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- ShajarVénérable
Tout est dans le titre. Comment faire problématiser un cours (ou même une séquence) aux élèves ? Est-ce que vous leur faites poser une question ? Ou vous faites juste un accroche et la question est sous-tendue ? Et dans ce cas, comment gérer l'accroche ? (Vous l'aurez compris, je ne sais pas comment débuter un cours).
- kiwiGuide spirituel
Al-qalam a écrit:Tout est dans le titre. Comment faire problématiser un cours (ou même une séquence) aux élèves ? Est-ce que vous leur faites poser une question ? Ou vous faites juste un accroche et la question est sous-tendue ? Et dans ce cas, comment gérer l'accroche ? (Vous l'aurez compris, je ne sais pas comment débuter un cours).
ça, ça m'a toujours sidérée, et il me semblait qu'on en était revenu des "accroches" et des élèves qui "problématisent" (du moins en collège...). Les élèves n'ont pas la science infuse!! Comment les faire problématiser sur quelque chose qu'ils n'ont encore pas travaillé et sur lequel il n'ont probablement pas ou peu de connaissances?!
Bref, navrée, je n'ai pas la solution. La seule solution que je pourrais te donner c'est de lâcher l'affaire sur ces documents à la noix chargés de faire entrer les élèves dans le thème. Dans mon cours, j'inscris le titre de la séquence au tableau, ensuite j'inscris la problématique générale, puis le titre de la 1ère partie avec la problématique de chaque leçon et hop, on entre dans le vif du sujet. Souvent évidemment, j'explique le vocabulaire car même dans le titre du chapitre, il y a des mots incompris. Mais ça s'arrête-là!
- User5899Demi-dieu
Je serais plutôt du genre à adapter la démarche de mes vieux profs de maths.
Titre.
Définitions
Sous-ensembles
Propriétés
Applications
Exercices
Interro.
:lol!:
Titre.
Définitions
Sous-ensembles
Propriétés
Applications
Exercices
Interro.
:lol!:
- DionysosFidèle du forum
kiwi a écrit:Al-qalam a écrit:Tout est dans le titre. Comment faire problématiser un cours (ou même une séquence) aux élèves ? Est-ce que vous leur faites poser une question ? Ou vous faites juste un accroche et la question est sous-tendue ? Et dans ce cas, comment gérer l'accroche ? (Vous l'aurez compris, je ne sais pas comment débuter un cours).
ça, ça m'a toujours sidérée, et il me semblait qu'on en était revenu des "accroches" et des élèves qui "problématisent" (du moins en collège...). Les élèves n'ont pas la science infuse!! Comment les faire problématiser sur quelque chose qu'ils n'ont encore pas travaillé et sur lequel il n'ont probablement pas ou peu de connaissances?!
Bref, navrée, je n'ai pas la solution. La seule solution que je pourrais te donner c'est de lâcher l'affaire sur ces documents à la noix chargés de faire entrer les élèves dans le thème. Dans mon cours, j'inscris le titre de la séquence au tableau, ensuite j'inscris la problématique générale, puis le titre de la 1ère partie avec la problématique de chaque leçon et hop, on entre dans le vif du sujet. Souvent évidemment, j'explique le vocabulaire car même dans le titre du chapitre, il y a des mots incompris. Mais ça s'arrête-là!
Kwâ ?? Les élèves ne sont pas acteurs de leur démarche ??? Mais comment vont-ils faire pour affronter les situations-problèmes qui se poseront à eux plus tard ??
_________________
"We're all in the gutter, but some of us are looking at the stars". O.Wilde.
- DionysosFidèle du forum
Ceci dit plus sérieusement je rejoins ta remarque.
"Alors, quelle question pourriez-vous vous poser par rapport à ce sujet auquel vous ne connaissez rien ?"
Tu risques de tomber bien bas, et c'est normal.
Quand tu as le temps, une bonne étude de cas peut te permettre - normalement- d'arriver à une pbtique globale, en géo.
Bon, mais comme tu n'as pas le temps.
"Alors, quelle question pourriez-vous vous poser par rapport à ce sujet auquel vous ne connaissez rien ?"
Tu risques de tomber bien bas, et c'est normal.
Quand tu as le temps, une bonne étude de cas peut te permettre - normalement- d'arriver à une pbtique globale, en géo.
Bon, mais comme tu n'as pas le temps.
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"We're all in the gutter, but some of us are looking at the stars". O.Wilde.
- boris vassilievGrand sage
Comme Kiwi, ça fait bien longtemps (et même depuis toujours) que je ne cherche plus d'accroche, à moins que je sois tombé en préparant sur un doc idéal, mais c'est très rare.
La problématique, elle découle de mon intro avec la définition des mots, dates éventuellement, enfin le fourbi habituel d'une intro de compo.
La problématique, elle découle de mon intro avec la définition des mots, dates éventuellement, enfin le fourbi habituel d'une intro de compo.
_________________
On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- ShajarVénérable
Merci pour vos réponses.
Une chose est certaine, c'est qu'on en n'est pas revenu du tout, kiwi : c'est un des principaux points que m'a reproché l'IPR lors de sa visite. (mais je suis en lycée...).
Donc pour vous, c'est inutile de faire une accroche ? J'aime bien l'idée, parce que les interloquer au départ peut éventuellement les amener à s'intéresser et à comprendre le déroulement global du cours. (en plus, ils en ont besoin pour la composition au bac, même si l'intro au bac ne ressemble pas à grand chose). Mais concrètement, je ne vois pas comment faire. Faire une étude de docs en plus, au risque de perdre du temps ? et comme tu le dis, "comme on n'a pas de temps..."
Une chose est certaine, c'est qu'on en n'est pas revenu du tout, kiwi : c'est un des principaux points que m'a reproché l'IPR lors de sa visite. (mais je suis en lycée...).
Donc pour vous, c'est inutile de faire une accroche ? J'aime bien l'idée, parce que les interloquer au départ peut éventuellement les amener à s'intéresser et à comprendre le déroulement global du cours. (en plus, ils en ont besoin pour la composition au bac, même si l'intro au bac ne ressemble pas à grand chose). Mais concrètement, je ne vois pas comment faire. Faire une étude de docs en plus, au risque de perdre du temps ? et comme tu le dis, "comme on n'a pas de temps..."
- profesvtNiveau 5
En SVT c'est un impératif de suivre cette démarche , mais c'est sûr que c'est bien plus simple de trouver une "situation déclenchante" qui les interrogent avec nos programmes .
- kiwiGuide spirituel
Dionysos a écrit:
Kwâ ?? Les élèves ne sont pas acteurs de leur démarche ??? Mais comment vont-ils faire pour affronter les situations-problèmes qui se poseront à eux plus tard ??
Être acteur, ça ne veut pas dire poser des questions d'âne. Je veux bien les mettre acteurs de la trace écrite lorsqu'on vient de voir ensemble les connaissances à connaître. Mais franchement, c'est quoi cette démarche? Hypothético-inductif ne veut pas forcément dire que les élèves eux-mêmes formulent la problématique, du moins en collège. On imagine 2 secondes le truc?! Des élèves devant un document "d'accroche" : "bon allez y, problématisez la séquence"... Quelle bêtise!
Je vous assure vraiment qu'en collège, c'est quasi terminé. De même, les IPR pour le collège sont vraiment décomplexés quand on évoque le magistral. Le prof a la parole maintenant. Moi je m'en sers pour problématiser, notamment.
- boris vassilievGrand sage
Peut-être que l'IPR n'a pas eu beaucoup d'idée de reproches, il a peut-être insisté sur celui-ci faute de mieux. Je ne comprends pas comment on peut embêter le monde pour un truc qui relève souvent du formalisme. Pour la problématique, le plan, les notions, oui, mais pas pour ça...
Pour le bac, ce n'est vraiment pas un problème de commencer direct par les défs et les dates du sujet. On n'attend plus grand chose désormais, à mon avis on va bientôt arriver à ce qu'on demandait jusqu'à présent pour la réponse organisée : "une phrase introductive et une phrase conclusive"...
Pour le bac, ce n'est vraiment pas un problème de commencer direct par les défs et les dates du sujet. On n'attend plus grand chose désormais, à mon avis on va bientôt arriver à ce qu'on demandait jusqu'à présent pour la réponse organisée : "une phrase introductive et une phrase conclusive"...
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- ShajarVénérable
Peut-être une différence collège/lycée, alors... Ou une vision différente des IPR.
Ent out cas, vous m'avez un peu décomplexée, merci.
Ent out cas, vous m'avez un peu décomplexée, merci.
- *Fifi*Modérateur
Mon formateur avait la meme vision : il fallait un doc d'accroche et si possible sans avoir dit le titre du chapitre !!! Le jour J j'avais fait un doc icono en accroche (3min) mais pas moyen, j'avais annonce le titre du chapitre avant !! J'avais apres donne le doc qui amenait a définir les termes du chapitre. Et ensuite j'avais donne la pbq, le plan et je n'avais pas eu de remarque la dessus (mais il m'avait dit que j'aurais pu ne pas dire le titre du chapitre en effet).
Apres je ne le fais pas systématiquement car si c'est superficiel je ne vois pas trop l'intérêt...
Apres je ne le fais pas systématiquement car si c'est superficiel je ne vois pas trop l'intérêt...
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Pour accéder à la banque de données en HG, merci de lire le règlement ici :
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- kiwiGuide spirituel
Al-qalam a écrit:Peut-être une différence collège/lycée, alors... Ou une vision différente des IPR.
Ent out cas, vous m'avez un peu décomplexée, merci.
Les IPR ne sont pas tous d'accord entre eux en effet... Chacun a sa petite lubie. J'ai failli être inspectée il y a deux ans par un vieux briscard... Le mec : anti-tice ( :lol: ), anti-doc... Magistralphile et uniquement!!!
Bon, entre les deux démarches, n'y aurait-il pas un juste milieu à trouver quand même?
- Karine B.Guide spirituel
boris vassiliev a écrit:
La problématique, elle découle de mon intro avec la définition des mots, dates éventuellement, enfin le fourbi habituel d'une intro de compo.
pareil pour moi : on fait la définition du sujet (quand ? Où ? Quoi ou qui ?), à partir de là, c'est pourquoi ou comment ou quelles sont les grandes étapes et ensuite annonce du plan
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Le SNES, what else ?
Stagiaire agrégée à la rentrée 2015
Blog Maison Avant / Après Mise à jour en août 2013
- boris vassilievGrand sage
Je m'en rappelle, effectivement, de l'histoire de ne pas dire le titre du chapitre...
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- MalagaModérateur
Quand j'entame un nouveau chapitre, je définis les mots compliqués avec les élèves. Si je trouve un document sympa, je leur projette éventuellement et on en tire des idées pendant 5mn. Sinon, je commence le cours direct.
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- DoyleNiveau 1
Normalement, chaque cours doit commencer par une question que les élèves se posent. On fait cela de deux manières différentes. On peut avoir un document d'accroche (il est nécessaire pour chaque début de chapitre) ou interroger les élèves sur le cours précédent pour amener la nouvelle question. Effectivement, il faut éviter de donner le titre du chapitre en histoire et en géo.
- User5899Demi-dieu
Oui, ça va de soi. Pas question de savoir de quoi qu'on va causer, ce serait trop facile.Doyle a écrit:Normalement, chaque cours doit commencer par une question que les élèves se posent. On fait cela de deux manières différentes. On peut avoir un document d'accroche (il est nécessaire pour chaque début de chapitre) ou interroger les élèves sur le cours précédent pour amener la nouvelle question. Effectivement, il faut éviter de donner le titre du chapitre en histoire et en géo.
- boris vassilievGrand sage
:lol!:
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On a beau dire, y'a pas seulement que de la pomme, y'a autre chose : ça serait pas des fois de la betterave, hein ? Si, y'en a aussi... (Jean Lefebvre / Lino Ventura, Les Tontons flingueurs, 1963, Michel Audiard évidemment, à propos du... "bizarre").
- MufabGrand Maître
Perso, je leur dis toujours sur quoi on va bosser. Et le rappelle à chaque séance : "Vous me dites ce que l'on est en train d'apprendre en français-math-géo... ? Ce que l'on est en train de lire-de rédiger... ?"
Je trouve au contraire que ça donne du sens, leur permet de se projeter, d'avoir un objectif d'apprentissage formulé clairement. Je trouverais le contraire peu rassurant.
Mais bon, j'ai des petits, comparativement.
Je trouve au contraire que ça donne du sens, leur permet de se projeter, d'avoir un objectif d'apprentissage formulé clairement. Je trouverais le contraire peu rassurant.
Mais bon, j'ai des petits, comparativement.
- DoyleNiveau 1
Cripure a écrit:Oui, ça va de soi. Pas question de savoir de quoi qu'on va causer, ce serait trop facile.Doyle a écrit:Normalement, chaque cours doit commencer par une question que les élèves se posent. On fait cela de deux manières différentes. On peut avoir un document d'accroche (il est nécessaire pour chaque début de chapitre) ou interroger les élèves sur le cours précédent pour amener la nouvelle question. Effectivement, il faut éviter de donner le titre du chapitre en histoire et en géo.
C'est à l'élève de trouver la problématique du cours et le titre du chapitre. Cela n'a rien d'extraordinaire, l'élève construit son savoir...
J'ai des collègues qui poussent le vice à faire chercher dans le manuel les bons documents pour l'étude du cours. Les élèves valident la pertinence du document et rédigent eux mêmes une trace écrite. Il n'y a rien d'extraordinaire là dedans.
- CondorcetOracle
Doyle a écrit:Cripure a écrit:Oui, ça va de soi. Pas question de savoir de quoi qu'on va causer, ce serait trop facile.Doyle a écrit:Normalement, chaque cours doit commencer par une question que les élèves se posent. On fait cela de deux manières différentes. On peut avoir un document d'accroche (il est nécessaire pour chaque début de chapitre) ou interroger les élèves sur le cours précédent pour amener la nouvelle question. Effectivement, il faut éviter de donner le titre du chapitre en histoire et en géo.
C'est à l'élève de trouver la problématique du cours et le titre du chapitre. Cela n'a rien d'extraordinaire, l'élève construit son savoir...
J'ai des collègues qui poussent le vice à faire chercher dans le manuel les bons documents pour l'étude du cours. Les élèves valident la pertinence du document et rédigent eux mêmes une trace écrite. Il n'y a rien d'extraordinaire là dedans.
Son savoir certes mais qu'a-t-il de commun avec la matière enseignée ?
- Avril69Neoprof expérimenté
Et quand tu réponds à leurs interrogations, ils ne comprennent plus la question qu'ils ont posée, c'est ça ?Doyle a écrit:Cripure a écrit:Oui, ça va de soi. Pas question de savoir de quoi qu'on va causer, ce serait trop facile.Doyle a écrit:Normalement, chaque cours doit commencer par une question que les élèves se posent. On fait cela de deux manières différentes. On peut avoir un document d'accroche (il est nécessaire pour chaque début de chapitre) ou interroger les élèves sur le cours précédent pour amener la nouvelle question. Effectivement, il faut éviter de donner le titre du chapitre en histoire et en géo.
C'est à l'élève de trouver la problématique du cours et le titre du chapitre. Cela n'a rien d'extraordinaire, l'élève construit son savoir...
J'ai des collègues qui poussent le vice à faire chercher dans le manuel les bons documents pour l'étude du cours. Les élèves valident la pertinence du document et rédigent eux mêmes une trace écrite. Il n'y a rien d'extraordinaire là dedans.
- User5899Demi-dieu
Ce qui est extraordinaire, c'est l'empreinte que ça leur laisse Il est vrai qu'en latin, un vestige est une trace, sans connotation de ruine.Doyle a écrit:C'est à l'élève de trouver la problématique du cours et le titre du chapitre. Cela n'a rien d'extraordinaire, l'élève construit son savoir...Cripure a écrit:Oui, ça va de soi. Pas question de savoir de quoi qu'on va causer, ce serait trop facile.Doyle a écrit:Normalement, chaque cours doit commencer par une question que les élèves se posent. On fait cela de deux manières différentes. On peut avoir un document d'accroche (il est nécessaire pour chaque début de chapitre) ou interroger les élèves sur le cours précédent pour amener la nouvelle question. Effectivement, il faut éviter de donner le titre du chapitre en histoire et en géo.
J'ai des collègues qui poussent le vice à faire chercher dans le manuel les bons documents pour l'étude du cours. Les élèves valident la pertinence du document et rédigent eux mêmes une trace écrite. Il n'y a rien d'extraordinaire là dedans.
Ce qui est extraordinaire aussi, avec les démarches ineptes et leurs thuriféraires, c'est le ton détaché de l'évidence avec lequel ils énoncent leurs énormités (j'aime tout particulièrement "valider la pertinence du document", ce qui ne signifie rigoureusement rien). Rien de très neuf, en effet. Et vu ce qui s'annonce pour dimanche soir, pas beaucoup de changements à espérer.
Quant à l'élève qui construit son savoir, je ne savais même pas qu'on osait encore employer l'expression, ni qu'il se pût trouver des gens pour la proférer sans rire.
- User5899Demi-dieu
Ils valident la pertinence de la réponseAvril69 a écrit:Et quand tu réponds à leurs interrogations, ils ne comprennent plus la question qu'ils ont posée, c'est ça ?Doyle a écrit:Cripure a écrit:Oui, ça va de soi. Pas question de savoir de quoi qu'on va causer, ce serait trop facile.Doyle a écrit:Normalement, chaque cours doit commencer par une question que les élèves se posent. On fait cela de deux manières différentes. On peut avoir un document d'accroche (il est nécessaire pour chaque début de chapitre) ou interroger les élèves sur le cours précédent pour amener la nouvelle question. Effectivement, il faut éviter de donner le titre du chapitre en histoire et en géo.
C'est à l'élève de trouver la problématique du cours et le titre du chapitre. Cela n'a rien d'extraordinaire, l'élève construit son savoir...
J'ai des collègues qui poussent le vice à faire chercher dans le manuel les bons documents pour l'étude du cours. Les élèves valident la pertinence du document et rédigent eux mêmes une trace écrite. Il n'y a rien d'extraordinaire là dedans.
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