- Invité19Esprit sacré
cela dit je leur rappellerai, au moins à l'oral.
merci pour ta précieuse aide. J'ai des copies plus urgentes encore (et une soirée déguisée ) donc la suite ce week end...
et bon courage pour la thèse !
merci pour ta précieuse aide. J'ai des copies plus urgentes encore (et une soirée déguisée ) donc la suite ce week end...
et bon courage pour la thèse !
- CondorcetOracle
Oui, la thèse et l'article. Pour l'instant, je rédige des notes de lectures sur l'histoire de l'édition afin de combler les voies d'eau dans l'esquif ! Je râme aussi ! Bonne soiré alors !
- ShajarVénérable
Bon courage Condorcet ! C'est une super opportunité, cet article !
Et bonne soirée Oiseau. :sorciere:
Et bonne soirée Oiseau. :sorciere:
- Invité19Esprit sacré
voilà où j'en suis : intro et I (déjà postés), et maintenant le II... que je suis lente ! il me reste le III.
voir BDD
voir BDD
- ShajarVénérable
Désolée, pas le courage de relire ça ce soir... Demain, promis.
Condorcet, avant le corpus, j'ai encore besoin d'un sujet
Condorcet, avant le corpus, j'ai encore besoin d'un sujet
- boris vassilievGrand sage
Sur le contenu, je n'ai plus bien en mémoire le discours de Chirac mais sur la forme, c'est impeccable pour montrer aux élèves le va-et-viens entre le texte et les connaissances.
Ce qui m'inquiète (pas dans ce que tu écris, mais pour tous ces commentaires sur ce chapitre, je suis en train de faire le corrigé sur le discours de Malraux), c'est qu'on a tendance à attendre des analyses assez fines (nous-mêmes on doit se creuser un moment...) de la part d'élèves qui n'ont eu qu'un cours ultra-rapide sur le sujet et n'ont que de vagues souvenirs de l'an dernier, où la Résistance a dû être expédiée en une sous-partie et où la Ve République après 1962 n'a même pas été évoquée...
Là, pour l'instant, j'en suis à repérer dans mon paquet de DM ceux qui ont pompé sur internet : j'en ai trouvé deux qui ont copié un corrigé sur le discours de Malraux, mais avec l'ancien exercice (avec des questions, du coup ils n'ont copié que les réponses, mises bout à bout, sans se poser une seconde la question de savoir si ça ressemblait à l'exercice demandé...).
Ce qui m'inquiète (pas dans ce que tu écris, mais pour tous ces commentaires sur ce chapitre, je suis en train de faire le corrigé sur le discours de Malraux), c'est qu'on a tendance à attendre des analyses assez fines (nous-mêmes on doit se creuser un moment...) de la part d'élèves qui n'ont eu qu'un cours ultra-rapide sur le sujet et n'ont que de vagues souvenirs de l'an dernier, où la Résistance a dû être expédiée en une sous-partie et où la Ve République après 1962 n'a même pas été évoquée...
Là, pour l'instant, j'en suis à repérer dans mon paquet de DM ceux qui ont pompé sur internet : j'en ai trouvé deux qui ont copié un corrigé sur le discours de Malraux, mais avec l'ancien exercice (avec des questions, du coup ils n'ont copié que les réponses, mises bout à bout, sans se poser une seconde la question de savoir si ça ressemblait à l'exercice demandé...).
- Invité19Esprit sacré
oui, c'est sûr. Je me demande si à la fin de l'année (là, pas le temps, et on a fini le chapitre) je vais pas leur donner un poly des connaissances qu'ils ont besoin de maitriser sur la 2eGM (grds évènements liés à la résistance et aux FFL, rôle de De Gaulle, Révolution nationale, statut des juifs, rafle, déportation..)
sinon j'ai commencé à jeter un oeil à Religion et société aux US : je sais que vous n'avez pas encore regardé mais pour varier un peu et rendre les élèves plus actifs je me suis dit que pour une des grandes parties, je me verrais bien leur donner mon cours (éventuellement en poly même), mais uniquement les idées. Et ce sera à eux, par des petites recherches personnells (internet + ts les manuels de term qui doivent être au CDI) de me retrouver un ou 2 documents (je ferai ça par groupe sûrement, pour répartir le boulot) illustrant une idée, et de le commenter (rendu à l'écrit ?)
après je me débrouillerai pour mettre en commun à partir de leurs meilleures trouvailles.
qu'en dites vous ? ça reste encore flou mais dans l'idée ?
sinon j'ai commencé à jeter un oeil à Religion et société aux US : je sais que vous n'avez pas encore regardé mais pour varier un peu et rendre les élèves plus actifs je me suis dit que pour une des grandes parties, je me verrais bien leur donner mon cours (éventuellement en poly même), mais uniquement les idées. Et ce sera à eux, par des petites recherches personnells (internet + ts les manuels de term qui doivent être au CDI) de me retrouver un ou 2 documents (je ferai ça par groupe sûrement, pour répartir le boulot) illustrant une idée, et de le commenter (rendu à l'écrit ?)
après je me débrouillerai pour mettre en commun à partir de leurs meilleures trouvailles.
qu'en dites vous ? ça reste encore flou mais dans l'idée ?
- boris vassilievGrand sage
J'te dis, le polycop à trous, tu vas y venir !!! :lol:
Sinon, oui, ça peut être une idée. Plutôt à partir des manuels que sur internet. voire plutôt à partir "du" manuel seulement, car ça risque d'être difficile à mettre en oeuvre avec les seuls spécimens du CDI.
Sinon, oui, ça peut être une idée. Plutôt à partir des manuels que sur internet. voire plutôt à partir "du" manuel seulement, car ça risque d'être difficile à mettre en oeuvre avec les seuls spécimens du CDI.
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- Invité19Esprit sacré
bah ils auront qq jours en dehors du cours, donc à eux aussi de se relayer pour le cdi, je vais voir si c'est faisable. Internet c'est risqué en effet.
remets pas ça avec ton poly à trous honni des IPR, je trouvais mon idée bonne et là je doute du coup :lol:
mon objectif c'est de leur faire comprendre le statut d'exemple (comme dans une compo). Bon le hic c'est qu'un IPR me dirait que je me sers que de la fonction illustrative des documents, mais si je leur demande de commenter un peu, les élèves pourront voir qu'un exemple (= 1 doc) peut aussi permettre de nuancer, préciser une idée
remets pas ça avec ton poly à trous honni des IPR, je trouvais mon idée bonne et là je doute du coup :lol:
mon objectif c'est de leur faire comprendre le statut d'exemple (comme dans une compo). Bon le hic c'est qu'un IPR me dirait que je me sers que de la fonction illustrative des documents, mais si je leur demande de commenter un peu, les élèves pourront voir qu'un exemple (= 1 doc) peut aussi permettre de nuancer, préciser une idée
- ShajarVénérable
Oiseau phenix a écrit:voilà où j'en suis : intro et I (déjà postés), et maintenant le II... que je suis lente ! il me reste le III.
Le 16 juillet 1995, Jacques Chirac, qui vient d'être élu président de la République française, s'inscrit dans une tradition mémorielle présidentielle en prononçant une allocution lors des cérémonies commémoratives de la Rafle du Vel d'Hiv (date, auteur, nature du document). Les 16 et 17 juillet 1942, en pleine Seconde Guerre mondiale, la zone Nord de la France était sous occupation allemande, l'ensemble du territoire relevant de la compétence du régime de Vichy qui collaborait avec l'Allemagne hitlérienne. Pour J. Chirac, il s'agit en effet de reconnaître la responsabilité de l'Etat français dans cette rafle qui eut lieu 53 ans avant le discours, et qui vit la participation de l'administration française à la déportation de Juifs étrangers ou apatrides dans des camps de transit comme celui de Drancy. Ces populations devaient ensuite être déportées vers des camps de concentration en Europe de l'Est dans le cadre de la Solution finale. (contexte de l'évènement commémoré) Mais cette reconnaissance ne va pas forcément de soi en 1995 : preuve en est si l'on compare le discours de Jacques Chirac aux prises de position de son prédécesseur François Mitterrand, qui s'accordait à reconnaître la responsabilité du régime de Vichy, tout en affirmant qu'il n'était pas alors la France. (contexte du discours, qui me permet d'amener la problématique).Nous verrons donc en quoi les extraits de cette allocution sont une rupture dans l'histoire des politiques mémorielles de la Seconde Guerre mondiale en France (j'annonce la problématique). Si J. Chirac met l'accent sur la nécessité de lutter contre l'oubli, en particulier envers la communauté juive, ce devoir de mémoire va donc aussi à l'encontre des conceptions précédentes en reconnaissant la responsabilité collective de la France ; mais nous verrons enfin que J. Chirac met en avant "une certaine idée de la France" en cherchant à préserver l'intégrité de ses valeurs . (plan en 3 parties annoncé)
J. Chirac, en cette journée commémorative du 16 juillet 1995, met l'accent sur le devoir de mémoire de la France, concernant les traumatismes de la Seconde Guerre Mondiale. (idée directrice de la partie annoncée). Il ne se cantonne pas à l'évocation de l'événement proprement dit (la rafle du Vél d'Hiv) mais en embrasse toutes les conséquences et entend jeter les commémorer de concert. Le devoir de "transmettre la mémoire du peuple juif, des souffrances et des camps" et de "témoigner encore et encore" (ligne 10) est légitimé tant par la dimension presque indiscible du processus d'extermination nazie dont furent victimes les Juifs (rappelée aux lignes 2 à 4) que par les "Justes parmi les nations" (l. 17).
D'une part, J. Chirac emploie des périphrases pour désigner les victimes ("celles et ceux qui ont vécu la tragédie, l. 3) ou des mots génériques comme "l'horreur", pour désigner pudiquement la réalité du traumatisme. La Rafle du Vel d'Hiv a en effet marqué les populations juives vivant en France, dans la mesure où plus de 13 000 Juifs, dont plus de 4000 enfants, furent alors arrêtés avant d'être emmenés dans des camps de transit comme celui de Drancy puis d'être déportés dans des camps comme celui d'Auschwitz en vue de leur extermination. Les expressions employées ici par J. Chirac montrent bien l'idée d'une transmission orale via le témoignage qui doit être perpétué de façon à ce que les jeunes générations n'ignorent rien de ces évènements. Serge Klarsfeld, qui est évoqué à la ligne 18, en tant que défenseur de la communauté juive, a joué à cet égard un rôle important dans la mise en avant de la mémoire juive sur la scène médiatique.
D'autre part, J. Chirac laisse une place aux autres mémoires : c'est pourquoi il évoque les "Justes parmi les nations" (l. 17), auxquels les instances officielles françaises ont commencé à rendre hommage dans les années 1990, signe s'il en est que cette allocution s'inscrit bel et bien dans une politique mémorielle étatique qui veut établir un consensus tentant de réintégrer les différentes mémoires. Octroyé par l'Etat d'Israël à chaque personne reconnue pour avoir sauvé des Juifs tout en risquant sa vie, ce titre de "Justes parmi les nations" honore des individus ayant agi de leur propre initiative, indépendamment de la résistance gaulliste, ce que J. Chirac omet d'ailleurs de souligner : le devoir de mémoire implique malgré tout certains silences de la part de l'auteur.
Néanmoins, cette allocution est une véritable rupture vis-à-vis des silences des prédécesseurs de J. Chirac.
Ce discours prononcé au Vel d'Hiv, en célébrant le devoir de mémoire, va ainsi à l'encontre des conceptions étatiques qui avaient prévalu jusqu'alors.
Lorsque le président de la République affirme qu'il faut "ne rien occulter des heures sombres de notre Histoire", lignes 11-12, on peut y voir une allusion à la politique mémorielle gaulliste, qui s'est exprimée notamment avec le discours de panthéonisation du résistant Jean Moulin, par André Malraux, en 1964, qui occultait totalement la mémoire de la déportation juive. L'objectif politique était en effet à l'époque de glorifier l'unité de la Résistance, et par là, De Gaulle, ce qui conduisait à un certain déni de la responsabilité du régime de Vichy. Si, dans les années 1990, l'heure n'est plus depuis longtemps à la dissimulation des crimes de Vichy dirigé par Pétain, il faut toutefois reconnaître que c'est avant tout en rupture avec les prises de positions récentes de F. Mitterrand que se situe l'allocution de J. Chirac. En effet, ce dernier insiste sur la nécessité de "reconnaître les fautes commises par l'Etat", alors que son prédécesseur avait, en 1992, affirmé qu'"en 1940, l’État français c’était le régime de Vichy ce n’était pas la République", façon de refuser d'endosser la responsabilité de Vichy dans la déportation des Juifs au nom de la France et de la République.
J. Chirac, au contraire, insiste bien sur la dimension étatique de la responsabilité : c'est bel et bien "la France" qui, "ce jour-là, accomplissait l'irréparable" (l. 8-9). La mention du nombre de policiers et gendarmes ayant participé à cette Rafle (l. 6-7), et de leurs chefs exécutant les ordres nazis, permet bien d'affirmer que cette collaboration ne fut en rien marginale. Leur statut de fonctionnaire est aussi une preuve à charge de la culpabilité de l'Etat. La dimension collective de la responsabilité - mentionnée explicitement à la ligne 13 - est également bien mise en avant, par des effets de répétition désignant tous la nation dans son ensemble, grâce aux termes "les Français", "l'Etat français" (l. 6), ou encore "la France" (l. 8). Un ton quelque peu pathétique est employé, notamment lorsque l'auteur parle des "bourreaux" pour désigner les responsables nazis (l. 9), façon d'insister sur la gravité des actes de la France sous le régime de Vichy, tout en sous-entendant que celle-ci avait un devoir de protection envers les communautés juives dont elle avait été une terre d'accueil (l. 8 et 9), devoir qu'elle aurait trahi.
Or, c'est précisément en établissant une distinction entre une France idéale, et la France criminelle de Vichy, que J. Chirac parvient à la fois à reconnaître la responsabilité de l'Etat, tout en lavant l'honneur du pays.
Deux minuscules coquilles, mais sinon, ça me paraît vraiment bien. Tes élèvessavent qui sont les Justes ? Je me rends compte que je les ai à peine évoqués .
- NadejdaGrand sage
(je m'incruste, j'aime bien lire vos discussions)
A propos des Justes, un film vient de sortir sur un Juste polonais : Sous la ville d'Agnieszka Holland. Je ne l'ai pas encore vu mais les critiques en disent beaucoup de bien. Ça peut peut-être intéresser les élèves (dont ceux qui veulent des vidéos ).
A propos des Justes, un film vient de sortir sur un Juste polonais : Sous la ville d'Agnieszka Holland. Je ne l'ai pas encore vu mais les critiques en disent beaucoup de bien. Ça peut peut-être intéresser les élèves (dont ceux qui veulent des vidéos ).
- Invité19Esprit sacré
oui ils savent, (rassure toi je les ai évoqués assez vite aussi) et puis je pense que dans l'explicitation c'est encore plus clair non ?
merci pour les coquilles ! (c'est bizarre sur mon brouillon indicible était bien écrit !), voici le commentaire quasi intégral (que je suis lente et perfectionniste), manque que la conclu
merci pour les coquilles ! (c'est bizarre sur mon brouillon indicible était bien écrit !), voici le commentaire quasi intégral (que je suis lente et perfectionniste), manque que la conclu
- Invité19Esprit sacré
Nadejda a écrit:(je m'incruste, j'aime bien lire vos discussions)
A propos des Justes, un film vient de sortir sur un Juste polonais : Sous la ville d'Agnieszka Holland. Je ne l'ai pas encore vu mais les critiques en disent beaucoup de bien. Ça peut peut-être intéresser les élèves (dont ceux qui veulent des vidéos ).
merci pour l'information Nadedja, et tu es la bienvenue ici !
- ShajarVénérable
Pour info, Le numéro des collections de l'Histoire de ce mois est consacré à la Chine de 1912 à nos jours. J'ai l'impression que l'histoire a décidé de suivre en partie les programmes de term !
- boris vassilievGrand sage
Ben comment, que tu peux. En plus on a maintenant un corrigé de haut vol sous le coude si on donne le discours de Chirac en bac blanc. Merci de nous faire profiter de ton travail !
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- ShajarVénérable
Il est super, ton corrigé, Oiseau. Merci pour ce boulot ! Mais par contre, peux-tu le basculer sur la BDD, histoire que des élèves ne tombent pas dessus s'ils ont le discours de Chirac en DM ?
- Invité19Esprit sacré
oui, bien sûr, j'y pensais, je le fais de suite !
mais je vous en prie en tout cas, ça fait toujours plaisir de voir que le temps passé dessus ne me sert pas qu'à moi. (quand je pense que j'ai donné 1H30 aux élèves et que j'y ai passé 3 fois plus de temps :lol: mais je voulais un truc parfait)
mais je vous en prie en tout cas, ça fait toujours plaisir de voir que le temps passé dessus ne me sert pas qu'à moi. (quand je pense que j'ai donné 1H30 aux élèves et que j'y ai passé 3 fois plus de temps :lol: mais je voulais un truc parfait)
- ParatgeNeoprof expérimenté
Nadejda a écrit:(je m'incruste, j'aime bien lire vos discussions)
A propos des Justes, un film vient de sortir sur un Juste polonais : Sous la ville d'Agnieszka Holland. Je ne l'ai pas encore vu mais les critiques en disent beaucoup de bien. Ça peut peut-être intéresser les élèves (dont ceux qui veulent des vidéos ).
Agnieszka Holland a réalisé aussi Europa, Europa (1990) d’après une histoire vraie, celle de Salomon Perel.
Un jeune juif allemand fuit l’Allemagne nazie vers la Pologne. Les Russes envahissent le pays, il se retrouve dans un orphelinat bolchevique. En 1941 il est capturé par l’armée allemande. Pris pour un Volksdeutsch, il est envoyé dans une école des jeunesses hitlériennes, craignant toujours d’être découvert, et combat dans Berlin en 1945 !
- ShajarVénérable
J'ai donné un exercice de croquis sur le thème "un monde complexe". Les élèves avaient le plan détaillé et environ 25 éléments à cartographier. Ils devaient choisir les éléments les plus pertinents, les placer dans le plan, choisir un figuré, problématiser le titre et réaliser le croquis.
Quelle note mettriez-vous à une copie dont la légende n'est pas organisée, comporte sept éléments, pas de titre problématisé, et laisse 75% de la carte en blanc ?
Quelle note mettriez-vous à une copie dont la légende n'est pas organisée, comporte sept éléments, pas de titre problématisé, et laisse 75% de la carte en blanc ?
- boris vassilievGrand sage
Pareil
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- ShajarVénérable
Merci J'ai mis trois, parce que les hachures ne sont pas faites à la règle et le dessin est sale, mais j'avais un peu honte... Je mets très rarement des notes très basses.
- kalliste54Niveau 9
Al-qalam a écrit:Merci J'ai mis trois, parce que les hachures ne sont pas faites à la règle et le dessin est sale, mais j'avais un peu honte... Je mets très rarement des notes très basses.
C'est ce que ça vaudrait au bac =>donc pas de scrupules !
Oiseau=>super ton commentaire de J Chirac !!!
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