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- kimyGrand sage
C'est magnifique Audrey et merci de t'être donnée autant de peine.
- Marie LaetitiaBon génie
leyade a écrit:La minute "Point de vue/têtes couronnées du jour" :
D'après certains sites, mais je n'y crois qu'à moitié, tant cela semble être un énorme gachis d'argent, (bon, en même temps, c'est comme ça qu'on en est arrivé à la Révolution française...) les nobles ne mettaient ce genre de tenues qu'une fois ou deux et dès qu'ils étaient salis, (pas de pressing! et de toute façon à la cour vous faisiez vite pitié en osant remettre une tenue, cf Catherine Middleton qui vient de se faire tirer les oreilles par grand belle maman parce qu'elle a été vue remettant une tenue qu'elle avait déjà porté il y a deux ans...) ils les donnaient à leurs suivantes/ domestiques qui avaient le droit d'en remettre certaines parties (par exemple le bustier, mais devaient découdre le bas et mettre une jupe plus simple) ou en faire des rideaux ou des courtepointes.
Merci pour ces photos, Audrey !
Gâchis? Où ça, gachis? Non ce n'est pas "comme ça" que l'on est arrivé à la Révolution française, il y a bien d'autres causes infiniment plus graves. La modération vestimentaire, tout le monde la réclame depuis le XVIe siècle mais tout le monde qui en a les moyens porte de la soie...
Quant au fait que ces vêtements n'étaient portés qu'une ou deux fois, j'ai un doute. Les grands vêtements de cour, oui, mais il ne faut pas confondre les vêtements de cérémonie (les grandes robes de présentation aux souverains par ex) et les robes quotidiennes. Plus on a de l'argent, plus sa garde-robe est importante, mais les plus riches n'ont pas 150 robes par an! Lisez Daniel Roche et sa "Culture des apparences"...
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- AudreyOracle
Les robes présentées sur les photos n'étaient pas des vêtements de cour... c'était des vêtements du quotidien, ou de soirée, mais pas de cour! Beaucoup appartenaient à la simple bourgeoisie ou petite noblesse lyonnaises.
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