- Invité19Esprit sacré
Je pense que ca va être le pire chapitre (a moins qu ils n aient réservé le même traitement à la religion aux us avec les études de cas ...)
- CondorcetOracle
boris vassiliev a écrit:Ma première impression a été, en lisant la fiche Eduscol (mais je ne suis pas allé plus loin, pour l'instant je suis enlisé quelque part en Sibérie) qu'on a voulu "boucher les trous" du programme de 1ère, en permettant "d'évoquer" le 6 février 34 et mai 68. Mais la logique de l'ensemble, franchement...
Je ne la trouve pas vraiment non plus
- CondorcetOracle
Oiseau phenix a écrit:Je pense que ca va être le pire chapitre (a moins qu ils n aient réservé le même traitement à la religion aux us avec les études de cas ...)
Le comble est de s'interdire de faire une histoire des médias qui, précisément, a exploré les problématiques évoquées par Eduscol :shock:
- CondorcetOracle
L'archéologie du savoir du programme de Terminale : http://aphg.alsace.free.fr/attachments/080_Synth%C3%A8se_rdv%20Inspection_desR%C3%A9gionales-3-modif_9juin2011.pdf
- CondorcetOracle
I/ Les médias, témoins des forces et des faiblesses de la IIIe République (1870-1940).
Grandes lois sur les libertés publiques. L'affaire Dreyfus, naissance de l'intellectuel, campagne médiatique (de la revue à l'affiche)
Essor de la grande presse d'information parisienne.
La radio, témoin et annonciatrice de l'événement : la crise du 6 février 1934.
II/ Les médias en temps de guerre : propagande et communication politique (1940-1962).
La radio est l'événement : discours des 17 et 18 juin 1940, les programmes français de la BBC, Radio-Paris, Radiodiffusion nationale, le général Micro....
: crise du 13 mai 1958, discours radiodiffusés du "plus illustre des Français"...
La presse quotidienne parisienne, du régime de censure (1940-1944 / guerre d'Algérie) à la recomposition à la Libération, devient le reflet des grandes oppositions politiques et du renouveau national après la Libération.
III/ Les médias au tournant de la modernité : mai 68.
La télévision, outil du pouvoir et de la contestation, cristallise les méfiances.
La radio retrouve très ponctuellement la primeur de l'annonce : les reporters des radio-libres relatent les événements depuis les habitations des riverains.
Le rôle des sociétés de rédacteurs au sein des grands quotidiens parisiens s'accroît.
CCl : Crise des médias ou mutation à partir des années 80 ? Entre libéralisation politique et accroissement de la part du secteur privé dans l'audiovisuel ; réduction de l'autonomie journalistique dans la presse écrite.
Grandes lois sur les libertés publiques. L'affaire Dreyfus, naissance de l'intellectuel, campagne médiatique (de la revue à l'affiche)
Essor de la grande presse d'information parisienne.
La radio, témoin et annonciatrice de l'événement : la crise du 6 février 1934.
II/ Les médias en temps de guerre : propagande et communication politique (1940-1962).
La radio est l'événement : discours des 17 et 18 juin 1940, les programmes français de la BBC, Radio-Paris, Radiodiffusion nationale, le général Micro....
: crise du 13 mai 1958, discours radiodiffusés du "plus illustre des Français"...
La presse quotidienne parisienne, du régime de censure (1940-1944 / guerre d'Algérie) à la recomposition à la Libération, devient le reflet des grandes oppositions politiques et du renouveau national après la Libération.
III/ Les médias au tournant de la modernité : mai 68.
La télévision, outil du pouvoir et de la contestation, cristallise les méfiances.
La radio retrouve très ponctuellement la primeur de l'annonce : les reporters des radio-libres relatent les événements depuis les habitations des riverains.
Le rôle des sociétés de rédacteurs au sein des grands quotidiens parisiens s'accroît.
CCl : Crise des médias ou mutation à partir des années 80 ? Entre libéralisation politique et accroissement de la part du secteur privé dans l'audiovisuel ; réduction de l'autonomie journalistique dans la presse écrite.
- Invité19Esprit sacré
Je ne vois pas comment ne pas faire une histoire des Medias
Ce chapitre coince de partout !!! Par rapport au bac, par rapport à la logique historique et aux vraies ruptures qui ne sont pas tjs celles des crises ... ), par rapport à l'historio
Merci Condorcet pour ta suggestion qui me semble bonne ... Et permettrait de traiter la crise rampante des 90s en III
Ce chapitre coince de partout !!! Par rapport au bac, par rapport à la logique historique et aux vraies ruptures qui ne sont pas tjs celles des crises ... ), par rapport à l'historio
Merci Condorcet pour ta suggestion qui me semble bonne ... Et permettrait de traiter la crise rampante des 90s en III
- CondorcetOracle
Oiseau phenix a écrit:Je ne vois pas comment ne pas faire une histoire des Medias
Ce chapitre coince de partout !!! Par rapport au bac, par rapport à la logique historique et aux vraies ruptures qui ne sont pas tjs celles des crises ... ), par rapport à l'historio
Merci Condorcet pour ta suggestion qui me semble bonne ... Et permettrait de traiter la crise rampante des 90s en III
Moi non plus mais je manque de recul par rapport à l'histoire des médias !
- boris vassilievGrand sage
Monsieur Condorcet, tu es un vrai chef
On y voit déjà plus clair, là !!!
On y voit déjà plus clair, là !!!
_________________
On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- CondorcetOracle
Cela me rajeunit de plus de dix ans ! Que de bons souvenirs des années de licence et de maîtrise ! :vvv:
Et vive l'histoire des médias !
Le site de l'association "Société pour l'histoire des médias :"http://www.histoiredesmedias.com/?lang=fr
qui publie une revue : http://www.histoiredesmedias.com/-Le-Temps-des-Medias-.html
(dernier numéro consacré à l'histoire de l'Internet. L'Internet dans l'histoire). http://www.lcp.cnrs.fr/spip.php?article183
Et vive l'histoire des médias !
Le site de l'association "Société pour l'histoire des médias :"http://www.histoiredesmedias.com/?lang=fr
qui publie une revue : http://www.histoiredesmedias.com/-Le-Temps-des-Medias-.html
(dernier numéro consacré à l'histoire de l'Internet. L'Internet dans l'histoire). http://www.lcp.cnrs.fr/spip.php?article183
- boris vassilievGrand sage
Un autre plan qui peut peut-être donner des idées : http://www.ac-aix-marseille.fr/pedagogie/upload/docs/application/pdf/2012-07/medias_et_opinion_publique_gerard_comerly.pdf
_________________
On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- Invité19Esprit sacré
non mais quand même, cette notion d'opinion pb me pose pb. J'ai quand même le sentiment que ce sont, à certains moments, les médias qui forment, cristallisent l'opinion (déjà avec l'affaire Dreyfus, la bipolarisation aurait elle été si importante sans eux ? y aurait il eu Affaire sans eux ?)
me trompe je ?
je veux dire que j'ai du mal à considérer que l'opinion publique préexiste en dehors des médias... et puis comment en parler au singulier ?
bon vous l'aurez compris, je me sens peu compétente pour traiter ce chapitre qui manie des notions bien complexes (le comble vu mon cursus en histoire culturelle)
me trompe je ?
je veux dire que j'ai du mal à considérer que l'opinion publique préexiste en dehors des médias... et puis comment en parler au singulier ?
bon vous l'aurez compris, je me sens peu compétente pour traiter ce chapitre qui manie des notions bien complexes (le comble vu mon cursus en histoire culturelle)
- boris vassilievGrand sage
Oiseau phenix a écrit:non mais quand même, cette notion d'opinion pb me pose pb. J'ai quand même le sentiment que ce sont, à certains moments, les médias qui forment, cristallisent l'opinion (déjà avec l'affaire Dreyfus, la bipolarisation aurait elle été si importante sans eux ? y aurait il eu Affaire sans eux ?)
me trompe je ?
je veux dire que j'ai du mal à considérer que l'opinion publique préexiste en dehors des médias... et puis comment en parler au singulier ?
bon vous l'aurez compris, je me sens peu compétente pour traiter ce chapitre qui manie des notions bien complexes (le comble vu mon cursus en histoire culturelle)
Arrrghhh Moi qui n'y connaît rien...
Ces chapitres de début d'année ont certes la bonne idée de vouloir "enseigner" l'esprit critique sur le patrimoine, les mémoires, les cartes, les médias, donc sur notre perception du passé, de l'actualité et du monde qui nous entoure, mais la marche risque d'être bien haute pour les élèves. Déjà que nous on a toutes les peines du monde...
- CondorcetOracle
Oiseau phenix a écrit:non mais quand même, cette notion d'opinion pb me pose pb. J'ai quand même le sentiment que ce sont, à certains moments, les médias qui forment, cristallisent l'opinion (déjà avec l'affaire Dreyfus, la bipolarisation aurait elle été si importante sans eux ? y aurait il eu Affaire sans eux ?)
me trompe je ?
je veux dire que j'ai du mal à considérer que l'opinion publique préexiste en dehors des médias... et puis comment en parler au singulier ?
bon vous l'aurez compris, je me sens peu compétente pour traiter ce chapitre qui manie des notions bien complexes (le comble vu mon cursus en histoire culturelle)
Les médias révèlent des tendances, des oppositions : est-ce à dire qu'ils contribuent à faire ou à défaire l'opinion ?
Jean-Noël Jeanneney, Une histoire des médias des origines à nos jours, Paris, Seuil, coll. "Points-Histoire", 1998 (1ère éd. 1996), p.7 et passim : "La troisième difficulté est plus directement intellectuelle : elle provient du flou de la notion même d'opinion publique - ce champ dans lequel les médias exercent leurs influence, vers lequel ils dirigent tous leurs efforts [...] Par rapport à toutes ces sources concurrentes [sondages, rapports des RG, correspondances privées, journaux intimes, interviews rétrospectives], comment situer les médias ? Leur relation avec l'opinion publique est bien plus compliquée qu'on ne peut le croire naïvement : s'il est vrai qu'ils cherchent à plaire à leurs lecteurs, en rejoignant leurs préférences, ils peuvent se tromper sur ce que ceux-ci aimeront lire ou entendre. D'autre part, à leur désir de séduire pour être prospère se mêle souvent, à un degré variable, l'espoir d'influencer les comportements ; et cela conduite à prendre en compte le jeu complexe des forces diverses qui pèsent tantôt ouvertement, tantôt secrètement sur ces médias : forces politiques, influences financières, argent caché [...] Pour apprécier l'influence des médias sur l'opinion publique, il ne faut pas considérer seulement le poids des éditoriaux, soit bien séparés (principe anglo-saxon), soit mêlés subrepticement aux récits (schéma supposé latin), mais tout autant le champ vaste qui constitue ce qu'on a appelé quelquefois "le politique du non-politique". Il s'agit notamment de la presse spécialisée, de la presse féminine, la presse pour enfants, la presse culturelle, la presse sportive qui contribuent à la "socialisation politique" de la population. [J-N Jeanneney prend l'exemple des tensions entre la France et l'Allemagne en 1931 au moment où le chancelier Brüning a le projet d'un Anschluss économique... "L'émotion est vive et immédiate dans l'opinion française. Or, il se trouve qu'au même moment, un important match de football oppose, à Paris, les équipes de France et d'Allemagne : l'ambiance de la rencontre, les comportements chauvins, les cris, les réactions même des joueurs interviewés dans les vestiaires offrent fidèlement le reflet de l'intensité de cette opposition entre les deux pays, mieux que beaucoup d'articles parus sous la rubrique "Affaires étrangères"] [...] Il n'existe à proprement parler une opinion publique à aucun moment, et, au fond, c'est par convention qu'on emploie l'expression au singulier. Dans la réalité concrète, on a affaire à une grande multiplicité d'attitudes et de réactions aussi nombreuses que les régions, les professions, les situations sociales, les écoles de pensée, les familles d'esprit. Constamment, il faut faire des distinctions sociologiques, géographiques, selon les sexes ou les classes d'âge... Distinctions qui s'imposent plus encore en période de crise".
Jean-Noël Jeanneney, Une histoire des médias des origines à nos jours, Paris, Seuil, coll. "Points-Histoire", 1998 (1ère éd. 1996), p.7 et passim : "La troisième difficulté est plus directement intellectuelle : elle provient du flou de la notion même d'opinion publique - ce champ dans lequel les médias exercent leurs influence, vers lequel ils dirigent tous leurs efforts [...] Par rapport à toutes ces sources concurrentes [sondages, rapports des RG, correspondances privées, journaux intimes, interviews rétrospectives], comment situer les médias ? Leur relation avec l'opinion publique est bien plus compliquée qu'on ne peut le croire naïvement : s'il est vrai qu'ils cherchent à plaire à leurs lecteurs, en rejoignant leurs préférences, ils peuvent se tromper sur ce que ceux-ci aimeront lire ou entendre. D'autre part, à leur désir de séduire pour être prospère se mêle souvent, à un degré variable, l'espoir d'influencer les comportements ; et cela conduite à prendre en compte le jeu complexe des forces diverses qui pèsent tantôt ouvertement, tantôt secrètement sur ces médias : forces politiques, influences financières, argent caché [...] Pour apprécier l'influence des médias sur l'opinion publique, il ne faut pas considérer seulement le poids des éditoriaux, soit bien séparés (principe anglo-saxon), soit mêlés subrepticement aux récits (schéma supposé latin), mais tout autant le champ vaste qui constitue ce qu'on a appelé quelquefois "le politique du non-politique". Il s'agit notamment de la presse spécialisée, de la presse féminine, la presse pour enfants, la presse culturelle, la presse sportive qui contribuent à la "socialisation politique" de la population. [J-N Jeanneney prend l'exemple des tensions entre la France et l'Allemagne en 1931 au moment où le chancelier Brüning a le projet d'un Anschluss économique... "L'émotion est vive et immédiate dans l'opinion française. Or, il se trouve qu'au même moment, un important match de football oppose, à Paris, les équipes de France et d'Allemagne : l'ambiance de la rencontre, les comportements chauvins, les cris, les réactions même des joueurs interviewés dans les vestiaires offrent fidèlement le reflet de l'intensité de cette opposition entre les deux pays, mieux que beaucoup d'articles parus sous la rubrique "Affaires étrangères"] [...] Il n'existe à proprement parler une opinion publique à aucun moment, et, au fond, c'est par convention qu'on emploie l'expression au singulier. Dans la réalité concrète, on a affaire à une grande multiplicité d'attitudes et de réactions aussi nombreuses que les régions, les professions, les situations sociales, les écoles de pensée, les familles d'esprit. Constamment, il faut faire des distinctions sociologiques, géographiques, selon les sexes ou les classes d'âge... Distinctions qui s'imposent plus encore en période de crise".
- CondorcetOracle
boris vassiliev a écrit:Oiseau phenix a écrit:non mais quand même, cette notion d'opinion pb me pose pb. J'ai quand même le sentiment que ce sont, à certains moments, les médias qui forment, cristallisent l'opinion (déjà avec l'affaire Dreyfus, la bipolarisation aurait elle été si importante sans eux ? y aurait il eu Affaire sans eux ?)
me trompe je ?
je veux dire que j'ai du mal à considérer que l'opinion publique préexiste en dehors des médias... et puis comment en parler au singulier ?
bon vous l'aurez compris, je me sens peu compétente pour traiter ce chapitre qui manie des notions bien complexes (le comble vu mon cursus en histoire culturelle)
Arrrghhh Moi qui n'y connaît rien...
Ces chapitres de début d'année ont certes la bonne idée de vouloir "enseigner" l'esprit critique sur le patrimoine, les mémoires, les cartes, les médias, donc sur notre perception du passé, de l'actualité et du monde qui nous entoure, mais la marche risque d'être bien haute pour les élèves. Déjà que nous on a toutes les peines du monde...
Vaste programme ! :lol!:
- CondorcetOracle
Un classique :
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/xxs_0294-1759_1991_num_29_1_2352_t1_0112_0000_1
http://www.priceminister.com/offer/buy/217313/Laborie-Pierre-L-opinion-Francaise-Sous-Vichy-Livre.html
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/xxs_0294-1759_1991_num_29_1_2352_t1_0112_0000_1
http://www.priceminister.com/offer/buy/217313/Laborie-Pierre-L-opinion-Francaise-Sous-Vichy-Livre.html
- CondorcetOracle
Pourquoi ? Il ne faut pas
Tu es en vacances : profite du soleil ! :aab: :aaf:
Tu es en vacances : profite du soleil ! :aab: :aaf:
- CondorcetOracle
Oiseau phenix a écrit:non mais quand même, cette notion d'opinion pb me pose pb. J'ai quand même le sentiment que ce sont, à certains moments, les médias qui forment, cristallisent l'opinion (déjà avec l'affaire Dreyfus, la bipolarisation aurait elle été si importante sans eux ? y aurait il eu Affaire sans eux ?)
me trompe je ?
je veux dire que j'ai du mal à considérer que l'opinion publique préexiste en dehors des médias... et puis comment en parler au singulier ?
bon vous l'aurez compris, je me sens peu compétente pour traiter ce chapitre qui manie des notions bien complexes (le comble vu mon cursus en histoire culturelle)
Si J-N Jeanneney avoue sa gêne sémantique (ce qui montre une belle honnêteté intellectuelle), il n'y a pas de complexes à avoir
- Invité19Esprit sacré
Certes mais lui n écrit pas de bêtises comme moi !!
Sinon que pensez vous d' une trace écrite sous forme de tableau ??
Avec les crises les unes en dessous des autres et pour chacune une case contexte, rappel des evenements, média dominant, façon dont les Medias agissent sur l opinion et vice versa, rapport du politique aux Medias ...
Ca servirait de trace écrite. Et pour les 3 crises traitées plus profondément Ca pourrait être complèté par des études de docs.
Boris va dire que ca peut les perturber pour le bac mais bon ... Éventuellement en module leur faire rédiger ce qui correspondra à une ligne du tableau ... Et dans le tableau, faire bien apparaitre le plan du chapitre (ou le faire trouver à la fin)
Sinon que pensez vous d' une trace écrite sous forme de tableau ??
Avec les crises les unes en dessous des autres et pour chacune une case contexte, rappel des evenements, média dominant, façon dont les Medias agissent sur l opinion et vice versa, rapport du politique aux Medias ...
Ca servirait de trace écrite. Et pour les 3 crises traitées plus profondément Ca pourrait être complèté par des études de docs.
Boris va dire que ca peut les perturber pour le bac mais bon ... Éventuellement en module leur faire rédiger ce qui correspondra à une ligne du tableau ... Et dans le tableau, faire bien apparaitre le plan du chapitre (ou le faire trouver à la fin)
- boris vassilievGrand sage
Boris il dit rien parce qu'il vient de faire ça pour la lecture géoéconomique de la Russie
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- CondorcetOracle
Mais non mais non...
Je ne suis pas un grand amateur des tableaux (j'en ai réalisé très compliqué pour la thèse que tous ont trouvé très bien sauf l'intéressé...) mais c'est une opinion personnelle. Quant à la façon dont les médias agissent sur l'opinion et vice-versa, c'est très difficile à savoir avant l'apparition des sondages et encore bien difficile après. La réception (et l'histoire des publics) demeurent des problèmes centraux en histoire des médias.
http://www.histoiredesmedias.com/-03-Public-cher-inconnu-.html
Je ne suis pas un grand amateur des tableaux (j'en ai réalisé très compliqué pour la thèse que tous ont trouvé très bien sauf l'intéressé...) mais c'est une opinion personnelle. Quant à la façon dont les médias agissent sur l'opinion et vice-versa, c'est très difficile à savoir avant l'apparition des sondages et encore bien difficile après. La réception (et l'histoire des publics) demeurent des problèmes centraux en histoire des médias.
http://www.histoiredesmedias.com/-03-Public-cher-inconnu-.html
- Invité19Esprit sacré
Oui mais ca fera pas l objet d' une dissert ... Je me dis que ca peut être un bon exo en module "vers la dissert"... Et que ca permettra de comparer les crises d' un coup d' œil ! Et de changer du magistral ....
- Invité19Esprit sacré
Mais dans ce chapitre il va bien falloir placer que la presse renforce les divisions de l opininion sur Dreyfus par exemple, que les journalistes sont un écho de la contestation de 68 etc. C'est ce que je veux dire
- CondorcetOracle
Dire qu'elle s'en fait abondamment l'écho dans les deux cas, oui, elle assure une large couverture de l'évènement, qu'elle prend position (on peut dire que l'affaire montre l'essor et la force de la presse d'opinion sous la IIIe République), d'accord mais cela est loin de prouver un infléchissement de l'opinion.
- CondorcetOracle
Je suis très dubitatif devant les certitudes affichées dans ce cours : http://www.ac-paris.fr/portail/jcms/p1_542375/medias-et-opinion-publique-dans-les-grandes-crises-politiques-depuis-l-affaire-dreyfus-histoire-tle-es-l
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