- Crazy CowFidèle du forum
Patissot a écrit:Grâce à l'AP et la MPS j'aurai 22h de cours la semaine prochaine :colere:
Patissot, je compatis!
- PioupNiveau 6
Je suis dans le même cas Malaga, moi aussi je suis aussi jeune que toi et j'ai vaguement laissé entendre que j'avais déjà enseigné l'année précédente.
Jusqu'à ce que la documentaliste (un peu particulière dans son genre) me lance de l'autre coté du couloir : "alors c'est toi la stagiaire?"
J'espère qu'aucun de mes élèves n'a entendu, ça va saper la relation de confiance si ils me considèrent comme une menteuse.
Autre question : que faire quand une classe est menée par trois élèves particulièrement agités qui me pourrissent mon cours du début jusqu'à la fin. Je les ai déjà exclus plusieurs fois mais pas en même temps et j'en ai vraiment marre de l'ambiance pourrie qu'il y a dans cette classe.
Ils sont tous en difficulté en plus, donc une ambiance paisible et studieuse, ça leur ferait pas de mal... J'ai un élève insolent qui part dans la provoc, un autre qui en a rien à faire du cours et qui passe son temps à se retourner et à papoter, et une troisième qui a vraiment une case en moins pour le coup (j'en ai déjà parlé dans un topic).
Jusqu'à ce que la documentaliste (un peu particulière dans son genre) me lance de l'autre coté du couloir : "alors c'est toi la stagiaire?"
J'espère qu'aucun de mes élèves n'a entendu, ça va saper la relation de confiance si ils me considèrent comme une menteuse.
Autre question : que faire quand une classe est menée par trois élèves particulièrement agités qui me pourrissent mon cours du début jusqu'à la fin. Je les ai déjà exclus plusieurs fois mais pas en même temps et j'en ai vraiment marre de l'ambiance pourrie qu'il y a dans cette classe.
Ils sont tous en difficulté en plus, donc une ambiance paisible et studieuse, ça leur ferait pas de mal... J'ai un élève insolent qui part dans la provoc, un autre qui en a rien à faire du cours et qui passe son temps à se retourner et à papoter, et une troisième qui a vraiment une case en moins pour le coup (j'en ai déjà parlé dans un topic).
- RagnetrudeExpert spécialisé
Pioup a écrit:Jusqu'à ce que la documentaliste (un peu particulière dans son genre) me lance de l'autre coté du couloir : "alors c'est toi la stagiaire?"
J'espère qu'aucun de mes élèves n'a entendu, ça va saper la relation de confiance si ils me considèrent comme une menteuse.
tu peux toujours leur dire que tu as fait des vacations en préparant le concours...
- Invité19Esprit sacré
Secondes m'a tuer...
(et copies vont m'achever)
- LilypimsGrand sage
lene75 a écrit:Oiseau, ce que tu peux faire avec une classe qui bavarde dans tous les sens, c'est pousser une gueulante pour avoir le silence et une fois que tu l'as, tu leur explique qu'à partir de maintenant le 1er qui parle a une punition (une bonne grosse, par exemple ce matin j'ai donné 11 pages à copier). Ça ne marche pas à tous les coups mais si la classe t'aime bien, il y a des chances pour que ça marche, en faisant une piqûre de rappel de temps en temps. Moi j'en plaisante carrément avec mes élèves, je leur dis "bon, puisque vous n'arrivez pas à vous taire tout seuls, aujourd'hui on va encore jouer au roi du silence" et je leur annonce la punition du jour et j'en rajoute parfois en disant que celui qui a été puni la dernière fois attend avec impatience qu'il y en ait un autre (ce qui est vrai et ce qui recrée le lien avec celui qui a été puni).
Sinon mes élèves ont su que j'étais stagiaire le 1er jour, pas difficile à deviner, il y avait une redoublante et le prof de philo de l'année précédente était déjà stagiaire, forcément quand on est sur un support de stagiaire, il y a un stagiaire tous les ans et ça finit par se savoir... Ils sont sortis de la classe en disant "la prof de philo, elle a 23 ans, mais maximum" (j'en avais 26 ). La visite de ma tutrice + le fait que je n'aie que 2 classes dans le lycée (bah oui, on se faisait plus facilement repérer à l'époque) + les gaffes de la PP ont largement confirmé le truc. Arrivés en terminale, ils savent très bien ce qu'est un stagiaire, ils m'ont dit que je jouais ma titularisation, qu'ils allaient me former... tout comme je le savais très bien pour mes profs stagiaires dès le collège, il nous est arrivé une fois de prendre une néotit' pour une stagiaire et une autre fois une jeune TZR, mais je ne crois pas qu'on ait raté de stagiaire, ça se voit facilement au tuteur qui assiste au cours et aussi à la façon de faire cours.
Comment ça?
- KelemNiveau 7
Pioup a écrit:Je suis dans le même cas Malaga, moi aussi je suis aussi jeune que toi et j'ai vaguement laissé entendre que j'avais déjà enseigné l'année précédente.
Jusqu'à ce que la documentaliste (un peu particulière dans son genre) me lance de l'autre coté du couloir : "alors c'est toi la stagiaire?"
J'espère qu'aucun de mes élèves n'a entendu, ça va saper la relation de confiance si ils me considèrent comme une menteuse.
Autre question : que faire quand une classe est menée par trois élèves particulièrement agités qui me pourrissent mon cours du début jusqu'à la fin. Je les ai déjà exclus plusieurs fois mais pas en même temps et j'en ai vraiment marre de l'ambiance pourrie qu'il y a dans cette classe.
Ils sont tous en difficulté en plus, donc une ambiance paisible et studieuse, ça leur ferait pas de mal... J'ai un élève insolent qui part dans la provoc, un autre qui en a rien à faire du cours et qui passe son temps à se retourner et à papoter, et une troisième qui a vraiment une case en moins pour le coup (j'en ai déjà parlé dans un topic).
Dans une de mes classes aussi, j'ai deux-trois éléments à problème, qui ressemblent pas mal aux tiens.
- Une qui ne fait rien de rien, et qui me dit à chaque fois "je m'y mets, monsieur, promis". Je l'ai déjà virée une fois car je l'ai prise à dessiner je ne sais quoi, mais elle n'est pas trop horripilante en classe. J'espère que la soufflante du conseil va être efficace.
- Un très lourdingue, que j'ai placé au premier rang, semble obstinément ne pas comprendre la bonne attitude à prendre en cours. Pour l'instant, j'ai adopté la tactique "punitions" jusqu'à ce qu'il se taise. A force de lui présenter des textes interminables consacrés aux méfaits du bavardage à me commenter, il finira peut-être par comprendre !
- La troisième pose beaucoup plus de soucis, car elle ne veut pas être là, et est dans l'opposition systématique avec l'ensemble des adultes. Je l'ai exclue une paire de fois, je la recadre en classe... Pas facile facile ! Aujourd'hui, tentative de dialogue en fin d'heure. Elle a plutôt bien réagi... Reste à voir les prochains cours. Cependant, je m'attends à devoir la gérer toute l'année.
"Heureusement", les trois cas sont réunis dans la même classe !
- linkusNeoprof expérimenté
Cette nouvelle année commence mal. Avant les vacances, cela allait mais la je ne sais pas ce qu'ils ont mais apparemment, une de mes classe s'est ligué contre moi et la vice-proviseure n'a pas l'air de mon coté.
Tout ça à commencé quand j'ai dit à ma classe de seconde que les demi-groupe, cela servait à faire les TP ainsi que l'algorithme.
Tout ça à commencé quand j'ai dit à ma classe de seconde que les demi-groupe, cela servait à faire les TP ainsi que l'algorithme.
_________________
J'entends souvent dire qu'avec l'agrégation, c'est travailler moins pour gagner plus. En réalité, avec le CAPES c'est travailler plus pour gagner moins.
Avec un travail acharné, même un raté peut battre un génie. Rock Lee
Je ne suis pas gros, j'ai une ossature lourde!
Vous aimez Bomberman? Venez jouer à Bombermine.
- lene75Prophète
lilypims a écrit:lene75 a écrit:à la façon de faire cours.
Comment ça?
Moins à l'aise dans la façon de le faire et plus "scolaire" en général.
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- Madame_ProfEsprit sacré
lene75 a écrit:lilypims a écrit:lene75 a écrit:à la façon de faire cours.
Comment ça?
Moins à l'aise dans la façon de le faire et plus "scolaire" en général.
Bof... Je crois que ça dépend vraiment des stagiaires. L'an dernier lors d'un stage court (1 mois) avec une collègue de promo, les élèves nous ont dit qu'avec nous c'était cool, plus intéressant et dynamique, qu'avec leur prof habituel qui n'était pas clair (notre tuteur en fait, et effectivement jamais je ne ferais cours comme lui).
Dans la classe d'une amie, ils jouent à trouver son âge, et elle laisse planer le mystère. Rien de bien méchant quoi.
C'est sûr qu'un stagiaire se repère vite, mais finalement ils sont contents je pense d'avoir un jeune prof plein de bonne volonté.
_________________
2017-2025 - 10ème établissement, en poste fixe ! Et, militante (encore, malgré tout...) !
2013-2017 - TZR en expérimentation au gré des établissements, et militante !
2012-2013 - Année de stage en collège
- mimileDoyen
Madame_Prof a écrit:lene75 a écrit:lilypims a écrit:lene75 a écrit:à la façon de faire cours.
Comment ça?
Moins à l'aise dans la façon de le faire et plus "scolaire" en général.
Bof... Je crois que ça dépend vraiment des stagiaires. L'an dernier lors d'un stage court (1 mois) avec une collègue de promo, les élèves nous ont dit qu'avec nous c'était cool, plus intéressant et dynamique, qu'avec leur prof habituel qui n'était pas clair (notre tuteur en fait, et effectivement jamais je ne ferais cours comme lui).
Dans la classe d'une amie, ils jouent à trouver son âge, et elle laisse planer le mystère. Rien de bien méchant quoi.
C'est sûr qu'un stagiaire se repère vite, mais finalement ils sont contents je pense d'avoir un jeune prof plein de bonne volonté.
l'an passé, mes élèves ont très vite su que j'étais stagiaire. en plus de mon allure "jeune", j'ai débarqué un peu après la rentrée et surtout, ma tutrice venait souvent me voir ! des élèves m'ont posé la question, pourquoi venait elle et je leur ai dit la vérité. Mais c'était un certain public (mes 1eres en tout cas étaient très sympas) donc je ne l'aurais peut être pas avoué si j'avais été en collège par exemple... Et puis on parlait beaucoup des stagiaires dans les médias du coup elles en avaient entendu parler...
Après, j'ai entendu parfois des choses : quand je sanctionnais, parfois j'entendais des élèves se dire entre eux ("elle fait comme ça parce que c'est sa 1ere année et elle veut se faire respecter...").
Par contre, je ne pense pas que les élèves comprennent beaucoup de choses sur le système des stagiaires (le fait qu'on ait la pression de la titularisation etc...) et il vaut mieux évidemment qu'ils n'en sache rien.
Petit à petit, les élèves m'ont appréciée car je pense qu'ils m'ont vue comme une prof pleine de bonne volonté .
- lene75Prophète
mimile a écrit:Par contre, je ne pense pas que les élèves comprennent beaucoup de choses sur le système des stagiaires (le fait qu'on ait la pression de la titularisation etc...) et il vaut mieux évidemment qu'ils n'en sache rien.
Les miens savaient très bien que je pouvais "redoubler", voire me retrouver "à l'ANPE", connaissaient très bien la différence entre un tuteur et un inspecteur, savaient que le jour de l'inspection "la prof et nous, c'est un peu pareil, c'est comme si elle passait son bac aujourd'hui", etc., dans mes deux classes. Et les TL que j'ai cette année et qui ont eu une stagiaire l'année dernière savent aussi tout ça très bien (il faut dire qu'il y a au moins 3 enfants de profs dans la classe).
Après effectivement, ça ne veut pas dire qu'ils ne sont pas contents, raison pour laquelle ils se tiennent la plupart du temps très bien le jour de l'inspection (les miens avaient même eux-mêmes fait un plan de classe pour ne pas être tentés de bavarder !!! ç'aurait été en début d'année, j'en aurais pris bonne note ). Mais ils peuvent aussi en profiter pendant l'année.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- linkusNeoprof expérimenté
C'est clair et net, l'année prochaine, je continue les études et plus jamais de ma vie je n'enseignerai dans le secondaire!!!!
Trop, c'est trop. J'en ai marre.
Trop, c'est trop. J'en ai marre.
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J'entends souvent dire qu'avec l'agrégation, c'est travailler moins pour gagner plus. En réalité, avec le CAPES c'est travailler plus pour gagner moins.
Avec un travail acharné, même un raté peut battre un génie. Rock Lee
Je ne suis pas gros, j'ai une ossature lourde!
Vous aimez Bomberman? Venez jouer à Bombermine.
- KalliopéNiveau 8
J'ai ressenti exactement la même chose que toi il y a quelques jours linkus. J'ai complètement "pété un plomb" ce week-end en pensant à tout le temps et à tous les efforts que je mettais à préparer mes cours, exercices et contrôles, et tout çà pour les entendre rouspéter, soupirer, et me dire "ah bon, il fallait faire çà pour aujourd'hui?" etc...
J'ai pris contact avec une enseignante pour faire un vrai M2 recherche l'an prochain (si j'y arrive!) et si possible poursuivre par une thèse.
Qu'est-ce qui te fait craquer linkus? Tu étais à la formation des stagiaires de lettres aujourd'hui? Moi ça m'a fait beaucoup de bien: j'ai discuté avec plusieurs personnes et ai pu constater qu'il y en avait beaucoup qui ressentaient la même fatigue, usure et frustration face à leurs classes. Mine de rien, ça fait du bien au moral de sentir qu'on n'est pas seul dans sa situation! Courage! :flower:
J'ai pris contact avec une enseignante pour faire un vrai M2 recherche l'an prochain (si j'y arrive!) et si possible poursuivre par une thèse.
Qu'est-ce qui te fait craquer linkus? Tu étais à la formation des stagiaires de lettres aujourd'hui? Moi ça m'a fait beaucoup de bien: j'ai discuté avec plusieurs personnes et ai pu constater qu'il y en avait beaucoup qui ressentaient la même fatigue, usure et frustration face à leurs classes. Mine de rien, ça fait du bien au moral de sentir qu'on n'est pas seul dans sa situation! Courage! :flower:
- LoubdalouExpert
Linkus, Kalliopé, je comprends votre désarroi
Mais si j'ai bien appris une chose en un an et 1 trimestre, c'est qu'il ne faut pas se défoncer au travail, et dans aucun travail, parce que personne ne vous le rendra, et surtout pas les élèves !!!
Finalement, ce que les élèves vont apprécier, retenir, c'est ce qui les aura intéressés car ils auront compris un truc, par exemple qu'en Espagne on mange à 14h par exemple, ça les scotche. Et pas besoin de passer des jours à préparer les cours pour ça. Et ça, ce fut dur à avaler pour moi !!
Ce qu'ils retiendront aussi, et ce qui aide à se faire apprécier et donc à ce qu'ils se mettent au travail, c'est quand ils voient que l'on cherche à être sûr qu'ils aient compris, en interrogeant ceux qui ne lèvent pas la main, en allant voir ceux qui ne parlent jamais et en leur demandant ce qu'ils ont compris, au besoin, réexpliquer par d'autres biais. C'est ce qui me sauve cette année en 4°
En tout cas, je vous souhaite beaucoup de courage, et ne craquez pas, allez chez le médecin plutôt
Mais si j'ai bien appris une chose en un an et 1 trimestre, c'est qu'il ne faut pas se défoncer au travail, et dans aucun travail, parce que personne ne vous le rendra, et surtout pas les élèves !!!
Finalement, ce que les élèves vont apprécier, retenir, c'est ce qui les aura intéressés car ils auront compris un truc, par exemple qu'en Espagne on mange à 14h par exemple, ça les scotche. Et pas besoin de passer des jours à préparer les cours pour ça. Et ça, ce fut dur à avaler pour moi !!
Ce qu'ils retiendront aussi, et ce qui aide à se faire apprécier et donc à ce qu'ils se mettent au travail, c'est quand ils voient que l'on cherche à être sûr qu'ils aient compris, en interrogeant ceux qui ne lèvent pas la main, en allant voir ceux qui ne parlent jamais et en leur demandant ce qu'ils ont compris, au besoin, réexpliquer par d'autres biais. C'est ce qui me sauve cette année en 4°
En tout cas, je vous souhaite beaucoup de courage, et ne craquez pas, allez chez le médecin plutôt
- Invité19Esprit sacré
je ne voudrais pas être pessimiste, mais comment allez vous gagner votre vie si vous quittez le secondaire ? vous aurez peut être un contrat doctoral mais après ?
si vous pensez à la démission, réfléchissez quand même bien avant... et ayez un vrai projet de reconversion !!! quitte à vous mettre en dispo...
et puis il y a aussi beaucoup de joies dans ce métier, c'est normal de connaitre des bas..; courage !
si vous pensez à la démission, réfléchissez quand même bien avant... et ayez un vrai projet de reconversion !!! quitte à vous mettre en dispo...
et puis il y a aussi beaucoup de joies dans ce métier, c'est normal de connaitre des bas..; courage !
- KalliopéNiveau 8
Merci pour vos encouragements
Ne t'inquiète pas Oiseau, je n'ai pas du tout l'intention de démissionner!!! J'aime enseigner, mais le problème est que je n'ai pas pleinement le sentiment d'enseigner face à des collégiens, c'est pour çà que je songe au supérieur (l'herbe est toujours plus verte ailleurs, mais je sais bien que même dans le supérieur on rencontre de gros fainéants désagréables...).
Mon projet est d'essayer de faire un M2 recherche en enseignant dans le secondaire, et d'ensuite demander une disponibilité et tenter d'obtenir un contrat doctoral pour faire une thèse (si le travail de recherche me plaît, car jusqu'ici je n'ai pas eu l'occasion de m'y frotter en raison des années "transitoires" très chaotiques dues à la masterisation).
C'est peut-être trop ambitieux, ça me demandera évidemment beaucoup de travail, mais j'ai lu le témoignage de plusieurs néoprofs ayant fait une thèse en travaillant, donc je me dis qu'un M2 c'est possible! Mais si je suis en lycée l'an prochain (là je suis en collège), si je suis loin de domicile, etc etc... je reverrai mon projet. On verra!
Ne t'inquiète pas Oiseau, je n'ai pas du tout l'intention de démissionner!!! J'aime enseigner, mais le problème est que je n'ai pas pleinement le sentiment d'enseigner face à des collégiens, c'est pour çà que je songe au supérieur (l'herbe est toujours plus verte ailleurs, mais je sais bien que même dans le supérieur on rencontre de gros fainéants désagréables...).
Mon projet est d'essayer de faire un M2 recherche en enseignant dans le secondaire, et d'ensuite demander une disponibilité et tenter d'obtenir un contrat doctoral pour faire une thèse (si le travail de recherche me plaît, car jusqu'ici je n'ai pas eu l'occasion de m'y frotter en raison des années "transitoires" très chaotiques dues à la masterisation).
C'est peut-être trop ambitieux, ça me demandera évidemment beaucoup de travail, mais j'ai lu le témoignage de plusieurs néoprofs ayant fait une thèse en travaillant, donc je me dis qu'un M2 c'est possible! Mais si je suis en lycée l'an prochain (là je suis en collège), si je suis loin de domicile, etc etc... je reverrai mon projet. On verra!
- scoubidoubidouNiveau 5
Linkus et Kalliopé je suis de tout coeur avec vous. Moi aussi j'ai passé toute la semaine dernière à me dire que j'aller me mettre en dispo l'an prochain pour continuer mes études parce que le boulot commençait sérieusement à me taper sur le système. Maintenant le problème qui se pose c'est comment financer cette année de dispo ...
Mais en venant ici lire les témoignages et encouragements d'anciens stagiaires et avec le recul j'ai compris une chose : qu'il ne faut pas être trop exigeant envers soi-même et ne pas trop écouter les ronchonnements de gamins souvent immatures et qui ont un gros poil dans la main. Je n'arrêtais pas de me dire que je faisais peut-être mal les choses, en un mot de culpabiliser à cause du manque de formation, peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas savoir me mettre à leur portée etc... Sauf que la semaine dernière j'ai préparé un cours au cordeau que j'estimais vraiment super bien fait : j'ai constaté lors de la "mise en application" que ce n'était pas la qualité de mon cours qui péchait mais le comportement de certains qui n'avaient surtout pas envie de se fouler. Depuis je culpabilise beaucoup moins et je suis beaucoup plus sûre de moi. Et du coup je les tiens mieux et l'ambiance de cours est meilleure.
Les élèves sentent quand on est pas bien et en profitent pour s'engouffrer dans la brèche. ça paraît peut-être simpliste mais maintenant j'en suis convaincue.
bon après il y a le problème d'aimer ou pas le niveau d'enseignement qu'on doit prodiguer aux élèves du secondaire qui est bien sûr très en dessous de ce qu'on pouvait faire à la fac.
En tous cas essayez de ne pas vous faire trop de mouron : personne ou presque ne nous aide cette année, nous sommes livrés à nous-mêmes, et même, on se défausse de sa responsabilité sur nous, stagiaires. donc comme l'a dit quelqu'un dans ce fil, l'essentiel est de sauver les meubles, on ne peut pas faire mieux.
Mais en venant ici lire les témoignages et encouragements d'anciens stagiaires et avec le recul j'ai compris une chose : qu'il ne faut pas être trop exigeant envers soi-même et ne pas trop écouter les ronchonnements de gamins souvent immatures et qui ont un gros poil dans la main. Je n'arrêtais pas de me dire que je faisais peut-être mal les choses, en un mot de culpabiliser à cause du manque de formation, peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas savoir me mettre à leur portée etc... Sauf que la semaine dernière j'ai préparé un cours au cordeau que j'estimais vraiment super bien fait : j'ai constaté lors de la "mise en application" que ce n'était pas la qualité de mon cours qui péchait mais le comportement de certains qui n'avaient surtout pas envie de se fouler. Depuis je culpabilise beaucoup moins et je suis beaucoup plus sûre de moi. Et du coup je les tiens mieux et l'ambiance de cours est meilleure.
Les élèves sentent quand on est pas bien et en profitent pour s'engouffrer dans la brèche. ça paraît peut-être simpliste mais maintenant j'en suis convaincue.
bon après il y a le problème d'aimer ou pas le niveau d'enseignement qu'on doit prodiguer aux élèves du secondaire qui est bien sûr très en dessous de ce qu'on pouvait faire à la fac.
En tous cas essayez de ne pas vous faire trop de mouron : personne ou presque ne nous aide cette année, nous sommes livrés à nous-mêmes, et même, on se défausse de sa responsabilité sur nous, stagiaires. donc comme l'a dit quelqu'un dans ce fil, l'essentiel est de sauver les meubles, on ne peut pas faire mieux.
- scoubidoubidouNiveau 5
bon et puis pour continuer sur une note positive, je nous trouve tous admirables de tenir le coup ainsi et de n'avoir toujours pas démissionné malgré les conditions de m*** qu'on nous impose. et je trouve que la profession enseignante dans son ensemble peut vraiment être fière d'elle (en dépit des critiques ordinaires du beauf moyen) car je ne connais pas beaucoup de métiers où l'on demande un aussi grand investissement et où l'on doit être toujours à 100% devant son public, bref, un métier aussi exigeant.
- DalivaNeoprof expérimenté
scoubidoubidou a écrit:
Les élèves sentent quand on est pas bien et en profitent pour s'engouffrer dans la brèche. ça paraît peut-être simpliste mais maintenant j'en suis convaincue.
+1! Bon, ça dépend des élèves, quand j'étais contractuelle, ce n'était pas le genre des miens, mais cette année si.
Ils m'ont épuisé, sentant que je n'étais pas bien avec ma grossesse, j'ai même eu des contractions à cause d'une classe. Me voilà arrêtée pour deux semaines, et pas sure de reprendre avant mon congé maternité.
Bref, une année de stage bien compromise...
bon courage à tous, c'est vrai que cette année est vraiment difficile...
- boris vassilievGrand sage
Linkus, Kalliopé, j'avais la même envie que vous de me barrer pendant mon année de stage et ma première année titulaire en collège ZEP : je m'étais même inscrit à des concours de bibliothèque, archives et d'autres trucs comme ça mais je n'ai jamais eu la force de préparer ça tout en travaillant. Puis l'année d'après, toujours en collège de ZEP, j'ai commencé à survivre un peu mieux.
Mais c'est ma première année en lycée qui a été une vraie résurrection : ce n'est tout simplement pas le même monde même si quelquefois on tombe sur des 2ndes pourries. Depuis cette année là, comme j'étais TZR, je n'ai plus fait de voeux de remplacement qu'en lycée et j'ai à chaque fois obtenu satisfaction, après des mois d'août pourris par la crainte d'être affecté en collège. Parallèlement, j'ai de la même manière fait chaque année des voeux de mutation dans tous les lycées d'une zone où je pouvais raisonnablement faire la route depuis chez moi tous les jours, avec aucun voeu en collège, et force est de constater que les commissions d'affectation des TZR en ont toujours tenu compte, quitte à me laisser en attente après la rentrée, le temps qu'un remplacement en lycée se libère. Et cette année, miracle : un poste fixe en lycée avec 65 points (j'avais perdu les points de mes premières années en obtenant une zone de remplacement plus agréable (pas à Marseille, quoi...). Miraculeusement personne d'autre, visiblement, n'a demandé cet établissement, en raison probablement de sa situation dans une ville dont l'image n'est pas très bonne, mais que je savais être assez sympa pour y avoir travaillé quelques années auparavant. Tout ça pour dire que même sans points on peut garder espoir d'être affecté en lycée quitte à rester TZR (il me semble que plus beaucoup de TZR sont affectés en remplacement de courte durée, maintenant, au profit de contractuels). Et ça change quand même vraiment la vie par rapport au collège.
Mais c'est ma première année en lycée qui a été une vraie résurrection : ce n'est tout simplement pas le même monde même si quelquefois on tombe sur des 2ndes pourries. Depuis cette année là, comme j'étais TZR, je n'ai plus fait de voeux de remplacement qu'en lycée et j'ai à chaque fois obtenu satisfaction, après des mois d'août pourris par la crainte d'être affecté en collège. Parallèlement, j'ai de la même manière fait chaque année des voeux de mutation dans tous les lycées d'une zone où je pouvais raisonnablement faire la route depuis chez moi tous les jours, avec aucun voeu en collège, et force est de constater que les commissions d'affectation des TZR en ont toujours tenu compte, quitte à me laisser en attente après la rentrée, le temps qu'un remplacement en lycée se libère. Et cette année, miracle : un poste fixe en lycée avec 65 points (j'avais perdu les points de mes premières années en obtenant une zone de remplacement plus agréable (pas à Marseille, quoi...). Miraculeusement personne d'autre, visiblement, n'a demandé cet établissement, en raison probablement de sa situation dans une ville dont l'image n'est pas très bonne, mais que je savais être assez sympa pour y avoir travaillé quelques années auparavant. Tout ça pour dire que même sans points on peut garder espoir d'être affecté en lycée quitte à rester TZR (il me semble que plus beaucoup de TZR sont affectés en remplacement de courte durée, maintenant, au profit de contractuels). Et ça change quand même vraiment la vie par rapport au collège.
- Marie LaetitiaBon génie
scoubidoubidou a écrit:bon et puis pour continuer sur une note positive, je nous trouve tous admirables de tenir le coup ainsi et de n'avoir toujours pas démissionné malgré les conditions de m*** qu'on nous impose. et je trouve que la profession enseignante dans son ensemble peut vraiment être fière d'elle (en dépit des critiques ordinaires du beauf moyen) car je ne connais pas beaucoup de métiers où l'on demande un aussi grand investissement et où l'on doit être toujours à 100% devant son public, bref, un métier aussi exigeant.
courage aux stagiaires, vous vaincrez, vous êtes bien assez forts pour vaincre !!! (mais si mais si!)
_________________
Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- Marie LaetitiaBon génie
Dis, Boris, tu peux m'expliquer le truc ? L'année prochaine je serai TZR (cette année je suis encore en détachement). J'ai déjà mon rattachement administratif. Pour faire des voeux de remplacement, ça se passe comment? C'est une fois ton rattachement administratif connu? Est-ce qu'il faut participer aux muts même quand on n'a pas de raison de changer de RAD?
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- KalliopéNiveau 8
Encore une fois, merci à tous.
Vous avez parfaitement raison quand vous dites que les élèves sentent quand on n'est pas bien et qu'ils en profitent. Je me suis ressourcée ce week-end, je suis revenue déterminée en classe lundi, j'ai été stricte mais sans crier, en les accueillant avec un grand sourire, en donnant aujourd'hui les punitions "promises" lundi... et ça allait beaucoup beaucoup mieux! Ils ont dû sentir que j'étais sûre de moi, et surtout que je les punissais de façon juste et bienveillante, et aucun ne s'est plaint. Ils ont travaillé assez calmement et on a fait tout ce que j'avais prévu avec les 6°!!!
Je reste donc optimiste sur mon avenir ^^ Et les paroles de boris finissent de me rassurer: je pourrai peut-être (totalement) m'épanouir un jour en lycée!
Vous avez parfaitement raison quand vous dites que les élèves sentent quand on n'est pas bien et qu'ils en profitent. Je me suis ressourcée ce week-end, je suis revenue déterminée en classe lundi, j'ai été stricte mais sans crier, en les accueillant avec un grand sourire, en donnant aujourd'hui les punitions "promises" lundi... et ça allait beaucoup beaucoup mieux! Ils ont dû sentir que j'étais sûre de moi, et surtout que je les punissais de façon juste et bienveillante, et aucun ne s'est plaint. Ils ont travaillé assez calmement et on a fait tout ce que j'avais prévu avec les 6°!!!
Je reste donc optimiste sur mon avenir ^^ Et les paroles de boris finissent de me rassurer: je pourrai peut-être (totalement) m'épanouir un jour en lycée!
- boris vassilievGrand sage
Les 5 voeux de remplacement, du moins dans mon académie, se font depuis deux ans à la fin du mois de juin, une fois "confirmée" l'absence de mutation dont les résultats arrivent juste avant. Mais l'ancien système n'a pas encore disparu : voeux de remplacement au moment de la saisie des voeux de mutation début avril. Finalement je n'ai jamais su sur quelle saisie ils se fondaient.
On peut être affecté à trois moments :
- à la première commission d'affectation des TZR vers le 10 juillet. Auquel cas c'est pour une affectation à l'année (BMP = bloc de moyens provisoire = bouche-trou dans un établissement pour un poste ou un morceau de poste qui pour une raison ou pour une autre n'est pas passé au mouvement). Cela m'est arrivé une fois en 6 ans.
- à la deuxième commission d'affectation vers le 20-25 août, là aussi pour une affectation à l'année qui n'était pas sûre en juillet et qui s'est décantée pendant les vacances. Cela m'est arrivé 2 fois en 6 ans, à chaque fois sur 2 établissements (en août il reste surtout les derniers morceaux de poste...).
- après la rentrée, pour un remplacement, officiellement toujours de courte ou moyenne durée, mais souvent renouvelé jusqu'à la fin de l'année. Cela m'est arrivé 3 fois, où j'ai commencé courant septembre. Attente très stressante mais avantage de toucher les ISSR.
Si tu ne veux pas changer de zone de rattachement ni demander un poste fixe, tu n'as pas à participer aux mutations. Mais je l'ai toujours fait, même si c'était pour demander ce que je ne pouvais pas avoir sans miracle faute de points, c'est à-dire uniquement des lycées. Je pense que les commissions d'affectation en tiennent compte (enfin, j'en sais rien), ainsi que les secrétaires du rectorat qui s'occupent des affectations après la rentrée. Et en plus dans mon cas un miracle a fini par se produire.
On peut être affecté à trois moments :
- à la première commission d'affectation des TZR vers le 10 juillet. Auquel cas c'est pour une affectation à l'année (BMP = bloc de moyens provisoire = bouche-trou dans un établissement pour un poste ou un morceau de poste qui pour une raison ou pour une autre n'est pas passé au mouvement). Cela m'est arrivé une fois en 6 ans.
- à la deuxième commission d'affectation vers le 20-25 août, là aussi pour une affectation à l'année qui n'était pas sûre en juillet et qui s'est décantée pendant les vacances. Cela m'est arrivé 2 fois en 6 ans, à chaque fois sur 2 établissements (en août il reste surtout les derniers morceaux de poste...).
- après la rentrée, pour un remplacement, officiellement toujours de courte ou moyenne durée, mais souvent renouvelé jusqu'à la fin de l'année. Cela m'est arrivé 3 fois, où j'ai commencé courant septembre. Attente très stressante mais avantage de toucher les ISSR.
Si tu ne veux pas changer de zone de rattachement ni demander un poste fixe, tu n'as pas à participer aux mutations. Mais je l'ai toujours fait, même si c'était pour demander ce que je ne pouvais pas avoir sans miracle faute de points, c'est à-dire uniquement des lycées. Je pense que les commissions d'affectation en tiennent compte (enfin, j'en sais rien), ainsi que les secrétaires du rectorat qui s'occupent des affectations après la rentrée. Et en plus dans mon cas un miracle a fini par se produire.
- Marie LaetitiaBon génie
je préfère attendre avant de demander une mut sur poste fixe (faire valoir éventuellement des points enfants).
Mais en participant à chaque fois aux mut, tu gâches des points, non?
Et tu fais comment pour donner tes voeux d'affectation dans les trois cas que tu présentes? Tu restes scotché à iprof ou tu passes par ton syndicat?
Mais en participant à chaque fois aux mut, tu gâches des points, non?
Et tu fais comment pour donner tes voeux d'affectation dans les trois cas que tu présentes? Tu restes scotché à iprof ou tu passes par ton syndicat?
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
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