- coindeparadisGuide spirituel
Y aurait-il une prédisposition à s'engager à l'étranger ? Ames vagabondes ...
J'ai commencé plus tard que toi Mehitabel, mais depuis, chaque fois que je rentre en France, des sirènes m'appellent vers d'autres horizons..
J'ai commencé plus tard que toi Mehitabel, mais depuis, chaque fois que je rentre en France, des sirènes m'appellent vers d'autres horizons..
- NoukaExpert
Mais vous posez-vous les mêmes questions que moi (va-t-on s'en sortir financièrement ? les enfants vont-ils s'intégrer ? avoir une scolarité "normale" ? Que va-t-on faire à notre retour ? Repasser aux mutations ? pfff et j'en passe) ou alors pas vraiment et vous vous dites l'expérience prime sur ces considérations ?
_________________
En disponibilité
- MehitabelVénérable
Seule la question financière se pose à moi, je ne quitte pas la France pour galèrer côté sous, mais cela ne m'est jamais arrivé en quatre expatriations. Toujours bien se renseigner sur les conditions de vie sur place, loyer, coût ( réel ) de l'alimentation ( même si on ne se fait une idée qu'une fois le premier caddy fait). Les autres questions je ne me les pose pas: les enfants? Ils s'adaptent, c'est une expérience unique, une vie plus tranquille, moins dans la compétition, moins dans la pression, en général de ce que j'ai vu autour de moi ce sont eux qui veulent pas rentrer en France!
À votre retour? Ben pour l'instant il faut partir et après vous verrez bien! Chaque chose en son temps.
Pour les muts? Je me dis au contraire que partir me permet de faire des points " au chaud" et me donnera l'occasion d'avoir à mon retour une académie que je n'avais pas pu avoir à l'issue de mon stage.
Pour moi l'expérience prime sur ces considérations.
À votre retour? Ben pour l'instant il faut partir et après vous verrez bien! Chaque chose en son temps.
Pour les muts? Je me dis au contraire que partir me permet de faire des points " au chaud" et me donnera l'occasion d'avoir à mon retour une académie que je n'avais pas pu avoir à l'issue de mon stage.
Pour moi l'expérience prime sur ces considérations.
- NoukaExpert
Je suis d'accord avec toi sauf que mon côté angoissé ne cesse de passer devant pour l'instant. Je suis sur le point d'aobtenir enfin un poste fixe (après 10 ans de TZR), si on part je sais que ce sera fichu, plus ce poste tant attendu à mon retour. Mais est-ce que ca fait le poids face à une telle expérience ? Et ma maison ? Que vais-je en faire ? Si on la vend on va où à notre retour ?
Je crois que je suis trop matérialiste. Je n'imagine pas bouger les enfnats à droite et à gauche sans arrêt en fait. Comment se font-ils des amis ?
J'espère pouvoir arriver à passer au-delà...
Je crois que je suis trop matérialiste. Je n'imagine pas bouger les enfnats à droite et à gauche sans arrêt en fait. Comment se font-ils des amis ?
J'espère pouvoir arriver à passer au-delà...
_________________
En disponibilité
- MehitabelVénérable
Les enfants se font des amis quoi qu'il arrive, et maintenant avec les réseaux sociaux ils gardent contact. Quand je vois mes anciens élèves d'Oman qui habitent, études obliges, aux quatre coins du monde, mais qui se retrouvent au moins une fois par an soit en Oman, soit en France, c'est franchement beau à voir. Ils partagent une amitié aussi forte que s'ils se voyaient tous les jours. Et puis ça fait plein de copains à rendre visite partout dans le monde.
Ta maison, si tu ne la vends pas, tu la loues, gérée par une agence.
Je crois que partir à l'étranger nécessite surtout de faire confiance à la vie: quand on part quelque part, quelles que soient les épreuves c'est que l'on doit partir.
Je te raconte juste une anecdote: je suis partie vivre un an a Kiev. Pendant 4 mois, un cauchemar absolu, je ne parle pas russe, les gens sont rudes, voire rustres, désagréables, je repars de mes vacances en France a chaque fois en pleurs, l'ambiance à l'école terrible. Bref je vois tout en noir. Et puis un jour, une de mes collègues ukrainiennes arrivent a l'école avec son petit copain, parfaitement francophone, il va servir d'interprète à un prêtre francais venu étudier le phénomène de la Shoah par balle, dans l'ouest de l'Ukraine. On parle tous les deux, le sujet me touche ( mon grand père a été déporte en camp en Pologne) , il a besoin de vocabulaire spécifique. Je suis en vacances quand le prêtre arrive, il me propose de se joindre à eux. J'accepte.
Nous nous rendons dans l'ouest, je discute avec ce prêtre, on visite un site, premier choc, c'est le camp ou mon grand père a été déporté. Je ne comprends pas, ce camp, mon gp a toujours dit qu'il était en Pologne, en effet en 1942 oui, mais plus en 2005, c'est désormais en Ukraine. J'abrege, ce camp, ce monsieur, je ne les aurais jamais rencontrés en restant en France. Pour moi, cela a donné du sens à cette année passée en Ukraine, c'est comme si d'un coup je comprenais ce que je faisais la. Et des histoires comme cela il m'en est arrivé plein! Je te passe l'histoire de ma collègue en Oman, sœur de mon voisin .... en Nouvelle Caledonie et chez qui j'avais fait du baby sitting pendant des années
Bref, pose toi les bonnes questions, et ne laisse pas l'angoisse te paralyser, si vous y allez, si cela se fait ( travail de ton mari) c'est que ça DOiT se faire, pour x ou y raisons.
Ta maison, si tu ne la vends pas, tu la loues, gérée par une agence.
Je crois que partir à l'étranger nécessite surtout de faire confiance à la vie: quand on part quelque part, quelles que soient les épreuves c'est que l'on doit partir.
Je te raconte juste une anecdote: je suis partie vivre un an a Kiev. Pendant 4 mois, un cauchemar absolu, je ne parle pas russe, les gens sont rudes, voire rustres, désagréables, je repars de mes vacances en France a chaque fois en pleurs, l'ambiance à l'école terrible. Bref je vois tout en noir. Et puis un jour, une de mes collègues ukrainiennes arrivent a l'école avec son petit copain, parfaitement francophone, il va servir d'interprète à un prêtre francais venu étudier le phénomène de la Shoah par balle, dans l'ouest de l'Ukraine. On parle tous les deux, le sujet me touche ( mon grand père a été déporte en camp en Pologne) , il a besoin de vocabulaire spécifique. Je suis en vacances quand le prêtre arrive, il me propose de se joindre à eux. J'accepte.
Nous nous rendons dans l'ouest, je discute avec ce prêtre, on visite un site, premier choc, c'est le camp ou mon grand père a été déporté. Je ne comprends pas, ce camp, mon gp a toujours dit qu'il était en Pologne, en effet en 1942 oui, mais plus en 2005, c'est désormais en Ukraine. J'abrege, ce camp, ce monsieur, je ne les aurais jamais rencontrés en restant en France. Pour moi, cela a donné du sens à cette année passée en Ukraine, c'est comme si d'un coup je comprenais ce que je faisais la. Et des histoires comme cela il m'en est arrivé plein! Je te passe l'histoire de ma collègue en Oman, sœur de mon voisin .... en Nouvelle Caledonie et chez qui j'avais fait du baby sitting pendant des années
Bref, pose toi les bonnes questions, et ne laisse pas l'angoisse te paralyser, si vous y allez, si cela se fait ( travail de ton mari) c'est que ça DOiT se faire, pour x ou y raisons.
- neoSage
Oui !Nouka a écrit: ou alors pas vraiment et vous vous dites l'expérience prime sur ces considérations ?
_________________
Human... https://www.youtube.com/watch?v=RIZdjT1472Y
- NoukaExpert
Ce que je me dis c'est que peut-etre je me pose trop de questions et que c'est pas fait pour moi... Je ne sais pas en fait...
_________________
En disponibilité
- HopeHabitué du forum
Pour moi, partir n'était pas vraiment prévu, même si la famille a quelques exemples de voyageurs chroniques dans ses archives. J'en avais marre de la vie en France, je tournais en rond, j'étais seule et c'était ça où demander une région qui ne me plaisait pas : j'ai donc demandé et obtenu les DOM dès ma première affectation. L'arrivée à été un peu difficile, mais au bout d'un mois ou deux tout allait bien.
Huit ans plus tard, je me suis posé la question : rester, puisque nous sommes bien en Guadeloupe, avec une jolie maison, des amis et des activités que nous aimons... ou partir et découvrir encore autre chose. Et nous avons décidé de partir. Les enfants sont par nature adaptables, nous partirons avec une valise chacun, et... pour le reste nous verrons bien sur place ! C'est un peu un défi, je crois que ça le reste toujours - et je fonctionne pas mal au défi.
Pour la maison, nous, nous la mettons en location ,et avons bien l'intention de la retrouver au retour !
Huit ans plus tard, je me suis posé la question : rester, puisque nous sommes bien en Guadeloupe, avec une jolie maison, des amis et des activités que nous aimons... ou partir et découvrir encore autre chose. Et nous avons décidé de partir. Les enfants sont par nature adaptables, nous partirons avec une valise chacun, et... pour le reste nous verrons bien sur place ! C'est un peu un défi, je crois que ça le reste toujours - et je fonctionne pas mal au défi.
Pour la maison, nous, nous la mettons en location ,et avons bien l'intention de la retrouver au retour !
_________________
Omnia mutantur nihil interit (Ovide)
- NoukaExpert
En vous lisant, je vous admire car j'ai l'impression que pour vous c'est tout naturel !
_________________
En disponibilité
- MalacaEsprit éclairé
Je viens d'une famille de "déracinés", origines espagnoles et italiennes télescopées, née moi aussi hors de France, j'ai fait des études de langues pour la communication et l'envie de voyages (pas du tout prof au début ) et j'ai effectivement voyagé pendant mes études, et pour mes premiers boulots dans le domaine de l'export ...
Un tour de France en dix ans, deux enfants plus tard, devenue Instit, dès que cela a été possible, j'ai postulé dans les DOM, on a saisi la chance qui passait et les choses se sont enchaînées, cela fait treize ans maintenant. j'ai un mari avec les mêmes envies qui a pu / su s'adapter, et des enfants qu'on a emmenés partout. Cellule familiale privilégiée à chaque fois.
Les enfants volent maintenant de leurs propres ailes, l'une envisage de construire son nid, et l'autre attend de finir ses études pour partir, ailleurs ... visiblement chacun a vécu l'expérience à sa façon
En Juin on va quitter la Polynésie, un pan de vie, une page qu'on tourne, un nouveau départ vers un nouvel endroit, on vend tout et on part avec nos valises ... je ne suis pas matérialiste (et le matériel se gère finalement assez facilement) on ne possède pas grand chose ... juste nos expériences, nos souvenirs et nos projets ...
Mais c'est vrai qu'à chaque fois c'est un peu (plus) dur, c'est une remise en question personnelle, professionnelle, familiale, sociale, un bouleversement des habitudes, une perte d'équilibre, à chaque changement on se pose plein de questions nous aussi, on doute, et c'est normal, mais pour nous l'attrait de la nouveauté, de l'inconnu et le coup de "peps" inhérent l'emportent ! C'est un peu ce que Hope appelle un "défi" à chaque fois, et c'est enrichissant
Et il faut avoir conscience que l'arrivée est toujours un peu "difficile", un temps d'adaptation est toujours nécessaire dans un environnement différent (climat, langue, culture ...).
Là on s'est pourtant posé la question, se poser, rentrer en France, investir ... on aurait l'âge ... et puis non, on continue, on n'est pas encore si vieux, on se posera plus tard, un jour ...
Dans nos projets de toute façon ce serait plutôt une retraite "itinérante" pour continuer de découvrir des pays, des paysages, faire des rencontres, échanger
Et on a quand même la chance dans le cadre des mutations de ne prendre aucun risque financier (si comme le souligne Méhitabel on a pris les bonnes infos!) , l'insécurité est limitée et l'aventure reste donc sous contrôle, il ne s'agit pas de tout plaquer et partir au hasard
(Mais faites attention quand même à l'avenir pour les mouvements, en fin de carrière, sans bonifications familiale, le barème chute dangereusement et cela nous vaut d'ailleurs quelques difficultés pour les muts à une période où les postes se font rares dans certaines filières ...)
Un tour de France en dix ans, deux enfants plus tard, devenue Instit, dès que cela a été possible, j'ai postulé dans les DOM, on a saisi la chance qui passait et les choses se sont enchaînées, cela fait treize ans maintenant. j'ai un mari avec les mêmes envies qui a pu / su s'adapter, et des enfants qu'on a emmenés partout. Cellule familiale privilégiée à chaque fois.
Les enfants volent maintenant de leurs propres ailes, l'une envisage de construire son nid, et l'autre attend de finir ses études pour partir, ailleurs ... visiblement chacun a vécu l'expérience à sa façon
En Juin on va quitter la Polynésie, un pan de vie, une page qu'on tourne, un nouveau départ vers un nouvel endroit, on vend tout et on part avec nos valises ... je ne suis pas matérialiste (et le matériel se gère finalement assez facilement) on ne possède pas grand chose ... juste nos expériences, nos souvenirs et nos projets ...
Mais c'est vrai qu'à chaque fois c'est un peu (plus) dur, c'est une remise en question personnelle, professionnelle, familiale, sociale, un bouleversement des habitudes, une perte d'équilibre, à chaque changement on se pose plein de questions nous aussi, on doute, et c'est normal, mais pour nous l'attrait de la nouveauté, de l'inconnu et le coup de "peps" inhérent l'emportent ! C'est un peu ce que Hope appelle un "défi" à chaque fois, et c'est enrichissant
Et il faut avoir conscience que l'arrivée est toujours un peu "difficile", un temps d'adaptation est toujours nécessaire dans un environnement différent (climat, langue, culture ...).
Là on s'est pourtant posé la question, se poser, rentrer en France, investir ... on aurait l'âge ... et puis non, on continue, on n'est pas encore si vieux, on se posera plus tard, un jour ...
Dans nos projets de toute façon ce serait plutôt une retraite "itinérante" pour continuer de découvrir des pays, des paysages, faire des rencontres, échanger
Et on a quand même la chance dans le cadre des mutations de ne prendre aucun risque financier (si comme le souligne Méhitabel on a pris les bonnes infos!) , l'insécurité est limitée et l'aventure reste donc sous contrôle, il ne s'agit pas de tout plaquer et partir au hasard
(Mais faites attention quand même à l'avenir pour les mouvements, en fin de carrière, sans bonifications familiale, le barème chute dangereusement et cela nous vaut d'ailleurs quelques difficultés pour les muts à une période où les postes se font rares dans certaines filières ...)
_________________
Ajouter de la vie aux années plutôt que des années à la vie ...
"Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité." A. de Saint-Exupéry
mes rêves, ma réalité ...
- coindeparadisGuide spirituel
Côté enfants, j'ai plutôt pensé que c'était une chance :
- petit effectif scolaire
- petite école dans laquelle maman travaille (donc première rentrée en douceur)
- 15 minutes pour aller à pieds à l'école plutôt que des heures en transport en commun
- Un bain de langue précoce
- des sources de découverte
Sapotille, j'ai postulé au Sénégal !
- petit effectif scolaire
- petite école dans laquelle maman travaille (donc première rentrée en douceur)
- 15 minutes pour aller à pieds à l'école plutôt que des heures en transport en commun
- Un bain de langue précoce
- des sources de découverte
Sapotille, j'ai postulé au Sénégal !
- IsidoriaDoyen
J'ai toujours voulu partir, ma mère m'avait fait offrir pour mon baptême une valise... Que j'ai gardée bien des années, quand pour cause de parents divorcés je prenais le train pour parcourir la France.
J'ai donc naturellement demandé l'aefe des que possible, et après quelques essais infructueux suis partie en Amérique du Sud, région du monde que je ne connaissais pas.
On se rend vite compte qu'on se crée sur place un petit microcosme, une vie sociale qui ressemble à ce qu'on peut avoir en France, le plus dur étant de laisser partir les gens, chaque année, mais il y en a qui arrivent!
La peur elle existe, avant le départ, due à des situations propres au pays ( ici on subit volcans, tremblements de terre, et violences diverses) mais je suis maintenant contente quand je reviens après un séjour en France. Il y a bien des moments de solitude, avec nostalgie et mal du pays,... Mais dés que je rentre en France trop longtemps, j'ai la bougeotte!
Bon courage pour ta prise de décision, tu n'en es malheureusement qu'au début d'un questionnement qui ne prendra fin que le jour de l'arrivée dans le nouveau pays!
J'ai donc naturellement demandé l'aefe des que possible, et après quelques essais infructueux suis partie en Amérique du Sud, région du monde que je ne connaissais pas.
On se rend vite compte qu'on se crée sur place un petit microcosme, une vie sociale qui ressemble à ce qu'on peut avoir en France, le plus dur étant de laisser partir les gens, chaque année, mais il y en a qui arrivent!
La peur elle existe, avant le départ, due à des situations propres au pays ( ici on subit volcans, tremblements de terre, et violences diverses) mais je suis maintenant contente quand je reviens après un séjour en France. Il y a bien des moments de solitude, avec nostalgie et mal du pays,... Mais dés que je rentre en France trop longtemps, j'ai la bougeotte!
Bon courage pour ta prise de décision, tu n'en es malheureusement qu'au début d'un questionnement qui ne prendra fin que le jour de l'arrivée dans le nouveau pays!
- SapotilleEmpereur
21déjà a écrit:
Sapotille, j'ai postulé au Sénégal !
Si cela marche, je viens te voir !
Chiche !!!
- coindeparadisGuide spirituel
:aat:
_________________
Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- MehitabelVénérable
Voilà c'est bon pour moi aussi, mon mari a obtenu un poste dans le Golfe en informatique et je suis aussi prise au lycée français, trop contente et excitée de repartir, avec un petit bout en plus :abf: :abh: :aax:
- coindeparadisGuide spirituel
Je suis ravie pour toi Mehitabel !!!!
Sinon, le site de l'AEFE a bien besoin d'un nettoyage de printemps : annonces largement périmées (le ridicule ne tue pas mais le temps passé à remplir des dossiers pour rien agace...), ou lien vers des établissements qui n'existent plus (Amérique Latine, Moyen- Orient)...
Sinon, le site de l'AEFE a bien besoin d'un nettoyage de printemps : annonces largement périmées (le ridicule ne tue pas mais le temps passé à remplir des dossiers pour rien agace...), ou lien vers des établissements qui n'existent plus (Amérique Latine, Moyen- Orient)...
_________________
Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- Lux_Fidèle du forum
Bravo Mehitabel !
J'espère que tu te plairas là-bas et que tu nous montreras quelques photos de ton nouveau lieu de vie sur le forum.
J'espère que tu te plairas là-bas et que tu nous montreras quelques photos de ton nouveau lieu de vie sur le forum.
- JohnMédiateur
Mehitabel a écrit:Voilà c'est bon pour moi aussi, mon mari a obtenu un poste dans le Golfe en informatique et je suis aussi prise au lycée français, trop contente et excitée de repartir, avec un petit bout en plus :abf: :abh: :aax:
Bravo à toutes les deuxHope a écrit: Je viens d'accepter un poste de résidente au lycée de Marrakech !
C'était inespéré, je crois que j'étais classée 15e à l'issue de la CCPLA... On a pris une nuit pour réfléchir (mais je crois que c'était tout réfléchi), et ce matin, j'ai répondu oui !
Je suis ravie mais j'ai déjà une liste monstrueuse de questions pratiques, alors si quelqu'un connaît un peu (ou beaucoup) le Maroc, Marrakech...
Youpi !
_________________
En achetant des articles au lien ci-dessous, vous nous aidez, sans frais, à gérer le forum. Merci !
"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- Reine MargotDemi-dieu
bravo à vous deux!
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- HopeHabitué du forum
Bravo, Mehitabel ! Bien contente pour toi
Merci, John et Reine Margot !
Merci, John et Reine Margot !
_________________
Omnia mutantur nihil interit (Ovide)
- MalacaEsprit éclairé
Supers nouvelles Méhitabel !
Il y a un post au fil des îles, il faudrait étendre à "ailleurs" pour les photos et les histoires du quotidien
Il y a un post au fil des îles, il faudrait étendre à "ailleurs" pour les photos et les histoires du quotidien
_________________
Ajouter de la vie aux années plutôt que des années à la vie ...
"Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité." A. de Saint-Exupéry
mes rêves, ma réalité ...
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum