- MareuilNeoprof expérimenté
Et personne n'a remarqué, dans tout ça, que l'organigramme de la DGESCO est toujours le même ?
- neomathÉrudit
A quoi bon s'écharper sur cette histoire d'école obligatoire jusqu'à 18 ans puisque, dans les faits, l'écrasante majorité des enfants vont à l'école jusqu'à bien après 18 ans. Et ce, pas par goût ni capacité pour les études, mais à cause du chômage de masse. On est donc en train de discuter du bien fondé d'une mesure qui, si elle est adoptée, n'aura absolument aucune conséquence pratique.Finrod a écrit:Je comprend Igniatus, mais tant qu'on ne sort pas du fonctionnement actuel du collège unique, on obtient des élèves qui n'ont pas le niveau pour passer dans les trois voies en lycée.
Même la plupart de ceux qui poursuivent actuellement dans ces voix n'ont pas le niveau pour...
Je préfère essayer de partir de la réalité du terrain pour réfléchir et proposer, et ne pas mettre la charrue avant les bœufs.
Cette question de l'école obligatoire jusqu'à 18 ans est même la raison qui m'a décidé, il y a 2 ans, à ne pas adhérer au SNES alors que ma famille est plutôt SNES.
- CelebornEsprit sacré
neomath a écrit:
A quoi bon s'écharper sur cette histoire d'école obligatoire jusqu'à 18 ans puisque, dans les faits, l'écrasante majorité des enfants vont à l'école jusqu'à bien après 18 ans.
On a le droit de se préoccuper d'une minorité certes pas écrasante, mais qui ne est déjà larguée au collège et à laquelle imposer encore plus de scolarité est une solution qu'on peut au moins trouver discutable, fût-ce en y mettant des moyens qu'on n'a pas.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- doublecasquetteEnchanteur
Celeborn a écrit:neomath a écrit:
A quoi bon s'écharper sur cette histoire d'école obligatoire jusqu'à 18 ans puisque, dans les faits, l'écrasante majorité des enfants vont à l'école jusqu'à bien après 18 ans.
On a le droit de se préoccuper d'une minorité certes pas écrasante, mais qui est déjà larguée au collège et à laquelle imposer encore plus de scolarité est une solution qu'on peut au moins trouver discutable, fût-ce en y mettant des moyens qu'on n'a pas.
L'intérêt donc serait donc de se battre pour que les moyens soient rétablis, amplifiés et rendus plus efficaces en amont du collège.
Et ensuite, scolarité classique ou "pratique", pour ceux qui, malgré les moyens, doivent bénéficier d'un suivi différencié (ils sont en réalité fort peu nombreux, une fois écartées les méthodes génératrices d'exclusion), jusqu'à dix-huit ans s'il le faut.
- egometDoyen
Celeborn a écrit:neomath a écrit:
A quoi bon s'écharper sur cette histoire d'école obligatoire jusqu'à 18 ans puisque, dans les faits, l'écrasante majorité des enfants vont à l'école jusqu'à bien après 18 ans.
On a le droit de se préoccuper d'une minorité certes pas écrasante, mais qui ne est déjà larguée au collège et à laquelle imposer encore plus de scolarité est une solution qu'on peut au moins trouver discutable, fût-ce en y mettant des moyens qu'on n'a pas.
En effet, le problème n'est pas de convaincre les jeunes de faire des études. L'idée est maintenant suffisamment ancrée dans les mentalités. On n'est plus au XIXème siècle quand les parents les mettaient en concurrence avec le travail. La question est de savoir si les jeunes sont capables d'en faire. Leur demander des choses impossibles pour eux, c'est une violence monstrueuse!
Sans parler des effets délétères de la contrainte sur l'ensemble du système scolaire:abaissement des exigences pour tout le monde, incitations à la paresse (puisque le diplôme est quasiment un droit et pas une récompense à gagner), tricherie généralisée pour remplir les objectifs gouvernementaux. En fait, c'est exactement comme pour le collège unique, mais à un degré supérieur, en plus grave. Que reste-t-il après le lycée pour permettre un retour à la réalité?
J'irai même jusqu'à dire qu'une telle mesure menace in fine tout le tissu social.
- CelebornEsprit sacré
doublecasquette a écrit:
L'intérêt donc serait donc de se battre pour que les moyens soient rétablis, amplifiés et rendus plus efficaces en amont du collège.
Et ensuite, scolarité classique ou "pratique", pour ceux qui, malgré les moyens, doivent bénéficier d'un suivi différencié (ils sont en réalité fort peu nombreux, une fois écartées les méthodes génératrices d'exclusion), jusqu'à dix-huit ans s'il le faut.
Je souscris à l'idée de moyens rendus "plus efficaces" en amont du collège. Je compte d'ailleurs beaucoup l'ouvrir dans la concertation sur le 1er degré (si certains ont des idées construites et développées, qu'ils n'hésitent d'ailleurs pas à me les faire passer en MP).
Je suis bien d'accord que si l'on écarte les méthodes génératrices d'exclusion, on aura nettement moins de décrochés en milieu (voire en début) de collège, qu'il serait illusoire voire nocif de faire passer au lycée (qu'il soit professionnel n'y change rien, ça reste un lycée avec une organisation de lycée, c'est-à-dire à mon sens une chose à laquelle ces enfants-là ne sont pas adaptés). Mais je suis hélas réaliste et je parie malheureusement sur le fait que ce primaire idyllique n'est pas pour demain. Alors en attendant qu'on arrête le massacre en amont, je trouverais bon qu'on ne le développât point en aval.
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- coindeparadisGuide spirituel
Celeborn a écrit:neomath a écrit:
A quoi bon s'écharper sur cette histoire d'école obligatoire jusqu'à 18 ans puisque, dans les faits, l'écrasante majorité des enfants vont à l'école jusqu'à bien après 18 ans.
On a le droit de se préoccuper d'une minorité certes pas écrasante, mais qui ne est déjà larguée au collège et à laquelle imposer encore plus de scolarité est une solution qu'on peut au moins trouver discutable, fût-ce en y mettant des moyens qu'on n'a pas.
Et il serait bon que l'on tienne compte des désirs et de la souffrance de jeunes qui ne veulent pas prolonger leur scolarité si longtemps. Avec le passage au bac pro 3 ans, j'ai vu des élèves regretter les CAp et BEP car ils étaient conscients de ne pas avoir le niveau "Bac Pro". Et puis au cours de l'année, ils m'ont dit "En fait madame, c'est un diplôme bidon qu'on nous donne, avec le CCFtout le monde va l'avoir. C'est nul parce qu'après les patrons ils vont le savoir et ils voudront plus nous embaucher." Les élèves sont parfois plus lucides que nos dirigeants !
- CeladonDemi-dieu
Parce que tu crois sincèrement que nos dirigeants ne sont pas lucides, 21déjà ???
- IgniatiusGuide spirituel
Je suis d'accord avec le fait que les méthodes sont problématiques mais à mon avis les changer n'améliorera guère le sort des élèves les plus en difficulté.
Je veux dire que, pour moi, si exclusion il y a, c'est celle des gamins moyens à bons (scolairement) des filières les plus cotées et sélectives, en les privant de bases solides et équivalentes à celles de leurs petits camarades issus de milieux favorisés, qui compensent à la maison.
Les méthodes actuelles n'excluent pas ceux-là de l'école : ils ne font pas partie des gamins qui passent d'années en années tels des zombies.
Du coup, si changer les méthodes sera un bien pour la destination sociale des meilleurs éléments des couches défavorisées, je ne me fais guère d'illusion quant à l'avenir de ceux actuellement exclus.
Et on en revient tjrs au même pb qui dépasse l'école : les gamins qui ne peuvent pas suivre ne trouvent plus de boulot ds ce pays qui se desindustrialise tjrs plus.
Je ne sais pas si je suis clair.
Je veux dire que, pour moi, si exclusion il y a, c'est celle des gamins moyens à bons (scolairement) des filières les plus cotées et sélectives, en les privant de bases solides et équivalentes à celles de leurs petits camarades issus de milieux favorisés, qui compensent à la maison.
Les méthodes actuelles n'excluent pas ceux-là de l'école : ils ne font pas partie des gamins qui passent d'années en années tels des zombies.
Du coup, si changer les méthodes sera un bien pour la destination sociale des meilleurs éléments des couches défavorisées, je ne me fais guère d'illusion quant à l'avenir de ceux actuellement exclus.
Et on en revient tjrs au même pb qui dépasse l'école : les gamins qui ne peuvent pas suivre ne trouvent plus de boulot ds ce pays qui se desindustrialise tjrs plus.
Je ne sais pas si je suis clair.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- coindeparadisGuide spirituel
Celadon a écrit:Parce que tu crois sincèrement que nos dirigeants ne sont pas lucides, 21déjà ???
Non, tu as raison, c'est bien plus grave que cela...
- doublecasquetteEnchanteur
Igniatius a écrit:Je suis d'accord avec le fait que les méthodes sont problématiques mais à mon avis les changer n'améliorera guère le sort des élèves les plus en difficulté.
Je veux dire que, pour moi, si exclusion il y a, c'est celle des gamins moyens à bons (scolairement) des filières les plus cotées et sélectives, en les privant de bases solides et équivalentes à celles de leurs petits camarades issus de milieux favorisés, qui compensent à la maison.
Les méthodes actuelles n'excluent pas ceux-là de l'école : ils ne font pas partie des gamins qui passent d'années en années tels des zombies.
Du coup, si changer les méthodes sera un bien pour la destination sociale des meilleurs éléments des couches défavorisées, je ne me fais guère d'illusion quant à l'avenir de ceux actuellement exclus.
Et on en revient tjrs au même pb qui dépasse l'école : les gamins qui ne peuvent pas suivre ne trouvent plus de boulot ds ce pays qui se desindustrialise tjrs plus.
Je ne sais pas si je suis clair.
Si, c'est clair. Je ne connais pas assez de ces gamins-là pour généraliser à partir de la toute petite expérience que constitue le suivi année après année de mes élèves d'école rurale.
Tout ce que j'en dis, c'est par rapport à eux. Ils sont tous sortis "lecteurs, scripteurs et compteurs normaux" de leur école primaire.
Les moins scolaires ont suivi des filières professionnelles, soit en lycée pro, soit par alternance, et ont été "pré-embauchés" avant même d'avoir leur diplôme en poche.
L'un des seuls ennuis qu'a rencontré l'un d'entre eux, c'est d'avoir eu son bac pro "chauffeur routier" avant ses dix-huit ans révolus, mais le patron lui a trouvé un boulot dans les garages en attendant qu'il puisse conduire sur les routes le semi-remorque de ses rêves. Son autre ennui avait été d'être refusé en 4° technologique au motif qu'il "était trop bon" que cela aurait "été du gâchis de l'envoyer dans cette filière poubelle"...
Les autres ont tous choisi leur orientation plutôt qu'ils n'ont été choisis par défaut. Les meilleurs, tous milieux confondus, ont plutôt brillamment réussi.
Quant aux "moyens", de "moyens" à "moyens bons" à la fin du CM2, c'est là qu'il y a eu le plus d'échecs, d'orientations bidons, de petits boulots entrecoupés de périodes de chômage. Ce qui fait que pour ceux-là, je ne sais pas si la période de démarrage que constitue l'école primaire suffit à révéler les futures chances de réussite scolaire.
- CelebornEsprit sacré
Je me suis fendu d'un article de blog qui détaille le rapide compte-rendu que je vous ai fait. N'hésitez pas à le lire, et, si jamais l'un de vos proches est membre de l'ANDCIO, invitez-le à la lire aussi !
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- musaNeoprof expérimenté
Bravo! Quelle synthèse! et surtout quelle abnégation!
- Luigi_BGrand Maître
Ne jamais oublier que "vacances" et "vacuité" sont de la même famille... :lol:Le taulier profitant enfin de vacances bien méritées...
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LVM Dernier billet : "Une École si distante"
- GrypheMédiateur
Up !
Lundi, les ateliers de la concertation pour la refondation de l'école de la République reprennent...
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et au jour le jour à partir de lundi sur Twitter là : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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Τί ἐστιν ἀλήθεια ;
- GrypheMédiateur
Article du Café péda :
La Concertation sur l’Ecole fait sa rentrée
(cf. la vidéo :-) )
:darkvador:
La Concertation sur l’Ecole fait sa rentrée
Des passes d'armes, comment dire...La redéfinition du socle commun a valu des passes d’armes entre organisations syndicales puisque la question continue à diviser.
(cf. la vidéo :-) )
:darkvador:
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Τί ἐστιν ἀλήθεια ;
- GrypheMédiateur
Article de France info :
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(via Twitter #refondation)
Refondation et avenir de l'école : la concertation reprend aujourd'hui
le Lundi 20 Août 2012 à 11:23
À deux semaines de la rentrée des classes, la concertation autour de l'école initiée par Vincent Peillon, le ministre de l'Éducation nationale, reprend. Six cents personnes se réunissent pour discuter de la refondation de l'école. Le calendrier est serré et les thèmes nombreux.
La concertation autour de la refondation de l'école initiée par Vincent Peillon reprend aujourd'hui
Après pause estivale, la concertation sur la refondation de l'école débutée en juillet – une promesse de campagne de François Hollande – reprend ce lundi. À la demande de Vincent Peillon – le ministre de l'Éducation nationale, 600 personnes (enseignants, sociologues, parents d'élèves, patronat, élus...) sont réunies pour parler de la refonte du système éducatif français.
Un calendrier serré
Une première cession de discussion a débuté au mois de juillet. Les travaux qui reprennent aujourd'hui vont se poursuivre jusqu'à la fin du mois de septembre. Un comité de pilotage remettra ensuite son rapport au ministre avant le 15 octobre. Dans la foulée, un projet de loi d'orientation et de programmation sera examiné.
Si "les grandes orientations sont déjà définies, les décisions politiques ne sont pas prises", explique un conseiller de Vincent Peillon. Pour le ministre de l'Éducation nationale, "après le temps concertation et celui du parlement, il y aura le temps de la démocratie sociale", c'est-à-dire de la négociation avec les organisations syndicales.
Quatre grands chantiers
Les élèves au cœur de la refondation : c'est le chantier le plus vaste et celui qui risque de faire le moins consensus puisqu'il s'agit essentiellement d'évoquer les rythmes scolaires. Le dossier a un peu avancé avec le retour de la semaine de 4,5 jours dans le primaire(abandonnée en 2008). Mais les discussions s'annoncent vives autour des questions de la pause déjeuner d'une heure et demie, de la réduction des vacances scolaires, de la suppression ou non des zones A,B et C qui étalent les vacances en fonction des académies.
Le nombre d'acteurs (parents, industrie du tourisme, associations et collectivités) impliquée dans ce dossier) risquent d'avoir du mal à s'accorder sur ces sujets.
La réussite scolaire pour tous : outre la volonté de donner la priorité à l'école primaire, les discussions vont beaucoup tourner autours du socle commun de connaissances et de compétences. Le livret de compétence, jugé inutilement complexe, sera simplifié. Ce sujet du socle commun divise les tenants du bagage minimum pour tous et ceux opposés au nivellement par les bas.
Les différents dispositifs mis en place pour lutter contre l'échec scolaire seront également repensés.
Des personnels formés et reconnus : il s'agit d'évoquer les missions des enseignants et une nouvelle évaluation de ceux-ci. La question de la formation sera également au cœur de ce dossier chaud. Le gouvernement veut notamment recréer une formation initiale de façon à avoir des enseignants qui disposent d'un bagage pédagogique et d'une forme d'expérience avant de diriger leur première classe.
Un système éducatif juste et efficace : il s'agit ici essentiellement de discuter du développement du numérique dans les écoles, de repenser la place des parents au sein du dispositif éducatif, de repenser la carte scolaire assouplie en 2007 qui a abouti à " ghettoïser " des établissements défavorisés selon un récent rapport du Sénat.
Un site internet et des questions absentes
Un site internet a été lancé à l'occasion du début de la concertation. Il a déjà reçu plus de 3.000 contributions, émanant essentiellement des enseignants. Insuffisant pour le SNUipp-FSU, principal syndicat du primaire, qui réclame une journée sans cours pour permettre aux professeurs de participer pleinement à cette concertation.
Par ailleurs, certains sujets sont absents des discussions estiment plusieurs syndicats. Selon FO, les questions de la rémunération et des conditions de travail sont "dramatiquement absents de la concertation" et pourtant essentielles pour redonner de l'attrait à cette profession en déclin.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
(via Twitter #refondation)
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Τί ἐστιν ἀλήθεια ;
- JPhMMDemi-dieu
:shock:Le nombre d'acteurs (parents, industrie du tourisme, associations et collectivités) impliquée dans ce dossier) risquent d'avoir du mal à s'accorder sur ces sujets.
Voilà, c'est fait.
A force de dire que les élèves sont au cœur du système, les enseignants ne sont plus considérés comme des "acteurs impliqués dans les dossiers sur l'éducation" (Il est vrai que l'antienne "les élèves sont au cœur du système" était simplement une formulation polie de "les enseignants forment le nuage de Oort du système scolaire").
Notez que les élèves ne sont toujours pas considérés comme acteurs du système non plus d'ailleurs, malgré les belles phrases. Mais ça, c'était aussi très prévisible.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- Jim ThompsonExpert
+1malheureusement
je regarde ça sur le site du snes et de la fsu
l'intervention sur contre les compétences étaient bien
je regarde ça sur le site du snes et de la fsu
l'intervention sur contre les compétences étaient bien
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CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- JPhMMDemi-dieu
Notez le singulier.La réussite scolaire pour tous : outre la volonté de donner la priorité à l'école primaire, les discussions vont beaucoup tourner autours du socle commun de connaissances et de compétences. Le livret de compétence, jugé inutilement complexe, sera simplifié. Ce sujet du socle commun divise les tenants du bagage minimum pour tous et ceux opposés au nivellement par les bas.
Les différents dispositifs mis en place pour lutter contre l'échec scolaire seront également repensés.
On avance.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- JPhMMDemi-dieu
Si si, il s'agit bien d'un des quatre grands chantiers. Évoquer.Des personnels formés et reconnus : il s'agit d'évoquer les missions des enseignants et une nouvelle évaluation de ceux-ci. La question de la formation sera également au cœur de ce dossier chaud. Le gouvernement veut notamment recréer une formation initiale de façon à avoir des enseignants qui disposent d'un bagage pédagogique et d'une forme d'expérience avant de diriger leur première classe.
Blablablablablablabla.
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Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- CathEnchanteur
La trêve estivale est bien finie...
- jilucorgNeoprof expérimenté
- GrypheMédiateur
Pfff, moi qui me suis dit "une nouvelle intervention sur ce fil, allons lire, ça doit être intéressant...". :lol:
Je retourne à mes groupes de sciences...
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Τί ἐστιν ἀλήθεια ;
- Karine B.Guide spirituel
- GrypheMédiateur
Super Karine !
Nous considérons également que le débat doit être l'occasion de réaffirmer le caractère anonyme et
national des examens terminaux
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Τί ἐστιν ἀλήθεια ;
- Compte rendu de la conférence de presse de Vincent Peillon sur la refondation de l'école - jeudi 11 octobre 2012
- La refondation de l'école de la République ou la politique de l'incantation, par Alain Planche
- Refondation : communiqué FO du 13/11/2012
- Rythmes scolaires et refondation : communiqué Snudi-FO du 14/11/2012
- Projet de loi pour la refondation de l'École : une École juste pour tous et exigeante pour chacun
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