne pourrait nous en dire un peu plus ?
A vrai dire, l'avenir politique d'EELV m'importe moins que le pluralisme politique dont ce mouvement participe.
Je pense fausse la réduction à Mmes Pécresse et Fioraso de la politique nationale concernant l'enseignement supérieur.
Par système d'affectation, il me semble que vous faites plutôt allusion au recrutement ?
- philannDoyen
JE
Je ne suis pas sûre que cela ait vraiment exister un recrutement national ni même que ce soit souhaitable. En revanche, interdire le recrutement local, faire un recrutement qui ressemble à autre chose que 20 minutes de clownerie...aideraient sans doute pas mal!!!
PaoloSarpi a écrit:Cripure a écrit:
Pour EELV ? Sans doute :Pmais Hollande doit y rêver secrètement.
Pour le système d'affectation ? Il me semble que dans les années 80, le recrutement universitaire était piloté par une instance nationale. Personne ne pourrait nous en dire un peu plus ?
A vrai dire, l'avenir politique d'EELV m'importe moins que le pluralisme politique dont ce mouvement participe.
Je pense fausse la réduction à Mmes Pécresse et Fioraso de la politique nationale concernant l'enseignement supérieur.
Par système d'affectation, il me semble que vous faites plutôt allusion au recrutement ?
Je ne suis pas sûre que cela ait vraiment exister un recrutement national ni même que ce soit souhaitable. En revanche, interdire le recrutement local, faire un recrutement qui ressemble à autre chose que 20 minutes de clownerie...aideraient sans doute pas mal!!!
- JohnMédiateur
Précisions d'Esther Benbassa (sénatrice EELV) :
Le vote de vendredi sera corrigé, sauf accident, en Commission mixte paritaire (CMP) mercredi. J’y veillerai autant que faire se peut. Le groupe écologiste le souhaite comme moi.
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
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