- gelsomina31Grand Maître
assez d'accord avec toi sur le principe!Celadon a écrit:La logique c'est que tu vas consacrer plus de 20 % EN PLUS en travaillant 15 j de plus en été sans aucune compensation. A la demande conjointe des parents et des experts en biorythmes. Faudra penser à leur enlever 15 J de vacances à eux aussi à notre demande.
- Invité21Fidèle du forum
Cripure a écrit:TutaféSibérie a écrit:Quand j'y songe, quel cynisme...Et on doit être trop bons en réalité, pour qu'il ose seulement se permettre de le déclarer.
N'est-ce pas ce bon Guizot qui souhaitait les enseignants pauvres, pour qu'ils restassent vertueux?
Je me suis corrigée!
- fioufiouNiveau 5
gelsomina31 a écrit:assez d'accord avec toi sur le principe!Celadon a écrit:La logique c'est que tu vas consacrer plus de 20 % EN PLUS en travaillant 15 j de plus en été sans aucune compensation. A la demande conjointe des parents et des experts en biorythmes. Faudra penser à leur enlever 15 J de vacances à eux aussi à notre demande.
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Dehors, il fait 36°... 1) Est-il possible de supprimer deux semaines de vacances sans notre consentement ? 2) Concrètement, comment faire cours dans des conditions pareilles, c'est-à-dire avec 30 élèves par classe sans climatisation ?
Pour le coup, je préfère avoir deux semaines de vacances estivales plutôt que de suer à grosses gouttes dans une salle de classe pour une éventuelle revalorisation salariale (?).
- philannDoyen
Moi j'étais pour les 27h hebdo de présence au lycée. (méga irréaliste mais passons)
Car je vous jure que je n'en aurais pas fais 1 SEULE DE PLUS en dehors ... et du coup j'aurais bcp moins bossé qu'actuellement! :diable:
Car je vous jure que je n'en aurais pas fais 1 SEULE DE PLUS en dehors ... et du coup j'aurais bcp moins bossé qu'actuellement! :diable:
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2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- User5899Demi-dieu
De quoiSibérie a écrit:Cripure a écrit:TutaféSibérie a écrit:Quand j'y songe, quel cynisme...Et on doit être trop bons en réalité, pour qu'il ose seulement se permettre de le déclarer.
N'est-ce pas ce bon Guizot qui souhaitait les enseignants pauvres, pour qu'ils restassent vertueux?
Je me suis corrigée!
- CeladonDemi-dieu
Ici on reprend début septembre avec des températures d'août et seule l'administration est climatisée !
- PseudoDemi-dieu
Mais qu'il se taise, qu'il se taise....
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- DionysosFidèle du forum
C'est marrant, moi, si j'étais bien payé je serai vachement plus vertueux.
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"We're all in the gutter, but some of us are looking at the stars". O.Wilde.
- PseudoDemi-dieu
Dionysos a écrit:C'est marrant, moi, si j'étais bien payé je serai vachement plus vertueux.
Oui, on pourrait s'offrir ce luxe, alors que bientôt il nous faudra tapiner chez cacadomia (ou tapiner tout court) pour boucler les fins de mois.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- InvitéC8Habitué du forum
fioufiou a écrit:Concrètement, comment faire cours dans des conditions pareilles, c'est-à-dire avec 30 élèves par classe sans climatisation ?
J'ai du mal avec cet argument de la chaleur. A la Réunion on enseigne toute l'année dans des salles où il fait entre 25 et 35 degrés (selon le mois), sans climatisation (au mieux quelques ventilos au plafond), et avec des classes à effectifs supérieurs à 30 élèves (cette année en lycée j'ai 4 classes dont trois à 37 élèves, la dernière à 33). On y arrive.
- PseudoDemi-dieu
Camille87 a écrit:fioufiou a écrit:Concrètement, comment faire cours dans des conditions pareilles, c'est-à-dire avec 30 élèves par classe sans climatisation ?
J'ai du mal avec cet argument de la chaleur. A la Réunion on enseigne toute l'année dans des salles où il fait entre 25 et 35 degrés (selon le mois), sans climatisation (au mieux quelques ventilos au plafond), et avec des classes à effectifs supérieurs à 30 élèves (cette année en lycée j'ai 4 classes dont trois à 37 élèves, la dernière à 33). On y arrive.
Oui, et dans certains pays d'Afrique, ils sont 50 avec une ardoise pour deux dans un préfabriqué avec 50 à l'ombre. Ils y arrivent aussi.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- InvitéC8Habitué du forum
Pseudo a écrit:Camille87 a écrit:fioufiou a écrit:Concrètement, comment faire cours dans des conditions pareilles, c'est-à-dire avec 30 élèves par classe sans climatisation ?
J'ai du mal avec cet argument de la chaleur. A la Réunion on enseigne toute l'année dans des salles où il fait entre 25 et 35 degrés (selon le mois), sans climatisation (au mieux quelques ventilos au plafond), et avec des classes à effectifs supérieurs à 30 élèves (cette année en lycée j'ai 4 classes dont trois à 37 élèves, la dernière à 33). On y arrive.
Oui, et dans certains pays d'Afrique, ils sont 50 avec une ardoise pour deux dans un préfabriqué avec 50 à l'ombre. Ils y arrivent aussi.
Je voulais dire par là qu'on y arrive très bien et que ce n'est pas gênant (pas que c'est horrible mais qu'on fait avec). Je ne suis pas du tout partisane du "il y a pire ailleurs donc ne disons rien".
- Invité21Fidèle du forum
Cripure a écrit:De quoiSibérie a écrit:Cripure a écrit:TutaféSibérie a écrit:Quand j'y songe, quel cynisme...Et on doit être trop bons en réalité, pour qu'il ose seulement se permettre de le déclarer.
N'est-ce pas ce bon Guizot qui souhaitait les enseignants pauvres, pour qu'ils restassent vertueux?
Je me suis corrigée!
Un pluriel qui n'avait pas lieu d'être!
- gelsomina31Grand Maître
Dionysos a écrit:C'est marrant, moi, si j'étais bien payé je serai vachement plus vertueux.
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Fear buildswalls.Hope builds bridges !
« De chacun selon ses forces, à chacun selon ses besoins. »
- CeladonDemi-dieu
Pour moi ce serait impossible : j'ai déjà atteint le summum de la vertu.
- SteredDoyen
Camille87 a écrit:Pseudo a écrit:Camille87 a écrit:fioufiou a écrit:Concrètement, comment faire cours dans des conditions pareilles, c'est-à-dire avec 30 élèves par classe sans climatisation ?
J'ai du mal avec cet argument de la chaleur. A la Réunion on enseigne toute l'année dans des salles où il fait entre 25 et 35 degrés (selon le mois), sans climatisation (au mieux quelques ventilos au plafond), et avec des classes à effectifs supérieurs à 30 élèves (cette année en lycée j'ai 4 classes dont trois à 37 élèves, la dernière à 33). On y arrive.
Oui, et dans certains pays d'Afrique, ils sont 50 avec une ardoise pour deux dans un préfabriqué avec 50 à l'ombre. Ils y arrivent aussi.
Je voulais dire par là qu'on y arrive très bien et que ce n'est pas gênant (pas que c'est horrible mais qu'on fait avec). Je ne suis pas du tout partisane du "il y a pire ailleurs donc ne disons rien".
Mouais, enfin à la Réunion, il y a peut-être l'habitude de la chaleur qui joue aussi et des bâtiments construits en conséquence ? Parce que dans mon collège entièrement vitré de partout, c'est un régal même en hiver... Alors par plus de 30...
- DinaaaExpert spécialisé
Camille87 a écrit:J'ai du mal avec cet argument de la chaleur.
...
Je voulais dire par là qu'on y arrive très bien et que ce n'est pas gênant.
J'imagine qu'il y a justement une légère différence entre une situation permanente et une situation exceptionnelle (eh oui, la chaleur, en région parisienne, ça devient une exception).
Tiens, tente d'imaginer avec quelle efficacité tu travaillerais s'il se mettait à neiger un beau jour ? Tes élèves ne seraient-ils pas légèrement excités ?
- OsmieSage
Stered a écrit:Camille87 a écrit:Pseudo a écrit:Camille87 a écrit:fioufiou a écrit:Concrètement, comment faire cours dans des conditions pareilles, c'est-à-dire avec 30 élèves par classe sans climatisation ?
J'ai du mal avec cet argument de la chaleur. A la Réunion on enseigne toute l'année dans des salles où il fait entre 25 et 35 degrés (selon le mois), sans climatisation (au mieux quelques ventilos au plafond), et avec des classes à effectifs supérieurs à 30 élèves (cette année en lycée j'ai 4 classes dont trois à 37 élèves, la dernière à 33). On y arrive.
Oui, et dans certains pays d'Afrique, ils sont 50 avec une ardoise pour deux dans un préfabriqué avec 50 à l'ombre. Ils y arrivent aussi.
Je voulais dire par là qu'on y arrive très bien et que ce n'est pas gênant (pas que c'est horrible mais qu'on fait avec). Je ne suis pas du tout partisane du "il y a pire ailleurs donc ne disons rien".
Mouais, enfin à la Réunion, il y a peut-être l'habitude de la chaleur qui joue aussi et des bâtiments construits en conséquence ? Parce que dans mon collège entièrement vitré de partout, c'est un régal même en hiver... Alors par plus de 30...
Ah oui, mais attention ! A la Réunion, tu as déjà 50% de salaire en plus grâce au statut de colon ! :Drapeaufrançai
Peillon nous veut pauvres. Tenir de tels propos alors que le point d'indice est gelé depuis deux ans, c'est d'un mépris...
En somme, entre prof et bonne sœur, une différence : la chasteté. La pauvreté, on y vient ; l'obéissance, c'est le but.
Qu'on lui donne notre condition et qu'on prenne la sienne : on verra ce qu'il adviendra de son opinion sur nos salaires. Au fait, je veux bien un chauffeur : après tout, je sers l'Etat moi aussi. Et sans cabinet.
Ces propos sont écœurants mais je ne suis pas surprise : rien d’autre ne viendra d'un gouvernement qui n'est pas de gauche et le PS n'est pas la gauche.
- René DescartesNiveau 5
Moi, j'ai fait le métier d'enseignant en grande partie pour les vacances et le temps libre. J'aurais aimé faire plusieurs métiers différents, mais c'est assez difficile en France. Du coup, j'ai pensé qu'il fallait que je fasse un métier qui me laisse du temps libre. S'ils touchent aux grandes vacances, je serai donc indisponible le temps qu'ils nous prendront. C'est normal, on ne change pas les règles après 20 ans de service. J'ai de nombreux amis qui gagnent deux à six fois ce que je gagne ou qui gagnent plus en faisant du théâtre, qui écrivent, etc. Je songe donc à quitter l'Education Nationale, vu que je suis l'un des derniers motivés (qu'ils essaient de casser depuis mon entrée en fonction, et même avant...)Celadon a écrit:La logique c'est que tu vas consacrer plus de 20 % EN PLUS en travaillant 15 j de plus en été sans aucune compensation. A la demande conjointe des parents et des experts en biorythmes. Faudra penser à leur enlever 15 J de vacances à eux aussi à notre demande.
Je songe désormais à donner des cours tout seul, avec ma propre école. J'ai calculé que je pouvais ainsi calculer 5000€ par semaine pendant les congés scolaires. Je pense qu'il me faudra environ trois ans pour lancer mon affaire et lacher l'éducation nationale. C'est exactement le temps qu'il me faut pour ne pas rembourser le congé de formation que l'on vient de m'accorder pour passer l'agrégation (à vos frais mes amis !), alors que l'on pouvait simplement me mettre à l'essai en détachement (changement de corps). En philosophie, j'ai eu droit à un inspecteur défenseur de la pédagogie par objectifs... A trop jouer au con avec les vrais enseignants, ils en viennent finalement à quitter les rangs.
- User5899Demi-dieu
Oui, nous, on n'a pas le temps de :censure:Janne a écrit:entre prof et bonne sœur, une différence : la chasteté.
- MirobolandeHabitué du forum
J'osais pas le dire!Cripure a écrit:Oui, nous, on n'a pas le temps de :censure:Janne a écrit:entre prof et bonne sœur, une différence : la chasteté.
Et en plus, la fatigue nous fait rejoindre le sofa dès 19 h...Mais pour y piquer un somme.
- OsmieSage
Mirobolande a écrit:J'osais pas le dire!Cripure a écrit:Oui, nous, on n'a pas le temps de :censure:Janne a écrit:entre prof et bonne sœur, une différence : la chasteté.
Et en plus, la fatigue nous fait rejoindre le sofa dès 19 h...Mais pour y piquer un somme.
Feignasse de prof !
- OsmieSage
René Descartes a écrit:Moi, j'ai fait le métier d'enseignant en grande partie pour les vacances et le temps libre. J'aurais aimé faire plusieurs métiers différents, mais c'est assez difficile en France. Du coup, j'ai pensé qu'il fallait que je fasse un métier qui me laisse du temps libre. S'ils touchent aux grandes vacances, je serai donc indisponible le temps qu'ils nous prendront. C'est normal, on ne change pas les règles après 20 ans de service. J'ai de nombreux amis qui gagnent deux à six fois ce que je gagne ou qui gagnent plus en faisant du théâtre, qui écrivent, etc. Je songe donc à quitter l'Education Nationale, vu que je suis l'un des derniers motivés (qu'ils essaient de casser depuis mon entrée en fonction, et même avant...)Celadon a écrit:La logique c'est que tu vas consacrer plus de 20 % EN PLUS en travaillant 15 j de plus en été sans aucune compensation. A la demande conjointe des parents et des experts en biorythmes. Faudra penser à leur enlever 15 J de vacances à eux aussi à notre demande.
Je songe désormais à donner des cours tout seul, avec ma propre école. J'ai calculé que je pouvais ainsi calculer 5000€ par semaine pendant les congés scolaires. Je pense qu'il me faudra environ trois ans pour lancer mon affaire et lacher l'éducation nationale. C'est exactement le temps qu'il me faut pour ne pas rembourser le congé de formation que l'on vient de m'accorder pour passer l'agrégation (à vos frais mes amis !), alors que l'on pouvait simplement me mettre à l'essai en détachement (changement de corps). En philosophie, j'ai eu droit à un inspecteur défenseur de la pédagogie par objectifs... A trop jouer au con avec les vrais enseignants, ils en viennent finalement à quitter les rangs.
Je te comprends mais je n'aime pas l'idée du malin qui quitte le navire après avoir bénéficié du service public. Moralement, cela ne passe pas. Je pense aux tombereaux d'élèves auxquels les parents n'auront pas les moyens de payer des cours hors EN. Le chacun pour sa gueule, très peu pour moi.
- gelsomina31Grand Maître
Janne a écrit:René Descartes a écrit:Moi, j'ai fait le métier d'enseignant en grande partie pour les vacances et le temps libre. J'aurais aimé faire plusieurs métiers différents, mais c'est assez difficile en France. Du coup, j'ai pensé qu'il fallait que je fasse un métier qui me laisse du temps libre. S'ils touchent aux grandes vacances, je serai donc indisponible le temps qu'ils nous prendront. C'est normal, on ne change pas les règles après 20 ans de service. J'ai de nombreux amis qui gagnent deux à six fois ce que je gagne ou qui gagnent plus en faisant du théâtre, qui écrivent, etc. Je songe donc à quitter l'Education Nationale, vu que je suis l'un des derniers motivés (qu'ils essaient de casser depuis mon entrée en fonction, et même avant...)Celadon a écrit:La logique c'est que tu vas consacrer plus de 20 % EN PLUS en travaillant 15 j de plus en été sans aucune compensation. A la demande conjointe des parents et des experts en biorythmes. Faudra penser à leur enlever 15 J de vacances à eux aussi à notre demande.
Je songe désormais à donner des cours tout seul, avec ma propre école. J'ai calculé que je pouvais ainsi calculer 5000€ par semaine pendant les congés scolaires. Je pense qu'il me faudra environ trois ans pour lancer mon affaire et lacher l'éducation nationale. C'est exactement le temps qu'il me faut pour ne pas rembourser le congé de formation que l'on vient de m'accorder pour passer l'agrégation (à vos frais mes amis !), alors que l'on pouvait simplement me mettre à l'essai en détachement (changement de corps). En philosophie, j'ai eu droit à un inspecteur défenseur de la pédagogie par objectifs... A trop jouer au con avec les vrais enseignants, ils en viennent finalement à quitter les rangs.
Je te comprends mais je n'aime pas l'idée du malin qui quitte le navire après avoir bénéficié du service public. Moralement, cela ne passe pas. Je pense aux tombereaux d'élèves auxquels les parents n'auront pas les moyens de payer des cours hors EN. Le chacun pour sa gueule, très peu pour moi.
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« De chacun selon ses forces, à chacun selon ses besoins. »
- AuroreEsprit éclairé
Nous nous plaignons (à juste titre, et néanmoins en pure perte) des propos abjects des ministres successifs. Pourtant, Peillon tenait déjà ces mêmes propos mielleux et cyniquement moralisateurs avant l'élection, et nous les avions alors parfaitement entendus.
Plus encore, nous trouvions alors toutes les bonnes raisons du monde - le vote utile, le TSS, le "on verra plus tard", le "bénéfice du doute", etc. - pour voter pour lui et sa formation politique, tout en étant prêts à sacrifier nos conditions de travail et nos vacances sur l'autel des "rythmes scolaires" et surtout des fameux 60 000 postes qui, du reste, ne verront sans doute jamais le jour pour d'autres raisons.
Une fois de plus, la responsabilité de la débâcle de l'EN est collective et repose malheureusement en bonne partie sur les profs eux-mêmes...
Plus encore, nous trouvions alors toutes les bonnes raisons du monde - le vote utile, le TSS, le "on verra plus tard", le "bénéfice du doute", etc. - pour voter pour lui et sa formation politique, tout en étant prêts à sacrifier nos conditions de travail et nos vacances sur l'autel des "rythmes scolaires" et surtout des fameux 60 000 postes qui, du reste, ne verront sans doute jamais le jour pour d'autres raisons.
Une fois de plus, la responsabilité de la débâcle de l'EN est collective et repose malheureusement en bonne partie sur les profs eux-mêmes...
- Pour Valeurs Actuelles, il est désormais nécessaire de "traquer les fautes dans les corrections de certains enseignants".
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