Nos dernières lectures - à partager sans modération !

Vraiment crevée le soir après mes journées de travaux, j'ai presque honte de l'avouer... je lis Diana Gabaldon! En ce moment dans le 3e (ou 5e selon l'édition) volume, je me régale! C'est romanesque, rocambelesque, cousu de fil blanc, mais ça repose!
Alors que mon Ebook est chargé de classiques que je compatis (re)lire pour la rentrée...

Angua a écrit:Vraiment crevée le soir après mes journées de travaux, j'ai presque honte de l'avouer... je lis Diana Gabaldon! En ce moment dans le 3e (ou 5e selon l'édition) volume, je me régale! C'est romanesque, rocambelesque, cousu de fil blanc, mais ça repose!
Alors que mon Ebook est chargé de classiques que je compatis (re)lire pour la rentrée...

Tu comptais les relire ? Ce n'est pas pour l'orthographe que je le souligne, c'est que cela fait un joli lapsus. Je compatis pour ces pauvres classiques qui m'attendent, alors que je lis Diana Gabaldon... Que je ne connais pas du tout, au passage.

Lula a écrit:

Tu comptais les relire ? Ce n'est pas pour l'orthographe que je le souligne, c'est que cela fait un joli lapsus. Je compatis pour ces pauvres classiques qui m'attendent, alors que je lis Diana Gabaldon... Que je ne connais pas du tout, au passage.

Oups! Oui, je "comptais" les relire!
Quand je le dis que j'ai eu à peine assez de vacances!

Angua a écrit:

Lula a écrit:

Tu comptais les relire ? Ce n'est pas pour l'orthographe que je le souligne, c'est que cela fait un joli lapsus. Je compatis pour ces pauvres classiques qui m'attendent, alors que je lis Diana Gabaldon... Que je ne connais pas du tout, au passage.

Oups! Oui, je "comptais" les relire!
Quand je le dis que j'ai eu à peine assez de vacances!

C'est vraiment pour rire, Angua, j'espère que tu n'es pas gênée.

Lula a écrit:[

C'est vraiment pour rire, Angua, j'espère que tu n'es pas gênée.

Non, je ne m'étais pas relue et j'avoue que ça m'a bien fait rire!

J'ai lu Mémoire en cage de Thierry Jonquet : excellent. Billet sur mon blog.

Fini De l'eau pour les éléphants, de Sara Gruen, la jolie histoire d'un homme devenu vieux qui se remémore sa jeunesse passée dans un cirque.

Aujourd'hui, sur mon blog, Le grand cahier d'Agota Kristof

Soudain dans la forêt profonde d'Amos Oz :

Un village au bout du monde, triste et gris, encerclé par des forêts épaisses et sombres. Un village maudit : toutes les bêtes, tous les oiseaux et même les poissons de la rivière l'ont déserté. Depuis, ses habitants se barricadent chez eux dès la nuit tombée, terrorisés par la créature mystérieuse nommée Nehi, et interdisent aux enfants de pénétrer dans la forêt. Mais surtout, ils gardent le silence. Personne ne veut se souvenir des animaux ni évoquer la vie d'avant. Seule Emmanuela, l'institutrice du village, tente d'enseigner aux élèves à quoi ressemblaient ces animaux disparus. Deux enfants de la classe, Matti et Maya, décident alors d'élucider le mystère et s'aventurent dans la forêt en dépit de l'interdit...

Acheté pour sa couverture que je trouvais pimpante, pour sa 4ème de couverture qui parle de parabole sur la tolérance. C'est un joli récit.
(Ce livre fait partie du nouveau programme de 3ème.)

Le tout dernier Orsenna qui s'ajoute aux autres contes grammaticaux inaugurés par la grammaire est une chanson douce.

Après La grammaire est une chanson douce, après Les Chevaliers du Subjonctif, après La révolte des accents, Erik Orsenna poursuit les aventures grammaticales de son héroïne Jeanne et de son frère Tom. Ou comment vont-ils découvrir cette fois l’art de ponctuer leur vie… Jeanne a seize ans désormais. Depuis les débuts de son exploration de la grammaire, elle a grandi et s’est enhardie. Elle est aujourd’hui à la tête d’un commerce illicite : elle rédige et monnaye les devoirs des élèves de l’île. De fil en aiguille, elle va devenir le nègre des hommes politiques et rédiger leurs discours. C’est à cette occasion, l’élargissement de sa clientèle au monde politique, que l’importance de la ponctuation lui saute aux yeux, ou plutôt aux oreilles. Avec l’aide de Tom, son frère musicien, elle apprend les bases de la musique et du rythme pour parfaire les discours qu’elle écrit. Car qu’est-ce qu’un discours sinon une sorte de chanson où la musique, le ton, le rythme jouent un rôle aussi grand que les paroles ?

J'ai adoré ! D'ailleurs, je l'ai acheté hier vers 15 H .... c'est dire. :lol: Billet plus long sur mon blog.

Lu un secret, de P Grimbert, que je vais faire en 3e cette année. pas mal, mais 'jai été influencée par le film que j'avais vu.

Lu L'empreinte de l'ange de Nancy Huston, magnifique. Billet sur mon blog

Miss Charity, de Marie-Aude Murail. C'est la biographie romancée de Beatrix Potter, la créatrice de Peter Rabbit! Très très bien.

Carabas a écrit:Miss Charity, de Marie-Aude Murail. C'est la biographie romancée de Beatrix Potter, la créatrice de Peter Rabbit! Très très bien.

C'est fou, je l'ai vu en librairie, et j'ai eu très envie de l'acheter... Je ne suis pourtant pas sûre d'avoir le temps de me lancer dans un pavé.

Lula a écrit:

Carabas a écrit:Miss Charity, de Marie-Aude Murail. C'est la biographie romancée de Beatrix Potter, la créatrice de Peter Rabbit! Très très bien.

C'est fou, je l'ai vu en librairie, et j'ai eu très envie de l'acheter... Je ne suis pourtant pas sûre d'avoir le temps de me lancer dans un pavé.

En même temps, Murail, ça se lit très vite. Vraiment, je recommande.

Si loin de vous de Nina Revoyr, intrigue tournant autour du cinéma muet. Billet sur mon blog.

Carabas a écrit:

Lula a écrit:

Carabas a écrit:Miss Charity, de Marie-Aude Murail. C'est la biographie romancée de Beatrix Potter, la créatrice de Peter Rabbit! Très très bien.

C'est fou, je l'ai vu en librairie, et j'ai eu très envie de l'acheter... Je ne suis pourtant pas sûre d'avoir le temps de me lancer dans un pavé.

En même temps, Murail, ça se lit très vite. Vraiment, je recommande.

Merci.

Miss Charity ? Même si c'est un pavé, ça se lit très vite ! Il faut le lire ! Il le faut !

Se réveiller dans un avion. Ne pas savoir où l'on est ni où l'on va. N'avoir aucun souvenir des deux semaines qui viennent de s'écouler. Avoir des dents cassées, un trou dans la joue et le corps couvert de bleus. Etre sans argent, sans papiers, sans travail et recherché par la police dans trois États. Être alcoolique depuis dix ans et accro au crack depuis trois. N'avoir que vingt-trois ans et déjà un terrible choix à faire : fêter ses vingt-quatre ans ou continuer à se droguer. James choisit de vivre. Dans le centre de désintoxication où l'ont emmené ses parents, entre un juge, un truand, un boxeur, une jeune fille droguée et prostituée par sa mère et une formidable équipe soignante, James réapprend la confiance, l'amitié et l'amour. Mais son combat contre la dépendance, il décidera de le mener seul. Et il sera seul, aussi, pour assumer les conséquences de ses actes passés, et se construire un avenir...

Le livre est sorti comme un témoignage véridique, puis un site a démenti certains faits.
Du coup, c'est un livre difficile à lire, rien n'est épargné : sang, vomi et déchéance, alors si en plus le lecteur est obligé de se demander si les faits racontés sont vrais ou faux ...
Je n'ai pas terminé ce livre.

J'adore ce bouquin, et je vous en recommande la lecture :


Présentation de l'éditeur
Manhattan est l'arène où se joue le dernier acte du monde occidental. Avec l'explosion démographique et l'invasion des nouvelles technologies, Manhattan, depuis le milieu du XIXe siècle est devenu le laboratoire d'une nouvelle culture - celle de la congestion - ; une île mythique où se réalise l'inconscient collectif d'un nouveau mode de vie métropolitain, une usine de l'artificiel où naturel et réel ont cessé d'exister. New York Délire est un " manifeste rétroactif ", une interprétation de la théorie informulée, sous-jacente au développement de Manhattan ; c'est le récit des intrigues d'un urbanisme qui, des origines à Coney Island jusqu'aux théoriciens du gratte-ciel, a fait exploser la grille d'origine. Ce livre, polémique et prémonitoire (publié en 1978), illustre les relations entre un univers métropolitain mutant et la seule architecture qu'il puisse produire. Il dit aussi que, souvent, l'architecture génère la culture.

Biographie de l'auteur
Rem Koolhaas s'est d'abord installé à New York en 1972 où il devient membre du Manhattan's Institute for Architecture and Urban Studies. Il fonde l'Office for Metropolitan Architecture (OIVIA) et poursuit son activité d'architecte depuis Rotterdam à partir de 1978. Il a été lauréat du célèbre Pritzker Price en 2000 pour l'ensemble de son oeuvre architecturale.

Je ne connais pas du tout Myfarenier ! Je regarderai ce bouquin d'un peu plus près !



Lettre d'une inconnue de Zweig :
Un amour total, passionnel, désintéressé, tapi dans l'ombre, n'attendant rien en retour que de pouvoir le confesser. Une blessure vive, la perte d'un enfant, symbole de cet amour que le temps n'a su effacer ni entamer. Une déclaration fanatique, fiévreuse, pleine de tendresse et de folie. La voix d'une femme qui se meurt doucement, sans s'apitoyer sur elle-même, tout entière tournée vers celui qu'elle admire plus que tout. Avec Lettre d'une inconnue Stefan Zweig pousse plus loin encore l'analyse du sentiment amoureux et de ses ravages, en nous offrant un cri déchirant d'une profonde humanité. Ici nulle confusion des sentiments : la passion est absolue, sans concession, si pure qu'elle touche au sublime.

Eh bien, je suis un peu déçue. Pas emportée comme je l'avais été pour Voyage dans le passé, il m'a manqué un petit quelque chose. Et puis, j'ai trouvé ce récit trop romantique ...

Je ne connais pas du tout Myfarenier !

Moi non plus. Je suis tombée dessus chez Gibert. Et comme le 4e de couv' m'a plu, j'ai acheté. Les pages sur Coney Island sont extraordinaires...

Lu "Nouveaux Indiens" de Bonnerave. Beurk, je déconseille.

D'où vient la lettre A ?
Que signifie alphabet ?
Pourquoi le O est-il rond ?
Pourquoi le mot "maman" commence-t-il par la lettre M ?

Dans ce livre, un professeur de littérature comparée revient sur les différents alphabets en s'intéressant particulièrement à l'alphabet protosinaïtique.
Super intéressant !

J'ai terminé hier Bouvard et Pécuchet.

Nous sommes en 1691 et ¨Loïs Barclay arrive à Salem pour rejoindre un oncle, après la mort de ses parents en Angleterre. Elle se retrouve seule et isolée dans cette Nouvelle-Angleterre où va avoir lieu l'un des épisodes les plus tragiques de la jeune Amérique.
En s'appuyant sur des faits historiques, comptes rendus des procès et suites de l'affaire, Elizabeth Gaskell nous montre jusqu'où la folie des hommes peut mener. C'est aussi un livre sur l'innocence bafouée.


Pas un coup de cœur, mais l'écriture de Gaskell est fluide, et le tout est bien amené ! On ne tombe jamais dans le pathos ...