- eliamEsprit éclairé
Là, effectivement, je pense qu'on peut s'inquiéter car, à mon sens, ils ne vont chercher aucune solution et attendre qu'on demande à partir quand on n'en pourra plus. C'est pessimiste, certes, mais ils passent leur temps à parler de faire des économies, alors proposer quoi que ce soit à autant de personnes alors qu'on manque déjà de profs...
- Fleur16Habitué du forum
pop-corn a écrit:Je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas considérer ce métier comme alimentaire.
Personnellement je n'ai jamais eu la "vocation" d'être prof, je fais ce travail avec, je pense, une certaine conscience professionnelle qui me pousse à faire le maximum, à essayer de m'améliorer et de progresser. Mais je l'aurais fait pour n'importe quel travail et si demain je gagne au loto, ben je ne vais plus bosser...
Ouf !
Et bien moi, je n'aime pas travailler, c'est bête mais c'est vrai. Donc je travaille avant tout pour payer mon loyer.
Après, j'ai voulu enseigner, j'aime ça quand ça se passe bien, j'aime mes élèves et j'aime ma matière.
Mais préparer des cours, une fois les grandes lignes tracées et à part quelques séances originales, ça me gonfle vite, corriger les copies m'agace à la 10e, faire la police m'insupporte...
Bref : je fais ce boulot pour vivre, mais je préfère celui-ci à un autre.
(quoique j'ai beaucoup de mal à gérer la responsabilité et le fait de ne pas avoir d'horaires, après une journée difficile je rêve souvent de faire un travail de bureau sans responsabilité...)
- lalilalaEmpereur
Tous les matins je pars la boule au ventre, et pourtant je ne travaille pas sur 4 établissements pourris, j'ai des élèves "normaux", je suis dans un coin tranquille et je ne fais que 15h en ce moment.
Je HAIS ce boulot qui représente une source d'emmerdes, de déprime et d'angoisse depuis 4 ans, mais il faut bien payer tout ce qu'il y a à payer. En attendant de trouver mieux, je continue même si ça me rend malade...pas le choix.
Je HAIS ce boulot qui représente une source d'emmerdes, de déprime et d'angoisse depuis 4 ans, mais il faut bien payer tout ce qu'il y a à payer. En attendant de trouver mieux, je continue même si ça me rend malade...pas le choix.
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Nuestra vida es un círculo dantesco.
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- Reine MargotDemi-dieu
Lalilala: je te conseillerais de ne pas trop tarder à te reconvertir, car quand tu auras obtenu la mut que tu veux, tu auras encore plus de mal à partir; tandis que là tu es déjà exilée, donc tu as au moins un boulot moins pénible à gagner.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
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- eliamEsprit éclairé
Reine Margot a écrit:Lalilala: je te conseillerais de ne pas trop tarder à te reconvertir, car quand tu auras obtenu la mut que tu veux, tu auras encore plus de mal à partir; tandis que là tu es déjà exilée, donc tu as au moins un boulot moins pénible à gagner.
+ 1
- lalilalaEmpereur
Je sais bien...mais pour le moment je ne sais même pas quoi tenter...j'aimerais déjà demander un mi-temps pour pouvoir faire autre chose à côté
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- CharlotNiveau 5
J'ai pas encore beaucoup d'expérience mais j'aime ce travail.
Ok il y a des côtés pas simple comme faire la police, corriger des copies, se faire traiter de feignant par tous les copains mais j'ai toujours voulu faire ça. Et c'est toujours le cas.
Je pense qu'il faut avoir et/ou conserver d'autres activités et passions à côté pour pouvoir être bien dans son boulot. La semaine, M. N***** porte sa chemise repassée et son paquet de copies mais le week end, Charlot met son sweat de métal à capuche et part boire des bières en écumant les salles de concert ou visitant les copains d'ici ou là.
Ok il y a des côtés pas simple comme faire la police, corriger des copies, se faire traiter de feignant par tous les copains mais j'ai toujours voulu faire ça. Et c'est toujours le cas.
Je pense qu'il faut avoir et/ou conserver d'autres activités et passions à côté pour pouvoir être bien dans son boulot. La semaine, M. N***** porte sa chemise repassée et son paquet de copies mais le week end, Charlot met son sweat de métal à capuche et part boire des bières en écumant les salles de concert ou visitant les copains d'ici ou là.
- CatLeaBon génie
J'aime le contact avec les élèves et enseigner ma discipline mais j'avoue que ça se passe ainsi parce que j'ai des classes sympas dans un bahut agréable. Mais quand j'ai fait 6 mois en LP, j'ai considéré mon boulot comme strictement alimentaire. J'y allais tous les matins la boule au ventre mais ça me permettait de payer le loyer, la bouffe pour moi et madame chat et les soins et la pension de la jument. Alors j'y allais en me disant "Va gagner ta croute et celle de tes bestioles". Là, j'y vais avec plus d'attrait. Mais si je devais changer de conditions de travail, dans le mauvais sens, pas sûre que je continuerais.
- kiwiGuide spirituel
Mestelle51 a écrit:Cripure a écrit:J'aime mon métier et je le pratique avec enthousiasme.
Quand je le pratique.
Mais
-les programmes de mes classes sont de la poudre aux yeux
-mes horaires sont calculés pour que je ne puisse rien faire d'approfondir
-l'examen auquel je prépare est stupidement conçu et corrigé de façon scandaleuse
-les élèves auxquels je m'adresse n'ont rien assimilé, n'assimilent rien ni n'assimileront rien, parce qu'ils ont compris qu'on leur passera tout.
Donc, je serre les dents, je prends ma paie, intéressante, au fond, et basta. En ce moment, donc, boulot purement alimentaire.
Mais si tu n'aimais pas enseigner, te serais il possible de faire ce métier simplement pour toucher un salaire en fin de mois? C'est ça, pour moi, la définition d'un boulot alimentaire.
Pour moi oui, puisqu'il faut bien payer ses factures. Enseigner n'a jamais été une vocation. Pas de dynastie de profs dans ma famille. Fac d'histoire avec peu de débouchés au bout à part prof. Une année de néotit qui m'a brisée et m'a ôté toute illusion. Toutefois, je tire quelques plaisirs avec certaines classes à certaines séances. J'aime voir des élèves réussir et progresser. Et puis, j'aime bien mon collège, mes collègues l'ambiance. Mais c'est tout. Est-ce que j'aime enseigner? Finalement, je n'en suis pas sûre.
- Va, vis et deviensHabitué du forum
Fesseur Pro a écrit:
Je suis un prof heureux.
Suis je le seul ou bien ?
Il y a moi aussi. Mais je mesure bien la chance que j'ai d'enseigner aujourd'hui dans des conditions tout à fait privilégiées.
- roxanneOracle
enfin, je crois qu'il faut quand même arrêter avec ça . On a justement 18 (ou 15) heures de cours pour pouvoir oragniser notre temps de travail. Alors c'est vrai, il y a des périodes de pointe où on bosse plus , d'autres où c'est plus cool. Mais il me semble quand même qu'enseigner c'est aussi un mètier avec des ponits positifs, des satisfactions que n'ont pas certains boulots.Il faut aussi arrêter de se considèrer comme les plus malheureux . Et des gens qui ramènent du boulot le soir chez eux, j'en connais plein et qui ne sont pas profs.eliam a écrit:C'est moins dur physiquement mais dans les travaux publics quand on rentre chez soi, on ne pense plus au boulot. Alors que quand on est prof, c'est moins facile...
- roxanneOracle
tu sais quoi, je me suis dit la même chose !Cripure a écrit:J'aime mon métier et je le pratique avec enthousiasme.
Quand je le pratique.
Mais
-les programmes de mes classes sont de la poudre aux yeux ;
-mes horaires sont calculés pour que je ne puisse rien faire d'approfondi ;
-l'examen auquel je prépare est stupidement conçu et corrigé de façon scandaleuse ;
-les élèves auxquels je m'adresse n'ont rien assimilé, n'assimilent rien ni n'assimileront rien, parce qu'ils ont compris qu'on leur passera tout.
Donc, je serre les dents, je prends ma paie, intéressante, au fond, et basta. En ce moment, donc, boulot purement alimentaire.
Ajout. Il y a dix-quinze ans, je me disais que la retraite était loin et que si je gagnais au Loto (auquel je ne joue pas ), je continuerais à bosser. Aujourd'hui, si je jouais au Loto et que j'y gagnasse, je me casserais dans la semaine
- Reine MargotDemi-dieu
des satisfactions c'est quand on aime ça déjà au départ et que ça rejaillit à certains moments avec les élèves. Mais c'est un métier où les ados sentent tout de suite le prof qui même consciencieux n'a pas envie d'être là. et là, aucune satisfaction possible. ce métier c'est en grande partie de la relation humaine quand même...j'ai compris que je n'étais pas faite pour ça quand j'ai été heureuse de mettre 500 enveloppes sous pli en me disant que je préférais ça à être devant une classe.
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- User5899Demi-dieu
Surtout pas ! Je m'ennuierais trop. Quand je cause, au moins, je m'intéresseCircé a écrit:Surtout que tu bosses pas Cripure, hein, tu vas en salle info !!!
- DerborenceModérateur
C'est ma 11e année. Il y a eu des hauts et des bas : l'année dernière a été ainsi très difficile. Je sais que je prends trop les choses à cœur ; je me sens nulle quand ça ne se passe pas bien avec une classe. Mais au fond j'aime ce boulot. En revanche, je ne sais pas si je le ferai encore dans 32 ans.
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"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- roxanneOracle
Ah mais ce qui est vrai , c'est que à mon sens , l'enseignement fait partie de ces boulots (comme infirmière par exemple) pour lequel il faut avoir de l'appétence.
- User5899Demi-dieu
Mouais. Disons que c'est différent...christophevan a écrit:Ben oui, pourquoi ne le pourrais-je pas ? C'est moins dur que réparer le bitume des routes en plein mois d'août !
Ca dépend dans quel établissement ou classe et ça dépend sur quelle route : plutôt ombragée ou plutôt en plein Soleil?
- User5899Demi-dieu
C'est pour ça que nous avons moins d'heures.eliam a écrit:C'est moins dur physiquement mais dans les travaux publics quand on rentre chez soi, on ne pense plus au boulot. Alors que quand on est prof, c'est moins facile...
- User5899Demi-dieu
Mais si vous étiez avec votre compagnon et que vous puissiez vivre votre vie privée exactement comme vous l'entendez, vous ressentiriez le même dégoût ? Ou ce sont les emmerdes privées qui déteignent sur votre sentiment à son propos ? C'est rare, quand même, de pousser jusqu'à réussir l'agreg avec une telle haine du boulot, je trouve. Et ce n'est bien sûr pas une critique.lalilala a écrit:Tous les matins je pars la boule au ventre, et pourtant je ne travaille pas sur 4 établissements pourris, j'ai des élèves "normaux", je suis dans un coin tranquille et je ne fais que 15h en ce moment.
Je HAIS ce boulot qui représente une source d'emmerdes, de déprime et d'angoisse depuis 4 ans, mais il faut bien payer tout ce qu'il y a à payer. En attendant de trouver mieux, je continue même si ça me rend malade...pas le choix.
- Invité21Fidèle du forum
Sauf si on a passé l'agreg. pour de mauvaises raisons.
Les conditions influent grandement sur l'appréhension du métier, tout de même.
Les conditions influent grandement sur l'appréhension du métier, tout de même.
- Reine MargotDemi-dieu
Cripure a écrit:Mais si vous étiez avec votre compagnon et que vous puissiez vivre votre vie privée exactement comme vous l'entendez, vous ressentiriez le même dégoût ? Ou ce sont les emmerdes privées qui déteignent sur votre sentiment à son propos ? C'est rare, quand même, de pousser jusqu'à réussir l'agreg avec une telle haine du boulot, je trouve. Et ce n'est bien sûr pas une critique.lalilala a écrit:Tous les matins je pars la boule au ventre, et pourtant je ne travaille pas sur 4 établissements pourris, j'ai des élèves "normaux", je suis dans un coin tranquille et je ne fais que 15h en ce moment.
Je HAIS ce boulot qui représente une source d'emmerdes, de déprime et d'angoisse depuis 4 ans, mais il faut bien payer tout ce qu'il y a à payer. En attendant de trouver mieux, je continue même si ça me rend malade...pas le choix.
on peut passer l'agreg par intérêt pour la matière, ou par volonté d'un meilleur salaire. et se rendre compte après qu'on n'est pas fait pour ça, parce qu'en fait on s'aperçoit qu'on a passé l'agreg pour passer son temps à dire à Kévin de se taire et faire des cours TRES loin du contenu des prépas agrég...
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- User5899Demi-dieu
En même temps, à 24 ans, c'est salutaire d'aimer ce qu'on fait. J'avais le feu sacré à votre âge. J'ai même en juin un repas rituel avec une dizaine de mes premiers élèves de seconde (ils auront... 40 ans au prochain repas ) avec qui j'avais sympathisé plus que la norme.Charlot a écrit:J'ai pas encore beaucoup d'expérience mais j'aime ce travail.
Ok il y a des côtés pas simple comme faire la police, corriger des copies, se faire traiter de feignant par tous les copains mais j'ai toujours voulu faire ça. Et c'est toujours le cas.
Je pense qu'il faut avoir et/ou conserver d'autres activités et passions à côté pour pouvoir être bien dans son boulot. La semaine, M. N***** porte sa chemise repassée et son paquet de copies mais le week end, Charlot met son sweat de métal à capuche et part boire des bières en écumant les salles de concert ou visitant les copains d'ici ou là.
Vous avez raison de savoir décompresser: avec les années, ça devient vital, je trouve. Savoir s'aérer la tronche avec ce qu'on aime, ne pas tourner en rond sans cesse.
- DinaaaExpert spécialisé
Je suis comme beaucoup : bien sûr, j'ai des moments de satisfaction, mais tellement rares... en collège le job consiste plus à gérer des comportements déviants, des situations sociales à la Dickens et à entendre "***", "viens m'sucer", "fais chier", j'm'en bats les couilles", "tassepé", etc. qu'à étudier de la littérature.
J'ai cru quelques années que le problème venait de moi.
Après 10 ans de remises en question, je sais que le problème vient dy boulot.
Un élève qui me dit "bonjour madame", je le regarde pour voir s'il est ironique, s'il se fout de ma gueule, ou si, option tellement rare, il est juste poli. Des mômes qui s'empêchent de parler en classe pour pas passer pour un intello qui pense, s'intéresse et réfléchit, ça me mine.
Ras-le-bol de m'adapter à toujours plus bas, toujours plus nul.
J'ai cru quelques années que le problème venait de moi.
Après 10 ans de remises en question, je sais que le problème vient dy boulot.
Un élève qui me dit "bonjour madame", je le regarde pour voir s'il est ironique, s'il se fout de ma gueule, ou si, option tellement rare, il est juste poli. Des mômes qui s'empêchent de parler en classe pour pas passer pour un intello qui pense, s'intéresse et réfléchit, ça me mine.
Ras-le-bol de m'adapter à toujours plus bas, toujours plus nul.
- User5899Demi-dieu
Pour finir, je crois que je tiens aussi parce que j'ai une grande chance, devenue rare si j'en crois ce que je lis ici : mes chefs nous considèrent et sont avec nous, du coup, on ne lutte pas tout seuls. Les edt sont bons (we de 113 heures d'affilée ), on est consultés, écoutés, entendus. C'est un lycée de cambrousse, mais on a souvent touché des administratifs au poil. Et ça aide beaucoup.
- roxanneOracle
c'est là aussi que se fait la différence, on a tous la même profession, on ne fait pas tous le même mètier :90% de mes élèves me disent normalement "bonjour madame" et aurevoi et ceux qui veulent participer peuvent le faire sans que ça pose problème et être potes avec les autres .C'est pas les Bisounours , non plus, bien-sûr mais pas la guerre civile.Dinaaa a écrit:Je suis comme beaucoup : bien sûr, j'ai des moments de satisfaction, mais tellement rares... en collège le job consiste plus à gérer des comportements déviants, des situations sociales à la Dickens et à entendre "***", "viens m'sucer", "fais chier", j'm'en bats les couilles", "tassepé", etc. qu'à étudier de la littérature.
J'ai cru quelques années que le problème venait de moi.
Après 10 ans de remises en question, je sais que le problème vient dy boulot.
Un élève qui me dit "bonjour madame", je le regarde pour voir s'il est ironique, s'il se fout de ma gueule, ou si, option tellement rare, il est juste poli. Des mômes qui s'empêchent de parler en classe pour pas passer pour un intello qui pense, s'intéresse et réfléchit, ça me mine. Ras-le-bol de m'adapter à toujours plus bas, toujours plus nul.
- Collier de BarbeNeoprof expérimenté
J'aime enseigner même si je trouve souvent cela épuisant, frustrant et difficile. Pour moi, c'est l'attachement à ma matière, le plaisir de la transmettre, d'en expliquer certaines difficultés qui est au fondement.
J'ai toujours l'espoir de pouvoir me métamorphoser un jour en (enseignant) chercheur à la fac, mais pour le moment, travailler au lycée m'apporte assez souvent des satisfactions.
Mais j'avoue que je serais incapable de fonctionner efficacement au collège avec des élèves beaucoup plus agités pour lesquels il faut trouver des chemins très différents pour avancer.
Pour répondre à ta question initiale Fesseur Pro, je crois pas qu'on puisse faire ce boulot de manière "alimentaire" car on s'enfonce dans une spirale négative. Nos élèves (quelqu'un l'a dit plus haut avec beaucoup de perspicacité) perçoivent très bien qui est content d'être là et qui ne l'est pas...
J'ai toujours l'espoir de pouvoir me métamorphoser un jour en (enseignant) chercheur à la fac, mais pour le moment, travailler au lycée m'apporte assez souvent des satisfactions.
Mais j'avoue que je serais incapable de fonctionner efficacement au collège avec des élèves beaucoup plus agités pour lesquels il faut trouver des chemins très différents pour avancer.
Pour répondre à ta question initiale Fesseur Pro, je crois pas qu'on puisse faire ce boulot de manière "alimentaire" car on s'enfonce dans une spirale négative. Nos élèves (quelqu'un l'a dit plus haut avec beaucoup de perspicacité) perçoivent très bien qui est content d'être là et qui ne l'est pas...
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CdB
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