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- egometDoyen
lo*vi a écrit:Lenou3132 a écrit:au bafa, c'est ce qu'ils nous avaient conseillé quand on devait mettre en situation les ados pour des grands jeux ou autres..pour éviter qu'ils soient mal à l'aise pendant l'activitélo*vi a écrit:Je ne suis pas fan de l'idée "mentez raisonnablement !" mais faut creuser, on peut peut-être trouver quelque chose de presque satisfaisant là-dessus....
on leur donnait comme une fiche de rôle déjà toute faite. Après ils devaient se l'approprier. c'est comme ça qu'on avait créer un super cluedo géant
Je ne doute pas qu'au BAFA ce soit super (j'ai été chef scout, je le faisais aussi) mais là je suis dans une salle de classe.
J'ai une autre vision (pfiou, je me sens vieille et rétrograde sur ce coup mais.... rien n'y fait :lecteur: )
Il n'y a pas tromperie dans une fiction, puisqu'elle est posée dès le début comme telle. Et si les élèves apprennent...
- InviteeFVénérable
egomet a écrit:lo*vi a écrit:Lenou3132 a écrit:au bafa, c'est ce qu'ils nous avaient conseillé quand on devait mettre en situation les ados pour des grands jeux ou autres..pour éviter qu'ils soient mal à l'aise pendant l'activitélo*vi a écrit:Je ne suis pas fan de l'idée "mentez raisonnablement !" mais faut creuser, on peut peut-être trouver quelque chose de presque satisfaisant là-dessus....
on leur donnait comme une fiche de rôle déjà toute faite. Après ils devaient se l'approprier. c'est comme ça qu'on avait créer un super cluedo géant
Je ne doute pas qu'au BAFA ce soit super (j'ai été chef scout, je le faisais aussi) mais là je suis dans une salle de classe.
J'ai une autre vision (pfiou, je me sens vieille et rétrograde sur ce coup mais.... rien n'y fait :lecteur: )
Il n'y a pas tromperie dans une fiction, puisqu'elle est posée dès le début comme telle. Et si les élèves apprennent...
Certes !
Mais je suis gênée (euphémisme) par la nécessité de l'artifice de la fiction, ou du vernis ludique, pour l'apprentissage.
Si les serious games ont leur utilité, pour moi, un cours (de langue ou autre) n'est pas un jeu ni une succession de jeux.
(je devrais arrêter de m'exprimer si ouvertement au cas où un IPR passe ici et ne me reconnaisse, au secours, je ne suis pas prudente !)
- egometDoyen
lo*vi a écrit:
et quelques copiers-collers de mes notes sur ces textes peut-être légèrement modifiés quand j'ai fait mes fiches mais vraiment à un ou deux mots près seulement pour synthétiser si tel est le cas
"Entraîner les élèves à induire une règle à partir d’exemples, de façon à poser des jalons utiles à leur expression orale et écrite, sans perdre de vue que la grammaire n’a de sens que par et pour la communication."
"Considérer les compétences linguistiques et culturelles non pas comme des fins en elles-mêmes mais mises en situation dans la réalisation de tâches."
"Créer des mises en situation via une pratique dite actionnelle. Relier la langue à l’action. Mettre en place la réalisation de tâches sociales telles que mener à bien un projet, atteindre un objectif, résoudre un problème."
"Impliquer l’élève dans des situations de communication motivées et motivantes."
"Encourager les tâches qui favorisent les activités de dialogue."
"Ancrer l’apprentissage dans une réalité quotidienne."
Enjoy your reading.... :malmaisbien:
Je détestais ces choses-là quand j'étais collégien et que j'apprenais les langues. Pourquoi les profs s'obstinaient-ils à nous faire deviner au lieu de nous dire les choses clairement? Je ne rechignais pas au travail, mais c'était toujours nul quand le prof s'évertuait à trouver des approches intéressantes ou amusantes.
Je n'ai compris le fin mot de l'affaire qu'en devenant prof moi-même
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Primum non nocere.
Ubi bene, ibi patria.
Mes livres, mes poèmes, réflexions pédagogiques: http://egomet.sanqualis.com/
- pitchounetteExpert
C'était juste pour eux une technique pour qu'on puisse avoir tous les ados qui puissent s'exprimer, participer sans avoir peur du regard des autres.lo*vi a écrit:
Je ne doute pas qu'au BAFA ce soit super (j'ai été chef scout, je le faisais aussi) mais là je suis dans une salle de classe.
j
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Le bonheur est dans le pré après 7 ans de région parisienne
- InviteeFVénérable
Et le fin mot était "les profs ne le choisissent pas" ?
Ou autre ?
(si c'est autre, ça m'intéresse vivement, car pareil que toi, je détestais ça élève et je déteste toujours autant maintenant que je suis de l'autre côté du bureau)
Ou autre ?
(si c'est autre, ça m'intéresse vivement, car pareil que toi, je détestais ça élève et je déteste toujours autant maintenant que je suis de l'autre côté du bureau)
- InviteeFVénérable
Lenou3132 a écrit:C'était juste pour eux une technique pour qu'on puisse avoir tous les ados qui puissent s'exprimer, participer sans avoir peur du regard des autres.lo*vi a écrit:
Je ne doute pas qu'au BAFA ce soit super (j'ai été chef scout, je le faisais aussi) mais là je suis dans une salle de classe.
j
Je comprends bien !
Mais quelque part, à force reculer pour mieux sauter, est-ce qu'on ne tombe pas de l'autre côté de la falaise ?
(+ je parle de classes dans lesquelles ma tutrice me dit admirer que j'aie le courage de ne pas marcher à reculons mais de leur tourner le dos, pas le genre, a priori de gamins dans la terreur du prof, plutôt le contraire)
et est-ce qu'on s'exprime sur soi quand on se contente (en tout cas à l'école) de répéter des mots tous prêts, écrits au tableau ?
prononcer des sons est-il s'exprimer s'il n'y a pas de message propre ?
EDIT : Auto-critique = je suis crevée, je suis casse-c*******, au temps pour moi, mes plus plates excuses, estoy sobreanalizando hasta perder el entendimiento.
- egometDoyen
lo*vi a écrit:egomet a écrit:lo*vi a écrit:Lenou3132 a écrit:au bafa, c'est ce qu'ils nous avaient conseillé quand on devait mettre en situation les ados pour des grands jeux ou autres..pour éviter qu'ils soient mal à l'aise pendant l'activitélo*vi a écrit:Je ne suis pas fan de l'idée "mentez raisonnablement !" mais faut creuser, on peut peut-être trouver quelque chose de presque satisfaisant là-dessus....
on leur donnait comme une fiche de rôle déjà toute faite. Après ils devaient se l'approprier. c'est comme ça qu'on avait créer un super cluedo géant
Je ne doute pas qu'au BAFA ce soit super (j'ai été chef scout, je le faisais aussi) mais là je suis dans une salle de classe.
J'ai une autre vision (pfiou, je me sens vieille et rétrograde sur ce coup mais.... rien n'y fait :lecteur: )
Il n'y a pas tromperie dans une fiction, puisqu'elle est posée dès le début comme telle. Et si les élèves apprennent...
Certes !
Mais je suis gênée (euphémisme) par la nécessité de l'artifice de la fiction, ou du vernis ludique, pour l'apprentissage.
Si les serious games ont leur utilité, pour moi, un cours (de langue ou autre) n'est pas un jeu ni une succession de jeux.
(je devrais arrêter de m'exprimer si ouvertement au cas où un IPR passe ici et ne me reconnaisse, au secours, je ne suis pas prudente !)
Ce n'est pas forcément ludique en tant que tel. La conversation doit être considérée comme un exercice complexe, à côté des exercices grammaticaux, de la traduction, du vocabulaire etc.
Pour ma part, j'ai une expérience de FLE en Chine. Pendant l'exercice de conversation, je notais au tableau toutes les expressions fautives ou intéressantes, je corrigeais et les étudiants notaient. J'intervenais même lorsqu'ils oubliaient quelque chose de basique, par exemple une formule de politesse. C'était un vrai exercice.
Ah! un détail: je ne demandais jamais de volontaires, tout le monde devait passer à un moment ou un autre.
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- egometDoyen
lo*vi a écrit:Et le fin mot était "les profs ne le choisissent pas" ?
Ou autre ?
(si c'est autre, ça m'intéresse vivement, car pareil que toi, je détestais ça élève et je déteste toujours autant maintenant que je suis de l'autre côté du bureau)
Ben oui, c'est ça. Pour l'essentiel du moins. Après il y a des collègues sur qui le bourrage de crâne a fonctionné.
Ce qui a marché quand nous étions élèves n'est pas forcément la solution à tout, mais ça donne quand même une piste.
Et ce qui n'a pas marché, je crois qu'on devrait avoir l'honnêteté de le laisser de côté.
D'ailleurs en pédagogie, comme dans les autres domaines, je crois que le plus important est de savoir ce qu'il ne faut pas faire. Primum non nocere, deinde curare.
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- InviteeFVénérable
egomet a écrit:lo*vi a écrit:Et le fin mot était "les profs ne le choisissent pas" ?
Ou autre ?
(si c'est autre, ça m'intéresse vivement, car pareil que toi, je détestais ça élève et je déteste toujours autant maintenant que je suis de l'autre côté du bureau)
Ben oui, c'est ça. Pour l'essentiel du moins. Après il y a des collègues sur qui le bourrage de crâne a fonctionné.
Ce qui a marché quand nous étions élèves n'est pas forcément la solution à tout, mais ça donne quand même une piste.
Et ce qui n'a pas marché, je crois qu'on devrait avoir l'honnêteté de le laisser de côté.
D'ailleurs en pédagogie, comme dans les autres domaines, je crois que le plus important est de savoir ce qu'il ne faut pas faire. Primum non nocere, deinde curare.
- caroletteNeoprof expérimenté
Ruthven a écrit:J'ai toujours eu en horreur les cours de langue où il fallait parler de soi ...
+1, je préférais commenter un article, un passage littéraire, un extrait de dialogue.
- InviteeFVénérable
- farfallaEmpereur
Lo*vi, quand je fais ce style d'exercice où il faut parler de soi, je vidéo projette des idées que les élèves peuvent ou non piocher.
Là par exemple, pour les prénoms des parents, je leur aurais fait une liste de prénoms féminins et masculins (hispaniques, de préférence). Ceux qui veulent bien dire le prénom de leurs parents le peuvent, les autres puisent dans ma liste.
Là par exemple, pour les prénoms des parents, je leur aurais fait une liste de prénoms féminins et masculins (hispaniques, de préférence). Ceux qui veulent bien dire le prénom de leurs parents le peuvent, les autres puisent dans ma liste.
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"Si nada nos salva de la muerte, al menos que el amor nos salve de la vida" Pablo Neruda
"Yo lloré porque no tenía zapatos hasta que vi un niño que no tenía pies." Oswaldo Guayasamin
- InviteeFVénérable
astopia a écrit:Lo*vi, quand je fais ce style d'exercice où il faut parler de soi, je vidéo projette des idées que les élèves peuvent ou non piocher.
Là par exemple, pour les prénoms des parents, je leur aurais fait une liste de prénoms féminins et masculins (hispaniques, de préférence). Ceux qui veulent bien dire le prénom de leurs parents le peuvent, les autres puisent dans ma liste.
C'est une EXCELLENTE alternative à mon choix laissé à leur appréciation entre père,mère/ frère,soeur /voisin, voisine.
Merci beaucoup Astopia, je me le note précieusement (je n'ai aucun matos dans mon bahut mais je peux mettre une mini-liste au moins au tableau)
- egometDoyen
C'est une manière intéressante de contourner le problème.
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- pitchounetteExpert
Pour ceux qui n'osent pas pour diverses raisons, tu leurs proposes de prendre des gens que tu as crées. Ceux qui sont prêts à parler d'eux parlent d'eux.lo*vi a écrit:
Mais quelque part, à force reculer pour mieux sauter, est-ce qu'on ne tombe pas de l'autre côté de la falaise ?
(+ je parle de classes dans lesquelles ma tutrice me dit admirer que j'aie le courage de ne pas marcher à reculons mais de leur tourner le dos, pas le genre, a priori de gamins dans la terreur du prof, plutôt le contraire)
moi j'avoue qu'au collège je perdais mes moyens en anglais car la prof imposait des exemples qui me sont personnels. ma participation et ma motivation n'etait pas top. En allemand, je jouais le rôle d'une ado allemande, je pouvais lui faire vivre la vie qu'elle souhaitait. la prof voulait juste que je sois capable de construire la phrase comme il faut et faire attention à la grammaire
- seahalaNiveau 7
Oui, les simagrées du prof essayant de mimer le truc en question à force de contorsions et de mimiques épouvantables parce il n' pas le droit de traduire directement.... Ou alors s'évertuant à ne parler que la langue cible dans son cours devant des gamins qui le regardent avec des grand yeux ahuris d'incompréhension... On a tous connus ça.... !! Que de fois je me suis sentie en porte à faux avec le diktat des instructions officielles !!
Je sais maintenant que j'adapte à la classe et au profil des élèves, à certains je ne peux pas parler allemand d'un bout à l'autre du cours, à d'autres, je peux, à certains je suis obligée de dire 5 fois de suite la traduction du mot en français, à d'autres une évocation dans la langue suffit....
Et puis, des fois, je suis fatiguée, j'ai pas envie d'endosser la panoplie du prof d'allemand, j'ai envie de faire un bon vieil exercice de grammaire qui va reposer tout le monden ou j'ai envie de plaisanter ou de discuter avec les gamins sans le prétexte du cours ou de la communication à tout prix... Beaucoup de surfait là aussi je trouve, la tâche finale, l'approche actionnelle, même si je m'y plie et que j'en vois aussi l'intérêt et la cohérence, je trouve que c'est encore trop dogmatique, trop éloigné de la réalité humaine mouvante qui est notre quotidien...
Je sais maintenant que j'adapte à la classe et au profil des élèves, à certains je ne peux pas parler allemand d'un bout à l'autre du cours, à d'autres, je peux, à certains je suis obligée de dire 5 fois de suite la traduction du mot en français, à d'autres une évocation dans la langue suffit....
Et puis, des fois, je suis fatiguée, j'ai pas envie d'endosser la panoplie du prof d'allemand, j'ai envie de faire un bon vieil exercice de grammaire qui va reposer tout le monden ou j'ai envie de plaisanter ou de discuter avec les gamins sans le prétexte du cours ou de la communication à tout prix... Beaucoup de surfait là aussi je trouve, la tâche finale, l'approche actionnelle, même si je m'y plie et que j'en vois aussi l'intérêt et la cohérence, je trouve que c'est encore trop dogmatique, trop éloigné de la réalité humaine mouvante qui est notre quotidien...
- egometDoyen
Voilà! Il faut ajuster ses méthodes selon les réalités du terrain!
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- farfallaEmpereur
L'important est qu'il sente que tu t'immisces pas dans leur vie. Parfois ils ressentent ça comme une intrusion dans leur vie privée.lo*vi a écrit:astopia a écrit:Lo*vi, quand je fais ce style d'exercice où il faut parler de soi, je vidéo projette des idées que les élèves peuvent ou non piocher.
Là par exemple, pour les prénoms des parents, je leur aurais fait une liste de prénoms féminins et masculins (hispaniques, de préférence). Ceux qui veulent bien dire le prénom de leurs parents le peuvent, les autres puisent dans ma liste.
C'est une EXCELLENTE alternative à mon choix laissé à leur appréciation entre père,mère/ frère,soeur /voisin, voisine.
Merci beaucoup Astopia, je me le note précieusement (je n'ai aucun matos dans mon bahut mais je peux mettre une mini-liste au moins au tableau)
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- DinaaaExpert spécialisé
J'ai la solution : l'in-ter-dis-ci-pli-na-ri-té !
En 4e : tu réinvestis les cours du prof de Français sur le réalisme pour leur faire parler d'un ado qui leur ressemble sans être eux.
En 3e : tu réinvestis les cours du prof de Français sur l'autobiographie pour leur faire sélectionner des informations qu'ils jugent pertinentes pour expliquer leur personnalité.
Et tu vas dire merci au *merveilleux* prof de Français. :lol:
- egometDoyen
Ou tu demandes au professeur de français de faire un cours sérieux sur les fonctions grammaticales, pour que tu puisses donner des explications sans t'arracher les cheveux.
Et le professeur de français te maudit, parce que c'est exactement ce qu'il voudrait faire, mais il ne peut pas, il est coincé par son propre IPR, qui est prêt à le sacrifier dans une messe noire pour avoir eu l'idée de faire ça.
Et le professeur de français te maudit, parce que c'est exactement ce qu'il voudrait faire, mais il ne peut pas, il est coincé par son propre IPR, qui est prêt à le sacrifier dans une messe noire pour avoir eu l'idée de faire ça.
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- seahalaNiveau 7
egomet a écrit:Ou tu demandes au professeur de français de faire un cours sérieux sur les fonctions grammaticales, pour que tu puisses donner des explications sans t'arracher les cheveux.
Et le professeur de français te maudit, parce que c'est exactement ce qu'il voudrait faire, mais il ne peut pas, il est coincé par son propre IPR, qui est prêt à le sacrifier dans une messe noire pour avoir eu l'idée de faire ça.
Oui, exactement !! :lol:
Tous les ans, je demande à mes collègues de français de faire un cours sur les catégories grammaticales et les fonctions avant d'introduire l'accusatif chez moi, et ils le font, heureusement ! Pas là, ils sont aussi déjà dans la désobéïssance...
- majadaNiveau 3
Donner le prénom de mes parents ça m'aurait génée : pas que j'ai honte de leur prénom mais je n'ai jamais appelé mes parents par leur prénom, (mes enfants ne les appellent pas par leur prénom non plus) donc le dire devant les autres .... Les frères et soeurs c'est différent.
- melaniguizHabitué du forum
Pour revenir au prénom des parents : l'an dernier dans ma 5e bien lourdingue, les élèves s'appelaient entre eux par le prénom d'un de leurs parents et ça déclenchait rires, moqueries et agressivité en moins de deux. Je me rappelle la même chose il y a quelques années avec des 3e bien lourds aussi... C'était des prénoms très classiques du type Catherine, mais qui doivent leur paraitre vieillots ou bouseux, je ne sais pas...
- DerborenceModérateur
J'ai eu la même chose dans une classe de 3e l'an dernier.melaniguiz a écrit:Pour revenir au prénom des parents : l'an dernier dans ma 5e bien lourdingue, les élèves s'appelaient entre eux par le prénom d'un de leurs parents et ça déclenchait rires, moqueries et agressivité en moins de deux. Je me rappelle la même chose il y a quelques années avec des 3e bien lourds aussi... C'était des prénoms très classiques du type Catherine, mais qui doivent leur paraitre vieillots ou bouseux, je ne sais pas...
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"La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne." Proverbe chinois
"Derborence, le mot chante triste et doux dans la tête pendant qu’on se penche sur le vide, où il n’y a plus rien, et on voit qu’il n’y a plus rien."
Charles-Ferdinand Ramuz, Derborence
- farfallaEmpereur
Derborence a écrit:J'ai eu la même chose dans une classe de 3e l'an dernier.melaniguiz a écrit:Pour revenir au prénom des parents : l'an dernier dans ma 5e bien lourdingue, les élèves s'appelaient entre eux par le prénom d'un de leurs parents et ça déclenchait rires, moqueries et agressivité en moins de deux. Je me rappelle la même chose il y a quelques années avec des 3e bien lourds aussi... C'était des prénoms très classiques du type Catherine, mais qui doivent leur paraitre vieillots ou bouseux, je ne sais pas...
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- BabayagaGrand sage
MrBrightside a écrit:Anecdote de formation l'an dernier:
Notre formatrice nous présentait des documents sur l'argent de poche et la consommation chez les jeunes. Elle proposait en exercice de poser des questions à ce sujet aux lycéens type "How much pocket money do you get?" (Combien d'argent de poche on te donne?)
Nous, stagiaires, avons tous été choqué de la question et de la manière dont elle était posée. Et pourtant, la formatrice nous a assuré que jamais un élève ne s'était senti agressé ou honteux de ne rien recevoir...
Et bien elle se trompe.
C'est une thématique abordée en 3°, et je précise toujours aux élèves qu'ils sont libres de raconter ce qu'ils veulent en utilisant le vocabulaire, que seules les productions m'intéressent, pas le fond.
Pareil quand on parle des situations embarrassantes, "raconte la honte de ta vie" (bon, là on s'en doute un peu qu'on peut les embarrasser tout de même )
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Je ne gère plus la rubrique en accès restreint, adressez-vous à Hermione, merci
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- Prénoms et proportion de mention Très Bien au bac 2017
- "Cher parents d'élèves, vous nous emmerdez" : Rue89 publie l'article polémique d'une enseignante contre les parents d'élèves.
- De quoi parlez-vous lors des réunions parents-profs?
- Remise des bulletins en n'étant pas PP : de quoi faut-il parler avec les parents ?
- Obligation adhésion asso parents élèves pour parents délégué conseil de classe ?
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