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- val09Neoprof expérimenté
Je ne pense pas que ce topic ait déjà été créé ... ?
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Plus vraiment "néo" : prof de LM depuis 2001
- InvitéNGrand sage
Alors ça c'est trop dur mais je vais donner mes 5 poètes préférés :
1 Pablo Neruda
2 Paul Eluard
3 Aragon
4 Rimbaud
5 Yoko ( non je cherche une femme et ça ne vient pas : Sappho ? je n'ai rien lu d'elle mais bon )
1 Pablo Neruda
2 Paul Eluard
3 Aragon
4 Rimbaud
5 Yoko ( non je cherche une femme et ça ne vient pas : Sappho ? je n'ai rien lu d'elle mais bon )
- InvitéNGrand sage
L'orange bleue c'est un tableau de Man ray mais aussi un poème d'Eluard non ? qui a le texte en tête ?
- InvitéNGrand sage
On dit que les poèmes ne servent à rien
.
On dit que les poèmes ne servent à rien
Que les fusils sont plus forts que les mots
Mais c'est la guerre qu'il faut tuer
Les mots de la paix sont innocents et faibles
Ils ne portent pas des blessés dans les bras
Ils n'enterrent pas des cadavres
Ils ne vocifèrent pas aux frontières
Ils vont
Graines lentes aimées de l'étincelle
Tortues lourdes de la carapace du ciel
Oiseaux indispensables à l'amour
Chaque jour cheminant
Chaque nuit travaillant
Pour que meure la guerre des hommes contre les hommes
La terre n'est qu'un prétexte où s'enflamment leurs yeux
Les religions allument des bûchers
Et les mains qui s'éteignent de rencontrer la mort
N'ont jamais dit bonjour à l'ennemi des bonjours
Les mots de la paix semblent des mots de lâches
On les rencontre souvent dans les yeux des cadavres
Sous les toits effondrés par tout le poids du sang
Dans les drapeaux où s'enroulent les cercueils
Ils répètent
C'est la guerre qu'il faut tuer
La guerre toute la guerre
La guerre de celui qui brandit ses raisons
La guerre de celui qui a honte de ses torts
La guerre qui brûle les poèmes sans défense
La guerre
Qui tord les mots
Qui écrase les fleurs
Qui coupe le cou du soleil
Et qui fait du jour une fumée sans nom
Les mots de la paix
Ont crié au secours
Ils suivent les fantômes des peuples massacrés
Ils dénoncent
Ils protestent
Ils signent des pétitions qui sont des boulets d'encre
Ils demandent pardon à la mère
A la sœur
A l'épouse qui se noie dans ses cheveux de veuves
Au vieillard prostré dans un jardin d'horreurs
A l'enfant dont l'enfance joue avec des assassins
On dit qu'un poème ne sert à rien
Que la force appartient aux bombes
Que la vérité s'impose sur le dos des plus faibles
Moi je dis que voici un poème
Déposé aux pieds de la folie
Un poème sans fusil
Sans bottes du désespoir
Sans cri de haine
Sans armes et sans moyens
Un tout petit poème qui a peur des humains
Qui se battent pour la cause
Qui écrasent les fourmis sous les chenilles des tanks
Un poème d'eau pure et d'air non pollué
Un poème qui tient dans la main d'une cuillère
Et que l'on devrait boire
Comme un thé de paysanne
Une gorgée d'amour
Une goutte de tolérance
Car c'est la guerre qu'il faut tuer
Les guerres n'ont jamais servi à rien
Je dis que voici un poème
Un poème couleur de feuille verte
Dont les mots désarmés
Soutiennent la paix
S'opposent aux occupations
Aux colonisations
Aux murs sourds et aveugles
Et demandent que la Palestine soit une terre de paix
Un Etat de droit
Une vie qui coule et chante comme un poème
.
Ernest Pépin
Faugas, le 03 janvier 2009
On m'avait envoyé ça un jour. C'est beau ,non ?
.
On dit que les poèmes ne servent à rien
Que les fusils sont plus forts que les mots
Mais c'est la guerre qu'il faut tuer
Les mots de la paix sont innocents et faibles
Ils ne portent pas des blessés dans les bras
Ils n'enterrent pas des cadavres
Ils ne vocifèrent pas aux frontières
Ils vont
Graines lentes aimées de l'étincelle
Tortues lourdes de la carapace du ciel
Oiseaux indispensables à l'amour
Chaque jour cheminant
Chaque nuit travaillant
Pour que meure la guerre des hommes contre les hommes
La terre n'est qu'un prétexte où s'enflamment leurs yeux
Les religions allument des bûchers
Et les mains qui s'éteignent de rencontrer la mort
N'ont jamais dit bonjour à l'ennemi des bonjours
Les mots de la paix semblent des mots de lâches
On les rencontre souvent dans les yeux des cadavres
Sous les toits effondrés par tout le poids du sang
Dans les drapeaux où s'enroulent les cercueils
Ils répètent
C'est la guerre qu'il faut tuer
La guerre toute la guerre
La guerre de celui qui brandit ses raisons
La guerre de celui qui a honte de ses torts
La guerre qui brûle les poèmes sans défense
La guerre
Qui tord les mots
Qui écrase les fleurs
Qui coupe le cou du soleil
Et qui fait du jour une fumée sans nom
Les mots de la paix
Ont crié au secours
Ils suivent les fantômes des peuples massacrés
Ils dénoncent
Ils protestent
Ils signent des pétitions qui sont des boulets d'encre
Ils demandent pardon à la mère
A la sœur
A l'épouse qui se noie dans ses cheveux de veuves
Au vieillard prostré dans un jardin d'horreurs
A l'enfant dont l'enfance joue avec des assassins
On dit qu'un poème ne sert à rien
Que la force appartient aux bombes
Que la vérité s'impose sur le dos des plus faibles
Moi je dis que voici un poème
Déposé aux pieds de la folie
Un poème sans fusil
Sans bottes du désespoir
Sans cri de haine
Sans armes et sans moyens
Un tout petit poème qui a peur des humains
Qui se battent pour la cause
Qui écrasent les fourmis sous les chenilles des tanks
Un poème d'eau pure et d'air non pollué
Un poème qui tient dans la main d'une cuillère
Et que l'on devrait boire
Comme un thé de paysanne
Une gorgée d'amour
Une goutte de tolérance
Car c'est la guerre qu'il faut tuer
Les guerres n'ont jamais servi à rien
Je dis que voici un poème
Un poème couleur de feuille verte
Dont les mots désarmés
Soutiennent la paix
S'opposent aux occupations
Aux colonisations
Aux murs sourds et aveugles
Et demandent que la Palestine soit une terre de paix
Un Etat de droit
Une vie qui coule et chante comme un poème
.
Ernest Pépin
Faugas, le 03 janvier 2009
On m'avait envoyé ça un jour. C'est beau ,non ?
- InvitéNGrand sage
Comment ai je pu oublier Boris Vian ?
Tout a été dit cent fois ( version light )
Tout a été dit cent fois
Et beaucoup mieux que par moi
Aussi quand j'écris ces vers
C'est que ça m'amuse
C'est que ça m'amuse
C'est que ça m'amuse
Tout a été dit cent fois ( version light )
Tout a été dit cent fois
Et beaucoup mieux que par moi
Aussi quand j'écris ces vers
C'est que ça m'amuse
C'est que ça m'amuse
C'est que ça m'amuse
- JPhMMDemi-dieu
Difficile comme question.
Je n'en mettrai donc qu'un (d'autres viendront sans doute).
Le sonnet CXXVIII, de Shakespeare.
Je n'en mettrai donc qu'un (d'autres viendront sans doute).
Le sonnet CXXVIII, de Shakespeare.
How oft when thou, my music, music play'st,
Upon that blessed wood whose motion sounds
With thy sweet fingers when thou gently sway'st
The wiry concord that mine ear confounds,
Do I envy those jacks that nimble leap,
To kiss the tender inward of thy hand,
Whilst my poor lips which should that harvest reap,
At the wood's boldness by thee blushing stand!
To be so tickled, they would change their state
And situation with those dancing chips,
O'er whom thy fingers walk with gentle gait,
Making dead wood more bless'd than living lips.
Since saucy jacks so happy are in this,
Give them thy fingers, me thy lips to kiss.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- InvitéInvité
Si je ne devais en citer qu'un, ce serait Le dormeur du val, qui m'avait arraché des larmes en 4e (j'en garde un sacré souvenir, de ce p***** de dernier vers).
Ce poème m'a tellement marquée que lorsque moi-même j'écris (poèmes, romans, nouvelles, un passe-temps depuis que j'ai 8 ans), je ne peux m'empêcher de toujours chercher la chute, le vers ultime où tout bascule ou le twist final qui fait que merde, on relit tout pour mieux comprendre l'horreur de la chose qui s'est construite petit à petit sans qu'on s'en rende compte.
Ce poème m'a tellement marquée que lorsque moi-même j'écris (poèmes, romans, nouvelles, un passe-temps depuis que j'ai 8 ans), je ne peux m'empêcher de toujours chercher la chute, le vers ultime où tout bascule ou le twist final qui fait que merde, on relit tout pour mieux comprendre l'horreur de la chose qui s'est construite petit à petit sans qu'on s'en rende compte.
- CelebornEsprit sacré
En ne prenant qu'un seul poème par poète (sinon, ça va être un peu répétitif)
Apollinaire : La Loreley
Baudelaire : Mœsta et errabunda (eu du mal à choisir…)
Ronsard : « Je vous envoie un bouquet que ma main… »
Prévert : Barbara
La Fontaine : Les Deux Pigeons
Apollinaire : La Loreley
Baudelaire : Mœsta et errabunda (eu du mal à choisir…)
Ronsard : « Je vous envoie un bouquet que ma main… »
Prévert : Barbara
La Fontaine : Les Deux Pigeons
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- AndmaExpert spécialisé
ceux de mon frère.
il écrit des choses magnifiques.
il écrit des choses magnifiques.
- InvitéNGrand sage
marlène.N a écrit:ceux de mon frère.
il écrit des choses magnifiques.
Ben tu peux en mettre un ici, non ?
- InvitéNGrand sage
Il pleut je vois passer des filles aux pas pressés
je reste sous l'orage et je les vois glisser,
multicolores,glacées, elles n'ont pas de visage
Sous leurs grands parapluies elles marchent et je les suis
en pensée au passage...
Où vont les femmes au parapluie
vers quel soleil évanoui
où vont les femmes au parapluie
vers quel amour enfui
Je voudrais arrêter une fille en ciré
bleue à rayure orange elle est déjà passée
une autre a remplacé une couleur qui change...
et je voudrais plonger nager sur la chaussée
vers ces filles étranges
Où vont les femmes au parapluie…
J'ai le coeur qui déborde et comme il pleut des cordes
j'en ai ramassé une j'en ai fait un lasso
que j'ai lancé dans l'eau vers une jupe brune,
elle m'a fait chavirer et je n'ai caressé
qu'un reflet de la lune
Où vont les femmes au parapluie…
M.F. Gros
je reste sous l'orage et je les vois glisser,
multicolores,glacées, elles n'ont pas de visage
Sous leurs grands parapluies elles marchent et je les suis
en pensée au passage...
Où vont les femmes au parapluie
vers quel soleil évanoui
où vont les femmes au parapluie
vers quel amour enfui
Je voudrais arrêter une fille en ciré
bleue à rayure orange elle est déjà passée
une autre a remplacé une couleur qui change...
et je voudrais plonger nager sur la chaussée
vers ces filles étranges
Où vont les femmes au parapluie…
J'ai le coeur qui déborde et comme il pleut des cordes
j'en ai ramassé une j'en ai fait un lasso
que j'ai lancé dans l'eau vers une jupe brune,
elle m'a fait chavirer et je n'ai caressé
qu'un reflet de la lune
Où vont les femmes au parapluie…
M.F. Gros
- InvitéNGrand sage
Ma petite lionne
Je n'aimais pas que tu me griffes
et je t'ai livrée aux chrétiens
Pourtant je t'aimais bien
Je voudrais que tu me pardonnes
ma petite lionne
Jacques Prévert
Je n'aimais pas que tu me griffes
et je t'ai livrée aux chrétiens
Pourtant je t'aimais bien
Je voudrais que tu me pardonnes
ma petite lionne
Jacques Prévert
- helripNiveau 3
Le bateau ivre, Rimbaud, si je devais n'en mettre qu'un.
Pour les quatre autres, difficile !
Pour les quatre autres, difficile !
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On devrait toujours être légèrement improbable. O. Wilde
- InvitéNGrand sage
Jusqu'à neuf c'est O.K. tu es "In"
Après quoi tu es K.O. tu es "Out"
C'est idem
Pour la boxe
Le ciné la mode et le cashbox
Qui est "In" qui est "Out"
Moitié bouillon ensui' moitié g-In
Gemini carbur' pas au maz-Out
C'est extrêm-
ement pop
Si tu es à jeun tu tomb's en syncop'
Qui est "In" qui est "Out"
Tu aimes la nitroglycér-In
C'est au BUS PALLADIUM qu'ça s'éc-Out
Rue Fontaine
Il y a foul'
Pour les petits gars de Liverpool
Barbarella garde tes bott-In's
Et viens me dire une fois pour t-Out's
Que tu m'aimes
Ou sinon
Je te renvoie à la scienc' fiction.
Qui est "In" qui est "Out"
Serge Gainsbourg
Après quoi tu es K.O. tu es "Out"
C'est idem
Pour la boxe
Le ciné la mode et le cashbox
Qui est "In" qui est "Out"
Moitié bouillon ensui' moitié g-In
Gemini carbur' pas au maz-Out
C'est extrêm-
ement pop
Si tu es à jeun tu tomb's en syncop'
Qui est "In" qui est "Out"
Tu aimes la nitroglycér-In
C'est au BUS PALLADIUM qu'ça s'éc-Out
Rue Fontaine
Il y a foul'
Pour les petits gars de Liverpool
Barbarella garde tes bott-In's
Et viens me dire une fois pour t-Out's
Que tu m'aimes
Ou sinon
Je te renvoie à la scienc' fiction.
Qui est "In" qui est "Out"
Serge Gainsbourg
- InvitéNGrand sage
Lulu, l'huluberlu
Quand tu bouges le cul
C'est pour nous montrer
Quel beau poney tu es .
La pie qui s'appelle Fifi
nous alerte par ses petits cris
Quand on passe non loin d'ici
pour nous dire qu'elle veut devenir notre amie.
Pan-Pan le paon
Quand tu fait le beau
on te prend en photo
Car petit Pan-Pan tu es si charmant .
ChaCha le joli bébé chat
Dès que je suis arrivée devant toi
Tu t'es dirigé vers moi
Et je t'ai caressé du bout des doigts .
C'est tout !!!
C'est écrit par l'une de mes nièces...mais je l'ai beaucoup aidée !
Quand tu bouges le cul
C'est pour nous montrer
Quel beau poney tu es .
La pie qui s'appelle Fifi
nous alerte par ses petits cris
Quand on passe non loin d'ici
pour nous dire qu'elle veut devenir notre amie.
Pan-Pan le paon
Quand tu fait le beau
on te prend en photo
Car petit Pan-Pan tu es si charmant .
ChaCha le joli bébé chat
Dès que je suis arrivée devant toi
Tu t'es dirigé vers moi
Et je t'ai caressé du bout des doigts .
C'est tout !!!
C'est écrit par l'une de mes nièces...mais je l'ai beaucoup aidée !
- InvitéNGrand sage
Sur la maison du rire
Un oiseau rit dans ses ailes,
Le monde est si léger
Qu'il n'est plus à sa place
Et si gai
Qu'il ne lui manque rien.
Paul Éluard
Un oiseau rit dans ses ailes,
Le monde est si léger
Qu'il n'est plus à sa place
Et si gai
Qu'il ne lui manque rien.
Paul Éluard
- InvitéNGrand sage
Au bord de l'eau cachée,
Blanche comme une colombe,
Le soleil nous a pris, un midi,
De cette eau nauséabonde (...)
Epris de notre vie, erreur,
Et nous l'avons changée ..."
Geroge Seferis prix nobel en 1963 ( Négation )
Blanche comme une colombe,
Le soleil nous a pris, un midi,
De cette eau nauséabonde (...)
Epris de notre vie, erreur,
Et nous l'avons changée ..."
Geroge Seferis prix nobel en 1963 ( Négation )
- InvitéNGrand sage
La beauté cachée des laids, des laids, se voit sans délai délai
en musique : https://www.youtube.com/watch?v=ZqvD8k02mvk&feature=related
en musique : https://www.youtube.com/watch?v=ZqvD8k02mvk&feature=related
- InvitéePhMonarque
A présent que ton absence, Y. Rouquette
Un hémisphère dans une chevelure, Baudelaire
Paradise Lost, Milton
A un passante, Baudelaire
Invictus,Henley
Un hémisphère dans une chevelure, Baudelaire
Paradise Lost, Milton
A un passante, Baudelaire
Invictus,Henley
- Presse-puréeGrand sage
Et la mer et l'amour ont l'amer pour partage,
Et la mer est amère, et l'amour est amer,
L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer,
Car la mer et l'amour ne sont point sans orage.
Celui qui craint les eaux qu'il demeure au rivage,
Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,
Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,
Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.
La mère de l'amour eut la mer pour berceau,
Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau,
Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes.
Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,
Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,
Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes.
Marbeuf, 1628
Et la mer est amère, et l'amour est amer,
L'on s'abîme en l'amour aussi bien qu'en la mer,
Car la mer et l'amour ne sont point sans orage.
Celui qui craint les eaux qu'il demeure au rivage,
Celui qui craint les maux qu'on souffre pour aimer,
Qu'il ne se laisse pas à l'amour enflammer,
Et tous deux ils seront sans hasard de naufrage.
La mère de l'amour eut la mer pour berceau,
Le feu sort de l'amour, sa mère sort de l'eau,
Mais l'eau contre ce feu ne peut fournir des armes.
Si l'eau pouvait éteindre un brasier amoureux,
Ton amour qui me brûle est si fort douloureux,
Que j'eusse éteint son feu de la mer de mes larmes.
Marbeuf, 1628
_________________
Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- Presse-puréeGrand sage
sinon, c'est:
"Voyage à Cythère", de Baudelaire;
l'Odyssée
"odi et amo" de Catulle;
et "il pleure dans mon coeur" de Verlaine
"Voyage à Cythère", de Baudelaire;
l'Odyssée
"odi et amo" de Catulle;
et "il pleure dans mon coeur" de Verlaine
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Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
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