- boris vassilievGrand sage
Encore, les questions des concours, elles peuvent majoritairement servir pour les programmes (à part celle-ci, bien sûr, et d'autres sans doute). Mais ce sont surtout certaines UV suivies en licence sur des sujets qui correspondent avant tout à telle ou telle "niche" occupée par un prof, mais ne donnent pas vraiment de repères généraux.
- VanGogh59Expert spécialisé
Pareil pour moi pour l'histoire contemporaine avec nations et nationalismes au XIXéme...Par contre pour l'antiquité, la grèce archaïque : moyen pour l'enseignement au collège...
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"Nous sommes tous dans le caniveau, mais certains d'entre nous regardent les étoiles" Oscar Wilde
- *Fifi*Modérateur
Entièrement d'accord avec toi Boris pour la fac ! C'est de même en prépa : on bosse à fond sur un thème ultra précis.
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Pour accéder à la banque de données en HG, merci de lire le règlement ici :
https://www.neoprofs.org/t36320-bdd-hg-reglement
- Douglas ColvinNeoprof expérimenté
boris vassiliev a écrit:Encore, les questions des concours, elles peuvent majoritairement servir pour les programmes (à part celle-ci, bien sûr, et d'autres sans doute). Mais ce sont surtout certaines UV suivies en licence sur des sujets qui correspondent avant tout à telle ou telle "niche" occupée par un prof, mais ne donnent pas vraiment de repères généraux.
Cela ne me semble pas grave, au contraire.
Mais pour les concours, il faudrait vraiment balayer l'ensemble des programmes du secondaire.
- ShajarVénérable
Je mesure chaque jour la chance d'avoir eu à l'école du Louvre (en histoire de l'art, donc, pas en histoire) un programme d'enseignement général qui couvrait l'ensemble du monde et du temps. Sur trois ans, on partait de la préhistoire et on arrivait au XXe, en ayant balayé les régions européennes et extra-européennes. Certes, les connaissances demandées restaient assez superficielles (pas plus de 12h sur la Renaissance, par exemple, dans un cycle de 3 ans, TD non-inclus), mais avoir une vision synthétique et à niveau universitaire des grandes évolutions du monde est un préalable indispensable à tout travail sérieux d'approfondissement.
Le système universitaire français est tellement cloisonné et arc-bouté sur ses antiques périodisations (Antique, Médiévale, Moderne, Contemporaine) que l'étudiant passe à côté de beaucoup de choses, et notamment d'une vision diachronique de l'histoire. L'étude thématique et pointue de quelques questions n'est pas suffisante, même en fac, et d'autant plus en fac quand on voit les actuels programmes d'histoire en secondaire et les lacunes obligatoires de tout étudiant qui débarque après son bac. Ce manque de culture générale et de vision globale de l'histoire est encore parfaitement sensible lors des oraux de HP à l'agreg... C'est bien dommage.
Je me souviens que lorsque j'ai voulu m'inscrire en thèse il y a deux ans, il a fallu absolument me positionner dans une catégorie ("oui, mais vous voulez travailler en moderne ou en contemporaine ?"), qui allait m'amener vers un professeur, un système de pensée et d'enseignement complètement différent. Un truc que je n'avais jamais ressenti jusqu'ici, en étant spécialisée dans les arts de l'Islam, où je balaye allègrement toutes les périodes, depuis l'antiquité tardive jusqu'à la contemporaine.
Ce cloisonnement est regrettable car il ne correspond pas à une réalité historique précise, ou tout du moins il accentue fortement des coupures chronologiques spécifiquement européennes et qui nécessiteraient des approches bien plus nuancées. Il ne favorise pas non plus les études sur le temps long, donc les études de phénomène structurels (sociaux, culturels), et favorise au contraire le conjoncturel, l'économique, le politique, pour lequel une histoire existe déjà depuis longtemps et peine parfois à se renouveler.
Et les chiens ne faisant pas des chats, les programmes de secondaire, qu'on veut de plus en plus calquer sur le supérieur (mais pourquoi donc ? au prétexte d'une adaptation historiographique nécessaire ?), et fabriqués par des enseignants de supérieur (entre autres) se ressentent de ce cloisonnement.
Le système universitaire français est tellement cloisonné et arc-bouté sur ses antiques périodisations (Antique, Médiévale, Moderne, Contemporaine) que l'étudiant passe à côté de beaucoup de choses, et notamment d'une vision diachronique de l'histoire. L'étude thématique et pointue de quelques questions n'est pas suffisante, même en fac, et d'autant plus en fac quand on voit les actuels programmes d'histoire en secondaire et les lacunes obligatoires de tout étudiant qui débarque après son bac. Ce manque de culture générale et de vision globale de l'histoire est encore parfaitement sensible lors des oraux de HP à l'agreg... C'est bien dommage.
Je me souviens que lorsque j'ai voulu m'inscrire en thèse il y a deux ans, il a fallu absolument me positionner dans une catégorie ("oui, mais vous voulez travailler en moderne ou en contemporaine ?"), qui allait m'amener vers un professeur, un système de pensée et d'enseignement complètement différent. Un truc que je n'avais jamais ressenti jusqu'ici, en étant spécialisée dans les arts de l'Islam, où je balaye allègrement toutes les périodes, depuis l'antiquité tardive jusqu'à la contemporaine.
Ce cloisonnement est regrettable car il ne correspond pas à une réalité historique précise, ou tout du moins il accentue fortement des coupures chronologiques spécifiquement européennes et qui nécessiteraient des approches bien plus nuancées. Il ne favorise pas non plus les études sur le temps long, donc les études de phénomène structurels (sociaux, culturels), et favorise au contraire le conjoncturel, l'économique, le politique, pour lequel une histoire existe déjà depuis longtemps et peine parfois à se renouveler.
Et les chiens ne faisant pas des chats, les programmes de secondaire, qu'on veut de plus en plus calquer sur le supérieur (mais pourquoi donc ? au prétexte d'une adaptation historiographique nécessaire ?), et fabriqués par des enseignants de supérieur (entre autres) se ressentent de ce cloisonnement.
- HérodouteGrand sage
Pour rappel : l'Université (histoire) en France ne forme pas des profs mais des chercheurs... Si cela pouvait se comprendre auparavant, ce n'est plus le cas aujourd'hui => quand on voit la différence de connaissances d'une matière à l'autre au moment du concours, ça fait peur...
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"Le réchauffement climatique ? Deux degrés de plus, c'est que dalle, non ?", philosophe anonyme de la télé-réalité.
- ParatgeNeoprof expérimenté
Marc Ferro (certifié) raconte que Braudel l'avait choisi comme collaborateur car ayant raté l'agreg plusieurs fois, Ferro connaissait bien plein de périodes différentes et l'avait impressionné !
- ArtysiaVénérable
Petite question bibliographique. Mon anniversaire arrive et je compte demander des livres d'histoire. J'étais tentée par des tomes de l'histoire de France de Belin, je peux y aller en toute confiance ?
- Lux_Fidèle du forum
A l'université, en histoire, il me semble qu'en DEUG, j'avais étudié toutes les périodes de l'Antiquité (avec même un module supplémentaire pour les courageux sur la Préhistoire) à l'époque contemporaine (à l'exception notable de la Révolution française, puisque ni les enseignants de l'époque moderne, ni ceux de l'époque contemporaine n'en voulaient).
En Licence, les sujets étaient plus ciblés sur une période plus courte, une zone géographique, une thématique spécifique.
Et en concours, les questions le sont encore d'avantage. Même si ces sujets sont hyper ciblés, et parfois bien loin de ce que nous enseignons dans le Secondaire, cela permet quand même d'avoir acquis de sérieuses connaissances et surtout méthodes de travail (savoir comment bosser un nouveau thème, jusqu'où aller dans le détail avec des collégiens / lycéens, habitude qui s'acquiert progressivement au cours de nos années d'enseignement).
En géographie, je pense que ce que j'ai appris à la fac s'appliquait pas mal aux anciens programmes et suit la plupart des nouveaux, à charge pour nous de renouveler régulièrement les informations élémentaires qui changent régulièrement. Par contre, le truc que j'ai trouvé quand même dur au niveau des changements de programmes, ce fut la 5e et toute la géographie environnementale et le développement durable, thème très en vogue depuis quelques années. J'ai parfois l'impression de faire plus de "l'éco-citoyenneté" que de la géographie telle que je l'avais apprise en fac. Je n'avais jamais fait de géographie environnementale en fac, et ce qui nous a permis de maitriser le sujet fut l'arrivée d'un jeune collègue (dû au départ d'un ancien en retrait) et qui, lui, avait étudié cela en fac... D'où quelques infos et surtout conseils de lecture fort intéressants. Ce n'est pas toujours facile de suivre les évolutions de programme et d'être au top dans tous les chapitres (surtout que la motivation peut varier avec l'intérêt éprouvé pour tel ou tel thème :lol: )
C'est aussi un problème que je connais ! le cloisonnement des disciplines et des périodes...
En Licence, les sujets étaient plus ciblés sur une période plus courte, une zone géographique, une thématique spécifique.
Et en concours, les questions le sont encore d'avantage. Même si ces sujets sont hyper ciblés, et parfois bien loin de ce que nous enseignons dans le Secondaire, cela permet quand même d'avoir acquis de sérieuses connaissances et surtout méthodes de travail (savoir comment bosser un nouveau thème, jusqu'où aller dans le détail avec des collégiens / lycéens, habitude qui s'acquiert progressivement au cours de nos années d'enseignement).
En géographie, je pense que ce que j'ai appris à la fac s'appliquait pas mal aux anciens programmes et suit la plupart des nouveaux, à charge pour nous de renouveler régulièrement les informations élémentaires qui changent régulièrement. Par contre, le truc que j'ai trouvé quand même dur au niveau des changements de programmes, ce fut la 5e et toute la géographie environnementale et le développement durable, thème très en vogue depuis quelques années. J'ai parfois l'impression de faire plus de "l'éco-citoyenneté" que de la géographie telle que je l'avais apprise en fac. Je n'avais jamais fait de géographie environnementale en fac, et ce qui nous a permis de maitriser le sujet fut l'arrivée d'un jeune collègue (dû au départ d'un ancien en retrait) et qui, lui, avait étudié cela en fac... D'où quelques infos et surtout conseils de lecture fort intéressants. Ce n'est pas toujours facile de suivre les évolutions de programme et d'être au top dans tous les chapitres (surtout que la motivation peut varier avec l'intérêt éprouvé pour tel ou tel thème :lol: )
Al-qalam a écrit:Je me souviens que lorsque j'ai voulu m'inscrire en thèse il y a deux ans, il a fallu absolument me positionner dans une catégorie ("oui, mais vous voulez travailler en moderne ou en contemporaine ?"), qui allait m'amener vers un professeur, un système de pensée et d'enseignement complètement différent.
C'est aussi un problème que je connais ! le cloisonnement des disciplines et des périodes...
- Collier de BarbeNeoprof expérimenté
Artysia a écrit:Petite question bibliographique. Mon anniversaire arrive et je compte demander des livres d'histoire. J'étais tentée par des tomes de l'histoire de France de Belin, je peux y aller en toute confiance ?
Oui!!! Ils sont formidables (textes & icono feront date)
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CdB
@AbbeCordillere
- MalagaModérateur
Quand j'ai passé le CAPES, la question en médiévale portait sur l'empire byzantin. J'ai adoré étudier cela. Dommage, cela n’apparaît presque plus dans les programmes de collège (enfin si, en fin de 6e donc je n'y arrive pratiquement jamais...).
On fait tous des erreurs en cours mais l'important, c'est d'être conscient de ses lacunes et de travailler pour les combler. Pour ma part, je sais que je suis beaucoup plus à l'aise en géographie donc je bosse plus en histoire pour ne surtout pas dire de bêtises.
Quand je commence à préparer un chapitre sur lequel je n'ai pas beaucoup de connaissances, je lis et prends en note les manuels scolaires en faisant des petites recherches supplémentaires sur tel ou tel site Internet. Cela me prend un peu de temps mais c'est indispensable pour avoir une vision d'ensemble du chapitre et comprendre ce que l'on va enseigner aux élèves.
On fait tous des erreurs en cours mais l'important, c'est d'être conscient de ses lacunes et de travailler pour les combler. Pour ma part, je sais que je suis beaucoup plus à l'aise en géographie donc je bosse plus en histoire pour ne surtout pas dire de bêtises.
Quand je commence à préparer un chapitre sur lequel je n'ai pas beaucoup de connaissances, je lis et prends en note les manuels scolaires en faisant des petites recherches supplémentaires sur tel ou tel site Internet. Cela me prend un peu de temps mais c'est indispensable pour avoir une vision d'ensemble du chapitre et comprendre ce que l'on va enseigner aux élèves.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- Isis39Enchanteur
Collier de Barbe a écrit:Artysia a écrit:Petite question bibliographique. Mon anniversaire arrive et je compte demander des livres d'histoire. J'étais tentée par des tomes de l'histoire de France de Belin, je peux y aller en toute confiance ?
Oui!!! Ils sont formidables (textes & icono feront date)
Je confirme !!
- Ingeborg B.Esprit éclairé
C'est ce qui est demandé pour l'oral de l'agreg interne... titanesque !Douglas Colvin a écrit:boris vassiliev a écrit:Encore, les questions des concours, elles peuvent majoritairement servir pour les programmes (à part celle-ci, bien sûr, et d'autres sans doute). Mais ce sont surtout certaines UV suivies en licence sur des sujets qui correspondent avant tout à telle ou telle "niche" occupée par un prof, mais ne donnent pas vraiment de repères généraux.
Cela ne me semble pas grave, au contraire.
Mais pour les concours, il faudrait vraiment balayer l'ensemble des programmes du secondaire.
- Alexandre 06Niveau 5
Isis39 a écrit:Collier de Barbe a écrit:Artysia a écrit:Petite question bibliographique. Mon anniversaire arrive et je compte demander des livres d'histoire. J'étais tentée par des tomes de l'histoire de France de Belin, je peux y aller en toute confiance ?
Oui!!! Ils sont formidables (textes & icono feront date)
Je confirme !!
Je confirme, j'ai eu la même idée que toi et j'ai déjà la moitié de la collection du coup. Ils sont vraiment très bons, surtout pour les cartes et la partie sur le travail de l'historien.
- User5776Habitué du forum
Autant je prends beaucoup de plaisir à être devant les élèves ou à refeuilleter des manuels universitaires, autant la préparation de cours est ma terreur absolue.
Suis-je seul dans cette catégorie?
Suis-je seul dans cette catégorie?
- boris vassilievGrand sage
Rrrrhôôôô, j'ose pas, mais...
Je suis en vacances depuis 17h
Non, sérieux, je compatis vraiment avec ceux qui ont encore 1 ou 2 semaines à tenir. On est vraiment privilégié cette année dans la zone B au niveau de la régularité du rythme. Et en plus on aura trois jours fériés de plus que les Parisiens qui seront en vacances début mai.
Déjà, au bout de ces six semaines, j'ai fini à l'état de pantin qui s'énerve pour un oui ou pour un non. Il n'y avait pas de conseils, mais je n'ai pas vraiment pu m'avancer pendant les vacances de Noël donc j'ai "subi" dès la 2e semaine de janvier.
Je suis en vacances depuis 17h
Non, sérieux, je compatis vraiment avec ceux qui ont encore 1 ou 2 semaines à tenir. On est vraiment privilégié cette année dans la zone B au niveau de la régularité du rythme. Et en plus on aura trois jours fériés de plus que les Parisiens qui seront en vacances début mai.
Déjà, au bout de ces six semaines, j'ai fini à l'état de pantin qui s'énerve pour un oui ou pour un non. Il n'y avait pas de conseils, mais je n'ai pas vraiment pu m'avancer pendant les vacances de Noël donc j'ai "subi" dès la 2e semaine de janvier.
- Douglas ColvinNeoprof expérimenté
groyer a écrit:C'est ce qui est demandé pour l'oral de l'agreg interne... titanesque !Douglas Colvin a écrit:boris vassiliev a écrit:Encore, les questions des concours, elles peuvent majoritairement servir pour les programmes (à part celle-ci, bien sûr, et d'autres sans doute). Mais ce sont surtout certaines UV suivies en licence sur des sujets qui correspondent avant tout à telle ou telle "niche" occupée par un prof, mais ne donnent pas vraiment de repères généraux.
Cela ne me semble pas grave, au contraire.
Mais pour les concours, il faudrait vraiment balayer l'ensemble des programmes du secondaire.
On peut imaginer d'insister plus sur certaines grandes périodes selon les années. Moi je reste convaincu que ce serait la meilleure des choses à faire.
- boris vassilievGrand sage
Rom1ratm a écrit:Autant je prends beaucoup de plaisir à être devant les élèves ou à refeuilleter des manuels universitaires, autant la préparation de cours est ma terreur absolue.
Suis-je seul dans cette catégorie?
Pour ma part, j'aime bien préparer les cours, même si c'est moins marrant quand il faut travailler dans l'urgence.
C'est corriger qui me pèse de plus en plus : dans un weekend, j'entrecoupe les corrections par des préparations pour me "faire plaisir" (enfin, façon de parler, c'est tout à fait relatif).
Pendant plusieurs années (au collège), j'ai appréhendé de faire cours devant les élèves, mais maintenant ça va sauf contrariété particulière.
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- User5776Habitué du forum
J'aime bien quand j'ai le temps à la rigueur.
Je trouve toujours ce que font les autres bien mieux que mes cours perso.
Mais j'ai l'impression de jamais avoir progresser sur ce point et que je n'ai pas la motivation. Alors qu'en classe, j'ai la pêche.
Je trouve toujours ce que font les autres bien mieux que mes cours perso.
Mais j'ai l'impression de jamais avoir progresser sur ce point et que je n'ai pas la motivation. Alors qu'en classe, j'ai la pêche.
- Isis39Enchanteur
Rom1ratm a écrit:Autant je prends beaucoup de plaisir à être devant les élèves ou à refeuilleter des manuels universitaires, autant la préparation de cours est ma terreur absolue.
Suis-je seul dans cette catégorie?
Ah bon ? Moi j'adore ça ! (
- ShajarVénérable
Tout pareil ! Sauf que l’appréhension à être devant les élèves varie beaucoup selon les classes.boris vassiliev a écrit:Rom1ratm a écrit:Autant je prends beaucoup de plaisir à être devant les élèves ou à refeuilleter des manuels universitaires, autant la préparation de cours est ma terreur absolue.
Suis-je seul dans cette catégorie?
Pour ma part, j'aime bien préparer les cours, même si c'est moins marrant quand il faut travailler dans l'urgence.
C'est corriger qui me pèse de plus en plus : dans un weekend, j'entrecoupe les corrections par des préparations pour me "faire plaisir" (enfin, façon de parler, c'est tout à fait relatif).
Pendant plusieurs années (au collège), j'ai appréhendé de faire cours devant les élèves, mais maintenant ça va sauf contrariété particulière.
- GDNiveau 10
J'aime bien préparer les cours, c'est la correction des copies qui me pèse.
- Fesseur ProGuide spirituel
Rom1ratm a écrit:
Je trouve toujours ce que font les autres bien mieux que mes cours perso.
Mais j'ai l'impression de jamais avoir progressé sur ce point et que je n'ai pas la motivation. Alors qu'en classe, j'ai la pêche.
Tout pareil.
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Pourvu que ça dure...
- *Fifi*Modérateur
J'étais suuuuuuuuuuuuuuuuuure que tu allais poster !!! J'y ai pense en fin d'après midi !boris vassiliev a écrit:Rrrrhôôôô, j'ose pas, mais...
Je suis en vacances depuis 17h
Non, sérieux, je compatis vraiment avec ceux qui ont encore 1 ou 2 semaines à tenir. On est vraiment privilégié cette année dans la zone B au niveau de la régularité du rythme. Et en plus on aura trois jours fériés de plus que les Parisiens qui seront en vacances début mai.
Déjà, au bout de ces six semaines, j'ai fini à l'état de pantin qui s'énerve pour un oui ou pour un non. Il n'y avait pas de conseils, mais je n'ai pas vraiment pu m'avancer pendant les vacances de Noël donc j'ai "subi" dès la 2e semaine de janvier.
Je vois que tu as déjà compte les jours féries !!
Moi je suis exténuée : j'ai très très mal dormi, les heures de surveillance au brevet ne m'ont pas réveillées et je me suis énervée pour rien contre quelques élèves. Je sens que je vais avoir les parents sur le dos... Pff.
J'étais tellement crevée que j'ai ouvert la vitre pour ne pas m'endormir sur la route du retour et une fois arrivée je n'ai pas décollé du canapé.
Demain j'ai cours ou surveillance non stop, aucune envie. En plus on reçoit des gens le soir donc il va falloir que je prépare et j'ai honte mais je râle par avance de ne pas pouvoir me coucher tôt ! Cette fatigue me rend asociale !
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- MalagaModérateur
*Fifi* a écrit:J'étais suuuuuuuuuuuuuuuuuure que tu allais poster !!! J'y ai pense en fin d'après midi !boris vassiliev a écrit:Rrrrhôôôô, j'ose pas, mais...
Je suis en vacances depuis 17h
Non, sérieux, je compatis vraiment avec ceux qui ont encore 1 ou 2 semaines à tenir. On est vraiment privilégié cette année dans la zone B au niveau de la régularité du rythme. Et en plus on aura trois jours fériés de plus que les Parisiens qui seront en vacances début mai.
Déjà, au bout de ces six semaines, j'ai fini à l'état de pantin qui s'énerve pour un oui ou pour un non. Il n'y avait pas de conseils, mais je n'ai pas vraiment pu m'avancer pendant les vacances de Noël donc j'ai "subi" dès la 2e semaine de janvier.
Je vois que tu as déjà compte les jours féries !!
Moi je suis exténuée : j'ai très très mal dormi, les heures de surveillance au brevet ne m'ont pas réveillées et je me suis énervée pour rien contre quelques élèves. Je sens que je vais avoir les parents sur le dos... Pff.
J'étais tellement crevée que j'ai ouvert la vitre pour ne pas m'endormir sur la route du retour et une fois arrivée je n'ai pas décollé du canapé.
Demain j'ai cours ou surveillance non stop, aucune envie. En plus on reçoit des gens le soir donc il va falloir que je prépare et j'ai honte mais je râle par avance de ne pas pouvoir me coucher tôt ! Cette fatigue me rend asociale !
Je ne comprends même pas que tu répondes à Boris, Fifi. Je pense que je vais demander son bannissement à John pour cruauté !
Je suis également naze de chez naze ce soir. Je suis bien contente qu'on ne fasse rien pour la Saint-Valentin avec mon homme ce soir tellement je suis fatiguée...
- User5776Habitué du forum
Ca me fait m'interroger sur ma présence dans ce corps de métier, souvent.
@Fesseur Pro : Pourtant tes cours postés sur la BDD sont bien bons...
@Fesseur Pro : Pourtant tes cours postés sur la BDD sont bien bons...
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