Page 2 sur 38 • 1, 2, 3 ... 20 ... 38
- KosakuyosidaNiveau 5
Je m'interdis de trouver un côté passionnant à ce métier, car je sais que je serai forcément déçu. Je fais un métier, bien à mon sens (pas forcément celui des inspecteurs). Et je cherche le temps libre (sans succès), tant venter par certain.
- PatissotDoyen
Sibérie a écrit:
"Those who can't, teach"
Oui.
- tiptop77Prophète
J'aime enseigner. Bien sûr, il y a des moments où ma motivation baisse,où je sors d'un cours passablement énervée car le travail a été très décevant mais il y a toujours un élève qui dit ou fait quelque chose et cela me fait rire et me redonne de l'énergie: après avoir étudié un extrait de Harry Potter un élève de 4ème arrive le lundi suivant avec le roman en anglais sous le bras ( et il l'a lu pendant les vacances suivantes... avec l'aide de ses parents ), une 3ème qui a beaucoup de difficultés mais vient quand même car elle dit qu'elle se sent bien dans le cours, un gamin de 5ème qui a décidé d'économiser pour partir à New York dès la 1ère séance sur la grosse pomme ( à la fin de l'année il avait 80 euros, c'était un début ), etc...
Ce qui me gave vraiment dans ce métier, c'est tout ce qu'il y a à côté des cours: les réunions à la con, la mauvaise foi et le manque de décisions fermes de la direction, le cahier de textes en ligne,...
C'est vrai que notre salaire n'est pas suffisant.
Ce qui me gave vraiment dans ce métier, c'est tout ce qu'il y a à côté des cours: les réunions à la con, la mauvaise foi et le manque de décisions fermes de la direction, le cahier de textes en ligne,...
C'est vrai que notre salaire n'est pas suffisant.
_________________
May the force be with us!
- Invité21Fidèle du forum
Patissot a écrit:Sibérie a écrit:
"Those who can't, teach"
Oui.
Oui, enfin, phrase stupide - et en vogue aux USA, c'est tout dire - à ne pas prendre trop à coeur quand même. Moi, je peux par exemple!
- pop-cornNiveau 10
Je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas considérer ce métier comme alimentaire.
Personnellement je n'ai jamais eu la "vocation" d'être prof, je fais ce travail avec, je pense, une certaine conscience professionnelle qui me pousse à faire le maximum, à essayer de m'améliorer et de progresser. Mais je l'aurais fait pour n'importe quel travail et si demain je gagne au loto, ben je ne vais plus bosser...
Personnellement je n'ai jamais eu la "vocation" d'être prof, je fais ce travail avec, je pense, une certaine conscience professionnelle qui me pousse à faire le maximum, à essayer de m'améliorer et de progresser. Mais je l'aurais fait pour n'importe quel travail et si demain je gagne au loto, ben je ne vais plus bosser...
- JohnMédiateur
Alors pourquoi t'étonnes-tu de voir des gens y être confrontés ?on sait à quoi on s'attend quand on fait ce métier, les difficultés y sont inhérentes.
C'est comme si un boucher disait : "Je ne comprends pas que des bouchers se plaignent ; moi je suis boucher et je suis heureux. Comment peut-on être boucher sans passion ?"
Il a un côté "Mais comment peut-on être persan ?", ton message de départ.
_________________
En achetant des articles au lien ci-dessous, vous nous aidez, sans frais, à gérer le forum. Merci !
"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- tiptop77Prophète
LadyJane a écrit:Pour avoir testé bien d'autres jobs pendant toutes mes années d'études, ne pas venir (du tout!) d'un "milieu de profs", et en vivant entourée de gens qui ne le sont pas non plus, je me sens chanceuse...
J'ai bossé en ZEP, je ne suis pas chez les bisounours non plus, j'ai des trajets bien pénibles, mais je n'échangerai certainement pas ma place!
pareil!
- Invité19Esprit sacré
c'est ma 2e année seulement, je suis en zone sensible et violence, mais c'est un lycée plutôt tranquille du 93. L'an dernier j'étais dans une ville supposée plus peinarde mais finalement les élèves étaient plus difficiles et plus feignants.
l'an dernier j'aimais déjà mon boulot, même si je le détestais certains soirs. Cette année j'adore, même si je sens que je doute encore de ma gestion de classe qui s'est pourtant bien améliorée (ou alors ce sont les élèves)
j'ai peur de la routine dans quelques années mais je compte changer mes cours régulièrement.
je crois qu'à part un peu de recherche (et encore,modestement), je ne pourrais pas faire autre chose : j'aime parler devant un public, j'aime ma discipine, j'aime essayer d'ouvrir des jeunes sur le monde, j'aime bien les ados, j'aime le temps libre (ou plutôt la liberté de s'organiser comme on veut), j'aime créer mes cours, chercher des docs, réfléchir à comment les faire progresser.
l'an dernier j'aimais déjà mon boulot, même si je le détestais certains soirs. Cette année j'adore, même si je sens que je doute encore de ma gestion de classe qui s'est pourtant bien améliorée (ou alors ce sont les élèves)
j'ai peur de la routine dans quelques années mais je compte changer mes cours régulièrement.
je crois qu'à part un peu de recherche (et encore,modestement), je ne pourrais pas faire autre chose : j'aime parler devant un public, j'aime ma discipine, j'aime essayer d'ouvrir des jeunes sur le monde, j'aime bien les ados, j'aime le temps libre (ou plutôt la liberté de s'organiser comme on veut), j'aime créer mes cours, chercher des docs, réfléchir à comment les faire progresser.
- Mestelle51Habitué du forum
Un boulot alimentaire? Je ne pense pas.
Venir enseigner jour après jour devant des classes qui ne sont pas toujours faciles, avec un certain manque de considération général, avec le niveau d'étude demandé, ça demande un minimum de passion.
Venir enseigner jour après jour devant des classes qui ne sont pas toujours faciles, avec un certain manque de considération général, avec le niveau d'étude demandé, ça demande un minimum de passion.
- PatissotDoyen
Sibérie a écrit:Patissot a écrit:Sibérie a écrit:
"Those who can't, teach"
Oui.
Oui, enfin, phrase stupide - et en vogue aux USA, c'est tout dire - à ne pas prendre trop à coeur quand même. Moi, je peux par exemple!
Moi pas.
- Johnny GuitarNiveau 2
Je prends un plaisir énorme à faire cours devant certaines classes, je ressens un dégoût énorme à faire cours devant d'autres classes, qui me donnent carrément envie de changer de métier (précision: j'ai toujours enseigné en ZEP, lycée et collège). Prof c'est un peu la roulette russe parfois. Certains élèves vous renverront une image très valorisante de votre action, d'autres l'inverse. Et en 40 ans de carrière (au moins), il est normal d'avoir des hauts et des bas. Quant à l'ambiance de l'établissement, au départ je ne m'en préoccupais que très peu, du moment que j'avais un groupe de joyeux causeurs (les meilleurs profs que j'ai côtoyés parlaient très peu pédago mais littérature, ciné, théâtre, soirées arrosées...) à disposition, mais aujourd'hui je trouve qu'elle est devenue très pesante avec toutes les histoires de LPC, compétences, le diktat du travail en équipe, les proviseurs qui se prennent pour des petits dirigeants d'entreprises, certains profs pour des ingénieurs en pédagogie, en course pour les projets les plus spectaculaires, qui feront bien la communication du bahut. Et derrière tout cela, l'étrange impression qu'une certaine logique de la "performance" tout droit sortie du privé (allez Jean-Claude, mo-ti-vé aujourd'hui!) est en train de s'introduire dans l'éducnat, sous couvert "d'offrir le meilleur à nos élèves" (qui serait contre?). Est-ce qu'on se préoccupait autant de la motivation des profs, de leur implication, de leur capacité d'innovation, il y a trente ans, quarante ans? Est-ce qu'ils étaient pour cela plus mauvais? Perso, quand je me rappelle les profs que j'ai préférés, il y a une trentaine d'année (!) et qui m'ont le plus appris, je m'aperçois que c'était souvent des ronchons, (et même quelques dépressifs), qui faisaient des cours plutôt classiques sur la forme, mais bouleversants sur le fond (en littérature, histoire, philo surtout, mais aussi en sciences). Des profs à qui on reprocherait sans doute aujourd'hui de ne pas suffisamment "innover", mais qui nous faisaient découvrir des horizons inconnus (je viens d'un milieu peu cultivé). Quant aux "profs-animateurs" enjoués qui semblent pulluler en ce moment, je les détestais déjà.
- christophevanNiveau 6
J'enseigne depuis 4 ans. Après des débuts difficiles, j'aime de plus en plus ce métier même si certains aspects m'inquiètent : les réformes en cours, la méconnaissance qu'a le monde extérieur de notre métier, la judiciarisation à outrance, l'instrumentalisation qui est faite de ce qui devrait être un fleuron du service public...
- User5899Demi-dieu
J'aime mon métier et je le pratique avec enthousiasme.
Quand je le pratique.
Mais
-les programmes de mes classes sont de la poudre aux yeux ;
-mes horaires sont calculés pour que je ne puisse rien faire d'approfondi ;
-l'examen auquel je prépare est stupidement conçu et corrigé de façon scandaleuse ;
-les élèves auxquels je m'adresse n'ont rien assimilé, n'assimilent rien ni n'assimileront rien, parce qu'ils ont compris qu'on leur passera tout.
Donc, je serre les dents, je prends ma paie, intéressante, au fond, et basta. En ce moment, donc, boulot purement alimentaire.
Ajout. Il y a dix-quinze ans, je me disais que la retraite était loin et que si je gagnais au Loto (auquel je ne joue pas ), je continuerais à bosser. Aujourd'hui, si je jouais au Loto et que j'y gagnasse, je me casserais dans la semaine
Quand je le pratique.
Mais
-les programmes de mes classes sont de la poudre aux yeux ;
-mes horaires sont calculés pour que je ne puisse rien faire d'approfondi ;
-l'examen auquel je prépare est stupidement conçu et corrigé de façon scandaleuse ;
-les élèves auxquels je m'adresse n'ont rien assimilé, n'assimilent rien ni n'assimileront rien, parce qu'ils ont compris qu'on leur passera tout.
Donc, je serre les dents, je prends ma paie, intéressante, au fond, et basta. En ce moment, donc, boulot purement alimentaire.
Ajout. Il y a dix-quinze ans, je me disais que la retraite était loin et que si je gagnais au Loto (auquel je ne joue pas ), je continuerais à bosser. Aujourd'hui, si je jouais au Loto et que j'y gagnasse, je me casserais dans la semaine
- CircéExpert
Cripure a écrit:J'aime mon métier et je le pratique avec enthousiasme.
Quand je le pratique.
Mais
-les programmes de mes classes sont de la poudre aux yeux
-mes horaires sont calculés pour que je ne puisse rien faire d'approfondir
-l'examen auquel je prépare est stupidement conçu et corrigé de façon scandaleuse
-les élèves auxquels je m'adresse n'ont rien assimilé, n'assimilent rien ni n'assimileront rien, parce qu'ils ont compris qu'on leur passera tout.
Donc, je serre les dents, je prends ma paie, intéressante, au fond, et basta. En ce moment, donc, boulot purement alimentaire.
Moi aimer lire Cripure...
- Mestelle51Habitué du forum
Cripure a écrit:J'aime mon métier et je le pratique avec enthousiasme.
Quand je le pratique.
Mais
-les programmes de mes classes sont de la poudre aux yeux
-mes horaires sont calculés pour que je ne puisse rien faire d'approfondir
-l'examen auquel je prépare est stupidement conçu et corrigé de façon scandaleuse
-les élèves auxquels je m'adresse n'ont rien assimilé, n'assimilent rien ni n'assimileront rien, parce qu'ils ont compris qu'on leur passera tout.
Donc, je serre les dents, je prends ma paie, intéressante, au fond, et basta. En ce moment, donc, boulot purement alimentaire.
Mais si tu n'aimais pas enseigner, te serais il possible de faire ce métier simplement pour toucher un salaire en fin de mois? C'est ça, pour moi, la définition d'un boulot alimentaire.
- gelsomina31Grand Maître
Fesseur Pro a écrit:Je ne les balaie pas d'un revers de main mais on sait à quoi on s'attend quand on fait ce métier, les difficultés y sont inhérentes.Patissot a écrit:Vous ne pouvez pas balayer d'un revers de main les "difficultés" auxquelles un enseignant peut être confronté, cela revient à considérer la profession sous un aspect idéal tout en évinçant l'aspect structurel des "difficultés".
Et no soucy, je suis très loin de vivre chez les Bisounours.
Pas d'accord. j'ai commencé à enseigner il y a 7 ans et honnêtement, si j'avais su combien ce métier pouvait être pénible, je n'aurais peut être pas passé le concours de PE. J'aime ce métier et j'espère le faire longtemps mais je crois qu'à moins de le vivre, on ne se rend pas vraiment compte de la fatigue physique, psy, morale qu'il provoque.
_________________
Fear buildswalls.Hope builds bridges !
« De chacun selon ses forces, à chacun selon ses besoins. »
- Invité21Fidèle du forum
Quand on aime l'idée d'un métier, mais que celui qu'on exerce n'en est que le reflet atteint de malaria, alors oui, on parle de boulot alimentaire.
- User5899Demi-dieu
Merci
Moi être tout à fait d'accord avec Johnny Guitar. Ah les zanimateurs ! Qu'est-ce qu'ils ont pu me rendre fourbe et sournois, pour que je pusse alors leur pourrir leurs séances de nazes ! Qu'est-ce que je me serais marré aujourd'hui avec les twitt classes, les TNI, les fiches d'activités, les "cours" en salle info ! Je serais une véritable teigne.
Moi pas vouloir activité, moi vouloir qu'on me cause.
J'aime bien une phrase des gamins dans mon bahut. "Tu bosses, là ? - Non, on va en salle info" :lol!:
Moi être tout à fait d'accord avec Johnny Guitar. Ah les zanimateurs ! Qu'est-ce qu'ils ont pu me rendre fourbe et sournois, pour que je pusse alors leur pourrir leurs séances de nazes ! Qu'est-ce que je me serais marré aujourd'hui avec les twitt classes, les TNI, les fiches d'activités, les "cours" en salle info ! Je serais une véritable teigne.
Moi pas vouloir activité, moi vouloir qu'on me cause.
J'aime bien une phrase des gamins dans mon bahut. "Tu bosses, là ? - Non, on va en salle info" :lol!:
- Reine MargotDemi-dieu
pour répondre à la question du sujet, je ne pense pas. Etant donné la dimension éducative du métier il y a forcément une implication "affective" auprès des élèves, au sens où on est obligé de s'intéresser à eux, de s'impliquer pour les rendre "moins bêtes", contrairement aux adultes que l'on peut relativement ignorer, ou du moins dont on n'est pas responsable.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- User5899Demi-dieu
Ben oui, pourquoi ne le pourrais-je pas ? C'est moins dur que réparer le bitume des routes en plein mois d'août !Mestelle51 a écrit:Cripure a écrit:J'aime mon métier et je le pratique avec enthousiasme.
Quand je le pratique.
Mais
-les programmes de mes classes sont de la poudre aux yeux
-mes horaires sont calculés pour que je ne puisse rien faire d'approfondir
-l'examen auquel je prépare est stupidement conçu et corrigé de façon scandaleuse
-les élèves auxquels je m'adresse n'ont rien assimilé, n'assimilent rien ni n'assimileront rien, parce qu'ils ont compris qu'on leur passera tout.
Donc, je serre les dents, je prends ma paie, intéressante, au fond, et basta. En ce moment, donc, boulot purement alimentaire.
Mais si tu n'aimais pas enseigner, te serais il possible de faire ce métier simplement pour toucher un salaire en fin de mois? C'est ça, pour moi, la définition d'un boulot alimentaire.
- CircéExpert
Surtout que tu bosses pas Cripure, hein, tu vas en salle info !!!
Suis ....
Suis ....
- christophevanNiveau 6
Ben oui, pourquoi ne le pourrais-je pas ? C'est moins dur que réparer le bitume des routes en plein mois d'août !
Ca dépend dans quel établissement ou classe et ça dépend sur quelle route : plutôt ombragée ou plutôt en plein Soleil?
- eliamEsprit éclairé
C'est moins dur physiquement mais dans les travaux publics quand on rentre chez soi, on ne pense plus au boulot. Alors que quand on est prof, c'est moins facile...
- Reine MargotDemi-dieu
moi dès le départ devoir éduquer les élèves m'a ennuyée, ce que j'aimais c'était ma matière, les lettres, et me trouver face à des ados qui s'en fichaient pas mal de mon enthousiasme pour tel texte, et m'obligeaient à faire la police pour surveiller leur attitude/langage/mouvements, etc.. ne m'intéressait pas.
J'avais l'impression de ne servir à rien en tant que prof, que les élèves se fichaient pas mal de ce que je leur disais et de ce que je voulais leur apprendre.
Maintenant je suis tranquille dans mon bureau (même si ça n'a pas toujours été facile, je raconterai en fin d'année si tout va bien), et même si travailler en équipe avec des adultes pas forcément toujours simples n'est pas plus facile, je m'y sens plus à 'laise car ce n'est que du boulot et je fais simplement en sorte que le boulot avance, pas de me faire des amis.
J'avais l'impression de ne servir à rien en tant que prof, que les élèves se fichaient pas mal de ce que je leur disais et de ce que je voulais leur apprendre.
Maintenant je suis tranquille dans mon bureau (même si ça n'a pas toujours été facile, je raconterai en fin d'année si tout va bien), et même si travailler en équipe avec des adultes pas forcément toujours simples n'est pas plus facile, je m'y sens plus à 'laise car ce n'est que du boulot et je fais simplement en sorte que le boulot avance, pas de me faire des amis.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- malo21Niveau 10
j'avoue que j'ai trouvé mon rythme, j'ai une décharge depuis 15 ans sur 21 de carrière et même si je ne compte pas mes heures, n'avoir que deux classes en français et faire autre chose à côté qui me plaît aussi me convient parfaitement. j'aime mon métier même si j'ai nettement moins la passion des débuts, mais je reste une grande utopiste et me je me dis que je sers encore à quelque chose. et puis j'ai besoin d'être avec des ados (ça c'est nostalgie toute personnelle des années collèges....) par contre je n'ai jamais aimé les copies!
ce qui m'inquiète c'est le comment on va durer jusqu'à 67 ans à ce rythme, faudra bien trouver des solutions de fin de carrière.....
PS:cripure je joue au loto depuis ma majorité, mais ça ne marche pas
ce qui m'inquiète c'est le comment on va durer jusqu'à 67 ans à ce rythme, faudra bien trouver des solutions de fin de carrière.....
PS:cripure je joue au loto depuis ma majorité, mais ça ne marche pas
- eliamEsprit éclairé
Là, effectivement, je pense qu'on peut s'inquiéter car, à mon sens, ils ne vont chercher aucune solution et attendre qu'on demande à partir quand on n'en pourra plus. C'est pessimiste, certes, mais ils passent leur temps à parler de faire des économies, alors proposer quoi que ce soit à autant de personnes alors qu'on manque déjà de profs...
Page 2 sur 38 • 1, 2, 3 ... 20 ... 38
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum