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- mimilouNiveau 10
Quel est l'intérêt de cette remarque ?pk a écrit:Brûlons-le!
- liliepingouinÉrudit
piesco a écrit:Eh ben,
moi je trouve cela grave. Un prof, fatigué, marre, débordé ou dépassé, se doit d'avoir un comportement exemplaire. Or là il y a plusieurs fautes: prendre le cahier dans le sac, faire irruption dans le cours d'une collège, balancer le cahier à la gamine, et surtout donner une punition pour des faits passés.
Je ne vois pas comment pouvons-nous demander un comportement convenable à nous élèves si nous faisons n'importe quoi.
Dans l'absolu oui, mais nous sommes humains et faillibles. Essayer d'être le plus irréprochable possible oui, mais à l'impossible nul n'est tenu.
Je trouve ennuyeux aussi l'impression de vengeance dans la remarque du collègue qui fait perdre de sa cohérence à la punition. C'est clairement une erreur. Si tu as de bonnes relations avec ce collègue vous pouvez en rediscuter à froid. Sinon tant pis, ce n'est pas dramatique.
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Spheniscida qui se prend pour une Alcida.
"Laissons glouglouter les égouts." (J.Ferrat)
"Est-ce qu'on convainc jamais personne?" (R.Badinter)
Même si c'est un combat perdu d'avance, crier est important.
- piescoModérateur
Je sais que nous sommes faillibles et humains, le mal est fait, mais le post demande bien non de condamner le collège mais de savoir si nous pensons si son comportement est acceptable (et non la punition, va savoir ce qui s'est passé).
Donc pour moi non, le comportement du collègue n'est pas acceptable.
Donc pour moi non, le comportement du collègue n'est pas acceptable.
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Nos han quitado tanto, nos quitaron el miedo.
https://www.youtube.com/watch?v=oeU7rb-dBow&t=277s
- Reine MargotDemi-dieu
je pense que j'irais le voir, pour comprendre et aussi faire passer le message que cela ne se fait pas et qu'il aurait dû attendre la fin de l'heure...
Sinon en effet on est faillible mais sa réaction "ça c'est pour ce que tu m'as fait subir l'an dernier", ne sera pas pour renforcer l'autorité du collègue, car il se place en "victime" et réagit de façon émotionnelle, par "vengeance".
Sinon en effet on est faillible mais sa réaction "ça c'est pour ce que tu m'as fait subir l'an dernier", ne sera pas pour renforcer l'autorité du collègue, car il se place en "victime" et réagit de façon émotionnelle, par "vengeance".
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- AudreyOracle
Catalunya a écrit:Décidément, ce forum va toujours dans le sens de celui qui crée le fil.
A chaque fois qu'un prof d'ici a un problème avec un élève, vous le défendez en affirmant qu'il est le seul juge de la sanction à donner à l'élève.
Mais là, comme le point de vue est extérieur, vous critiquez le prof qui n'a pas l'occasion de donner son propre point de vue et la raison de sa réaction.
Un peu de cohérence!
Alors, ça, pas d'accord! Avec tout ce que mes interventions m'attirent régulièrement comme remarques, franchement, non, il n'y a pas de pensée unique ici! LOL
- pkHabitué du forum
@Audrey: Audrey, tu es un esprit sacré.
@mimilou: je n'interviendrai plus dans ce fil, j'ai dit ce que j'avais à dire. :acc:
@mimilou: je n'interviendrai plus dans ce fil, j'ai dit ce que j'avais à dire. :acc:
- Thalia de GMédiateur
Mon "ouais..." avait ce sens-là. Heureusement, je n'ai jamais eu à affronter ce genre de situation que je prendrais fort mal.ysabel a écrit:Thalia de G a écrit:Je risque d'en faire hurler certains, on n'a pas le droit de prendre quoi que ce soit dans le cartable d'un élève. Donc ton collègue il est en faute.
Et venir interrompre ton cours, c'est malpoli. Quant à la vengeance, ouais… peu importe le pourquoi du comment, je ne supporterais pas qu'un collègue déboule ainsi dans mon cours ; c'est vraiment malpoli et irrespectueux pour toi. Je le prendrais entre 4 zieux pour le lui expliquer... et puis le coup de la vengeance, c'est vraiment limite...
Bien d'accord aussi pour la vengeance, indigne d'un adulte de la "communauté éducative"
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- AudreyOracle
pk a écrit:@Audrey: Audrey, tu es un esprit sacré.
@mimilou: je n'interviendrai plus dans ce fil, j'ai dit ce que j'avais à dire. :acc:
Tes réactions sont étranges, pk...
- olivier-np30Habitué du forum
mimilou a écrit:je m'interroge juste sur la manière de procéder ; je ne dis pas que j'aurais mieux agi).
salut Mimilou, alors je n'ai enseigné que deux ans et bien sûr il est plus facile de faire des remarques à un/une collègue de travail qu'on connait bien en aparté au resto que dans un bahut.
Mais le jour où l'occasion se présente, je m'approcherais discrètement et je lui dirais : "bonjour, j'ai vu que tu étais très remontée la fois dernière mais dans la mesure du possible je préférerais que tu n'interviennes pas pendant mes séances et que tu agisses en concert avec le CPE en dehors des cours le cas échéant."
bref qqch de de genre.
En entreprise c'est pareil quelquefois il y a des accrochages mais quand les gens s'entendent bien ça passe, cela étant je crains que ta collègue n'ait quelques problèmes qui font que soit elle peut se reprendre soit elle entre dans la parano et ça va plus mal pour elle.
A+
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Quadra aujourd'hui, quinqua demain
- teutonetteNiveau 9
mais après 10 jours de vacances, est-ce que ça vaut la peine de remettre cette histoire sur le tapis ?
Le "mal" est fait, et comme pour les actes de nos élèves, il vaut mieux intervenir immédiatement, non ?
Le "mal" est fait, et comme pour les actes de nos élèves, il vaut mieux intervenir immédiatement, non ?
- olivier-np30Habitué du forum
teutonette a écrit:mais après 10 jours de vacances, est-ce que ça vaut la peine de remettre cette histoire sur le tapis ?
Le "mal" est fait, et comme pour les actes de nos élèves, il vaut mieux intervenir immédiatement, non ?
en effet laisser tomber alors, par contre si ça se reproduisait en classe: je sors dans le couloir en disant "STP" à la collègue avec insistance et le sourire et dans le couloir je lui dis fermement de voir avec le CPE après la séance.
Ou vu le "cas", j'attends qu'elle sorte mais je suis déjà à la porte et je sors avec elle en lui disant : "la prochaine fois tu vois avec le CPE STP, merci."
Maintenant je le constate aussi dans le rue, à 40 ans je ne me fais plus marcher sur les pieds et souvent les gens se rétractent, quand j'étais jeune c'était plus dur, c'est certain. Les formules les plus courtes sont aussi souvent les meilleures.
PS : si la collègue revient à la charge dans ta classe : "le cas est clos, tu vois avec la CPE le cas échéant, maintenant je dois faire cours".
Et si après elle souhaite s'expliquer en SDP alors là "excuse moi mais en cours je ne peux pas me permettre des interruptions de ce genre, il faut vraiment que tu vois le CPE avant toute chose et que tu évites d'intervenir en cours". C'est du gros, c'est du lourd mais si c'est nécessaire et qu'on ne te laisse pas le choix ... Mais sinon en effet là il vaut mieux oublier.
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Quadra aujourd'hui, quinqua demain
- ChocolatGuide spirituel
mimilou a écrit:Un épisode de vendredi après-midi me trotte dans la tête, et j'ai du mal à savoir si c'est moi qui en fais trop. J'explique : vendredi, avant-dernière heure, une bousculade dans les couloirs (tout à fait courant, chaque prof faisant ranger ses élèves alors que le couloir fait 1m20 de large !) Un collègue hurle sur une de mes élèves, lui arrache son sac pour prendre son carnet (elle aurait répondu de manière insolente à une de ses remarques). Bref, je n'étais pas à côté, c'est sûrement vrai, quoique cela m'étonne connaissant la gamine. Elle rentre dans mon cours, en pleurs car il lui a promis une heure de colle ; je la calme, et on commence la dictée. 15 min plus tard, le collègue entre dans mon cours, lui balance presque le carnet en lui disant : "C'est pour toutes les heures de colle que je ne t'ai pas mises l'année dernière !". Gamine en pleurs à nouveau.
Il est évident que je n'ai rien dit, ne voulant pas contester une sanction d'un collègue devant les élèves, et encore moins alors que la bousculade en question ne s'est pas déroulé sous mes yeux ; mais deux choses m'ont gênée : la remarque adressée à l'élève, qui sonne comme une vengeance de ce qu'elle lui aurait fait subir l'année précédente ; et surtout le fait de ne pas attendre la fin de mon cours pour lui rendre le carnet : je me suis retrouvée là, comme une c*****, à assister à ça, sans que l'élève puisse répondre quoi que ce soit (forcément,devant la classe et sa prof...). Vous en pensez quoi ? Pas de la sanction, qu'à la rigueur je ne discute pas et dont je ne reparlerai pas avec mon collègue, même si je la trouve exagérée, mais de la manière d'agir de ce collègue ? Suis-je la seule à être sceptique ? (Attention, pas de polémique, svp : je ne me permets pas de juger la sanction du collègue, je m'interroge juste sur la manière de procéder ; je ne dis pas que j'aurais mieux agi).
1° Il n'a pas à prendre le carnet dans le sac d'un élève.
2° Il n'a pas à débouler en plein milieu de ton cours pour régler ses comptes.
3° Il n'a pas à punir cette année pour des faits commis l'année dernière et de s'en vanter.
Bref, il a besoin de se reposer, ton collègue...
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- FinrodExpert
1° et quand les élèves ne veulent pas le donner ou font exprès de faire perdre 5 ou 10 minutes ?
2° Il réagit vivement certes mais rien ne prouve que ce soit son but. On ne connait pas l'attitude habituelle de l'élève ni celle du prof.
Dans la description du premier message, on a juste une impression de règlement de compte, mais peut être qu'a acte équivalent, ce prof aurait la même chose à n'importe quel autre élève (rappel : on ne sait pas ce qu'elle à dit)
3° la punition est pour ce qu'elle a dit et qu'on ignore.
Bref, on ne peut pas juger objectivement. On peut tout juste remarquer soit que ce collègue est un peu trop stressé, soit qu'il a vraiment été choqué par qqchse dans l'attitude ou les mots de l'élève et qu'il a mis les choses au clair (vu la phrase du prof, il a été trop gentil l'année passée et a donc du mal à se contrôler totalement, néanmoins, il n'a fait que donner une punition et se fâcher et je doute que la phrase de l'élève ait été douce pour avoir provoqué ça).
2° Il réagit vivement certes mais rien ne prouve que ce soit son but. On ne connait pas l'attitude habituelle de l'élève ni celle du prof.
Dans la description du premier message, on a juste une impression de règlement de compte, mais peut être qu'a acte équivalent, ce prof aurait la même chose à n'importe quel autre élève (rappel : on ne sait pas ce qu'elle à dit)
3° la punition est pour ce qu'elle a dit et qu'on ignore.
Bref, on ne peut pas juger objectivement. On peut tout juste remarquer soit que ce collègue est un peu trop stressé, soit qu'il a vraiment été choqué par qqchse dans l'attitude ou les mots de l'élève et qu'il a mis les choses au clair (vu la phrase du prof, il a été trop gentil l'année passée et a donc du mal à se contrôler totalement, néanmoins, il n'a fait que donner une punition et se fâcher et je doute que la phrase de l'élève ait été douce pour avoir provoqué ça).
- teutonetteNiveau 9
On critique surtout son irruption durant le cours, pas la punition, je pense.
- AudreyOracle
Finrod, le collègue a dit clairement que la punition donnée, c'était pour toutes les colles qu'elle aurait dû avoir l'année passée...
Et si un élève refuse de donner son carnet, dans ce cas, c'est un rapport, direct, pour refus d'autorité et insolence. Point. On n'a pas forcément besoin du carnet pour donner une sanction qui sera:
1/officielle
2/ notifiée aux parents
3/ notifiée à l'élève.
Mais quoi qu'il arrive, on ne doit pas fouiller dans le sac d'un élève. C'est comme ça...
Et si un élève refuse de donner son carnet, dans ce cas, c'est un rapport, direct, pour refus d'autorité et insolence. Point. On n'a pas forcément besoin du carnet pour donner une sanction qui sera:
1/officielle
2/ notifiée aux parents
3/ notifiée à l'élève.
Mais quoi qu'il arrive, on ne doit pas fouiller dans le sac d'un élève. C'est comme ça...
- christophevanNiveau 6
1° Il n'a pas à prendre le carnet dans le sac d'un élève.
Euh... J'ai déjà été plusieurs fois dans l'illégalité. Il y a des moments où tu es un peu contraint de le faire. Un élève qui m"insulte ou se montre particulièrement insolent, il y a des chances que je ne le laisse pas filer et que je le retienne, même si je ne suis pas sûr d'en avoir le droit. Un élève qui ne me donne pas son carnet alors que je sais qu'il l'a, il y a des chances que soit je le vire de cours, soit je lui demande d'ouvrir son sac et de me montrer qu'il n'a pas son carnet.
2° Il n'a pas à débouler en plein milieu de ton cours pour régler ses comptes.
Là-dessus on est bien d'accord... C'est un manque de tact et de politesse.
3° Il n'a pas à punir cette année pour des faits commis l'année dernière et de s'en vanter.
La phrase prononcée dénote peut-être plus un degré d'énervement élevé qu'une conviction profonde...
On parle tous de la réaction du collègue, qui semble disproportionnée. Mais après, sait-on ce que ce collègue reproche à cette fille, mis à part l'élément au conditionnel ("aurait répondu" de manière insolente)? La réaction maladroite y trouverait peut-être une explication (pas forcément une excuse), qui serait plus digne d'intérêt que les condamnations ou les "soutiens" des différents collègues.
Ca me gêne beaucoup d'avoir à prendre position en ayant qu'une seule version.
Euh... J'ai déjà été plusieurs fois dans l'illégalité. Il y a des moments où tu es un peu contraint de le faire. Un élève qui m"insulte ou se montre particulièrement insolent, il y a des chances que je ne le laisse pas filer et que je le retienne, même si je ne suis pas sûr d'en avoir le droit. Un élève qui ne me donne pas son carnet alors que je sais qu'il l'a, il y a des chances que soit je le vire de cours, soit je lui demande d'ouvrir son sac et de me montrer qu'il n'a pas son carnet.
2° Il n'a pas à débouler en plein milieu de ton cours pour régler ses comptes.
Là-dessus on est bien d'accord... C'est un manque de tact et de politesse.
3° Il n'a pas à punir cette année pour des faits commis l'année dernière et de s'en vanter.
La phrase prononcée dénote peut-être plus un degré d'énervement élevé qu'une conviction profonde...
On parle tous de la réaction du collègue, qui semble disproportionnée. Mais après, sait-on ce que ce collègue reproche à cette fille, mis à part l'élément au conditionnel ("aurait répondu" de manière insolente)? La réaction maladroite y trouverait peut-être une explication (pas forcément une excuse), qui serait plus digne d'intérêt que les condamnations ou les "soutiens" des différents collègues.
Ca me gêne beaucoup d'avoir à prendre position en ayant qu'une seule version.
- frankensteinVénérable
Oui, c'est certain, mais si ça s'est passé de ctte façon, le comportement du collègue est vraiment "limite"...Ca me gêne beaucoup d'avoir à prendre position en ayant qu'une seule version.
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- FinrodExpert
Audrey a écrit:Finrod, le collègue a dit clairement que la punition donnée, c'était pour toutes les colles qu'elle aurait dû avoir l'année passée...
Et si un élève refuse de donner son carnet, dans ce cas, c'est un rapport, direct, pour refus d'autorité et insolence. Point. On n'a pas forcément besoin du carnet pour donner une sanction qui sera:
1/officielle
2/ notifiée aux parents
3/ notifiée à l'élève.
Mais quoi qu'il arrive, on ne doit pas fouiller dans le sac d'un élève. C'est comme ça...
Bah, mais j'ai tellement de rapports à écrire que je ne trouve même plus le temps de préparer mes cours.
Pour le sac, j'ai même du sortir les cahiers d'un élève qui restait apathique. Il a déjà une feuille de suivie et si je suis la logique, il devrait être exclu de tous mes cours, ce serait le quatrième dans ma classe (un parti dans le privé, un en itep, un en PPRE)
Bon enfin... tout se passe très vite en vrai et quand on n'a pas d'expérience ou une solidité de plomb, ça donne ça. Le collègue à déboulé, il a poussé un coup de gueule, il est sorti des voies normales mais non sans raison.
C'est à surveiller, il faut que ça reste une seule et unique exception et que les parents ne viennent pas s'en mêler.
Après évidemment, il vaut mieux garder un calme relatif en toute circonstance, même en élevant la voix et toujours rappeler haut et clair les règles, en boucle.
- AudreyOracle
Finrod, moi aussi je passais des plombes à rédiger des rapports pour des "banalités" de ce genre... à la longue, j'ai supprimé les circonstances, et me suis contentée d'un "Alors que je demandais à tel élève de me donner son carnet, pour sanctionner une insolence/ un travail non fait/ une perturbation du cours/etc , il a refusé de le faire.
Je réclame une sanction contre machin pour refus de mon autorité."
Et hop!
Je réclame une sanction contre machin pour refus de mon autorité."
Et hop!
- GalipetteNiveau 6
La sanction contre l’élève, je ne sais pas quoi en penser, car nous n'avons pas assez d'éléments pour savoir ce qu'à ou non fait cette élève.
Par contre une chose que je ne tolérerai pas, c'est qu'un collègue, fasse irruption pour incendier la classe ou un élève en plein milieu de cours, et sans m'avoir demandé la permission de le faire.
Je dirais bien sur rien sur le moment, car on ne discrédite pas un collègue devant les élèves, mais je pense que je lui dirai gentiment un peu plus tard, que je souhaite qu'il évite d'interrompre mon cours pour s'adresser à mes élèves, sauf urgence.
C'est une question de respect, mon cours je le prépare, et je cherche à obtenir le maximum d'attention de mes élèves, donc hors de question qu'un collègue vienne pourrir mon travail et ma classe pendant mon cours, pour un pb qui le concerne lui et l’élève. Ça m’empêchera pas d'accepter de l'aider pour cadrer un élève si on en parle et qu'il a des soucis avec cet élève. Mais ça se fait en concertation, et de pas à brule pourpoint en interrompant mon cours sans mon accord.
Qu'il toque à ma porte pour me demander les clefs pour ouvrir sa salle car il a oublié les siennes ok,
qu'il toque à ma porte et me demande discrètement s'il peut dire un mot à la classe pourquoi pas,
mais qu'il décide sans mon accord de perturber mon cours pour incendier un élève, non.
Par contre une chose que je ne tolérerai pas, c'est qu'un collègue, fasse irruption pour incendier la classe ou un élève en plein milieu de cours, et sans m'avoir demandé la permission de le faire.
Je dirais bien sur rien sur le moment, car on ne discrédite pas un collègue devant les élèves, mais je pense que je lui dirai gentiment un peu plus tard, que je souhaite qu'il évite d'interrompre mon cours pour s'adresser à mes élèves, sauf urgence.
C'est une question de respect, mon cours je le prépare, et je cherche à obtenir le maximum d'attention de mes élèves, donc hors de question qu'un collègue vienne pourrir mon travail et ma classe pendant mon cours, pour un pb qui le concerne lui et l’élève. Ça m’empêchera pas d'accepter de l'aider pour cadrer un élève si on en parle et qu'il a des soucis avec cet élève. Mais ça se fait en concertation, et de pas à brule pourpoint en interrompant mon cours sans mon accord.
Qu'il toque à ma porte pour me demander les clefs pour ouvrir sa salle car il a oublié les siennes ok,
qu'il toque à ma porte et me demande discrètement s'il peut dire un mot à la classe pourquoi pas,
mais qu'il décide sans mon accord de perturber mon cours pour incendier un élève, non.
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C'est souvent derrière le brouillard qu'on découvre la lumière.
- JohnMédiateur
Bref, à aucun moment tu ne prends son sac pour prendre le carnet.1° Il n'a pas à prendre le carnet dans le sac d'un élève.
Euh... J'ai déjà été plusieurs fois dans l'illégalité. Il y a des moments où tu es un peu contraint de le faire. Un élève qui m"insulte ou se montre particulièrement insolent, il y a des chances que je ne le laisse pas filer et que je le retienne, même si je ne suis pas sûr d'en avoir le droit. Un élève qui ne me donne pas son carnet alors que je sais qu'il l'a, il y a des chances que soit je le vire de cours, soit je lui demande d'ouvrir son sac et de me montrer qu'il n'a pas son carnet.
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- EmeraldiaÉrudit
Arracher le sac et venir ds ton cours, puis jeter le carnet, ça n'est pas normal, c'est toi qui avais ces élèves en charge... Il y a des collègues qui aiment jouer à Zorro ds les couloirs SURTOUT avec les élèves des autres.
- olivier-np30Habitué du forum
christophevan a écrit:
Ca me gêne beaucoup d'avoir à prendre position en ayant qu'une seule version.
salut, le problème n'est pas tellement celui de la version : on peut prendre un cas général d'un collègue qui intervient brutalement en sorte dans ta classe.
1. On sait très bien que ça peut perturber un cours et nuire.
2. C'est humiliant pour l'élève (même s'il a commis une faute).
3. Dans tous les cas le collègue est sorti de ses gonds : soit c'est un coup de sang exceptionnel, soit c'est plus grave et ça cache un gros problème.
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Quadra aujourd'hui, quinqua demain
- christophevanNiveau 6
Il faut voir aussi ce qu'on appelle "arracher le sac". J'ai du mal à comprendre : il a pris le sac violemment puis a cherché lui-même le carnet dans le sac où il a attrapé le sac de la fille pour la retenir et lui demandé son carnet ensuite? Parceque ce n'est absolument pas la même chose. Et encore une fois, prendre le sac d'un élève particulièrement insolent pour lui prendre le carnet s'il refuse, c'est quelques chose que je peux concevoir : énervement dû aux élèves, à la fatigue et aux conditions spécifiques du couloir (décrit)... Je ne dis pas que c'est la chose à faire, mais de là à en faire tout un fromage...
Et pour ce qui du professeur qui est un exemple... C'est un argument un peu facile. On se doit d'être des exemples mais on fait aussi tous des erreurs qu'on regrette parfois ensuite.
Et pour ce qui du professeur qui est un exemple... C'est un argument un peu facile. On se doit d'être des exemples mais on fait aussi tous des erreurs qu'on regrette parfois ensuite.
- ChocolatGuide spirituel
christophevan a écrit:1° Il n'a pas à prendre le carnet dans le sac d'un élève.
Euh... J'ai déjà été plusieurs fois dans l'illégalité. Il y a des moments où tu es un peu contraint de le faire. Un élève qui m"insulte ou se montre particulièrement insolent, il y a des chances que je ne le laisse pas filer et que je le retienne, même si je ne suis pas sûr d'en avoir le droit. Un élève qui ne me donne pas son carnet alors que je sais qu'il l'a, il y a des chances que soit je le vire de cours, soit je lui demande d'ouvrir son sac et de me montrer qu'il n'a pas son carnet.
2° Il n'a pas à débouler en plein milieu de ton cours pour régler ses comptes.
Là-dessus on est bien d'accord... C'est un manque de tact et de politesse.
3° Il n'a pas à punir cette année pour des faits commis l'année dernière et de s'en vanter.
La phrase prononcée dénote peut-être plus un degré d'énervement élevé qu'une conviction profonde...
On parle tous de la réaction du collègue, qui semble disproportionnée. Mais après, sait-on ce que ce collègue reproche à cette fille, mis à part l'élément au conditionnel ("aurait répondu" de manière insolente)? La réaction maladroite y trouverait peut-être une explication (pas forcément une excuse), qui serait plus digne d'intérêt que les condamnations ou les "soutiens" des différents collègues.
Ca me gêne beaucoup d'avoir à prendre position en ayant qu'une seule version.
La version n'a aucune importance dans ce cas de figure.
Ce qui compte, du moins à mes yeux, c'est que nous évitions de saper notre crédibilité en nous mettant dans des positions qui sont difficilement défendables.
Après, sur l'aspect humain, il est évident que le fait de perdre son calme est une chose qui pourrait arriver à n'importe qui, à chaud, mais ce n'est, encore une fois, pas la question ici puisque sur ce forum nous réagissons "à froid".
Ce n'est pas parce que la profession est attaquée de toutes parts que nous devons nous sentir obligés de justifier toute prise de position qui va à l'encontre d'un soutien incoditionnel envers un collègue. Il y a des situations où cela peut aller à l'encontre de nos principes (hélas).
Enfin, pour revenir à la situation évoquée plus haut - un élève qui refuse de donner son carnet fait partie d'une classe, il est donc facilement identifiable.
Il peut donc parfaitement être convoqué au BVS afin qu'il recueille le fruit de ses actes, et ce en présence de l'enseignant concerné, si possible.
Je ne vois pas pourquoi il faudrait que l'on perde notre temps et notre énergie pour batailler avec un môme qui refuse de donner son carnet dans le couloir, alors que les autres sont là pour le petit spectacle gratuit; c'est un peu ridicule, d'accepter de jouer avec eux...
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- Gestion de la crise du Coronavirus dans l'Éducation Nationale
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