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Choisissez le livre que vous aimeriez lire pour la cinquième édition du "Néo-club littéraire".
- ClarinetteGrand Maître
Là, je crois que j'ai mon compte pour quelques années, mais j'y reviendrai sans doute.
- CircéExpert
Bon La Religieuse pas lue... encore un truc à rajouter sur ma liste, pffff, mais je viens tout juste de reprendre la lecture et pas de la littérature !
Sinon, pas eu le temps de voter mais pour moi, incontestablement, Les Liaisons que j'ai dévorées à 14 ans et je ne sais combien de fois depuis....
Sinon, pas eu le temps de voter mais pour moi, incontestablement, Les Liaisons que j'ai dévorées à 14 ans et je ne sais combien de fois depuis....
- VioletEmpereur
Circé
- xavaudNiveau 8
Violet a écrit:Mince, j'ai raté le fil.
+1
Cette discussion à venir m'intéresse!
- yphrogEsprit éclairé
Mince, j'ai revendu la nonne! Les seuls Diderots qui reste sur mes étagères sont Le Neveu de Rameau et le Supplément au voyage de Bougainville. Même pas Jaques le Fataliste ou Les Bijoux Indiscrets!
Donc, il va falloir le lire sans notes à partir de Gutenberg. (Kindle, HTML...) La religieuse, Diderot.
C'est dommage, car les notes dans l'édition Flammarion sont excellentes (en particulier sur le Jansénisme), même si elles ralentissent de beaucoup la lecture.
à toutes fins utiles -- le moteur de recherche Gutenberg en add-on pour Firefox:
https://addons.mozilla.org/en-US/firefox/addon/project-gutenberg/
Donc, il va falloir le lire sans notes à partir de Gutenberg. (Kindle, HTML...) La religieuse, Diderot.
C'est dommage, car les notes dans l'édition Flammarion sont excellentes (en particulier sur le Jansénisme), même si elles ralentissent de beaucoup la lecture.
à toutes fins utiles -- le moteur de recherche Gutenberg en add-on pour Firefox:
https://addons.mozilla.org/en-US/firefox/addon/project-gutenberg/
- ClarinetteGrand Maître
Quand j'étais jeune, les notes me gonflaient, alors qu'il y a peu, j'ai relu Mme Bovary dans une version très annotée, que j'ai trouvée absolument passionnante.
Sinon, pour celles et ceux qui n'ont pu prendre part au vote, vous êtes bien sûr chaleureusement invités à lire le livre et à venir en discuter ici-même le jour J.
Sinon, pour celles et ceux qui n'ont pu prendre part au vote, vous êtes bien sûr chaleureusement invités à lire le livre et à venir en discuter ici-même le jour J.
- yphrogEsprit éclairé
J'ai bougrement pataugé pour lire ce que j'ai pu lire d'Ulysse et d'Absalom! Absalom! sans notes de bas de page. Je n'ai pas découvert les notes de bas de page jeune. Norton Critical Editions (l'équivalent d'un GF) n'existe que depuis assez peu finalement. Et chez Modern Library, Everyman et Library of America pas de notes1 -- ce ne sont pas les Pléiades!
Ils sont, par contre, plus faciles à épéler.
1 Who's Moody & Poor's daddy?
Ils sont, par contre, plus faciles à épéler.
1 Who's Moody & Poor's daddy?
- ClarinetteGrand Maître
Bonjour à tous !
Je viens de finir La Religieuse. Du coup, je pense relire Le Neveu de Rameau et Jacques le Fataliste dans la foulée (enfin, si j'en ai le temps d'ici le 23), pour rester dans l'ambiance Diderot.
Et vous ?
Je viens de finir La Religieuse. Du coup, je pense relire Le Neveu de Rameau et Jacques le Fataliste dans la foulée (enfin, si j'en ai le temps d'ici le 23), pour rester dans l'ambiance Diderot.
Et vous ?
- MalagaModérateur
Je suis au milieu de La Religieuse. Je l'aurai donc terminée pour le 23 juin.
_________________
J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- ClarinetteGrand Maître
- NadejdaGrand sage
J'espère avoir fini à peu près mon mémoire quelques jours avant la discussion. Sinon, ça va être dur...
- ClarinetteGrand Maître
Wow, je compatis... Courage ! :flower:
- MrBrightsideEmpereur
Je tente, mais avec les copies je ne suis pas sur d'arriver à le relire en entier...
- ClarinetteGrand Maître
Pô grave, ce n'est pas comme si c'était un roman à suspense.
Et bon courage pour les copies.
Et bon courage pour les copies.
- ClarinetteGrand Maître
Bonjour à tous, j'ouvre donc le bal, un peu pêle-mêle :
- D'abord, mon estime pour Diderot tient autant à ses idées, à ses oeuvres qu'à sa personnalité. Je l'ai découvert en classe de première, avec Jacques le Fataliste, et j'ai passé l'année à lire une grande partie de ses oeuvres. Mon grand-père, grand bibliophile, m'a offert un Pléiade et j'ai même acheté (et dévoré avec enthousiasme) la biographie de Diderot écrite par Arthur Wilson.
Bref, Diderot, c'est un amour de jeunesse qui ne s'est jamais démenti, même s'il était en sommeil depuis de longues années. (à part la Religieuse, justement, que j'avais relue il y a quelques années.
- Sur la Religieuse même, je trouve le contexte du canular fait au Marquis de Croismare particulièrement intéressant (j'espère que votre édition incluait la "correspondance" entre le Marquis, Suzanne et Mme Madin), car il est relié à un fait divers de l'époque, qui était monnaie courante : on expédiait dans les ordres les filles (et les garçons, d'ailleurs) que l'on n'avait pas assez d'argent pour établir par un beau mariage. Dans le cas de Suzanne, c'est encore plus poignant, car sa séclusion est une façon pour sa mère d'expier son adultère.
- J'apprécie le thème de la Religieuse car, à la différence de l'austère et grincheux Rousseau, Diderot y développe un humanisme bouillonnant... humain, quoi. L'homme se réalise à travers ses relations, libres et non contraintes, avec ses semblables. Quand on enferme des êtres humains dans de telles conditions, ils se déshumanisent et donnent libre cours à leurs pires démons.
- D'autre part, Voltaire me fatigue parfois avec son anticléricalisme outrancier. La Religieuse est, bien sûr, un ouvrage plutôt anticlérical, mais pas anti-religieux, puisque Suzanne demeure très pieuse tout au long de ses épreuves. J'apprécie cette tolérance pour une foi authentique, même si je suis athée jusqu'au bout des ongles. Diderot dénonce simplement les outrances du système clérical et rappelle la nécessité biologique que la chair exulte. Je suis fermement opposée au célibat des clercs catholiques : cette rigidité (hum...) crée nécessairement tout un tas de désordres qui éloignent justement de la pureté visée.
Voilà, j'y reviendrai peut-être après quelques-unes de vos remarques, mais en tout cas, j'ai passé un très bon moment à relire cette Religieuse.
Sinon, j'avais décidé de relire le Neveu de Rameau et Jacques le Fataliste pour rester dans l'ambiance, mais je suis tellement épuisée en ce moment que je m'endors dessus tous les soirs au bout de quelques pages... Vivement les vacances !
A vous !
- D'abord, mon estime pour Diderot tient autant à ses idées, à ses oeuvres qu'à sa personnalité. Je l'ai découvert en classe de première, avec Jacques le Fataliste, et j'ai passé l'année à lire une grande partie de ses oeuvres. Mon grand-père, grand bibliophile, m'a offert un Pléiade et j'ai même acheté (et dévoré avec enthousiasme) la biographie de Diderot écrite par Arthur Wilson.
Bref, Diderot, c'est un amour de jeunesse qui ne s'est jamais démenti, même s'il était en sommeil depuis de longues années. (à part la Religieuse, justement, que j'avais relue il y a quelques années.
- Sur la Religieuse même, je trouve le contexte du canular fait au Marquis de Croismare particulièrement intéressant (j'espère que votre édition incluait la "correspondance" entre le Marquis, Suzanne et Mme Madin), car il est relié à un fait divers de l'époque, qui était monnaie courante : on expédiait dans les ordres les filles (et les garçons, d'ailleurs) que l'on n'avait pas assez d'argent pour établir par un beau mariage. Dans le cas de Suzanne, c'est encore plus poignant, car sa séclusion est une façon pour sa mère d'expier son adultère.
- J'apprécie le thème de la Religieuse car, à la différence de l'austère et grincheux Rousseau, Diderot y développe un humanisme bouillonnant... humain, quoi. L'homme se réalise à travers ses relations, libres et non contraintes, avec ses semblables. Quand on enferme des êtres humains dans de telles conditions, ils se déshumanisent et donnent libre cours à leurs pires démons.
- D'autre part, Voltaire me fatigue parfois avec son anticléricalisme outrancier. La Religieuse est, bien sûr, un ouvrage plutôt anticlérical, mais pas anti-religieux, puisque Suzanne demeure très pieuse tout au long de ses épreuves. J'apprécie cette tolérance pour une foi authentique, même si je suis athée jusqu'au bout des ongles. Diderot dénonce simplement les outrances du système clérical et rappelle la nécessité biologique que la chair exulte. Je suis fermement opposée au célibat des clercs catholiques : cette rigidité (hum...) crée nécessairement tout un tas de désordres qui éloignent justement de la pureté visée.
Voilà, j'y reviendrai peut-être après quelques-unes de vos remarques, mais en tout cas, j'ai passé un très bon moment à relire cette Religieuse.
Sinon, j'avais décidé de relire le Neveu de Rameau et Jacques le Fataliste pour rester dans l'ambiance, mais je suis tellement épuisée en ce moment que je m'endors dessus tous les soirs au bout de quelques pages... Vivement les vacances !
A vous !
- MrBrightsideEmpereur
Je n'ai pas la culture littéraire de Clarinette, je vais donc me borner à ce que j'ai pensé du roman.
Certes, la satyre y est drôle et mordante. Mais... je n'ai pas aimé plus que la première fois que je l'ai lu. Le gros problème pour moi, c'est Suzanne.
Suzanne est gentille, tellement gentille.
Suzanne est naïve, tellement naïve.
Suzanne est une martyre, une telle martyre.
Je ne supporte pas Suzanne. Non, décidément, plus un auteur tente de me forcer à l'empathie avec un personnage, plus je recule. Ses mésaventures s'éternisent, elle subit tout placidement et avec résignation, et j'ai juste envie de lui coller des baffes.
D'un autre côté, j'ai bien apprécié les petits relents de gothiques qui pointaient ça et là et qui m'ont fait penser au sort d'Agnès dans Le Moine de Lewis.
(c'est court comme commentaire )
Certes, la satyre y est drôle et mordante. Mais... je n'ai pas aimé plus que la première fois que je l'ai lu. Le gros problème pour moi, c'est Suzanne.
Suzanne est gentille, tellement gentille.
Suzanne est naïve, tellement naïve.
Suzanne est une martyre, une telle martyre.
Je ne supporte pas Suzanne. Non, décidément, plus un auteur tente de me forcer à l'empathie avec un personnage, plus je recule. Ses mésaventures s'éternisent, elle subit tout placidement et avec résignation, et j'ai juste envie de lui coller des baffes.
D'un autre côté, j'ai bien apprécié les petits relents de gothiques qui pointaient ça et là et qui m'ont fait penser au sort d'Agnès dans Le Moine de Lewis.
(c'est court comme commentaire )
- ClarinetteGrand Maître
Je comprends qu'elle t'énerve : pour ma part, à la place de Suzanne, les nonnes sadiques, j'en aurais fait de la charpie, mais bon....
Quant au Monk de Lewis, jamais lu, mais tu m'as donné envie : je m'en vais le commander en même temps qu'Ender's game, jamais lu, à ma grande honte, depuis le temps que j'en entends parler.
Quant au Monk de Lewis, jamais lu, mais tu m'as donné envie : je m'en vais le commander en même temps qu'Ender's game, jamais lu, à ma grande honte, depuis le temps que j'en entends parler.
- MrBrightsideEmpereur
Moi Le Moine, ce serait bien que je le lise en anglais pour changer C'est autrement plus trash que Suzanne, se punitions et sa supérieure gourgandine (on note d'ailleurs que selon Diderot, un orgasme féminin se déclenche en quelques airs de clavecin... pauvre Mme Diderot...)
- ClarinetteGrand Maître
Tu sais, la nonne de base frustrée depuis des années, elle se déclenche sur ce qu'elle peut, hein...
Ceci dit, c'est plus probablement la proximité avec la fraîche Suzanne qui produit cet effet, et non quelques notes aigrelettes ! :lol:
Ceci dit, c'est plus probablement la proximité avec la fraîche Suzanne qui produit cet effet, et non quelques notes aigrelettes ! :lol:
- DorindeHabitué du forum
Alors je ne viens plus vraiment sur néo mais je fais une exception pour ce fil.
J'avais donc eu la Religieuse dans ma liste du bac de français: à l'époque, le thème m'avait "chagrinée", il faut dire que je baigne dans une religion et une éducation catholiques jusqu'au bout des ongles (à l'inverse de toi clarinette), en outre à cette époque là, je travaillais dans un foyer d'enfants placés tenu par des religieuses et je partageais donc leur quotidien. j'ai passé un certain nombre de soirs à me demander ce qu'elles pouvaient bien faire une fois leurs portes fermées. rhooooooooooo :diable:
Comme toi, clarinette, j'ai apprécié les circonstances de l'enfermement de Suzanne: la mère qui expie son adultère en faisant souffrir sa fille est pour moi le summum de la perversité de Diderot. et je crois qu'à 17 ans je ne l'avais pas forcément perçu.
Ce qui me plait également c'est la peinture faite de la religion et des religieux: critique certes mais pas rejet intégral. Si je suis très circonspecte quant aux religieux et religiosités, je suis en revanche très admirative de la foi. or, chez diderot, elle n'est pas écorchée. La critique n'en est que plus subtile.
En revanche, je n'aime pas la 1ère personne et le destinataire nommé: j'ai l'impression de ne pas pouvoir entrer dans leur échange, simple témoin d'une correspondance.
Enfin, je suis assez d'accord avec MR.B, Suzanne est épuisante, elle m'évoque un verbe appris hier à mes 6èmes: se complaire!!!!!!!!!
Voilà ma courte participation du mois...
A quand le suivant et quoi? du théâtre peut-être.....
J'avais donc eu la Religieuse dans ma liste du bac de français: à l'époque, le thème m'avait "chagrinée", il faut dire que je baigne dans une religion et une éducation catholiques jusqu'au bout des ongles (à l'inverse de toi clarinette), en outre à cette époque là, je travaillais dans un foyer d'enfants placés tenu par des religieuses et je partageais donc leur quotidien. j'ai passé un certain nombre de soirs à me demander ce qu'elles pouvaient bien faire une fois leurs portes fermées. rhooooooooooo :diable:
Comme toi, clarinette, j'ai apprécié les circonstances de l'enfermement de Suzanne: la mère qui expie son adultère en faisant souffrir sa fille est pour moi le summum de la perversité de Diderot. et je crois qu'à 17 ans je ne l'avais pas forcément perçu.
Ce qui me plait également c'est la peinture faite de la religion et des religieux: critique certes mais pas rejet intégral. Si je suis très circonspecte quant aux religieux et religiosités, je suis en revanche très admirative de la foi. or, chez diderot, elle n'est pas écorchée. La critique n'en est que plus subtile.
En revanche, je n'aime pas la 1ère personne et le destinataire nommé: j'ai l'impression de ne pas pouvoir entrer dans leur échange, simple témoin d'une correspondance.
Enfin, je suis assez d'accord avec MR.B, Suzanne est épuisante, elle m'évoque un verbe appris hier à mes 6èmes: se complaire!!!!!!!!!
Voilà ma courte participation du mois...
A quand le suivant et quoi? du théâtre peut-être.....
- eliamEsprit éclairé
J'ai lu La Religieuse quand j'étais adolescente. A l'époque, j'avais bien aimé. Je l'ai relu pour la faire étudier à mes premières, il y a trois ans. J'avoue que je ne l'ai pas relu depuis.
Ce que j'aime dans le Religieuse, c'est la peinture de l'aliénation sociale. C'était d'ailleurs ce qui me plaisait quand j'étais jeune. Quand je l'ai relu, comme le dit Mr Brightside, Suzanne m'a agacée. J'admire sa prise de conscience progressive et sa lutte contre la société. En revanche, je trouve qu'elle reste un prétexte à la satire et n'atteint jamais la complexité d'un véritable personnage.
Ce que j'aime dans le Religieuse, c'est la peinture de l'aliénation sociale. C'était d'ailleurs ce qui me plaisait quand j'étais jeune. Quand je l'ai relu, comme le dit Mr Brightside, Suzanne m'a agacée. J'admire sa prise de conscience progressive et sa lutte contre la société. En revanche, je trouve qu'elle reste un prétexte à la satire et n'atteint jamais la complexité d'un véritable personnage.
- ClarinetteGrand Maître
D'accord avec vous, on n'est pas ému aux larmes en lisant la Religieuse. On en reste à la surface du personnage, peu complexe ou profond, comme tu le fais remarquer, Eliam. Je pense que c'est voulu, parce Diderot y voyait sans doute plus un pamphlet qu'un roman sentimental.
Dorinde, ravie que tu nous fasses le grand honneur de ne venir ici que pour nous. Plus le temps pour le reste ?
Pour la prochaine édition, je verrais bien un genre particulier, effectivement : le théâtre, la science-fiction... Je vais lancer le débat.
Dorinde, ravie que tu nous fasses le grand honneur de ne venir ici que pour nous. Plus le temps pour le reste ?
Pour la prochaine édition, je verrais bien un genre particulier, effectivement : le théâtre, la science-fiction... Je vais lancer le débat.
- MrBrightsideEmpereur
Clarinette a écrit:Pour la prochaine édition, je verrais bien un genre particulier, effectivement : le théâtre, la science-fiction... Je vais lancer le débat.
Théââââââââââââââââtre!!!!!!!!!!!
Please
- ClarinetteGrand Maître
Le débat est lancé là : https://www.neoprofs.org/t49133-propositions-pour-le-neo-club-litteraire-n6
- DorindeHabitué du forum
ah!!!! donc nous ne partageons pas que notre goût pour la faro???MrBrightside a écrit:Clarinette a écrit:Pour la prochaine édition, je verrais bien un genre particulier, effectivement : le théâtre, la science-fiction... Je vais lancer le débat.
Théââââââââââââââââtre!!!!!!!!!!!
Please
- DorindeHabitué du forum
Clarinette a écrit:
Dorinde, ravie que tu nous fasses le grand honneur de ne venir ici que pour nous. Plus le temps pour le reste ?
peu de temps certes, mais surtout une discussion houleuse où des collègues se permettent de juger ton cours sans te connaître a mis fin à mon addiction à neo, ... mais en même temps, je ne manque à personne non plus. En revanche, je continue à participer à ce fil...et vais voter de ce pas...
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