- Invité19Esprit sacré
Igniatius a écrit:J'ai eu un contretemps qui m'a empêche de lire plus de 75 pages mais ça s'annonce très bien : la peinture de l'école et des petits cuculs me ravit !
Je poursuis demain et ferai ici mon rapport.
tant mieux. Tu t'ennuieras peut être plus loin dans le livre, mais si tu aimes le début c'est toujours ça de pris ! tu ne pourras pas, je crois, détester le bouquin, qui a quand même un genre d'humour bien spé (je l'ai déjà offert à qqun et je n'en ai plus jamais entendu parler...)
- zabriskieÉrudit
Lu Le joueur d'échecs depuis Belle du seigneur. J'ai aimé, pour autant, je n'ai pas trouvé ça si sensationnel que ce que j'avais pu entendre sur la nouvelle.
En fait, Belle du seigneur m'a bloquée... je n'arrive plus à me plonger sérieusement dans autre chose. :abe:
Je vais tenter Steinbeck ce soir...
En fait, Belle du seigneur m'a bloquée... je n'arrive plus à me plonger sérieusement dans autre chose. :abe:
Je vais tenter Steinbeck ce soir...
- cavecattumNeoprof expérimenté
Ma dernière lecture achevée hier soir, assortie d'un coup de gueule:
Mohammed Dib: "Qui se souvient de la mer?"
Pour le coup de gueule: ayant déjà lu et apprécié Le trilogie algérienne, je me rends dans une librairie pour acheter Qui se souvient de la mer?, un de plus beaux romans de Dib. Je ne trouve pas, ce roman, ni Dib tout court. Comment, me dis-je, cet écrivain exceptionnel, à la langue si pur, et qui devrait, eu égard à l'exigence et l'humanisme de son oeuvre, être prix Nobel depuis dix ans déjà, ne figure pas sur le rayon littérature française et francophone?
Question posée aux vendeurs: "Dib? Comment? Mohammed? Ah, je pense que c'est dans "littérature du reste du monde", dans le petit coin là-bas"...Effectivement, il y était, dans un petit coin où personne ne va... "Mais, je réponds, savez-vous qu'il écrit en français?"
:colere:
Pour le roman en-lui même, il s'agit d'un récit fantastique, métaphore de la guerre d'Algérie et de son horreur. Récit justifié par l'auteur en ces termes:
"La guerre? Un peu de sang répandu, un peu de chair broyée, un peu de sueur : il n’existe pas de spectacle plus désespérément terne. L’horreur ignore l’approfondissement ; elle ne connaît que la répétition. Aller donc la décrire dans ses manifestations concrètes serait se livrer à coup sûr à la dérision qu'elle tente d'installer partout où elle émerge. Elle ne vous abandonnerait que sa misère et vous ne feriez que tomber dans son piège: l'usure. Comment parler de l’Algérie après Auschwitz, le ghetto de Varsovie et Hiroshima ? Comment faire afin que tout ce qu’il y a pourtant à dire puisse être encore entendu et ne soit pas absorbé par cette immense nuée démoniaque qui plane au-dessus du monde depuis des années, ne se dissolve pas dans l’enfer de banalité dont l’horreur a su s’entourer et nous entourer ? J’ai compris alors que la puissance du mal ne se surprend pas dans ses entreprises ordinaires, mais ailleurs, dans son vrai domaine, l’homme, -et les songes, les délires qu’il nourrit en aveugle et que j’ai essayé d’habiller d’une forme."
Ca vaut vraiment d'être rangé dans un petit coin, une prose et une réflexion pareilles?
Mohammed Dib: "Qui se souvient de la mer?"
Pour le coup de gueule: ayant déjà lu et apprécié Le trilogie algérienne, je me rends dans une librairie pour acheter Qui se souvient de la mer?, un de plus beaux romans de Dib. Je ne trouve pas, ce roman, ni Dib tout court. Comment, me dis-je, cet écrivain exceptionnel, à la langue si pur, et qui devrait, eu égard à l'exigence et l'humanisme de son oeuvre, être prix Nobel depuis dix ans déjà, ne figure pas sur le rayon littérature française et francophone?
Question posée aux vendeurs: "Dib? Comment? Mohammed? Ah, je pense que c'est dans "littérature du reste du monde", dans le petit coin là-bas"...Effectivement, il y était, dans un petit coin où personne ne va... "Mais, je réponds, savez-vous qu'il écrit en français?"
:colere:
Pour le roman en-lui même, il s'agit d'un récit fantastique, métaphore de la guerre d'Algérie et de son horreur. Récit justifié par l'auteur en ces termes:
"La guerre? Un peu de sang répandu, un peu de chair broyée, un peu de sueur : il n’existe pas de spectacle plus désespérément terne. L’horreur ignore l’approfondissement ; elle ne connaît que la répétition. Aller donc la décrire dans ses manifestations concrètes serait se livrer à coup sûr à la dérision qu'elle tente d'installer partout où elle émerge. Elle ne vous abandonnerait que sa misère et vous ne feriez que tomber dans son piège: l'usure. Comment parler de l’Algérie après Auschwitz, le ghetto de Varsovie et Hiroshima ? Comment faire afin que tout ce qu’il y a pourtant à dire puisse être encore entendu et ne soit pas absorbé par cette immense nuée démoniaque qui plane au-dessus du monde depuis des années, ne se dissolve pas dans l’enfer de banalité dont l’horreur a su s’entourer et nous entourer ? J’ai compris alors que la puissance du mal ne se surprend pas dans ses entreprises ordinaires, mais ailleurs, dans son vrai domaine, l’homme, -et les songes, les délires qu’il nourrit en aveugle et que j’ai essayé d’habiller d’une forme."
Ca vaut vraiment d'être rangé dans un petit coin, une prose et une réflexion pareilles?
- adlidiHabitué du forum
Ce post est une véritable tentation...
C'est ma libraire qui est heureuse de me voir débarquer avec ma petite liste...
Du coup voici mes derniers achats:
Et comme ma libraire m'aime bien elle m'a dit de choisir un livre...
[list][*]Un petit polar: Une mort esthétique de P.D James
Et en ce moment je dévore une Voix de Arnaldur Indridrason: Un régal!!!
C'est ma libraire qui est heureuse de me voir débarquer avec ma petite liste...
Du coup voici mes derniers achats:
- Un Voisin de Tatiana de Rosnay
- Le Scandale Modigliani de Ken Follett
Et comme ma libraire m'aime bien elle m'a dit de choisir un livre...
[list][*]Un petit polar: Une mort esthétique de P.D James
Et en ce moment je dévore une Voix de Arnaldur Indridrason: Un régal!!!
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"La vie c'est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber."
- mimileDoyen
lulucastagnette a écrit:Loise a écrit:Igniatius a écrit:Oui, je n'ai jamais réussi à lire Gavalda jusqu'au bout : je trouve cela très mal écrit (pourtant il paraît que c'est une ancienne prof de lettres...) et dégoulinant de guimauve. Ca me fait fortement penser à Marc Levi c'est l'horreur.
J'ai lu 99F de Beigbeder : amusant mais franchement anecdotique.
Pour moi, ce sont des romans que je peux lire aux toilettes : deux pages et hop ! je peux reprendre n'importe où n'importe quand, sans concentration.
Je n'aime pas LevY mais j'ai aimé Gavalda Tu n'as pas aimé les nouvelles Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part ?
Ensemble, c'est tout est dans ma pile à lire. Mais La consolante ne me tente pas du tout.
Les nouvelles, je les ai trouvées "gentilles", sans plus +1 (agréable à lire dans les transports en commun). "Je l'aimais" insupportablement niais. +1
Mais bon, comme Ignatius, je me fous qu'on parle ici de bouquins qui ne soient pas de la littérature, (heureusement car je ne lis pas que de grands classiques), il y a de la place pour tout le monde.
Simplement que je n'ai jamais compris le succès d'une Gavalda, je dois avouer...
"Ensemble c'est tout" est sympa, divertissant, mais bon trop fleur bleue pour moi ! +1 et j'ai détesté le film
- IgniatiusGuide spirituel
Si vous voulez vous détendre intelligemment, il y a les pastiches de Pascal Fioretto : le livre "Et si c'était niais ?" est conçu comme l'imitation d'un écrivain de la rentrée littéraire par chapitre.
BHL, Werber, Vargas, Levy évidemment, Sevran, Grangé etc...
Cela date de 3 ou 4 ans, et c'est à mourir de rire, même si vous n'avez pas lu les auteurs originaux : ce mec est super fort.
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Cela date de 3 ou 4 ans, et c'est à mourir de rire, même si vous n'avez pas lu les auteurs originaux : ce mec est super fort.
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- lalilalaEmpereur
il me tente bien celui là igniatius
Je suis en train de lire ça "Nada" de Carmen Laforet, ça faisait un moment que je voulais le lire et j'aime beaucoup pour le moment
Je suis en train de lire ça "Nada" de Carmen Laforet, ça faisait un moment que je voulais le lire et j'aime beaucoup pour le moment
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Mon blog
- bellaciaoFidèle du forum
cavecattum a écrit:Ma dernière lecture achevée hier soir, assortie d'un coup de gueule:
Mohammed Dib: "Qui se souvient de la mer?"
Pour le coup de gueule: ayant déjà lu et apprécié Le trilogie algérienne, je me rends dans une librairie pour acheter Qui se souvient de la mer?, un de plus beaux romans de Dib. Je ne trouve pas, ce roman, ni Dib tout court. Comment, me dis-je, cet écrivain exceptionnel, à la langue si pur, et qui devrait, eu égard à l'exigence et l'humanisme de son oeuvre, être prix Nobel depuis dix ans déjà, ne figure pas sur le rayon littérature française et francophone?
Question posée aux vendeurs: "Dib? Comment? Mohammed? Ah, je pense que c'est dans "littérature du reste du monde", dans le petit coin là-bas"...Effectivement, il y était, dans un petit coin où personne ne va... "Mais, je réponds, savez-vous qu'il écrit en français?"
:colere:
Pour le roman en-lui même, il s'agit d'un récit fantastique, métaphore de la guerre d'Algérie et de son horreur. Récit justifié par l'auteur en ces termes:
"La guerre? Un peu de sang répandu, un peu de chair broyée, un peu de sueur : il n’existe pas de spectacle plus désespérément terne. L’horreur ignore l’approfondissement ; elle ne connaît que la répétition. Aller donc la décrire dans ses manifestations concrètes serait se livrer à coup sûr à la dérision qu'elle tente d'installer partout où elle émerge. Elle ne vous abandonnerait que sa misère et vous ne feriez que tomber dans son piège: l'usure. Comment parler de l’Algérie après Auschwitz, le ghetto de Varsovie et Hiroshima ? Comment faire afin que tout ce qu’il y a pourtant à dire puisse être encore entendu et ne soit pas absorbé par cette immense nuée démoniaque qui plane au-dessus du monde depuis des années, ne se dissolve pas dans l’enfer de banalité dont l’horreur a su s’entourer et nous entourer ? J’ai compris alors que la puissance du mal ne se surprend pas dans ses entreprises ordinaires, mais ailleurs, dans son vrai domaine, l’homme, -et les songes, les délires qu’il nourrit en aveugle et que j’ai essayé d’habiller d’une forme."
Ca vaut vraiment d'être rangé dans un petit coin, une prose et une réflexion pareilles?
Tu me fais découvrir un auteur, Cavecattum. Cela me ramène au douloureux problème de la littérature francophone, ou même, de la bonne vraie littérature traduite d'autres pays, et c'est si vaste qu'il est difficile d'explorer tout !
Cela me rappelle le coup de gueule d'un copain guinéen à propos d'Amadou Hampâté Bâ, et du fait qu'il n'est pas enseigné dans les facs de lettres. En règle général, la littérature d'Afrique est assez méconnue.
- cavecattumNeoprof expérimenté
Tout à fait d'accord avec toi Bellacio. C'est dommage et presque révoltant: continuation de la condescendance coloniale et culturelle par d'autres moyens...Dib est aussi un exceptionnel poète, jetez un coup d'oeil à ses recueils Formulaires ou L'enfant-jazz.
- MufabGrand Maître
Igniatius a écrit:Si vous voulez vous détendre intelligemment, il y a les pastiches de Pascal Fioretto : le livre "Et si c'était niais ?" est conçu comme l'imitation d'un écrivain de la rentrée littéraire par chapitre.
BHL, Werber, Vargas, Levy évidemment, Sevran, Grangé etc...
Cela date de 3 ou 4 ans, et c'est à mourir de rire, même si vous n'avez pas lu les auteurs originaux : ce mec est super fort.
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Oui ! C'est génial ! J'y ai presque cru lire du Amélie Nothomb pour de vrai !
(Que j'apprécie beaucoup pourtant -enfin ses romans autobigraphiques, les autres m'ont laissée de glace- mais l'un n'empêche pas l'autre.)
- CarabasVénérable
Euh, si, je l'ai étudié à la fac. Bon, étudier est un grand mot, puisque l'essentiel des cours consistait en des éxposés d'étudiants, de qualité très inégale.bellaciao a écrit:Cela me rappelle le coup de gueule d'un copain guinéen à propos d'Amadou Hampâté Bâ, et du fait qu'il n'est pas enseigné dans les facs de lettres. En règle général, la littérature d'Afrique est assez méconnue.
Mais quand même.
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Terry Pratchett
- lalilalaEmpereur
Oui et puis il y a des cours et des spécialistes de littérature francophone (en tout cas dans ma fac)
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- bellaciaoFidèle du forum
lalilala a écrit:Oui et puis il y a des cours et des spécialistes de littérature francophone (en tout cas dans ma fac)
Oui, c'est sûrement lui qui n'en avait pas connu. Ca remonte maintenant. C'est bien que cela se fasse.
- cavecattumNeoprof expérimenté
Ce qui m'ennuie, ceci dit, c'est cet intitulé "littérature francophone", avec des cours à part...Pour moi, c'est écrit en français, donc c'est de la littérature française. Le Clézio ne vit pas en France, mais est étudié en littérature française, comme Perse, comme Duras...La question du contexte ne devrait même pas rentrer en jeu: sinon il faudrait faire aussi "littérature normande" pour Flaubert ou "littérature du sud" pour Giono...
- Reine MargotDemi-dieu
Fini "l'homme médiéval", sous la direction de J Le Goff. Intéressante synthèse sur les différentes catégories sociales du temps (moines, femmes, marginaux, saints...), accessible aux non- spécialistes.
- RikkiMonarque
Tiens, il était sur la liste de lecture recommandées pour hypokhâgne ! Comme on ne l'avait pas, j'ai proposé à ma fille de lire "La Civilisation de l'Occident médiéval" à la place, je ne sais pas si c'est équivalent, mais lui, on l'avait...
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mon site sur l'écriture : www.ecritureparis.fr
- MooreaHabitué du forum
ça y est, j'ai fini le Livre de ma mère (il me restait 10 pages, que je repoussais à chaque fois)
Très belle découverte de ce texte à la fois autobio et poétique ... une belle leçon de vie qui m'a énormément touchée et émue...
va donc falloir que j'achète le livre (car emprunt au CDI) et maintenant que les cours sont finis, je vais pouvoir attaquer Belle du seigneur !
Très belle découverte de ce texte à la fois autobio et poétique ... une belle leçon de vie qui m'a énormément touchée et émue...
va donc falloir que j'achète le livre (car emprunt au CDI) et maintenant que les cours sont finis, je vais pouvoir attaquer Belle du seigneur !
- MooreaHabitué du forum
Et en lecture jeunesse, ai fini également L'enfant des ombres de Moka ...
l'écriture est "soignée" permettant une ambiance très angoissante .. L'intrigue au départ est sympa et prenante mais je n'ai pas aimé la fin (que je trouve pas assez travaillée et trop "fantastique")
Je me rends compte que je suis bien difficile !!!! (que vais-je sélectionner comme titres pour le défi lecture DP6 l'an prochain ?????)
l'écriture est "soignée" permettant une ambiance très angoissante .. L'intrigue au départ est sympa et prenante mais je n'ai pas aimé la fin (que je trouve pas assez travaillée et trop "fantastique")
Je me rends compte que je suis bien difficile !!!! (que vais-je sélectionner comme titres pour le défi lecture DP6 l'an prochain ?????)
- bellaciaoFidèle du forum
Moorea a écrit:Et en lecture jeunesse, ai fini également L'enfant des ombres de Moka ...
l'écriture est "soignée" permettant une ambiance très angoissante .. L'intrigue au départ est sympa et prenante mais je n'ai pas aimé la fin (que je trouve pas assez travaillée et trop "fantastique")
Je me rends compte que je suis bien difficile !!!! (que vais-je sélectionner comme titres pour le défi lecture DP6 l'an prochain ?????)
Est-ce que tu as lu Anne-Laure Bondoux ? Les Larmes de l'assassin est très bien.
- CavaGrand sage
J'ai acheté Jaccottet! Je vous dirai .. à la rentrée!
- FrisouilleEnchanteur
Enfin fini La fille du fossoyeur, de Joyce Carol Oates...
Ouf, je vais enfin pouvoir passer à autre chose !
Ouf, je vais enfin pouvoir passer à autre chose !
- lulucastagnetteEmpereur
Frisouille a écrit:Enfin fini La fille du fossoyeur, de Joyce Carol Oates...
Ouf, je vais enfin pouvoir passer à autre chose !
Tu as aimé ?
Je l'ai lu l'an dernier et j'avais aimé (même si c'est un peu dur).
- FrisouilleEnchanteur
Non, vraiment, depuis le début ... :| Je me suis beaucoup ennuyée, je trouve qu'il y a beaucoup de mots et peu d'émotions derrière, certainement parce que l'héroïne est constamment dans la retenue et le contrôle... Certes il ya des passages forts, la 2è moitié du roman se lit mieux ....mais non, non, je vais certainement vite l'oublier... :|
Désolée !
Désolée !
- lamelimeloÉrudit
J'ai avalé ce livre en deux jours à peine:
Voilà le résumé :
La révélation 2011 du thriller. Un premier roman que les amateurs du genre n’oublieront pas.
A la suite d’un accident survenu une vingtaine d’années plus tôt, Christine est aujourd’hui affectée d’un cas très rare d’amnésie : chaque matin, elle se réveille en croyant être une jeune femme célibataire ayant la vie devant elle, avant de découvrir qu’elle a en fait 47 ans et qu’elle est mariée depuis vingt ans. Son dernier espoir réside dans son nouveau médecin, Ed Nash. Celui-ci lui a conseillé de tenir un journal intime afin qu’elle puisse se souvenir de ce qui lui arrive au quotidien et ainsi reconstituer peu à peu son existence. Quand elle commence à constater de curieuses incohérences entre son journal, ce que lui dit son entourage et ses rares souvenirs, Christine est loin de se douter dans quel engrenage elle va basculer. Très vite elle va devoir remettre en question ses rares certitudes afin de faire la vérité sur son passé… et sur son présent.
Ne le dis à personne, d’Harlan Coben, Shutter Island, de Dennis Lehane, Tokyo, de Mo Hayder… il est des livres dont la publication marque irrémédiablement le genre et hisse leur auteur au rang des incontournables du polar. Gageons que Avant d’aller dormir de S. J. Watson va tout de suite aller rejoindre ce cercle très fermé. Avec une héroïne à laquelle on s’attache instantanément, un récit à la construction aussi machiavélique qu’époustouflante et un suspense de tous les instants, une seule question hante l’esprit du lecteur une fois la dernière page refermée : à quand le prochain Watson ? Les éditeurs évoquent souvent « un livre qu’on ne peut pas lâcher ». Voici un livre qu’on ne peut véritablement pas lâcher
C'est lent, ça ne brille pas par le style mais c'est haletant et franchement, impossible d'en abandonner la lecture avant de savoir la fin. Dès qu'on le commence, on sait qu'une addiction va se créer. Efficace pour un premier roman !
Voilà le résumé :
La révélation 2011 du thriller. Un premier roman que les amateurs du genre n’oublieront pas.
A la suite d’un accident survenu une vingtaine d’années plus tôt, Christine est aujourd’hui affectée d’un cas très rare d’amnésie : chaque matin, elle se réveille en croyant être une jeune femme célibataire ayant la vie devant elle, avant de découvrir qu’elle a en fait 47 ans et qu’elle est mariée depuis vingt ans. Son dernier espoir réside dans son nouveau médecin, Ed Nash. Celui-ci lui a conseillé de tenir un journal intime afin qu’elle puisse se souvenir de ce qui lui arrive au quotidien et ainsi reconstituer peu à peu son existence. Quand elle commence à constater de curieuses incohérences entre son journal, ce que lui dit son entourage et ses rares souvenirs, Christine est loin de se douter dans quel engrenage elle va basculer. Très vite elle va devoir remettre en question ses rares certitudes afin de faire la vérité sur son passé… et sur son présent.
Ne le dis à personne, d’Harlan Coben, Shutter Island, de Dennis Lehane, Tokyo, de Mo Hayder… il est des livres dont la publication marque irrémédiablement le genre et hisse leur auteur au rang des incontournables du polar. Gageons que Avant d’aller dormir de S. J. Watson va tout de suite aller rejoindre ce cercle très fermé. Avec une héroïne à laquelle on s’attache instantanément, un récit à la construction aussi machiavélique qu’époustouflante et un suspense de tous les instants, une seule question hante l’esprit du lecteur une fois la dernière page refermée : à quand le prochain Watson ? Les éditeurs évoquent souvent « un livre qu’on ne peut pas lâcher ». Voici un livre qu’on ne peut véritablement pas lâcher
C'est lent, ça ne brille pas par le style mais c'est haletant et franchement, impossible d'en abandonner la lecture avant de savoir la fin. Dès qu'on le commence, on sait qu'une addiction va se créer. Efficace pour un premier roman !
- CavaGrand sage
J'ai acheté chez un bouquiniste un vieux La Pléiade de Verlaine et je savoure au gré de mon humeur les poèmes de ce livre.
- LeilEsprit éclairé
Le dernier Vargas ! (L'image vous emmènera vers ma chronique ...)
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