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- zabriskieÉrudit
Bon, je remets les pieds dans le plat, parce que je crois que je n'ai toujours pas compris.
Je vous donne un exemple concret : si j'étudie en classe, avec les élèves, le poème de VH "La fonction du poète", et que je propose de répondre à la question suivante :
- "En quoi VH propose-t-il une vision romantique de la fonction du poète?"
... en développant les trois points suivants :
I. Une expression lyrique
II. Un retour à la nature
III. Une mission
... si je fais les choses ainsi, je fais une lecture analytique ?? Mais quelle différence alors avec un commentaire composé ?
J'ai jeté mes premières idées, alors sur le fond, ce n'est pas forcément l'idéal...
Help. Et merci d'avance !
Je vous donne un exemple concret : si j'étudie en classe, avec les élèves, le poème de VH "La fonction du poète", et que je propose de répondre à la question suivante :
- "En quoi VH propose-t-il une vision romantique de la fonction du poète?"
... en développant les trois points suivants :
I. Une expression lyrique
II. Un retour à la nature
III. Une mission
... si je fais les choses ainsi, je fais une lecture analytique ?? Mais quelle différence alors avec un commentaire composé ?
J'ai jeté mes premières idées, alors sur le fond, ce n'est pas forcément l'idéal...
Help. Et merci d'avance !
- snowNiveau 9
Pour moi c'est la même chose mais j'utilise plutôt le terme commentaire composé pour un travail entièrement rédigé et lecture analytique pour l'étude du texte en classe (partie orale/ partie écrite).
- annacamilleNiveau 6
il me semble que la "lecture analytique" n'implique pas forcément un plan de type I a) b) c) II etc, en fait, pour moi, un commentaire littéraire serait une forme d'aboutissement de la lecture analytique. Donc, une lecture analytique, pour moi, c'est une manière de questionner un texte, afin d'en dégager certaines caractéristiques majeures...
- zabriskieÉrudit
Merci pour vos réponses !
Ce qui me préoccupe là dedans, c'est évidemment que je veux être capable d'expliquer correctement aux élèves ce que l'on attend d'eux dans un commentaire composé.
Je vois bien qu'en classe, l'essentiel est que le texte ait été compris, étudié du mieux possible. Mais en toute logique, on apprend par imitation, donc il faudrait que la méthode que j'adopte se rapproche de ce qu'on attend d'eux.
A vous lire, il me semble que c'est à peu près bon...
Ce qui me préoccupe là dedans, c'est évidemment que je veux être capable d'expliquer correctement aux élèves ce que l'on attend d'eux dans un commentaire composé.
Je vois bien qu'en classe, l'essentiel est que le texte ait été compris, étudié du mieux possible. Mais en toute logique, on apprend par imitation, donc il faudrait que la méthode que j'adopte se rapproche de ce qu'on attend d'eux.
A vous lire, il me semble que c'est à peu près bon...
- HannibalHabitué du forum
Je crois bien que personne ne sait en fait ce que c'est que la lecture analytique... sans doute parce que c'est le machin qui regroupe tout ce qui commence à ressembler à du commentaire sans en être.
- zabriskieÉrudit
Encore une réponse qui me rassure ! En fait, la LA, ce serait un gros travail préparatoire du commentaire, la grosse différence étant que c'est mené en classe, donc pas rédigé dans les règles de l'art...
Si si, c'est quand même important !
Si si, c'est quand même important !
- SicretteNiveau 10
une inspectrice m'avait expliqué que la LA n'est qu'un outil, une démarche alors que le commentaire est un exercice fini, la LA est une méthode pour aboutir entre autre à un commentaire construit.
- zabriskieÉrudit
D'accord. Donc je peux dire à mes élèves, quand on étudiera un texte en "LA", que c'est le travail qu'ils devront faire seuls quand ils auront à rédiger un commentaire...
C'que ça me pompe l'air de me prendre la tête avec ça ! Et quand on voit les méthodes dans les manuels Je n'aimerais pas être en Seconde...
C'que ça me pompe l'air de me prendre la tête avec ça ! Et quand on voit les méthodes dans les manuels Je n'aimerais pas être en Seconde...
- SicretteNiveau 10
tu mets en place avec eux la démarche de la LA et en effet ça leur donne une démarche pour traiter le texte!
- ysabelDevin
Sicrette a écrit:une inspectrice m'avait expliqué que la LA n'est qu'un outil, une démarche alors que le commentaire est un exercice fini, la LA est une méthode pour aboutir entre autre à un commentaire construit.
Pour moi, la démarche pour faire le commentaire est une analyse linéaire, je ne vois pas comment on peut faire autrement. Si avec notre expérience, on est capable de voir rapidement les grandes parties que l'on peut faire dans un commentaire, ce n'est pas le cas des élèves or dans une LA on leur demande de faire des parties...
Quand nous étions à l'IUFM, personne n'a pu nous donner une définition de la LA (sauf que ce n'était pas une lecture méthodique - bon ça ne m'aidait pas puisque je ne savais pas - et que je ne sais tjs pas - ce que c'était), pareil dans les ouvrages pédago que j'ai pu lire cette année-là.
En gros, la LA c'est pour l'oral, le commentaire pour l'écrit ; si bien que souvent la LA se présente comme le plan détaillé du commentaire.
_________________
« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- zabriskieÉrudit
Arf. Je me disais qu'en début de Seconde, les LA qu'on fait avec les élèves commencent par une analyse linéaire du texte, ne serait-ce que pour expliquer les mots et expressions difficiles (je procède encore moi-même ainsi : rapide analyse linéaire, qui permet de dégager des "lignes").
C'est cette analyse qui permet ensuite de dégager des parties, que l'on ne développe pas comme elles le seraient dans un commentaire.
Je me répète, mais en gros, je veux savoir si en faisant ainsi en classe, je peux dire à mes élèves que telle est la méthode à adopter pour le commentaire.
C'est cette analyse qui permet ensuite de dégager des parties, que l'on ne développe pas comme elles le seraient dans un commentaire.
Je me répète, mais en gros, je veux savoir si en faisant ainsi en classe, je peux dire à mes élèves que telle est la méthode à adopter pour le commentaire.
- ysabelDevin
zabriskie a écrit:Arf. Je me disais qu'en début de Seconde, les LA qu'on fait avec les élèves commencent par une analyse linéaire du texte, ne serait-ce que pour expliquer les mots et expressions difficiles (je procède encore moi-même ainsi : rapide analyse linéaire, qui permet de dégager des "lignes").
C'est cette analyse qui permet ensuite de dégager des parties, que l'on ne développe pas comme elles le seraient dans un commentaire.
Je me répète, mais en gros, je veux savoir si en faisant ainsi en classe, je peux dire à mes élèves que telle est la méthode à adopter pour le commentaire.
mais pas seulement en début de 2de...
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- AzadHabitué du forum
snow a écrit:Pour moi c'est la même chose mais j'utilise plutôt le terme commentaire composé pour un travail entièrement rédigé et lecture analytique pour l'étude du texte en classe (partie orale/ partie écrite).
+ 1
Et même si c'est pas ça, ça a au moins le mérite d'être clair pour les élèves... Ils comprennent ainsi qu'il y a des codes à respecter (pas d'abréviations, de titres dans un commentaire, alors qu'on en fait en LA par exemple)
- CathEnchanteur
Ca me fait sourire parce que ma fille était en seconde et j'ai cherché comprendre ce qu'était cette fameuse LA (je suis en LP, on en fait pas ou en tout cas personne ne nous en parle vraiment!) et j'ai abouti au mêmes conclusions que vous...
- carlottaHabitué du forum
ysabel a écrit:Sicrette a écrit:une inspectrice m'avait expliqué que la LA n'est qu'un outil, une démarche alors que le commentaire est un exercice fini, la LA est une méthode pour aboutir entre autre à un commentaire construit.
Pour moi, la démarche pour faire le commentaire est une analyse linéaire, je ne vois pas comment on peut faire autrement. Si avec notre expérience, on est capable de voir rapidement les grandes parties que l'on peut faire dans un commentaire, ce n'est pas le cas des élèves or dans une LA on leur demande de faire des parties...
Quand nous étions à l'IUFM, personne n'a pu nous donner une définition de la LA (sauf que ce n'était pas une lecture méthodique - bon ça ne m'aidait pas puisque je ne savais pas - et que je ne sais tjs pas - ce que c'était), pareil dans les ouvrages pédago que j'ai pu lire cette année-là.
En gros, la LA c'est pour l'oral, le commentaire pour l'écrit ; si bien que souvent la LA se présente comme le plan détaillé du commentaire.
Entièrement d'accord. C'est d'ailleurs cette approche (qui leur parait souvent fastidueuse) qui les sauve de la paraphrase .
- zabriskieÉrudit
C'est quand même hallucination cette terminologie... Quand on débute et qu'on veut bien faire, ça nous fait perdre du temps. Et je me retrouve en fait à faire spontanément ce que j'aurais fait avant de me prendre la tête : une analyse linéaire fouillée suivie d'une organisation de cette analyse en grandes parties.
J'ai donc décidé que lecture analytique = analyse méthodique du texte = travail préparatoire au commentaire composé !
J'ai donc décidé que lecture analytique = analyse méthodique du texte = travail préparatoire au commentaire composé !
- IphigénieProphète
D'accord avec Ysabel, la définition officielle de la lecture analytique c'est qu'elle n'est pas une lecture méthodique, qui elle-même n'était pas une "explication de texte" à l'ancienne.....
Le principe de base étant l'interactivité, la lecture analytique comme son nom l'indique part de la lecture des élèves et de leurs propositions d'interprétation: s'ils s'en tapent comme de l'an 40, c'est du sport....
Pour donner un exemple facile: si je prends le célèbre "Giton et Phdon " de La Bruyère (pour changer de l'esclavage des nègres): les élèves diront "ben il oppose un riche et un pauvre".
A partir de là, on leur demandera de vérifier dans le texte que Phédon est un pauvre: là il s'apercevront qu'il fréquente en fait le même milieu que Giton, ce n'est pas un SDF! et petit à petit on observera le texte, ses jeux d'opposition, pour arriver à la morale de La Bruyère: s'il y a des Giton, c'est parce qu'il y a des Phédon qui entrent dans leur jeu et accordent finalement la même place à l'argent .
Il me semble que le commentaire composé, ce serait l'étape suivante, la mise e ordre des observations, comme tu le dis, Zabriskie
Et mon problème perso, c'est que les élèves observent lentement: il faut un temps fou pour redécouvrir le "fil à couper le beurre": j'ai rarement la patience d'attendre l'accouchement de leurs esprits au forceps, donc, je prends souvent les devants quand même
Le principe de base étant l'interactivité, la lecture analytique comme son nom l'indique part de la lecture des élèves et de leurs propositions d'interprétation: s'ils s'en tapent comme de l'an 40, c'est du sport....
Pour donner un exemple facile: si je prends le célèbre "Giton et Phdon " de La Bruyère (pour changer de l'esclavage des nègres): les élèves diront "ben il oppose un riche et un pauvre".
A partir de là, on leur demandera de vérifier dans le texte que Phédon est un pauvre: là il s'apercevront qu'il fréquente en fait le même milieu que Giton, ce n'est pas un SDF! et petit à petit on observera le texte, ses jeux d'opposition, pour arriver à la morale de La Bruyère: s'il y a des Giton, c'est parce qu'il y a des Phédon qui entrent dans leur jeu et accordent finalement la même place à l'argent .
Il me semble que le commentaire composé, ce serait l'étape suivante, la mise e ordre des observations, comme tu le dis, Zabriskie
Et mon problème perso, c'est que les élèves observent lentement: il faut un temps fou pour redécouvrir le "fil à couper le beurre": j'ai rarement la patience d'attendre l'accouchement de leurs esprits au forceps, donc, je prends souvent les devants quand même
- ysabelDevin
iphigénie a écrit:D'accord avec Ysabel, la définition officielle de la lecture analytique c'est qu'elle n'est pas une lecture méthodique, qui elle-même n'était pas une "explication de texte" à l'ancienne.....
Le principe de base étant l'interactivité, la lecture analytique comme son nom l'indique part de la lecture des élèves et de leurs propositions d'interprétation: s'ils s'en tapent comme de l'an 40, c'est du sport....
Pour donner un exemple facile: si je prends le célèbre "Giton et Phdon " de La Bruyère (pour changer de l'esclavage des nègres): les élèves diront "ben il oppose un riche et un pauvre".
A partir de là, on leur demandera de vérifier dans le texte que Phédon est un pauvre: là il s'apercevront qu'il fréquente en fait le même milieu que Giton, ce n'est pas un SDF! et petit à petit on observera le texte, ses jeux d'opposition, pour arriver à la morale de La Bruyère: s'il y a des Giton, c'est parce qu'il y a des Phédon qui entrent dans leur jeu et accordent finalement la même place à l'argent .
Il me semble que le commentaire composé, ce serait l'étape suivante, la mise e ordre des observations, comme tu le dis, Zabriskie
Et mon problème perso, c'est que les élèves observent lentement: il faut un temps fou pour redécouvrir le "fil à couper le beurre": j'ai rarement la patience d'attendre l'accouchement de leurs esprits au forceps, donc, je prends souvent les devants quand même
il faut dire qu'on manque de temps aussi...
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- zabriskieÉrudit
Ce que je retiens quand même de nos échanges, c'est qu'il faudrait retarder le moment où on leur parle de ces fameux "axes de lecture", voire trouver un autre terme, afin qu'ils ne partent pas à leur recherche tout de suite...
C'est pour cela que je suis aussi très sceptique sur la notion "d'hypothèse de lecture".
Soit on part de leur ressenti - en admettant qu'ils en aient un -, et alors, on cherche à le vérifier. Mais là j'ai un doute. C'est pourtant ce qu'il faudrait faire : un vif échange oral (!) suivi d'un travail de recherche pour appuyer ces impressions. En plus, j'imagine que ça les gave au plus au point de retourner au texte après en avoir déjà discuté. L'excitation de pouvoir prouver ce que l'on avance, j'y crois moyen.
Soit on leur demande de relever tout ce qui les interpelle au fil du texte, et on voit ce qu'il en ressort. Cette seconde méthode me paraît plus valable, plus intéressante, car elle montre que le texte "parle de lui-même", en quelque sorte, que l'analyse révèle une signification. Mais cela suppose qu'ils maîtrisent déjà beaucoup de procédés... N'est-ce pas à cela qu'on doit les amener ?
C'est pour cela que je suis aussi très sceptique sur la notion "d'hypothèse de lecture".
Soit on part de leur ressenti - en admettant qu'ils en aient un -, et alors, on cherche à le vérifier. Mais là j'ai un doute. C'est pourtant ce qu'il faudrait faire : un vif échange oral (!) suivi d'un travail de recherche pour appuyer ces impressions. En plus, j'imagine que ça les gave au plus au point de retourner au texte après en avoir déjà discuté. L'excitation de pouvoir prouver ce que l'on avance, j'y crois moyen.
Soit on leur demande de relever tout ce qui les interpelle au fil du texte, et on voit ce qu'il en ressort. Cette seconde méthode me paraît plus valable, plus intéressante, car elle montre que le texte "parle de lui-même", en quelque sorte, que l'analyse révèle une signification. Mais cela suppose qu'ils maîtrisent déjà beaucoup de procédés... N'est-ce pas à cela qu'on doit les amener ?
- IphigénieProphète
bien sûr, je me situais dans un monde virtuel, mais avec 3 heures de cours en seconde et un td, redécouvrir le monde, c'est dur: même Dieu, il lui a fallu 7 jours pleins pour le fabriquer, et Kévin, il lui suffirait de 3 heures pour en faire l'analyse :lol: ?.....
il faut dire qu'on manque de temps aussi...
Cela dit il y a le rapport de l'IG dont on a déjà parlé en juin il me semble sur la lecture qui donne aux profs les moyens de mener leur barque comme ils l'entendent au dessus de la parole pieuse des IPR, pourvu qu'ils débouchent sur une bonne compréhension des textes qui n'en enlève pas le plaisir: parce que la lecture analytique, ça ne doit pas être un "tue-l'amour" des beaux textes.
C'est d'ailleurs drôle mais le lien pour ce rapport n'apparaît pas sur mon site académique d'inspiration très "pédagogiste", à la rubrique des rapports de l'IG
- ysabelDevin
iphigénie a écrit:bien sûr, je me situais dans un monde virtuel, mais avec 3 heures de cours en seconde et un td, redécouvrir le monde, c'est dur: même Dieu, il lui a fallu 7 jours pleins pour le fabriquer, et Kévin, il lui suffirait de 3 heures pour en faire l'analyse :lol: ?.....
il faut dire qu'on manque de temps aussi...
Cela dit il y a le rapport de l'IG dont on a déjà parlé en juin il me semble sur la lecture qui donne aux profs les moyens de mener leur barque comme ils l'entendent au dessus de la parole pieuse des IPR, pourvu qu'ils débouchent sur une bonne compréhension des textes qui n'en enlève pas le plaisir: parce que la lecture analytique, ça ne doit pas être un "tue-l'amour" des beaux textes. oui ! faisons comme nous l'entendons (bon, c'est tjs ce que j'ai fait )
C'est d'ailleurs drôle mais le lien pour ce rapport n'apparaît pas sur mon site académique d'inspiration très "pédagogiste", à la rubrique des rapports de l'IG comme c'est bizarre !
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« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- CathEnchanteur
iphigénie a écrit:
Cela dit il y a le rapport de l'IG dont on a déjà parlé en juin il me semble sur la lecture qui donne aux profs les moyens de mener leur barque comme ils l'entendent au dessus de la parole pieuse des IPR, pourvu qu'ils débouchent sur une bonne compréhension des textes qui n'en enlève pas le plaisir: parce que la lecture analytique, ça ne doit pas être un "tue-l'amour" des beaux textes.
Tiens, j'ai raté ça (je ne dois pas passer assez de temps sur néo... ). Quelqu'un a le lien?
- ysabelDevin
C'est sur eduscol je crois.
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« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- CathEnchanteur
Ah merci! En fait je l'avais déjà lu, mais je ne sais plus où...
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