- Luigi_BGrand Maître
De grâce renommez ce topic !
- User5899Demi-dieu
- Employé oxymoriqueNiveau 7
Le SNALC.
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Cymbale en chef au concert des immobiles.
« Il faudra résister à la dissolution programmée de l’enseignement, de la recherche scientifique, des classiques et des biens culturels. Car saboter la culture et l’instruction, c’est saboter le futur de l’humanité. Il y a quelques années, j’ai eu l’occasion de lire une phrase simple, mais pleine de sens, qui était inscrite sur un panneau signalétique dans une bibliothèque de manuscrits au milieu d’une oasis perdue du Sahara ; « La connaissance est une richesse qu’on peut donner sans s’appauvrir. » Seul le savoir peut perturber la logique dominante du profit en étant partagé sans appauvrir, et même, bien au contraire, en enrichissant à la fois celui qui le transmet et celui qui le reçoit.»
L’Utilité de l’Inutile. Manifeste, Nuccio Ordine, éditions des Belles-Lettres.
- linotteFidèle du forum
Bravo !
Cela fait vraiment la somme des couleuvres que nous avons déjà avalées.
Et là, je me sens comme un vieux dinosaure
Cela fait vraiment la somme des couleuvres que nous avons déjà avalées.
Et là, je me sens comme un vieux dinosaure
- Presse-puréeGrand sage
CC
Bon, un billet qui traîne sur la réforme du CAPES de lettres. il est au chaud depuis deux mois, je viens de finir de le remanier, n'hésitez pas à me signaler d'éventuels problèmes de cohérence.
La réforme du CAPES de Lettres: évolution, sujétion ou disparition?
Bon, un billet qui traîne sur la réforme du CAPES de lettres. il est au chaud depuis deux mois, je viens de finir de le remanier, n'hésitez pas à me signaler d'éventuels problèmes de cohérence.
La réforme du CAPES de Lettres: évolution, sujétion ou disparition?
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- pallasNiveau 9
Merci pour ce billet que je trouve très éclairant ! Et cela m'a permis de découvrir le blog du même coup.
- Luigi_BGrand Maître
+1
Et est-ce que ce fil de discussion peut-être renommé ?
Et est-ce que ce fil de discussion peut-être renommé ?
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- IphigénieProphète
Pareil.
Je ne sais pas ce que vous en pensez mais il y a un truc qui me chagrine, c'est la défense des LA contre l'accusation d'élitisme.
Aujourd'hui elle est clairement obsolète: c'est même bien le coeur du problème.Les élèves qui font latin sont pour partie importante justement des élèves qui ne peuvent pas en faire vraiment.
Alors que ceux qui pourraient en faire avec profit ne choisissent plus une option trop dévoyée....
Je n'entends pas élitisme comme moyen de sélection, mais comme épreuve intellectuelle. Il me semble qu'à partir du moment où on a voulu "ouvrir" l'option (Mireille Ko parlait même de" latin thérapeutique" pour élèves en grosses difficultés) on dénaturait l'option, on renonçait à y développer ce qui en faisait l'intérêt, cette gymnastique intellectuelle gratuite et de plus en plus ardue, pour en faire le grand barnum actuel.
Pour ma part il me semble que le péché originel vient de là, et là est le renoncement premier.
La pratique des textes authentiques est venue se superposer à cette gêne devant l'"élitisme" dans les années 70, dans le contexte que l'on sait. J'ai fait mon stage sous la direction de JL Gravil, l' IPR qui a ma connaissance est le premier auteur d'un manuel de grec intitulé: "le grec par les textes". EN fait à y regarder de près , cet IPR au demeurant très sympathique était aussi extrêmement désinvolte et un tantinet paresseux (paix à son âme): son manuel de seconde par exemple ne contient aucun exercice (édit. après vérification: il y a quelques rares thèmes d'imitation qui sont proposés) et les introductions aux textes, en particulier les orateurs sont intégralement plagiées à partir de la vieille éditions hachette classique des orateurs attiques: bref, les textes authentiques, c'étaient au départ, et avant de devenir une "école" pédagogique, une manière rapide et moins exigeante de faire des manuels...
Je ne sais pas ce que vous en pensez mais il y a un truc qui me chagrine, c'est la défense des LA contre l'accusation d'élitisme.
Aujourd'hui elle est clairement obsolète: c'est même bien le coeur du problème.Les élèves qui font latin sont pour partie importante justement des élèves qui ne peuvent pas en faire vraiment.
Alors que ceux qui pourraient en faire avec profit ne choisissent plus une option trop dévoyée....
Je n'entends pas élitisme comme moyen de sélection, mais comme épreuve intellectuelle. Il me semble qu'à partir du moment où on a voulu "ouvrir" l'option (Mireille Ko parlait même de" latin thérapeutique" pour élèves en grosses difficultés) on dénaturait l'option, on renonçait à y développer ce qui en faisait l'intérêt, cette gymnastique intellectuelle gratuite et de plus en plus ardue, pour en faire le grand barnum actuel.
Pour ma part il me semble que le péché originel vient de là, et là est le renoncement premier.
La pratique des textes authentiques est venue se superposer à cette gêne devant l'"élitisme" dans les années 70, dans le contexte que l'on sait. J'ai fait mon stage sous la direction de JL Gravil, l' IPR qui a ma connaissance est le premier auteur d'un manuel de grec intitulé: "le grec par les textes". EN fait à y regarder de près , cet IPR au demeurant très sympathique était aussi extrêmement désinvolte et un tantinet paresseux (paix à son âme): son manuel de seconde par exemple ne contient aucun exercice (édit. après vérification: il y a quelques rares thèmes d'imitation qui sont proposés) et les introductions aux textes, en particulier les orateurs sont intégralement plagiées à partir de la vieille éditions hachette classique des orateurs attiques: bref, les textes authentiques, c'étaient au départ, et avant de devenir une "école" pédagogique, une manière rapide et moins exigeante de faire des manuels...
- pallasNiveau 9
C'est un objet de conflit entre mon CDE et moi cette histoire, il m'accuse effectivement d'être élitiste, lorsque j'émets un avis pour dire que tel élève qui sait à peine lire (et je n'exagère pas) ne peut pas prendre l'option ou tel autre, grave dyslexique, ne peut pas non plus. Ou bidule, qui a 3 de moyenne franchement... Mais non madame, l'option est un droit, bla bla bla. Bon résultats des courses, au bout d'un an, c'est lui qui leur fait arrêter l'option parce que Mme Pallas elle est trop méchante, elle met des mauvaises notes. Il n'arrive pas à comprendre que je ne peux leur apprendre le latin. Et là il est trop content que je parte, attendant de toute force ma remplaçante qui, il l'espère, sera plus ouverte et redonnera enfin vie à l'option.
Donc j'en suis rendue à me dire que je vais devoir dire moi-même, non non, je ne veux plus enseigner l'option latin, je ne veux pas faire un club moi.
Donc j'en suis rendue à me dire que je vais devoir dire moi-même, non non, je ne veux plus enseigner l'option latin, je ne veux pas faire un club moi.
- IphigénieProphète
Pallas, je ressens comme toi que le piège se referme en effet sur nous:c'est ce que l'on ressent encore plus en lycée avec le résidu de ceux qui gardent l'option: à côté d'un ou deux esprits brillants issus des milieux populaires (parmi ceux qui n'ont pas compris que la sélection se faisait désormais ailleurs ) des élèves médiocres qui pensent "remonter" leurs moyennes à bon compte avec du ludique.
Et donc de l'infaisable...
Et donc de l'infaisable...
- pallasNiveau 9
Effectivement, je m'arrache les cheveux avec mes 5e de cette année, deux élèves qui peuvent suivre, qui connaissent leurs déclinaisons et leurs conjugaisons, ensuite tout le reste du groupe rame et râle. Et ils ne savent rien alors que j'ai tout fait pour leur faire réciter à chaque fois, je chante les déclinaisons (si, si!), je brasse de l'air, je danse presque mais impossible, ils ne veulent pas apprendre. Du coup, j'en suis arrivé à la fin à faire un cours différent pour les deux qui apprennent vraiment le latin et qui s'emmerdent à voir que les autres sont nuls à ce point. Pffff ! Et c'est sans compter les RDV de parents mais mon fils il n'aime pas, mais ma fille elle dit qu'elle va faire une dépression tellement c'est nul, mais mon fils il est violent c'est à cause de vous etc. Je vais faire une lettre au rectorat pour dire comment vous les faites souffrir et après le CDE qu'en remet une couche aaaaaaaaah !
- Luigi_BGrand Maître
Une collègue de lettres modernes en prépa m'a dit que ce qui nous arrivait n'était que justice parce que nous n'avions pas su évoluer. L'air est rapidement devenu irrespirable en salle des professeurs.
PS Quelqu'un peut renommer ce topic ?
PS Quelqu'un peut renommer ce topic ?
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- IphigénieProphète
Boh, laisse la évoluer avec sa prépa : elle va avoir fort à faire dans les années qui viennent... Il y a toujours des volontaires pour scier la branche sur laquelle ils sont assis:lol:
sinon le concept même d'évolution pour enseigner une langue ancienne a quelque chose de maso-paranoïaque, je trouve.:lol:
sinon le concept même d'évolution pour enseigner une langue ancienne a quelque chose de maso-paranoïaque, je trouve.:lol:
- Luigi_BGrand Maître
Comme tu dis. :diable:iphigénie a écrit:Boh, laisse la évoluer avec sa prépa : elle va avoir fort à faire dans les années qui viennent... Il y a toujours des volontaires pour scier la branche sur laquelle ils sont assis:lol:
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- Presse-puréeGrand sage
Luigi_B a écrit:Une collègue de lettres modernes en prépa m'a dit que ce qui nous arrivait n'était que justice parce que nous n'avions pas su évoluer.
Ta collègue n'est pas très au fait de ce qui se passe...
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- Presse-puréeGrand sage
Iphigénie a écrit:Je n'entends pas élitisme comme moyen de sélection, mais comme épreuve intellectuelle. Il me semble qu'à partir du moment où on a voulu "ouvrir" l'option (Mireille Ko parlait même de" latin thérapeutique" pour élèves en grosses difficultés) on dénaturait l'option, on renonçait à y développer ce qui en faisait l'intérêt, cette gymnastique intellectuelle gratuite et de plus en plus ardue, pour en faire le grand barnum actuel.
On peut ouvrir sans dénaturer, non? Moi je ne fais pas de sélection à l'entrée de mon option et, sauf cas très particulier, personne n'arrête ni ne se plaint. Pourtant, je reviens de plus en plus à du latin fabriqué et des exos de manipulation.
Ceux-ci, lorsqu'ils sont très réguliers et progressifs, passent bien.
Ce que j'ai essayé et qui ne passe pas du tout, c'est le latin Usborne.
J'ai été assez surpris d'ailleurs. Je pensais que les images les amuseraient et que, l'air de rien, nous ferions du thème, mais les élèves ne veulent pas d'un truc qui ressemble à un cours de LV. Du coup j'ai ressorti mes exos préparés à partir du Lantoine (Epitome Historiae Graecae, que j'ai connu grâce à un extrait dans un manuel de collège relativement récent):
Nous évoquons par ce biais la mythologie, et c'est ce que les élèves attendent.
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- Presse-puréeGrand sage
En fait, de mon côté, il semblerait que j'aie des collègues et un CdE "élitiste" puisque je suis absent aux conseils de sixième, n'en ayant pas, et que lors de ces derniers, on procède à un rabotage et un profilage des demandes. J'essaie de tirer cela au clair, mais j'ai du mal, les rumeurs sont contradictoires et mon CdE élude la question systématiquement.
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- IphigénieProphète
Tu crois? Je n'en suis pas sûre: tout dépend ce qu'on met derrière "ouvrir" bien sûr: je ne travaille plus en collège depuis très longtemps. Peut-être qu'en collège tout élève peut tirer un profit des LA.On peut ouvrir sans dénaturer, non? Moi je ne fais pas de sélection à l'entrée de mon option et, sauf cas très particulier, personne n'arrête ni ne se plaint. Pourtant, je reviens de plus en plus à du latin fabriqué et des exos de manipulation.
Mais sur la longueur, il me semble (je vais être politiquement très incorrecte) que faire du latin ne sert plus à la plupart parce que tout simplement ils ne sont pas capables, pas en état,pas en envie non plus, d'évoluer syntaxiquement, lexicalement, intellectuellement. Seuls les très bons élèves en réalité peuvent trouver un profit et un intérêt et un enrichissement à étudier les Bucoliques de Virgile pour rester sur ce programme...
Et néammoins il me semble que c'est là le vrai et le seul intérêt du latin aujourd'hui: accéder au monde intellectuel des Romains, pas rester sur la relecture de l'antiquité à travers une simplification actualisante et une traduction approximative.
Il y a sans doute une différence de perspective entre initier au latin et faire du latin; le problème étant que l'on ne peut rien au lycée sans la base du collège et l'afflux en collège d'élèves qui "n'ont pas le profil" (de mon point de vue) empêche de poser les bases pour ceux qui pourraient continuer. Mais il y a sûrement des exceptions locales. Les élèves qui nous arrivent de collège sont majoritairement des élèves qui se sont amusés sur les ordinateurs mais qui ne savent pas le début d'une déclinaison ou d'une conjugaison. D'où mon jugement.
- Luigi_BGrand Maître
Je réessaie, on ne sait jamais : est-ce que qu'un modérateur compatissant peu renommer ce topic en retirant l'interrogation ?
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- thrasybuleDevin
Sans doute le lien a-t-il déjà été mis.
http://www.education.gouv.fr/espace-recrutement/question/jaimerais-etre-professeur-de-lettres-classiques-au-college-quelle-formation-suivre/
http://www.education.gouv.fr/espace-recrutement/question/jaimerais-etre-professeur-de-lettres-classiques-au-college-quelle-formation-suivre/
- Presse-puréeGrand sage
C'est triste mais réaliste...
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
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"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
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"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- thrasybuleDevin
Préparons la venue de l'Homme nouveau!
- Luigi_BGrand Maître
Je trouve que Judith ne va pas assez loin. Elle devrait conseiller à Damien 14 ans d'aller apprendre le grec sur Wikipédia, comme y invite Michel Serres. Voire de renoncer prudemment à devenir professeur de lettres classiques.
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- Palombella RossaNeoprof expérimenté
thrasybule a écrit:Sans doute le lien a-t-il déjà été mis.
http://www.education.gouv.fr/espace-recrutement/question/jaimerais-etre-professeur-de-lettres-classiques-au-college-quelle-formation-suivre/
J'apprécie vraiment fort peu la sérénité avec laquelle la professeureuh entérine de facto la disparition du CAPES de lett class.
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http://leblogdelapresidente.over-blog.com/
- LisaZenideExpert spécialisé
C'est pas déjà ce qu'elle fait en disant que la distinction classiques / modernes n'existera sûrement plus ?Luigi_B a écrit:Je trouve que Judith ne va pas assez loin. Elle devrait conseiller à Damien 14 ans d'aller apprendre le grec sur Wikipédia, comme y invite Michel Serres. Voire de renoncer prudemment à devenir professeur de lettres classiques.
- thrasybuleDevin
Mais elle est dans le principe de réalité, pragmatique, efficace et opérationnelle! La voix de la raison, j'veux dire!
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