Eté 2012 : grande concertation pour la refondation de l'École de la République

Celadon a écrit:"Les disciplines sont finalement ce qu'on a trouvé de mieux pour structurer les savoirs."
Plus aucun commentaire.

Autant que je sache, c'est une constante chez Hubert. Qu'il ait emprunté l'idée au SNALC importe peu, au fond.
C'est à l'UNSA et au SGEN qu'il faut expliquer ça. Ou le leur enfoncer dans le crâne.

En les lobotomisant...

Les disciplines sont finalement ce qu'on a trouvé de mieux pour structurer les savoirs

C'est difficile à entendre pour certains, alors que nombre de recherches récentes en philo de l'éducation vont dans ce sens... mais curieusement, en France, on fait comme si elles n'existaient pas (voir E.D. Hirsh par exemple).

Cet article-là, je l'ai trouvé plutôt déroutant :
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Autant de points de divergence que de points de convergence avec des avis que l'on peut lire sur Neo.

Je nage dans les divers courants pédagogiques et ne vois pas très bien comment une issue est possible, si ce n'est en affirmant encore plus fort la liberté pédagogique des enseignants, tout en soulignant que les CDE ont, eux aussi, des responsabilités pédagogiques très fortes (oui oui).
L'un n'empêche pas l'autre, il faut qu'on puisse travailler ensemble.

D'ailleurs ce soir, ça serait bien que j'avance un peu sur mes barrettes de langues... qui auront des conséquences réelles sur le niveau des classes et la composition des équipes pédagogiques. Ce n'est pas qu'administratif, c'est bien... pédagogique.

Gryphe a écrit:Cet article-là, je l'ai trouvé plutôt déroutant :
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Autant de points de divergence que de points de convergence avec des avis que l'on peut lire sur Neo.

Je nage dans les divers courants pédagogiques et ne vois pas très bien comment une issue est possible, si ce n'est en affirmant encore plus fort la liberté pédagogique des enseignants, tout en soulignant que les CDE ont, eux aussi, des responsabilités pédagogiques très fortes (oui oui).
L'un n'empêche pas l'autre, il faut qu'on puisse travailler ensemble.

D'ailleurs ce soir, ça serait bien que j'avance un peu sur mes barrettes de langues... qui auront des conséquences réelles sur le niveau des classes et la composition des équipes pédagogiques. Ce n'est pas qu'administratif, c'est bien... pédagogique.

Tu m'étonnes qu'il est déroutant ce document !
Fracko semble penser deux choses :
1. Les enseignants sont désabusés et a bout de nerfs (il a raison) parce que les nouveaux programmes sont réactionnaires.
2. On perd du temps avec cette consultation car les seuls à même de montrer la bonne voie sont les mouvements pedagogistes (notamment en défendant le numérique).

Personnellement, je me suis fait exploser par un IPR car je trouvais les programmes, non pas réactionnaires, mais indigents et, en quelque sorte, pas assez réactionnaires...

Je regrette d'être en vacances avec juste un smart phone car il y a de quoi commenter chaque paragraphe.
Mais je compte bien sur d'autres pour le faire.


Sinon Gryphe, je ne mets pas en doute ta sincérité pédagogique car je ne te connais pas en tant que patronne, mais ces 5 dernières années, mon proviseur - particulièrement retors il est vrai - a imposé les pires fonctionnements en arguant fréquemment qu'il était "le premier pédagogue de l'établissement". J'en garde un très mauvais souvenir et nos relations personnelles étaient extrêmement tendues.

Igniatius a écrit:

Gryphe a écrit:Cet article-là, je l'ai trouvé plutôt déroutant :
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Autant de points de divergence que de points de convergence avec des avis que l'on peut lire sur Neo.

Je nage dans les divers courants pédagogiques et ne vois pas très bien comment une issue est possible, si ce n'est en affirmant encore plus fort la liberté pédagogique des enseignants, tout en soulignant que les CDE ont, eux aussi, des responsabilités pédagogiques très fortes (oui oui).

Tu m'étonnes qu'il est déroutant ce document !
Fracko semble penser deux choses :
1. Les enseignants sont désabusés et a bout de nerfs (il a raison) parce que les nouveaux programmes sont réactionnaires.
2. On perd du temps avec cette consultation car les seuls à même de montrer la bonne voie sont les mouvements pedagogistes (notamment en défendant le numérique).

Personnellement, je me suis fait exploser par un IPR car je trouvais les programmes, non pas réactionnaires, mais indigents et, en quelque sorte, pas assez réactionnaires...

Je regrette d'être en vacances avec juste un smart phone car il y a de quoi commenter chaque paragraphe.
Mais je compte bien sur d'autres pour le faire.

Présent !
My God, Fracko ressort des oubliettes, et il ne m'a pas oublié, cette vieille canaille qui terrorisait les jeunes instits quand il était inspecteur (il ne risquait pas de leur faire autre chose, vieille endive recuite qu'il est). Maintenant qu'il est quelque chose au PS (il fut la conseiller Education de Ségolène en 2007, c'est dire), il voudrait terroriser 'ensemble des enseignants.
Syndicalement, c'est la pensée du SGEN à l'état pur. Prêchi-prêcha et guillotine pour ceux qui ne sont pas dans la ligne.
Et c'est un pédago pur jus, de l'école Meirieu et au-delà. Défendant les "désobéisseurs" — encore dans son texte. Attaquant les disciplines. L'élève au centre à tous les niveaux. A fond pour les méthodes de lecture qui ont fait la preuve de leur caractère létal. La baisse de niveau orchestrée, c'est lui. Qu'il s'inquiète de la dérive disciplinaire de la refondation voulue par Peillon est une bonne chose — les idées progressent un peu — et en même temps le signe de ce qui se joue en coulisses, le CRAP et la FCPE d'un côté, les républicains de l'autre (et une partie du PS a fini par comprendre que nous n'étions pas forcément de droite).

La paire de chevaux de retour du pédagogisme Frackaviok et Zakhartchouk * hénissent et geignent comme s'ils craignaient que Peillon ne consolide pas assez le désastre.

En multipliant les incantations et les moulins à prière avec des expressions aussi informes qu'inquiétantes que "projets éducatifs globaux", Fracko nous presse d'aller à la pointe de ce qui pourrait se faire de pire

Au moins Zakhartchouk est-il un peu plus clair lorsqu'il piaule : "il ne suffira pas d’alléger les programmes. Il faut revoir ces fameux programmes, mais surtout les concevoir comme des bases de données qui indiquent aux élèves ce qu’ils doivent apprendre plus qu’aux professeurs ce qu’ils doivent enseigner."

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Traduction : le chemin vers des écoles privées (de tout) doit être aplani à l'engin de chantier (pédagogique) : F et Z, les Bouvard et Pécuchet du génie civil.

* déjà que séparément, ces deux gugusses ne sont pas drôles, on n'est pas spécialement pressés de voir mis en œuvre leur numéro de duettistes.

HORRIFIQUE !

Je ne sais pas si le propos de George Pau-Langevin a été relevé ici :

"la réussite éducative n'est pas le monopole de l'Education nationale"

Cette dame a un humour très décalé ou alors elle confond la "réussite éducative" elle-même avec le bureau afférent du Moloch.

Dugong a écrit:Je ne sais pas si le propos de George Pau-Langevin a été relevé ici :

"la réussite éducative n'est pas le monopole de l'Education nationale"

Cette dame a un humour très décalé ou alors elle confond la "réussite éducative" elle-même avec le bureau afférent du Moloch.

L'idée que la dame en question puisse faire preuve d'humour est la marque de votre indécrottable optimisme, mon cher…

Dugong a écrit:

* déjà que séparément, ces deux gugusses ne sont pas drôles, on n'est pas spécialement pressés de voir mis en œuvre leur numéro de duettistes.

Tout à fait. D'autant que l'esprit fantassin se perd. C'est un tort.

Dugong a écrit:Au moins Zakhartchouk est-il un peu plus clair lorsqu'il piaule : "il ne suffira pas d’alléger les programmes. Il faut revoir ces fameux programmes, mais surtout les concevoir comme des bases de données qui indiquent aux élèves ce qu’ils doivent apprendre plus qu’aux professeurs ce qu’ils doivent enseigner."

L'article est truffé de généralités, les contradicteurs du socle sont "de droite ou faussement de gauche", 4 paragraphes commences par "non", il critique des lieux communs et en cite d'autres... c'est de la COM

Pour un prof lambda qui lit, ça, il a bien noyé le poisson, et il parvient même à rendre son syndicat attractif sans renier ses idées (qui le sont pourtant vachement moins).

D'ailleurs je met au défi quiconque de me citer une idée de l'UNSA clairement exprimée dans cet article. Tous reste dans le flou et le slogan "ce qui compte c'est ce que les élèves apprennent" (il est très Fanta en fait).

Finalement, celeborn avait mal choisi sa video allégorique. Ils ont laissé tombé le Catch pour passer aux armes lourdes.

Mareuil a écrit :
Sur le site de la Grrrrande concertation :

« Choisissez votre thématique et envoyez-nous votre contribution. Certaines contributions pourront être publiées sur ce site de manière anonyme."

Autrement dit : "Écrivez ce que voulez ; nous publierons ce que nous voulons."
Enfin la "démocratie participative" ! »


Nous savons tous que dans ce genre de grand-messe, le rapport est déjà prêt ou presque avant que ça débute
J'ai vécu par exemple la Grrrande concertation Meirieu, un autre grrand moment de démocratie participative… qui aboutit à « l'élève au centre du système ».

D'ailleurs, à quand « le malade au centre du système médical », « la voiture en panne au centre du système de réparation » ?
Y a plein de grrands esprits pour continuer à enfoncer les portes ouvertes à grands coups de paroles verbales.

Ah, les affaires reprennent après le week-end...

Philippe Watrelot
Je suis présent ce lundi à l'atelier 4 "des personnels formés et reconnus" dans le cadre de la concertation pour la refondation de l'École

15 min Laurent Escure
Quand des règles sont fixées et qu'on s'en affranchit...ce n'est pas très respectueux de la "Discipline" démocratique !!! #SNES #refondation

2 h Luc Bentz
Rayon de soleil apprécié, agréable fraîcheur.,, et une nouvelle journée d'ateliers sur la #refondation (formation, missions).

2 h cafe pedagogique
#Refondation : Donnez votre avis ! Le Café lance une enquête à laquelle vous pouvez répondre jusqu'au 30/07 [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

14 h Julie Jacoutot
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] appel à contribution des cahiers pédagogiques pour participer à la #refondation de l' #école

Pour ceux qui auraient des échos "de l'intérieur", n'hésitez pas à venir raconter.

Chronique de Philippe Watrelot :
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Lettre de mission qui explique le fonctionnement de la concertation et précise chacun des grands axes de travail :
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J'imprime le dernier document, il a l'air intéressant.

Carnyx a écrit:Mareuil a écrit :
Sur le site de la Grrrrande concertation :

« Choisissez votre thématique et envoyez-nous votre contribution. Certaines contributions pourront être publiées sur ce site de manière anonyme."

Autrement dit : "Écrivez ce que voulez ; nous publierons ce que nous voulons."
Enfin la "démocratie participative" ! »

Jean-Louis Barrault : La dictature, c'est "ferme ta gueule", la démocratie, c'est "cause toujours".

Alors petit bilan du groupe 1 sur les thèmes du socle et du lycée.

En gros, chacun dit ce qu'il a envie de dire, et c'est plutôt une juxtaposition d'avis qu'une discussion (en même temps, pouvait-il réellement en être autrement ?). J'essaie personnellement de rebondir sur les demandes qui sont faites et sur les interventions des autres participants, ce qui m'a amené à prononcer quelques phrases inattendues telles que "au SNALC aussi, on aime les expérimentations", "Je suis d'accord avec l'UNSA" ou, horresco referens, "Je suis d'accord avec la FCPE". Y'a pas de raison de ne pas signaler qu'on trouve des propos intéressants ou des questions soulevées pertinentes.

Sur le contenu, le Livret Personnel de Compétences s'en est pris plein la figure de tous les côtés ; le socle est toujours un objet bien flou et dont l'intérêt n'est toujours pas évident. En ce qui concerne le lycée, c'est parti dans tous les sens et on nous a bien fait comprendre qu'on ne parlerait pas du baccalauréat. Le SNES veut que tout le monde aille au lycée jusqu'à 18 ans (augmentation de la scolarité obligatoire, donc, que ce soit vers le GT ou vers le Pro). Le SGEN et l'UNSA veulent repartir de zéro pour mettre en place des modules et de l'accompagnement partout. Nous, on veut juste essayer de revaloriser la filière L, et rien que ça, c'est déjà bien compliqué.

Sinon, sachez que les représentants des Cahiers Pédagogiques sont des enfants de choeur comparés aux représentants des directeurs de CIO, qui sont très très très effrayants.

Et sinon, André Antibi, il est pas si mal que ça, en vrai, dès qu'il abandonne un tant soit peu sa marotte de la constante macabre, qui ne m'a toujours pas convaincu.

Un grand merci pour le retour d'expérience.

Les représentants des directeurs de CIO sont FSU normalement, non ?
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Celeborn a écrit:Alors petit bilan du groupe 1 sur les thèmes du socle et du lycée.

En gros, chacun dit ce qu'il a envie de dire, et c'est plutôt une juxtaposition d'avis qu'une discussion (en même temps, pouvait-il réellement en être autrement ?). J'essaie personnellement de rebondir sur les demandes qui sont faites et sur les interventions des autres participants, ce qui m'a amené à prononcer quelques phrases inattendues telles que "au SNALC aussi, on aime les expérimentations", "Je suis d'accord avec l'UNSA" ou, horresco referens, "Je suis d'accord avec la FCPE". Y'a pas de raison de ne pas signaler qu'on trouve des propos intéressants ou des questions soulevées pertinentes.

Sur le contenu, le Livret Personnel de Compétences s'en est pris plein la figure de tous les côtés ; le socle est toujours un objet bien flou et dont l'intérêt n'est toujours pas évident. En ce qui concerne le lycée, c'est parti dans tous les sens et on nous a bien fait comprendre qu'on ne parlerait pas du baccalauréat. Le SNES veut que tout le monde aille au lycée jusqu'à 18 ans (augmentation de la scolarité obligatoire, donc, que ce soit vers le GT ou vers le Pro). Le SGEN et l'UNSA veulent repartir de zéro pour mettre en place des modules et de l'accompagnement partout. Nous, on veut juste essayer de revaloriser la filière L, et rien que ça, c'est déjà bien compliqué.

Sinon, sachez que les représentants des Cahiers Pédagogiques sont des enfants de choeur comparés aux représentants des directeurs de CIO, qui sont très très très effrayants.

Et sinon, André Antibi, il est pas si mal que ça, en vrai, dès qu'il abandonne un tant soit peu sa marotte de la constante macabre, qui ne m'a toujours pas convaincu.

Merci por ces informations.

Sinon, sachez que les représentants des Cahiers Pédagogiques sont des enfants de choeur comparés aux représentants des directeurs de CIO, qui sont très très très effrayants

C'est malin, je vais faire des cauchemars.

Le SNES veut que tout le monde aille au lycée jusqu'à 18 ans

Pour en faire quoi ? sachant jusqu'à 13 ans déjà on ne sait plus ou les mettre ? (edit : et je ne souhaite en aucun cas les virer, j'aimerais simplement qu'il existe des structures différentes et adaptées, cohérentes, organisées et préparées à des publics spécifiques)

Ou alors ils sont copain avec Victor44 et ils veulent qu'on ne garde que les vrai profs, ceux qui se sentent capable de faire cours quel que soit la population qu'ils trouvent face à eux ?

Le SNES est le syndicat le plus présent sur le forum, comme en témoigne le sondage que l'on avait fait pour les élections pro
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Donc, l'un d'entre eux aurait il une explication ?

A priori, le SNES souhaite cela, mais pas le lycée unique : il demande donc des moyens sérieux afin d'offrir à chaque élève la voie qui lui correspond.
Je suis d'accord avec cela : il ne s'agit pas de sortir les élèves qui n'ont pas le niveau pour le général, mais bien de leur proposer un enseignement adapté.

Tout le pb de ces dernières décennies, c'est qu'on a tenu le discours lénifiant ci-dessus, mais en réduisant de plus en plus la diversité des parcours.

Le SNES veut que tout le monde aille au lycée jusqu'à 18 ans

C'est en tout cas une demande constante de la FSU, reprise dans de nombreuses déclarations.

Personnellement, je préfère insister sur l'importance des fondamentaux... à l'école primaire.

(Du coup, Finrod, je ne réponds pas à ta question, désolée... mais d'autres le feront très bien ! )

C'était ces réunions là ?

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Le SNES a rappelé son attachement à la cohérence du second degré structuré par les enseignements disciplinaires et sa proposition de la FSU de prolonger la scolarité obligatoire à 18 ans en créant les conditions d’une poursuite d’études de tous dans une des 3 voies du lycée.

Le SE-UNSA a demandé de revenir aux compétences-clés européennes et de s’inspirer des expériences européennes et québécoises.

Le CRAP a expliqué que la classe n’était pas la bonne configuration tandis que la FCPE a demandé de travailler sur la cohérence école-collège en instituant une « école fondamentale » les regroupant.

Conclusions du rapporteur : Sortir de la situation actuelle par le haut, le mot « commun » devant être la référence. Redéfinir les différents concepts et sortir des injonctions contradictoires auxquelles sont soumis les personnels. Deux grandes questions :
le socle dans le socle : question autour des savoirs, de la prescription scolaire, de ce qui est fondamental. La question du curriculum et celles des évaluations
au-delà du socle : besoin conceptuel de réfléchir au-delà du socle, la vision des élèves et le mode de pilotage.

Ma conclusion personnelle : on va envoyer le rapporteur passer un test anti-dopage. Il a du prendre quelque chose de lourd.

Je comprend Igniatus, mais tant qu'on ne sort pas du fonctionnement actuel du collège unique, on obtient des élèves qui n'ont pas le niveau pour passer dans les trois voies en lycée.
Même la plupart de ceux qui poursuivent actuellement dans ces voix n'ont pas le niveau pour...

Je préfère essayer de partir de la réalité du terrain pour réfléchir et proposer, et ne pas mettre la charrue avant les bœufs.

Cette question de l'école obligatoire jusqu'à 18 ans est même la raison qui m'a décidé, il y a 2 ans, à ne pas adhérer au SNES alors que ma famille est plutôt SNES.

Et personne n'a remarqué, dans tout ça, que l'organigramme de la DGESCO est toujours le même ?