Aujourd'hui, j'ai halluciné quand...

Sessi a écrit:Gryphe, chez nous, on avait des parents d'élèves très vindicatifs (pour rester polie) et jusqu'à l'an passé on n'avait pas le droit de mettre 0 à un élève qui n'avait pas rendu son devoir ou pas fait son travail. Il fallait lui mettre 1... Et pourtant, on a un chef qui bataille beaucoup en notre faveur! Mais les parents considéraient que, comme il n'y avait pas de preuve matérielle qui prouvait que le travail n'était pas fait, le 0 était une sanction, un abus. Cette année ça a enfin changé.

Nestya a écrit:Je suis allée au cinéma voir Twilight (oui je sais... :lol: ). Je m'attendais à l'hystérie des ados de 14 ans mais je ne m'attendais à voir ce même comportement chez des femmes plus âgées de moi. J'étais assise à côté de 2 femmes d'une quarantaine d'années qui ont passé leur temps à glousser et à se trémousser. Et dès qu'on a vu Jacob torse nu, toute la salle a pu profiter de leur excitation: "oh mon dieu! oh mon dieu! il est trooop beau! Regarde, j'en ai des frissons!".:shock:

Sessi a écrit:Gryphe, chez nous, on avait des parents d'élèves très vindicatifs (pour rester polie) et jusqu'à l'an passé on n'avait pas le droit de mettre 0 à un élève qui n'avait pas rendu son devoir ou pas fait son travail. Il fallait lui mettre 1... Et pourtant, on a un chef qui bataille beaucoup en notre faveur! Mais les parents considéraient que, comme il n'y avait pas de preuve matérielle qui prouvait que le travail n'était pas fait, le 0 était une sanction, un abus. Cette année ça a enfin changé.

JPhMM a écrit:Ça me fait me rappeler que j'avais songé me protéger de cela en produisant de petites feuilles A5 du genre :

Notation du devoir non rendu :

Présentation : 0/2
Exercice 1 : 0/5
Exercice 2 : 0/3
Exercice 3 : 0/6
Exercice 4 : 0/4

Note finale : 0/20.

C'est mesquin, mais au moins on pourra pas m'accuser de mettre 0 pour devoir non rendu.

Sessi a écrit:Gryphe, chez nous, on avait des parents d'élèves très vindicatifs (pour rester polie) et jusqu'à l'an passé on n'avait pas le droit de mettre 0 à un élève qui n'avait pas rendu son devoir ou pas fait son travail. Il fallait lui mettre 1... Et pourtant, on a un chef qui bataille beaucoup en notre faveur! Mais les parents considéraient que, comme il n'y avait pas de preuve matérielle qui prouvait que le travail n'était pas fait, le 0 était une sanction, un abus. Cette année ça a enfin changé.

cath5660 a écrit:

Sessi a écrit:Gryphe, chez nous, on avait des parents d'élèves très vindicatifs (pour rester polie) et jusqu'à l'an passé on n'avait pas le droit de mettre 0 à un élève qui n'avait pas rendu son devoir ou pas fait son travail. Il fallait lui mettre 1... Et pourtant, on a un chef qui bataille beaucoup en notre faveur! Mais les parents considéraient que, comme il n'y avait pas de preuve matérielle qui prouvait que le travail n'était pas fait, le 0 était une sanction, un abus. Cette année ça a enfin changé.

Mais depuis quand ce sont les parents qui décident?
Il y a des textes officiels!

Hermione0908 a écrit:@ Béné : la mère d'un élève du bahut refuse catégoriquement que son gamin aille visiter la mosquée du coin en cours de religion. La prof lui dit alors que son fils côtoie des musulmans tous les jours au collège et lui demande ce qu'elle compte faire le jour où son enfant lui ramène à la maison parmi ses copains un musulman. Réponse de la mère : "Ça ne s'est jamais produit et ça n'arrivera jamais !"
Bonjour la tolérance. Et après, on s'étonne de l'intolérance de nos élèves.

Cripure a écrit:

Hermione0908 a écrit:@ Béné : la mère d'un élève du bahut refuse catégoriquement que son gamin aille visiter la mosquée du coin en cours de religion. La prof lui dit alors que son fils côtoie des musulmans tous les jours au collège et lui demande ce qu'elle compte faire le jour où son enfant lui ramène à la maison parmi ses copains un musulman. Réponse de la mère : "Ça ne s'est jamais produit et ça n'arrivera jamais !"
Bonjour la tolérance. Et après, on s'étonne de l'intolérance de nos élèves.

Ben moi, quand j'ai été convoqué dans un lycée privé pour faire passer le bac, il y a cinq ans, j'ai téléphoné au rectorat pour dire que mes convictions m'interdisent d'entrer dans un bahut privé et que ce serait autre affectation ou non venue de ma part. Ils ont ri deux minutes, puis ont compris que je ne céderais pas, et ils m'ont changé.
Qu'est-ce que c'est que ça, encore, des "cours de religion" ? :shock: :shock:

Cripure a écrit:

Hermione0908 a écrit:@ Béné : la mère d'un élève du bahut refuse catégoriquement que son gamin aille visiter la mosquée du coin en cours de religion. La prof lui dit alors que son fils côtoie des musulmans tous les jours au collège et lui demande ce qu'elle compte faire le jour où son enfant lui ramène à la maison parmi ses copains un musulman. Réponse de la mère : "Ça ne s'est jamais produit et ça n'arrivera jamais !"
Bonjour la tolérance. Et après, on s'étonne de l'intolérance de nos élèves.

Ben moi, quand j'ai été convoqué dans un lycée privé pour faire passer le bac, il y a cinq ans, j'ai téléphoné au rectorat pour dire que mes convictions m'interdisent d'entrer dans un bahut privé et que ce serait autre affectation ou non venue de ma part. Ils ont ri deux minutes, puis ont compris que je ne céderais pas, et ils m'ont changé.
Qu'est-ce que c'est que ça, encore, des "cours de religion" ? :shock: :shock:

Ruthven a écrit:

Cripure a écrit:

Hermione0908 a écrit:@ Béné : la mère d'un élève du bahut refuse catégoriquement que son gamin aille visiter la mosquée du coin en cours de religion. La prof lui dit alors que son fils côtoie des musulmans tous les jours au collège et lui demande ce qu'elle compte faire le jour où son enfant lui ramène à la maison parmi ses copains un musulman. Réponse de la mère : "Ça ne s'est jamais produit et ça n'arrivera jamais !"
Bonjour la tolérance. Et après, on s'étonne de l'intolérance de nos élèves.

Ben moi, quand j'ai été convoqué dans un lycée privé pour faire passer le bac, il y a cinq ans, j'ai téléphoné au rectorat pour dire que mes convictions m'interdisent d'entrer dans un bahut privé et que ce serait autre affectation ou non venue de ma part. Ils ont ri deux minutes, puis ont compris que je ne céderais pas, et ils m'ont changé.
Qu'est-ce que c'est que ça, encore, des "cours de religion" ? :shock: :shock:

C'est sans doute en Alsace (et bon, on pourrait quand même en finir maintenant avec le régime concordataire).

roxanne a écrit:Je suis allée voir sur l'ent les bulletins de ceux qui sont censés être mes élèves mais que je n'ai pas eus , et que je récupérerai en Mars, histoire de voir un peu ce que ça donne en français.Et là, moyenne de classe en français en 6° :18.70 !!! je regarde le détail des notes : une seule en "dictée préparée" !!!!! bon, certes, le remplaçant a été nommé 10 jours après la rentrée et il semble qu'il ait été absent depuis la rentrée de Toussaint (mais remplacé), mais ça fait quand même 6 semaines entières de cours, et les 6°, on les a 5 heures par semaine, il y a le temps de faire au moins une rédac, et deux -trois "évaluations .....Ca m'agace parce que du coup je me retrouve dans un rôle que j'aime pas "je critique mon remplaçant", mais m...1 note en 6° et 18.7 de moyenne !!! et dans les autres niveaux, il y a deux ou trois notes et des moyennes assez bonnes mais plus raisonnables !!
qui va passer pour la grande méchante en Mars ??

Marie Laetitia a écrit:

Ruthven a écrit:

Cripure a écrit:

Hermione0908 a écrit:@ Béné : la mère d'un élève du bahut refuse catégoriquement que son gamin aille visiter la mosquée du coin en cours de religion. La prof lui dit alors que son fils côtoie des musulmans tous les jours au collège et lui demande ce qu'elle compte faire le jour où son enfant lui ramène à la maison parmi ses copains un musulman. Réponse de la mère : "Ça ne s'est jamais produit et ça n'arrivera jamais !"
Bonjour la tolérance. Et après, on s'étonne de l'intolérance de nos élèves.

Ben moi, quand j'ai été convoqué dans un lycée privé pour faire passer le bac, il y a cinq ans, j'ai téléphoné au rectorat pour dire que mes convictions m'interdisent d'entrer dans un bahut privé et que ce serait autre affectation ou non venue de ma part. Ils ont ri deux minutes, puis ont compris que je ne céderais pas, et ils m'ont changé.
Qu'est-ce que c'est que ça, encore, des "cours de religion" ? :shock: :shock:

C'est sans doute en Alsace (et bon, on pourrait quand même en finir maintenant avec le régime concordataire).

euh... comment dire ça?

Je préfère que tous les gamins sachent un minimum sur les différentes religions (ce qui réserve d'ailleurs parfois de belles surprises aux gamins croyants qui mélangent traditions et foi) plutôt que d'être ignorants. M'en fout qu'ils soient croyants ou athées. Et c'est exactement pour la même raison que ma confession - ou mon absence de confession - n'a pas à être connue de mes élèves.
Faut-il rappeler que l'ignorance est la base des fantasmes, des calomnies, de... l'intolérance? Faut-il rappeler que les cours tels qu'ils se font en Alsace-Moselle relèvent de l'histoire culturelle et PAS du catéchisme?
L'absence de tels cours est une plaie, de mon point de vue d'historienne, dans le reste de la France. Ça relève de la culture générale et ça permet de comprendre et l'histoire, et la littérature et... à peu près tous les domaines de connaissance.

Pour le reste, suppression du régime concordataire quand il s'agit de rémunérer les membres des "clergés" oui, ça on pourrait en finir...

Hermione0908 a écrit:@ Béné : la mère d'un élève du bahut refuse catégoriquement que son gamin aille visiter la mosquée du coin en cours de religion. La prof lui dit alors que son fils côtoie des musulmans tous les jours au collège et lui demande ce qu'elle compte faire le jour où son enfant lui ramène à la maison parmi ses copains un musulman. Réponse de la mère : "Ça ne s'est jamais produit et ça n'arrivera jamais !"
Bonjour la tolérance. Et après, on s'étonne de l'intolérance de nos élèves.

Hermiony a écrit:

Hermione0908 a écrit:@ Béné : la mère d'un élève du bahut refuse catégoriquement que son gamin aille visiter la mosquée du coin en cours de religion. La prof lui dit alors que son fils côtoie des musulmans tous les jours au collège et lui demande ce qu'elle compte faire le jour où son enfant lui ramène à la maison parmi ses copains un musulman. Réponse de la mère : "Ça ne s'est jamais produit et ça n'arrivera jamais !"
Bonjour la tolérance. Et après, on s'étonne de l'intolérance de nos élèves.

Nous avons eu l'inverse dans mon bahut.
Une élève musulmane (enfin, c'est surtout la mère et beau-père qui le sont) s'est mise à pleurer lors d'un voyage scolaire à Canterbury parce que sa mère lui avait dit que la religion musulmane interdisait de rentrer dans une église. C'est Chéri qui s'en est occupé, qui a tenté de lui faire comprendre (à la pauvre gamine de 6è tiraillé entre "je ne comprends pas pourquoi on m'interdit ça" et "c'est maman qui veut") qu'ils n'allaient pas à l'église pour prier mais pour visiter le monument. Elle a campé sur sa position et Chéri a dû rester avec elle pendant que les autres profs accompagnaient les élèves (et du coup = 1 accompagnant de moins).
Au retour, le beau-père a demandé un rdv avec Chéri, parce qu'il avait voulu "obliger" sa fille à entrer dans une cathédrale. Bien énervé le monsieur...L'affaire s'est arrangée.
L'an dernier, rebelote: voyage en Angleterre. Pour éviter les soucis la collègue a convoqué la mère et a mis les choses au clair : si la mère refusait que sa fille entre dans la cathédrale prévue au programme, elle ne participerait pas au voyage. Finalement, elle est venue.

Ajupouet a écrit:
C'était l'idée que j'en avais (du cours de religion en Alsace). Sauf qu'en primaire, ma gamine a du apprendre le "je vous salue Marie". Elle me récitait ça comme ses tables d'additions J'ai dis stop. Bref, à la place, elle a cours de morale et je suis c'est exactement ce que j'espérais. Mais bon, c'est l'instit qui est génial . Dans son école, cours de religion, c'est catéchisme, en moins bien.

A part ça, la réaction des parents ne m'étonne qu'à moitié, mais quand même dans quel monde vit on?

Faut-il rappeler que les cours tels qu'ils se font en Alsace-Moselle relèvent de l'histoire culturelle et PAS du catéchisme?

En Alsace et en Moselle, l'éducation religieuse est intégrée au programme scolaire des enfants et des jeunes, à raison d'une heure par semaine. Les intervenants sont formés et relèvent des autorités religieuses et de l'Education Nationale.

CELA LUI DONNE DES CONNAISSANCES INDISPENSABLES POUR SE CONSTRUIRE ET COMPRENDRE LE MONDE ET SES COMPLEXITES. CELA CONTRIBUE AUSSI À DEVELOPPER SA DIMENSION SPIRITUELLE ET SON SENS CRITIQUE.
Message des responsables d'Eglises aux familles concernant l'enseignement religieux dans les écoles, collèges et lycées.
Chers parents,
Dans leur vie quotidienne, les enfants et les jeunes sont sollicités de toutes parts et de multiples manières : cours, famille, sport, musique et loisirs.
Mais qui les aidera à réfléchir sur eux-mêmes, à donner sens à ce qu'ils font et à ce qu'ils sont, à vivre des temps gratuits de réflexion, de partage et de prière ?
Dans cette perspective, le cours d'enseignement religieux à l'école, au collège et au lycée, constitue un atout pour réussir leur vie, dans la mesure où il invite les enfants et les jeunes à se construire dans la liberté et la responsabilité et les aide à devenir acteurs de leur croissance humaine et spirituelle. Dans le respect de la recherche de chacun, il offre des repères, stimule le débat, propose à la fois une initiation chrétienne et une ouverture aux autres religions.
Dans les prochains jours, vous serez sans doute sollicités pour inscrire votre fils ou votre fille à l'enseignement religieux. Donnez lui cette chance de grandir dans la découverte des fondements et de la richesse de la foi des chrétiens.
Pour l'union des Eglises protestantes d'Alsace et de Lorraine
M.le Président Geoffroy GOETZ
M.le Président J.François COLLANGE
Pour l'Eglise catholique
Mgr J.P.GRALLET Archevêque de Strasbourg
Mgr Christian KRATZ Evêque auxiliaire
Programme de l'enseignement religieux
Le programme « Terre de promesse » se compose de 3 livres :

CP/CE1 : « L'amandier en fleur »
Dieu de tendresse et de bonté.

CE2/CM1 : « L'arbre aux oiseaux »
Avoir Jésus comme compagnon.

CM2 : « La rose des vents »
Dieu dans le monde aujourd'hui.


LE COURS DE RELIGION :
Des cours en groupe de petits effectifs qui permettent un contact privilégié.

Les activités :
Des histoires
pour mieux connaître la Bible et mieux se connaître soi

Des activités
pour rendre concret ce que l'on a découvert

Des chants
pour vivre et partager ce qui a été dit

Des outils
Les livres des parcours utilisés par les enfants
Un cahier pour chaque enfant dans lequel il garde une trace de ce qui a été fait
Contact : Mme Elisabeth CLEMENT
03 88 55 90 40 ou aie.confiance@yahoo.fr

Marie Laetitia a écrit:euh... comment dire ça?

Je préfère que tous les gamins sachent un minimum sur les différentes religions (ce qui réserve d'ailleurs parfois de belles surprises aux gamins croyants qui mélangent traditions et foi) plutôt que d'être ignorants. M'en fout qu'ils soient croyants ou athées. Et c'est exactement pour la même raison que ma confession - ou mon absence de confession - n'a pas à être connue de mes élèves.
Faut-il rappeler que l'ignorance est la base des fantasmes, des calomnies, de... l'intolérance? Faut-il rappeler que les cours tels qu'ils se font en Alsace-Moselle relèvent de l'histoire culturelle et PAS du catéchisme?
L'absence de tels cours est une plaie, de mon point de vue d'historienne, dans le reste de la France. Ça relève de la culture générale et ça permet de comprendre et l'histoire, et la littérature et... à peu près tous les domaines de connaissance.

Pour le reste, suppression du régime concordataire quand il s'agit de rémunérer les membres des "clergés" oui, ça on pourrait en finir...

Audrey a écrit:Il vient d'où ce mail, John?

John a écrit:

Faut-il rappeler que les cours tels qu'ils se font en Alsace-Moselle relèvent de l'histoire culturelle et PAS du catéchisme?

En Alsace et en Moselle, l'éducation religieuse est intégrée au programme scolaire des enfants et des jeunes, à raison d'une heure par semaine. Les intervenants sont formés et relèvent des autorités religieuses et de l'Education Nationale.

CELA LUI DONNE DES CONNAISSANCES INDISPENSABLES POUR SE CONSTRUIRE ET COMPRENDRE LE MONDE ET SES COMPLEXITES. CELA CONTRIBUE AUSSI À DEVELOPPER SA DIMENSION SPIRITUELLE ET SON SENS CRITIQUE.
Message des responsables d'Eglises aux familles concernant l'enseignement religieux dans les écoles, collèges et lycées.
Chers parents,
Dans leur vie quotidienne, les enfants et les jeunes sont sollicités de toutes parts et de multiples manières : cours, famille, sport, musique et loisirs.
Mais qui les aidera à réfléchir sur eux-mêmes, à donner sens à ce qu'ils font et à ce qu'ils sont, à vivre des temps gratuits de réflexion, de partage et de prière ?
Dans cette perspective, le cours d'enseignement religieux à l'école, au collège et au lycée, constitue un atout pour réussir leur vie, dans la mesure où il invite les enfants et les jeunes à se construire dans la liberté et la responsabilité et les aide à devenir acteurs de leur croissance humaine et spirituelle. Dans le respect de la recherche de chacun, il offre des repères, stimule le débat, propose à la fois une initiation chrétienne et une ouverture aux autres religions.
Dans les prochains jours, vous serez sans doute sollicités pour inscrire votre fils ou votre fille à l'enseignement religieux. Donnez lui cette chance de grandir dans la découverte des fondements et de la richesse de la foi des chrétiens.
Pour l'union des Eglises protestantes d'Alsace et de Lorraine
M.le Président Geoffroy GOETZ
M.le Président J.François COLLANGE
Pour l'Eglise catholique
Mgr J.P.GRALLET Archevêque de Strasbourg
Mgr Christian KRATZ Evêque auxiliaire
Programme de l'enseignement religieux
Le programme « Terre de promesse » se compose de 3 livres :

CP/CE1 : « L'amandier en fleur »
Dieu de tendresse et de bonté.

CE2/CM1 : « L'arbre aux oiseaux »
Avoir Jésus comme compagnon.

CM2 : « La rose des vents »
Dieu dans le monde aujourd'hui.


LE COURS DE RELIGION :
Des cours en groupe de petits effectifs qui permettent un contact privilégié.

Les activités :
Des histoires
pour mieux connaître la Bible et mieux se connaître soi

Des activités
pour rendre concret ce que l'on a découvert

Des chants
pour vivre et partager ce qui a été dit

Des outils
Les livres des parcours utilisés par les enfants
Un cahier pour chaque enfant dans lequel il garde une trace de ce qui a été fait
Contact : Mme Elisabeth CLEMENT
03 88 55 90 40 ou aie.confiance@yahoo.fr

John a écrit:

Contact :
03 88 55 90 40 ou aie.confiance@yahoo.fr