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- Mestelle51Habitué du forum
marmotte05 a écrit:Mestelle51 : connais-tu vraiment le sujet ? Si tu savais...
J'ai lu l'article mais j'avoue ma totale non connaissance de l'affaire en dehors de cela. Je m'excuse si d'autres éléments sont venus contredire les premiers éléments. Mais si ce n'est pas le cas et que les éléments rapportés sont réels, je pense ce que j'ai écris.
- marmotte05Niveau 1
Jette un coup d'œil à 22h48 !
- Mestelle51Habitué du forum
marmotte05 a écrit:Jette un coup d'œil à 22h48 !
En attendant les conclusions de la gendarmerie et en espérant que cela ne connaisse pas les tristes ratées de l'affaire de Meillac.
- CeladonDemi-dieu
Eh bien, ils en font des dégâts les parents d'élèves. Ceux-là, en outre, persistent et signent...
- DaphnéDemi-dieu
Axel a écrit:Il y a des années de cela, un collègue d'EPS a été accusé par des filles d'une classe. La presse n'en a pas parlé, je ne crois pas que le recteur ait été mis au courant.
C'est le PP qui a mené l'enquête - bien plus que le CDE. "Les filles" sont devenues "une" élève, les accusations (qui auraient pu avoir de sérieuses conséquences) se sont réduites comme peau de chagrin.
Je me demande ce qui serait arrivé à ce collègue si cela se produisait aujourd'hui.
On a eu ça aussi : les accusations étaient "il nous touche", et en tant que prof d'EPS en effet il aidait à faire des mouvements de gym
Franchement je plains les collègues d'EPS
- BabayagaGrand sage
marmotte05 a écrit:Pour info, la famille principale accusatrice a déjà une sacré réputation sur la ville. Ensuite, aujourd'hui , nous apprenons que les 2 profs accusateurs eux aussi contre leur collègue, ont été suspendus pour 4 mois. Souhaitons que chacun retrouve la paix en cette ville.
Tu en sais plus ? J'aimerais bien savoir, 4 mois de suspension, ce n'est pas rien, ça arrive rarement, alors à 2 collègues du même collège, ça m'interpelle.
_________________
Je ne gère plus la rubrique en accès restreint, adressez-vous à Hermione, merci
- marmotte05Niveau 1
Article paru hier dans le Sud-Ouest.
Publié le 13/03/2013 à 06h00
Par Vincent Dewitte
Les « accusateurs » ont été suspendus jusqu’à nouvel ordre
Le rectorat a sanctionné les deux professeurs de sports qui s’étaient associés activement aux plaintes d’un collectif de parents d’élèves.
L’information n’a pas été confirmée par le recteur bordelais, Jean-Louis Nembrini, mais elle n’en est pas moins exacte. Moins d’un mois après la médiatisation d’une affaire de plaintes adressées au rectorat d’académie de Bordeaux par des parents d’élèves du collège départemental de Biscarrosse qui souhaitaient dénoncer - entre autres (1) - le comportement prétendument « violent » et « humiliant » d’un professeur d’éducation physique et sportive (EPS) de l’établissement, les premières sanctions internes sont tombées.
Convoqués le jour de la sortie des classes afin de rendre compte au rectorat de leur implication dans ce dossier, et notamment du relais actif qu’ils avaient offert aux plaignants alors même qu’ils étaient soumis à un devoir de réserve, les deux autres professeurs d’EPS du collège départemental, TC et MD ont reçu la semaine dernière des arrêtés de suspension à titre conservatoire.
Des traces indélébiles
En clair, les conclusions de l’enquête administrative suivent la loi des arroseurs arrosés avec les deux professeurs « accusateurs » interdits de collège pour une durée de quatre mois. Fait rare, ces deux enseignants qui disent à qui veut l’entendre ne pas comprendre les motivations de cette suspension devraient d’ici là passer devant un conseil de discipline…
Certaines voix discrètes du collège départemental de Biscarrosse n’ont pas pu s’empêcher depuis de confier un certain « soulagement » teinté de « colère ». Alors qu’une plainte contre X pour diffamation avait même été signée par l’ensemble de la communauté éducative afin de sanctionner le caractère exagéré, voire calomnieux, de ces dénonciations, celles-ci évoquent en effet « une affaire qui a durement ébranlé la communauté éducative biscarrossaise dans son ensemble et qui, malgré une issue qui s’annonce favorable, laissera des traces indélébiles et des dégâts parfois irréparables ».
Réhabiliter l’autorité
Ce sera évidemment le cas pour le premier concerné, un professeur de 59 ans alors en arrêt maladie et qui, d’après nos informations, serait mis hors de cause en l’attente tout du moins des conclusions de l’enquête pénale parallèlement confiée aux gendarmes de la compagnie de Parentis-en-Born. Mais les personnes les plus proches de l’établissement ont aussi « une pensée pour les autres professeurs visés par les plaintes et qui, eux, à la différence des accusateurs, ne sont pas sanctionnés ». Et plus largement pour « tous les collégiens qui se sont retrouvés malgré eux au centre de ce qui ressemble de plus en plus à une tentative de règlement de comptes entre adultes ».
La conséquence irréversible de la médiatisation de cette affaire est, en effet, vécue pour beaucoup comme « une injustice crasse qui mérite réparation publique ». Du côté des deux fédérations de parents d’élèves, on ajoute simplement que « le grand enjeu de la rentrée sera de réhabiliter l’autorité de l’adulte au sein de l’établissement ».
D’autres actions prévues
Une communication officielle sera peut-être effectuée par le rectorat afin de clarifier les choses dès la rentrée. En attendant, nos différentes sources nous permettent simplement d’assurer deux choses. La première, à suivre, c’est que le « collectif » à l’origine de ces plaintes assure être « toujours aussi motivé », « prêt à en référer au ministre de l’Éducation nationale », « pressé de rencontrer les fédérations de parents d’élèves », et « déjà en train de préparer d’autres actions », y compris en direction des établissements de Parentis-en-Born et de Sanguinet (2).
La seconde, actée, c’est que les deux professeurs suspendus seront remplacés dès la reprise des cours.
(1) Certaines plaintes visaient également des membres de l’encadrement, dont le chef d’établissement, et d’autres professeurs qui étaient jugés « incapables » ou « incompétents » par les parents d’élèves. (2) Ce « collectif » n’a pas encore été officialisé en préfecture et plusieurs parents se seraient déjà désolidarisés du mouvement.
Publié le 13/03/2013 à 06h00
Par Vincent Dewitte
Les « accusateurs » ont été suspendus jusqu’à nouvel ordre
Le rectorat a sanctionné les deux professeurs de sports qui s’étaient associés activement aux plaintes d’un collectif de parents d’élèves.
L’information n’a pas été confirmée par le recteur bordelais, Jean-Louis Nembrini, mais elle n’en est pas moins exacte. Moins d’un mois après la médiatisation d’une affaire de plaintes adressées au rectorat d’académie de Bordeaux par des parents d’élèves du collège départemental de Biscarrosse qui souhaitaient dénoncer - entre autres (1) - le comportement prétendument « violent » et « humiliant » d’un professeur d’éducation physique et sportive (EPS) de l’établissement, les premières sanctions internes sont tombées.
Convoqués le jour de la sortie des classes afin de rendre compte au rectorat de leur implication dans ce dossier, et notamment du relais actif qu’ils avaient offert aux plaignants alors même qu’ils étaient soumis à un devoir de réserve, les deux autres professeurs d’EPS du collège départemental, TC et MD ont reçu la semaine dernière des arrêtés de suspension à titre conservatoire.
Des traces indélébiles
En clair, les conclusions de l’enquête administrative suivent la loi des arroseurs arrosés avec les deux professeurs « accusateurs » interdits de collège pour une durée de quatre mois. Fait rare, ces deux enseignants qui disent à qui veut l’entendre ne pas comprendre les motivations de cette suspension devraient d’ici là passer devant un conseil de discipline…
Certaines voix discrètes du collège départemental de Biscarrosse n’ont pas pu s’empêcher depuis de confier un certain « soulagement » teinté de « colère ». Alors qu’une plainte contre X pour diffamation avait même été signée par l’ensemble de la communauté éducative afin de sanctionner le caractère exagéré, voire calomnieux, de ces dénonciations, celles-ci évoquent en effet « une affaire qui a durement ébranlé la communauté éducative biscarrossaise dans son ensemble et qui, malgré une issue qui s’annonce favorable, laissera des traces indélébiles et des dégâts parfois irréparables ».
Réhabiliter l’autorité
Ce sera évidemment le cas pour le premier concerné, un professeur de 59 ans alors en arrêt maladie et qui, d’après nos informations, serait mis hors de cause en l’attente tout du moins des conclusions de l’enquête pénale parallèlement confiée aux gendarmes de la compagnie de Parentis-en-Born. Mais les personnes les plus proches de l’établissement ont aussi « une pensée pour les autres professeurs visés par les plaintes et qui, eux, à la différence des accusateurs, ne sont pas sanctionnés ». Et plus largement pour « tous les collégiens qui se sont retrouvés malgré eux au centre de ce qui ressemble de plus en plus à une tentative de règlement de comptes entre adultes ».
La conséquence irréversible de la médiatisation de cette affaire est, en effet, vécue pour beaucoup comme « une injustice crasse qui mérite réparation publique ». Du côté des deux fédérations de parents d’élèves, on ajoute simplement que « le grand enjeu de la rentrée sera de réhabiliter l’autorité de l’adulte au sein de l’établissement ».
D’autres actions prévues
Une communication officielle sera peut-être effectuée par le rectorat afin de clarifier les choses dès la rentrée. En attendant, nos différentes sources nous permettent simplement d’assurer deux choses. La première, à suivre, c’est que le « collectif » à l’origine de ces plaintes assure être « toujours aussi motivé », « prêt à en référer au ministre de l’Éducation nationale », « pressé de rencontrer les fédérations de parents d’élèves », et « déjà en train de préparer d’autres actions », y compris en direction des établissements de Parentis-en-Born et de Sanguinet (2).
La seconde, actée, c’est que les deux professeurs suspendus seront remplacés dès la reprise des cours.
(1) Certaines plaintes visaient également des membres de l’encadrement, dont le chef d’établissement, et d’autres professeurs qui étaient jugés « incapables » ou « incompétents » par les parents d’élèves. (2) Ce « collectif » n’a pas encore été officialisé en préfecture et plusieurs parents se seraient déjà désolidarisés du mouvement.
- Fesseur ProGuide spirituel
+ 1Daphné a écrit:On a eu ça aussi : les accusations étaient "il nous touche", et en tant que prof d'EPS en effet il aidait à faire des mouvements de gym
Franchement je plains les collègues d'EPS
On en arrive à ce que les collègues ne fassent plus certaines disciplines ( car il faut assurer et donc "toucher" les élèves ) et il y a bien longtemps que la possibilité de se doucher après l'EPS n'existe plus.
_________________
Pourvu que ça dure...
- marmotte05Niveau 1
Ben si... le gymnase est attenant au collège et dans les vestiaires, il y a des douches . Ce qui lui est reproché par rapport aux vestiaires des filles, c'est qu'elles mettent deux plombs à se préparer et sortir des vestiaires et qu'après avoir tambouriné à leur porte, il entre pour leur demander de se bouger. ;-)
- grandesvacancesNeoprof expérimenté
Donc si je comprends bien il s'agissait d'une cabale ? Les deux profs suspendus ont instrumentalisé les parents d'élèves pour nuire à leur collègue ?
Joli-joli !
Joli-joli !
- thrasybuleDevin
Pitoyable, lamentable, et regardez comme ça a bien fonctionné.
- roxanneOracle
"les deux professeurs de sports qui s’étaient associés activement aux plaintes d’un collectif de parents d’élèves."
"Alors qu’une plainte contre X pour diffamation avait même été signée par l’ensemble de la communauté éducative afin de sanctionner le caractère exagéré, voire calomnieux, de ces dénonciations"
" une pensée pour les autres professeurs visés par les plaintes et qui, eux, à la différence des accusateurs, ne sont pas sanctionnés "
"La première, à suivre, c’est que le « collectif » à l’origine de ces plaintes assure être « toujours aussi motivé », « prêt à en référer au ministre de l’Éducation nationale », « pressé de rencontrer les fédérations de parents d’élèves », et « déjà en train de préparer d’autres actions », "
Et bien, il y a une sacrée bonne ambiance dans ce bahut......Ca doit être trop sympa d'y travailler, ça doit bien rigoler en sdp...
"Alors qu’une plainte contre X pour diffamation avait même été signée par l’ensemble de la communauté éducative afin de sanctionner le caractère exagéré, voire calomnieux, de ces dénonciations"
" une pensée pour les autres professeurs visés par les plaintes et qui, eux, à la différence des accusateurs, ne sont pas sanctionnés "
"La première, à suivre, c’est que le « collectif » à l’origine de ces plaintes assure être « toujours aussi motivé », « prêt à en référer au ministre de l’Éducation nationale », « pressé de rencontrer les fédérations de parents d’élèves », et « déjà en train de préparer d’autres actions », "
Et bien, il y a une sacrée bonne ambiance dans ce bahut......Ca doit être trop sympa d'y travailler, ça doit bien rigoler en sdp...
- BabayagaGrand sage
Evidemment on ne peut jamais savoir toute la vérité quand une affaire éclate, mais j'avoue que dès les premières lignes, j'ai envisagé la cabale. Mon père a été accusé à tort d'attouchements (prof de collège), ma mère a été accusée à tort de violences sur un enfant de maternelle (instit en PS), tout ça sans médiatisation et avec une fin heureuse, mais ça aurait pu être tragique. C'est plus fréquent qu'on ne le pense.
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- roxanneOracle
Mais que des parents s'emballent c'est déjà lamentable, mais que des collègues s'engouffrent dans la brèche , ça me laisse consternée et bien triste sur ce que devient notre profession.
- JPhMMDemi-dieu
*Consternation*
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- BabayagaGrand sage
Oui et non, Roxanne. Je n'ai pas envie d'être triste car il y a des brebis galeuses, il y en a dans tous les corps de métier, donc chez nous aussi, c'est inévitable.
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- roxanneOracle
Mais là c'est autre chose.On est dans un boulot où (pour l'instant) on peut quand même bosser en ignorant ses collègues, où on n'est pas en concurrence.Donc, quel est l'intérêt de vouloir dézinguer quelqu'un ?
- Fesseur ProGuide spirituel
C'est de moins en moins évident de ne pas travailler un minimum en équipe.
Sans compter que c'est très agréable quand on y parvient.
Sans compter que c'est très agréable quand on y parvient.
_________________
Pourvu que ça dure...
- thrasybuleDevin
Si tu trouves ça agréable, grand bien te fasse. Mais n'en fais pas une généralité.Fesseur Pro a écrit:C'est de moins en moins évident de ne pas travailler un minimum en équipe.
Sans compter que c'est très agréable quand on y parvient.
- BabayagaGrand sage
+1 Je suis bien contente d'être seule dans ma matière dans mon bahut n°1. Dans le n°2 on est deux et ça se passe super bien, mais je n'aimerais pas travailler en équipe avec n'importe qui...
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- BientôtlesudFidèle du forum
Le fonctionnement d'une équipe d'EPS est tributaire des installations. L'organisation des rotations sur celles-ci influe les emplois du temps (C'est pourquoi dans certains établissements, l'équipe d'EPS élabore elle-même ses emplois du temps...).roxanne a écrit:Mais là c'est autre chose.On est dans un boulot où (pour l'instant) on peut quand même bosser en ignorant ses collègues, où on n'est pas en concurrence.Donc, quel est l'intérêt de vouloir dézinguer quelqu'un ?
De plus, une coordination est nécessaire pour le fonctionnement de l'AS, mais aussi pour certaines activités type cross du collège.
On comprend facilement que jalousies et inimités puissent apparaître dans ce contexte par rapport à d'autres matières.
- InvitéOHabitué du forum
Babayaga, tu réfléchis trop cloisonné! Ouvre, ouvre, "travailler en équipe" c'est aussi travailler en transdisciplinaire, décloisonner, quoi...
- roxanneOracle
Jalousie, ok, mais être prêt à foutre en l'air la carrière d'un collègue pour un edt, on est où là?Bientôtlesud a écrit:Le fonctionnement d'une équipe d'EPS est tributaire des installations. L'organisation des rotations sur celles-ci influe les emplois du temps (C'est pourquoi dans certains établissements, l'équipe d'EPS élabore elle-même ses emplois du temps...).roxanne a écrit:Mais là c'est autre chose.On est dans un boulot où (pour l'instant) on peut quand même bosser en ignorant ses collègues, où on n'est pas en concurrence.Donc, quel est l'intérêt de vouloir dézinguer quelqu'un ?
De plus, une coordination est nécessaire pour le fonctionnement de l'AS, mais aussi pour certaines activités type cross du collège.
On comprend facilement que jalousies et inimités puissent apparaître dans ce contexte par rapport à d'autres matières.
- thrasybuleDevin
+1, c'est complètement de l'ordre du pathologique à ce niveauroxanne a écrit:Jalousie, ok, mais être prêt à foutre en l'air la carrière d'un collègue pour un edt, on est où là?Bientôtlesud a écrit:Le fonctionnement d'une équipe d'EPS est tributaire des installations. L'organisation des rotations sur celles-ci influe les emplois du temps (C'est pourquoi dans certains établissements, l'équipe d'EPS élabore elle-même ses emplois du temps...).roxanne a écrit:Mais là c'est autre chose.On est dans un boulot où (pour l'instant) on peut quand même bosser en ignorant ses collègues, où on n'est pas en concurrence.Donc, quel est l'intérêt de vouloir dézinguer quelqu'un ?
De plus, une coordination est nécessaire pour le fonctionnement de l'AS, mais aussi pour certaines activités type cross du collège.
On comprend facilement que jalousies et inimités puissent apparaître dans ce contexte par rapport à d'autres matières.
- CeladonDemi-dieu
Deux psychopathes dans le même bahut ?
- BientôtlesudFidèle du forum
Oui je te rejoins, je disais simplement qu'il est difficile d'ignorer ses collègues quand on est prof d'EPS. La concurrence entre collègues peut de plus exister partout, il n'y qu'à voir comment tournent parfois les évaluations communes.roxanne a écrit:Jalousie, ok, mais être prêt à foutre en l'air la carrière d'un collègue pour un edt, on est où là?Bientôtlesud a écrit:Le fonctionnement d'une équipe d'EPS est tributaire des installations. L'organisation des rotations sur celles-ci influe les emplois du temps (C'est pourquoi dans certains établissements, l'équipe d'EPS élabore elle-même ses emplois du temps...).roxanne a écrit:Mais là c'est autre chose.On est dans un boulot où (pour l'instant) on peut quand même bosser en ignorant ses collègues, où on n'est pas en concurrence.Donc, quel est l'intérêt de vouloir dézinguer quelqu'un ?
De plus, une coordination est nécessaire pour le fonctionnement de l'AS, mais aussi pour certaines activités type cross du collège.
On comprend facilement que jalousies et inimités puissent apparaître dans ce contexte par rapport à d'autres matières.
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- Un professeur accusé de faire chanter des parents d'élèves.
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