- FinrodExpert
Igniatius a écrit:retraitée a écrit:L'estrade! Une jeune et jolie prof en minijupe bien en vue sur son estrade, qui lève le bras pour écrire en haut du tableau, vous n'imaginez pas l'effet sur les élèves!
Si !!!
Car vécu il y a lgtemps...
???
Tu étais une femme avant !?
- FinrodExpert
Abraxas a écrit:L'estrade permet de théâtraliser le cours — c'est bien la moindre des choses.
Sans estrade, nous sommes sans scène. Et nous perdons du sens — à commencer par celui du spectacle.
Leur suppression est une aberration égalitariste qui a commencé après 68.
Je suis tombé sur un site québécois. Ils ont supprimé l'estrade, et ont même changé la disposition des tables, en carré, les élèves devant se tourner à 90° lorsque le prof parle...
(je vais chercher le lien, mais je vous préviens, ça m'a fichu le cafard un bon moment, malgré l'accent canadien)
edit : le voilà (il faut s'inscrire) http://zoom.animare.org/appui-motivation
- CelebornEsprit sacré
Abraxas a écrit:
Sans estrade, nous sommes sans scène.
De ce point de vue, j'ai ces derniers temps remplacé l'estrade (y'en a pas dans mon collège) par… le bureau ! Pas debout dessus, mais assis dessus pour lire les textes. On se trouve les scènes qu'on peut
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- seawetNiveau 3
Une estrade, c'est bien pour faire le spectacle mais il faut que ce dernier ait un contenu, accompagné, si possible, d'un rituel.
Je propose l'estrapade quotidienne d'un élève annoncée par roulements de tambour.
Les critères de sélection seraient définis par le Conseil Pédagogique qui aurait ainsi une fonction identifiable par tous.
Je propose l'estrapade quotidienne d'un élève annoncée par roulements de tambour.
Les critères de sélection seraient définis par le Conseil Pédagogique qui aurait ainsi une fonction identifiable par tous.
- retraitéeDoyen
Celeborn a écrit:Abraxas a écrit:
Sans estrade, nous sommes sans scène.
De ce point de vue, j'ai ces derniers temps remplacé l'estrade (y'en a pas dans mon collège) par… le bureau ! Pas debout dessus, mais assis dessus pour lire les textes. On se trouve les scènes qu'on peut
J'ai souvent fait cours ainsi, car, assise derrière le bureau, je ne voyais rien, et on me voyait à peine!
Je me baladais aussi beaucoup.
- retraitéeDoyen
Finrod a écrit:Igniatius a écrit:retraitée a écrit:L'estrade! Une jeune et jolie prof en minijupe bien en vue sur son estrade, qui lève le bras pour écrire en haut du tableau, vous n'imaginez pas l'effet sur les élèves!
Si !!!
Car vécu il y a lgtemps...
???
Tu étais une femme avant !?
mais non, il était élève!
- IgniatiusGuide spirituel
Heureusement, Retraitée suit, elle ! :lol:
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"Celui qui se perd dans sa passion est moins perdu que celui qui perd sa passion."
St Augustin
"God only knows what I'd be without you"
Brian Wilson
- CathEnchanteur
Igniatius a écrit:cath5660 a écrit:retraitée a écrit:Ignatius, ne cédez pas devant la conjuration des imbéciles!
Ouiiii! Excellente allusion!
Et si ce n'est pas fait, lisez-le!
Voyons, Cath5660, tu crois vraiment que j'ai choisi ce pseudo parce que j'aimais beaucoup ce prénom fort commun ? :lol:
Non, bien sûr...Mais c'est tellement bien vu de la part de Retraitée d'avoir réussi à le placer!
- retraitéeDoyen
Igniatius a écrit:Heureusement, Retraitée suit, elle ! :lol:
retraitée a porté les premières mini jupes (apparues en 62) y compris dans des versions hard, "portefeuille". Elle avait intérêt à s'asseoir derrière un bureau "fermé"!
- Marie LaetitiaBon génie
Abraxas a écrit:L'estrade permet de théâtraliser le cours — c'est bien la moindre des choses.
Sans estrade, nous sommes sans scène. Et nous perdons du sens — à commencer par celui du spectacle.
Leur suppression est une aberration égalitariste qui a commencé après 68.
bon, me voilà bien, je n'aime ni les estrades ni les amphithéâtres... Je dois être une soixante-huitarde qui s'ignore...
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- frecheGrand sage
J'ai une estrade (indispensable en salle de sciences) et une table dessus, sur laquelle je m'assieds souvent
- doublecasquetteEnchanteur
doctor who a écrit:Thalie a écrit:Mais les agents ont toujours dû dire cela, ils ne sont bizarrement écoutés qu'aujourd'hui.doctor who a écrit:Dans mon collège, estrade supprimées sur protestation des agents d'entretien les trouvant trop lourdes à déplacer une fois tous les deux ans pour nettoyer en-dessous.
Quant à la taille, en effet, parlons-en, avec une estrade, je ne peux déjà écrire que sur les 2/3 bas du tableau sans estrade c'est les 2/3 du tableau qui me sont inaccessibles ! Je serais ainsi bien plus proche de mes élèves n'est-ce pas !
C'est ce que j'ai dit, ainsi que d'autres collègues. Franchement, si c'est un problème de poids, ils n'ont qu'à se faire aider par des élèves collés. A mon avis, c'était un prétexte.
Pas sûr... En Primaire aussi, l'avis des agents communaux semble prendre de plus en plus d'importance et aller jusqu'à devenir primordial.
Ce n'est peut-être pas aussi anodin que ça en a l'air. Les vilains fonctionnaires d'État contre les gentils fonctionnaires territoriaux, ça doit arranger pas mal de monde, finalement.
- InvitéInvité
@ doublecasquette
Ça s'appelle simplement la prise en compte de la pénibilité du travail.
Les agents d'entretien ont aussi droit à la prévention des maladies professionnelles.
Ça s'appelle simplement la prise en compte de la pénibilité du travail.
Les agents d'entretien ont aussi droit à la prévention des maladies professionnelles.
- frankensteinVénérable
Tss..tss... Il faut une "analyse pédagogiquement plus experte" !milasaintanne a écrit:@ doublecasquette
Ça s'appelle simplement la prise en compte de la pénibilité du travail.
Les agents d'entretien ont aussi droit à la prévention des maladies professionnelles.
LE PROFOND
Le Profond est cet état de nomination "conventionnelle", inadéquate et polysémique d'inscription du procès de la Profondeur dans le cours du monde, à un moment donné. Il représente la multitude infinie des formes de la Profondeur dans son déploiement incessant.
Le Profond reste prisonnier de la blancheur des choses. Il n'est jamais très loin de la vie en acte avec son cortège de malentendus, d'ambivalences, de lâchetés et de courages incompréhensibles. Mais il est également porteur de la Profondeur qui ne le quitte jamais car il est cela même, comme un poignard planté dans l'infini.
http://www.barbier-rd.nom.fr/journal/article.php3?id_article=1386
:Lool:
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- CelebornEsprit sacré
milasaintanne a écrit:@ doublecasquette
Ça s'appelle simplement la prise en compte de la pénibilité du travail.
Les agents d'entretien ont aussi droit à la prévention des maladies professionnelles.
On parle de déplacer des estrades une fois tous les deux ans, là, pas de faire 15 développés-couchés par séance de nettoyage… Et si vraiment y'a besoin, on trouve toujours du monde pour donner un coup de main.
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- User5899Demi-dieu
D'où l'utilisation du présent dans l'expression "il l'a profond".frankenstein a écrit:Tss..tss... Il faut une "analyse pédagogiquement plus experte" !milasaintanne a écrit:@ doublecasquette
Ça s'appelle simplement la prise en compte de la pénibilité du travail.
Les agents d'entretien ont aussi droit à la prévention des maladies professionnelles.
LE PROFOND
Le Profond est cet état de nomination "conventionnelle", inadéquate et polysémique d'inscription du procès de la Profondeur dans le cours du monde, à un moment donné. Il représente la multitude infinie des formes de la Profondeur dans son déploiement incessant.
Le Profond reste prisonnier de la blancheur des choses. Il n'est jamais très loin de la vie en acte avec son cortège de malentendus, d'ambivalences, de lâchetés et de courages incompréhensibles. Mais il est également porteur de la Profondeur qui ne le quitte jamais car il est cela même, comme un poignard planté dans l'infini.
http://www.barbier-rd.nom.fr/journal/article.php3?id_article=1386
- User5899Demi-dieu
Oui, mais Mila n'aime pas qu'on déplace les socles, quels qu'ils soient. S'ils sont lourds, c'est bien pour qu'ils restent en place.Celeborn a écrit:milasaintanne a écrit:@ doublecasquette
Ça s'appelle simplement la prise en compte de la pénibilité du travail.
Les agents d'entretien ont aussi droit à la prévention des maladies professionnelles.
On parle de déplacer des estrades une fois tous les deux ans,
- frankensteinVénérable
En 1989, le ministre Lionel Jospin fait voter une loi d’orientation. Inspirée par son conseiller spécial Claude Allègre et par certains papes du pédagogisme comme le Lyonnais1 Philippe Meirieu. La loi débute ainsi : « L’élève est au centre du système ». L’élève, ou plutôt l’enfant-roi, prend ici la place du Savoir symbolisé par le professeur. Exit l’estrade, devenue ainsi anti-pédagogique. Désormais formaté par les fameux IUFM, leurs (fausses) sciences de l’éducation et la novlangue2 qui accompagne ces dernières, le prof devient au mieux un éducateur, au pire un animateur social. Il n’a plus à transmettre mais à permettre que l’élève construise lui-même ses propres savoirs.
Idéologiquement inspirée par la « deuxième gauche », cette réforme est approuvée par la droite moderniste et libérale qui voit ainsi une belle occasion de rabattre le caquet à ces gauchos de profs. Cette droite-là devine aussi, à juste titre, que la logique consumériste s’imposera d’autant plus facilement dans ce milieu jusque-là protégé. Luc Châtel, issu de Démocratie Libérale et sarkozyste patenté, semble en totale symbiose avec l’école sans estrade. Lors de sa conférence de presse de rentrée, il a certes distribué un dossier truffé de fautes d’orthographe3, mais il a aussi exprimé sa dilection pour « l’établissement-lieu de vie ». Du pur pédagogisme.
Privé de son estrade, le prof, déjà sous la surveillance d’inspecteurs acquis au fanatisme pédagogo, dispose de moins en moins de liberté pédagogique. Sous prétexte de développement des technologies modernes, on lui demande aujourd’hui de remplir ses cahiers de textes « on-line » qui permettent aux parents de le fliquer. Et si, par un hasard de plus en plus improbable, un établissement avait la chance d’avoir à sa tête un réac –de gauche ou de droite- souhaitant rapatrier de la réserve les vieilles estrades, le service juridique du rectorat le découragerait très rapidement. En cas d’entorse à la cheville d’un prof ou, pis, d’un élève appelé au tableau, sa responsabilité civile voire pénale serait évidemment engagée.
Et puis, souvenons-nous, l’estrade, quand nous étions nous-mêmes élèves, c’était aussi, par la grâce d’un bureau incomplet qui laissait voir ce qu’il n’aurait pas dû, l’adorable croisement des jambes de mademoiselle B, prof de maths en cinquième 4, et le crissement des bas nylon qui faisaient oublier celui de la craie sur le tableau noir.
http://www.causeur.fr/eloge-de-l%E2%80%99estrade
Idéologiquement inspirée par la « deuxième gauche », cette réforme est approuvée par la droite moderniste et libérale qui voit ainsi une belle occasion de rabattre le caquet à ces gauchos de profs. Cette droite-là devine aussi, à juste titre, que la logique consumériste s’imposera d’autant plus facilement dans ce milieu jusque-là protégé. Luc Châtel, issu de Démocratie Libérale et sarkozyste patenté, semble en totale symbiose avec l’école sans estrade. Lors de sa conférence de presse de rentrée, il a certes distribué un dossier truffé de fautes d’orthographe3, mais il a aussi exprimé sa dilection pour « l’établissement-lieu de vie ». Du pur pédagogisme.
Privé de son estrade, le prof, déjà sous la surveillance d’inspecteurs acquis au fanatisme pédagogo, dispose de moins en moins de liberté pédagogique. Sous prétexte de développement des technologies modernes, on lui demande aujourd’hui de remplir ses cahiers de textes « on-line » qui permettent aux parents de le fliquer. Et si, par un hasard de plus en plus improbable, un établissement avait la chance d’avoir à sa tête un réac –de gauche ou de droite- souhaitant rapatrier de la réserve les vieilles estrades, le service juridique du rectorat le découragerait très rapidement. En cas d’entorse à la cheville d’un prof ou, pis, d’un élève appelé au tableau, sa responsabilité civile voire pénale serait évidemment engagée.
Et puis, souvenons-nous, l’estrade, quand nous étions nous-mêmes élèves, c’était aussi, par la grâce d’un bureau incomplet qui laissait voir ce qu’il n’aurait pas dû, l’adorable croisement des jambes de mademoiselle B, prof de maths en cinquième 4, et le crissement des bas nylon qui faisaient oublier celui de la craie sur le tableau noir.
http://www.causeur.fr/eloge-de-l%E2%80%99estrade
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Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- doublecasquetteEnchanteur
milasaintanne a écrit:@ doublecasquette
Ça s'appelle simplement la prise en compte de la pénibilité du travail.
Les agents d'entretien ont aussi droit à la prévention des maladies professionnelles.
Chez moi, mais aussi dans beaucoup d'autres écoles, il s'agit de carreler des pièces ou les enfants vivent (salles de classe, mais aussi dortoirs ou réfectoires) pour que le sol soit plus facile à nettoyer au risque de voir un enfant se fracasser le crâne en tombant.
Il s'agit aussi de ne plus pouvoir faire boire un enfant après 16 heures parce que la salle d'eau et les gobelets sont lavés.
Il s'agit encore de réveiller des enfants de moins de quatre ans et de les propulser dans la cour en pleine phase de réveil parce que l'ATSEM est en pause de 15 h 30 à 15 h 50 et qu'il ne saurait y avoir de dérogation.
Il s'agit enfin de confier quarante à cinquante enfants de deux à onze ans à une seule personne parce que la législation n'a jamais prévu de seuils dans les garderies périscolaires...
Excusez-moi, mais ce n'est pas la conception que j'ai de la protection de l'enfance.
Si le confort de l'agent territorial prévaut sur celui des enfants parce que chaque mairie, chaque département, chaque région n'en fait qu'à sa tête, avec ses propres critères de pénibilité, on risque de voir de drôles de choses dans les années à venir...
- DuplayExpert
Fantômette a écrit:
Petit éloge de l'estrade
J'aime, dans une classe, être perchée sur une estrade. Je reste peu derrière la forteresse de mon bureau.
J'aime être sur une estrade, non pas par égocentrisme hypertrophié - même si j'aime aussi l'aspect spectaculaire du métier, où le prof est aussi quelque part comédien-, mais parce que j'aime pouvoir superviser l'ensemble de mes élèves, voir, au mieux, ce que chacun fait dans le petit coin de sa place, pour le faire remonter dans le train si jamais il s'est perdu en route.
J'aime l'estrade car je peux voir, du haut de ce perchoir, le regard de chacun et m'assurer de sa présence active dans la classe. Et quand j'explique un point de grammaire ou que je lis une histoire, quand ma parole est acte de transmission, je vois bien du haut de l'estrade, à leurs regards expressifs qui croisent le mien, aux hochements de tête qui répondent à mon air interrogateur - leur demandant secrètement "Et quand je dis ça, tu comprends? "- , à quel point leur petit cerveau en construction cogite activement.
L'estrade me permet alors précisément de mieux faire circuler ma parole dans l'espace de la classe, afin qu'elle soit reçue par tous, au mieux. C'est un porte-voix indispensable, et le jeu sur le volume de la voix, agrémenté de quelques gestes démonstratifs - tiens, revoilà le prof comédien- me permet de récupérer les attentions perdues.
J'aime être sur une estrade, mais je ne suis pas au centre pour autant. J'en descends très régulièrement, pour m'assurer que chacun sait où il faut écrire, à quelle page il faut faire tel exercice, comment il faut le faire...Je ne suis plus perchée, mais penchée vers eux pour les guider, pour expliquer, répéter..avec une autorité bienveillante.
J'aime l'estrade, et les élèves aussi. C'est un espace sacré qu'ils aiment fouler. L'espace du savoir auquel ils se hissent. Elle est d'ailleurs bien utile aux petits 6e, et finalement pas qu'à eux. Elle permet aux élèves de s'élever.
L'estrade est en voie de disparition. Raisons de sécurité oblige, paraît-il. Je pense que c'est une grande perte.
- Spoiler:
Bon, d'accord, je dois dire aussi que je ne suis pas très grande
Merci pour ce bel éloge, tout aussi valable pour le primaire !
En période de contrôles, afin de préserver mes élèves des fâcheuses conséquences d'un éventuel strabisme divergent, je vais jusqu'à me percher sur le dossier d'une chaise juchée sur l'estrade !
:malmaisbien:
- InvitéInvité
Cripure a écrit:Oui, mais Mila n'aime pas qu'on déplace les socles, quels qu'ils soient. S'ils sont lourds, c'est bien pour qu'ils restent en place.Celeborn a écrit:milasaintanne a écrit:@ doublecasquette
Ça s'appelle simplement la prise en compte de la pénibilité du travail.
Les agents d'entretien ont aussi droit à la prévention des maladies professionnelles.
On parle de déplacer des estrades une fois tous les deux ans,
Aux modérateurs : Excusez moi de cette réponse qui ne va pas faire avancer le débat.
Tu es pitoyable....
- Marie LaetitiaBon génie
Celeborn a écrit:milasaintanne a écrit:@ doublecasquette
Ça s'appelle simplement la prise en compte de la pénibilité du travail.
Les agents d'entretien ont aussi droit à la prévention des maladies professionnelles.
On parle de déplacer des estrades une fois tous les deux ans, là, pas de faire 15 développés-couchés par séance de nettoyage… Et si vraiment y'a besoin, on trouve toujours du monde pour donner un coup de main.
d'autant que la technologie a inventé des trucs fabuleux pour déplacer des masses lourdes, en commençant par le cric de voiture qui doit bien inspirer ceusses qui sont chargés de bouger les estrades.
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- InvitéInvité
quel débat? celui annoncé par le titre: le livre de Sophie Coignard?milasaintanne a écrit:Aux modérateurs : Excusez moi de cette réponse qui ne va pas faire avancer le débat.
Tu es pitoyable....
- frankensteinVénérable
Surtout que Sophie Coignard se demande d'où vient le divorce entre "pseudo-scientifiques de l'éducation" et les enseignants de terrain...En cherchant bien , elle aurait eu une réponse claire !Lorica a écrit:quel débat? celui annoncé par le titre: le livre de Sophie Coignard?milasaintanne a écrit:Aux modérateurs : Excusez moi de cette réponse qui ne va pas faire avancer le débat.
Tu es pitoyable....
Un ami (hors EN) à qui j'ai fait lire quelques perles de "sciences éduc" se demande comment l'Etat peut financer de telles âneries alors qu'on supprime des classes...Je lui ai répondu que c'était là un bon exemple de la gestion politique et financière de l'EN, les réseaux d'influences politico-démago-médiatiques...Il n'en revient pas !
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- User5899Demi-dieu
Gardez donc votre tutoiement, chère Collègue, on n'a pas validé les items ensemble.milasaintanne a écrit:Cripure a écrit:Oui, mais Mila n'aime pas qu'on déplace les socles, quels qu'ils soient. S'ils sont lourds, c'est bien pour qu'ils restent en place.Celeborn a écrit:milasaintanne a écrit:@ doublecasquette
Ça s'appelle simplement la prise en compte de la pénibilité du travail.
Les agents d'entretien ont aussi droit à la prévention des maladies professionnelles.
On parle de déplacer des estrades une fois tous les deux ans,
Aux modérateurs : Excusez moi de cette réponse qui ne va pas faire avancer le débat.
Tu es pitoyable....
- CelebornEsprit sacré
Cripure, Mila… et si on y évitait de se rentrer dedans ?
edit : bon, ben un petit coup de ciseaux, pour bien me faire comprendre…
edit : bon, ben un petit coup de ciseaux, pour bien me faire comprendre…
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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