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- Docteur OXGrand sage
http://www.rtl.fr/emission/le-choix-de-yves-calvi/voir/la-journaliste-sophie-coignard-invitee-de-rtl-26-janvier-2011-7654280628
- RuthvenGuide spirituel
C'est bien beau, mais les réformes structurelles du lycée rendent presque impossible un enseignement traditionnel ; faire reposer la résistance sur des initiatives individuelles est voué à l'échec (je me souviens des enseignants d'université qui, lors du LMD et de la semestrialisation, ont cru qu'il s'agissait d'une coquille vide ... Les cours annuels et approfondis ont duré un ou deux ans, et ensuite la structure s'est imposé, disloquant les services et créant un effet de zapping dans l'enseignement).
- Marie LaetitiaBon génie
Ruthven a écrit:C'est bien beau, mais les réformes structurelles du lycée rendent presque impossible un enseignement traditionnel ; faire reposer la résistance sur des initiatives individuelles est voué à l'échec (je me souviens des enseignants d'université qui, lors du LMD et de la semestrialisation, ont cru qu'il s'agissait d'une coquille vide ... Les cours annuels et approfondis ont duré un ou deux ans, et ensuite la structure s'est imposé, disloquant les services et créant un effet de zapping dans l'enseignement).
+ 10000 ! Et si dans le sup c'est difficile, alors que l'on a une (très) relative liberté des programmes, dans le secondaire, c'est pire encore...
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- kensingtonEsprit éclairé
Des extraits du livre dans "Le Point" sorti aujourd'hui. En couverture: "Ceux qui massacrent l'école".
- JeanNiveau 8
"Ceux qui massacrent l'école"...
C'est exactement cela !
Mais en massacrant l'école, ils massacrent aussi la République !
C'est exactement cela !
Mais en massacrant l'école, ils massacrent aussi la République !
- Docteur OXGrand sage
Jean a écrit:"Ceux qui massacrent l'école"...
C'est exactement cela !
Mais en massacrant l'école, ils massacrent aussi la République !
Ils s'en foutent, leurs gamins sont dans les bons quartiers et donc dans les bons bahuts pour avoir plus tard les bons postes dans les bonnes entreprises.
- kensingtonEsprit éclairé
Une courte interview de S. Coignard sur Le télégramme.com: Education nationale. «Un gâchis horrible»
- kensingtonEsprit éclairé
Dans les extraits publiés par "Le Point", on apprend qu'en 2007, avant la réforme du lycée, le cabinet Darcos prévoyait une réforme du collège suite aux (déjà) mauvais résultats PISA 2006:
Le dispositif est prêt: soutien scolaire après la classe, et organisation de stages de rattrapage pour les élèves en difficultés; aménagement de l'emploi du temps de la sixième pour renforcer les heures de français et de mathématiques; refonte des programmes dans ces deux matières fondamentales; mise en place d'évaluations nationales en sixième et en quatrième sur le modèle de ce qui se pratique déjà à l'école primaire (...) Dès que les calculettes ont été sorties, il est apparu qu'il n'y avait pas d'économies à réaliser sur le collège, tandis que le lycée représentait un gisement prometteur.
- Reine MargotDemi-dieu
J'ai feuilleté la chose et ça me semble intéressant, mais pour ce que j'en ai vu il y a peu d'analyses strictement pédagogiques (Abraxas confirmera ou pas), c'est un point de vue extérieur, pas de professionnel (et il en faut aussi)
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- InvitéInvité
marquisedemerteuil a écrit:J'ai feuilleté la chose et ça me semble intéressant, mais pour ce que j'en ai vu il y a peu d'analyses strictement pédagogiques (Abraxas confirmera ou pas), c'est un point de vue extérieur, pas de professionnel (et il en faut aussi)
La citation montre bien qu'il s'agit d'un avis extérieur : quel enseignant écrirait "le ministre de l'EN a moins d'autorité dans son ministère qu'un enseignant devant sa classe" ?
- AbraxasDoyen
Allez, pour tout savoir avant de l'acheter :
http://bonnetdane.midiblogs.com/archive/2011/01/28/sophie-coignard-le-pacte-immoral.html
Bonne lecture…
http://bonnetdane.midiblogs.com/archive/2011/01/28/sophie-coignard-le-pacte-immoral.html
Bonne lecture…
- lene75Prophète
Elle dit du bien de nous, la dame !
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- AbraxasDoyen
lene75 a écrit:Elle dit du bien de nous, la dame !
Elle a été extrêmement bien renseignée… Voir les remerciements, p. 281.
- ysabelDevin
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- frankensteinVénérable
Sans doute intéressant son bouquin (le énième qui dénonce le fonctionnement de l'EN soit dit en passant... ). Ce qui me dérange un peu, c'est qu'elle semble découvrir les "ravages" du pédagogisme alors que le "mal" est installé depuis deux ou trois décennies, ce qui aboutit à certaines confusions. Si on la suit dans son raisonnement, il faudrait par exemple "recréer" des IUFM (pour sombrer dans le pédagogisme, il n'y a pas pire lieu de perdition; l'INRP peut-être...). D'ailleurs, c'est une grosse faute qu'a commis l'actuel gvt en ne donnant pas les vrais moyens pour accompagner les jeunes enseignants ! Et j'ai bien peur qu'à cause de cette négligence, eh bien, on revoit les IUFM dès 2012...Voilà un bel exemple de "ratage".
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- JeanNiveau 8
frankenstein a écrit:Sans doute intéressant son bouquin (le énième qui dénonce le fonctionnement de l'EN soit dit en passant... ). Ce qui me dérange un peu, c'est qu'elle semble découvrir les "ravages" du pédagogisme alors que le "mal" est installé depuis deux ou trois décennies, ce qui aboutit à certaines confusions. Si on la suit dans son raisonnement, il faudrait par exemple "recréer" des IUFM (pour sombrer dans le pédagogisme, il n'y a pas pire lieu de perdition; l'INRP peut-être...). D'ailleurs, c'est une grosse faute qu'a commis l'actuel gvt en ne donnant pas les vrais moyens pour accompagner les jeunes enseignants ! Et j'ai bien peur qu'à cause de cette négligence, eh bien, on va revoir les IUFM dès 2012...Voilà un bel exemple de "ratage".
Et si ce ratage était voulu?
- AbraxasDoyen
Oh non, pas même. Ils dirigent à vue.
On nous annonce des masters en alternance : c'est la fin de concours — qui seront dans un premier temps régionalisés. Puis le dispositif CLAIR sera étendu — et les chefs d'établissements, et les "équipes", recruteront sur des postes à profil. C'est la mort programmée de l'Ecole — tiens, ça me dit quelque chose, cette formule… Mais rien n'a été pensé a priori — ils n'ont pas le cerveau pour ça.
En tout cas, ça fait les affaires simultanément des gratte-petit du ministère, et des pédagos. Moins de tracas pour les uns, plus de pouvoir pour les autres.
On nous annonce des masters en alternance : c'est la fin de concours — qui seront dans un premier temps régionalisés. Puis le dispositif CLAIR sera étendu — et les chefs d'établissements, et les "équipes", recruteront sur des postes à profil. C'est la mort programmée de l'Ecole — tiens, ça me dit quelque chose, cette formule… Mais rien n'a été pensé a priori — ils n'ont pas le cerveau pour ça.
En tout cas, ça fait les affaires simultanément des gratte-petit du ministère, et des pédagos. Moins de tracas pour les uns, plus de pouvoir pour les autres.
- AuroreEsprit éclairé
Abraxas a écrit:Oh non, pas même. Ils dirigent à vue.
On nous annonce des masters en alternance : c'est la fin de concours — qui seront dans un premier temps régionalisés. Puis le dispositif CLAIR sera étendu — et les chefs d'établissements, et les "équipes", recruteront sur des postes à profil. C'est la mort programmée de l'Ecole — tiens, ça me dit quelque chose, cette formule… Mais rien n'a été pensé a priori — ils n'ont pas le cerveau pour ça.
En tout cas, ça fait les affaires simultanément des gratte-petit du ministère, et des pédagos. Moins de tracas pour les uns, plus de pouvoir pour les autres.
Autant de perspectives bien sombres...
Mais vous n'allez tout de même pas nous dire que vous n'y croyez plus, cher Abraxas ! ...
- JohnMédiateur
Ce n'est pas forcément si mal, des masters par alternance (?).On nous annonce des masters en alternance
Le principe de l'alternance, c'est de permettre aux étudiants de payer une partie de leurs études, et de découvrir le métier. En soi, le principe de l'alternance ne me paraît pas si choquant, surtout qu'il ne sera qu'une voie parmi d'autres pour accéder au métier.
Je ne suis pas opposé non plus à la régionalisation des concours : est-ce que ça sert vraiment à quelque chose de faire grimper à Cergy-Pontoise des enseignants d'italien de l'académie de Nice, qui n'attendent que de repartir à Nice ? Personne ne milite contre la régionalisation du CRPE.
CLAIR, ça m'embête déjà davantage, car le recrutement sera biaisé par beaucoup de considérations diverses et variées, et pas toujours avouables !
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En achetant des articles au lien ci-dessous, vous nous aidez, sans frais, à gérer le forum. Merci !
"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- DaphnéDemi-dieu
John a écrit:Ce n'est pas forcément si mal, des masters par alternance (?).On nous annonce des masters en alternance
Le principe de l'alternance, c'est de permettre aux étudiants de payer une partie de leurs études, et de découvrir le métier. En soi, le principe de l'alternance ne me paraît pas si choquant, surtout qu'il ne sera qu'une voie parmi d'autres pour accéder au métier.
Je ne suis pas opposé non plus à la régionalisation des concours : est-ce que ça sert vraiment à quelque chose de faire grimper à Cergy-Pontoise des enseignants d'italien de l'académie de Nice, qui n'attendent que de repartir à Nice ? Personne ne milite contre la régionalisation du CRPE. CLAIR, ça m'embête déjà davantage, car le recrutement sera biaisé par beaucoup de considérations diverses et variées, et pas toujours avouables !
John, ce serait catastrophique !
Disparité du niveau de recrutement, fin du mouvement national, recrutement sur "note de geule" par les CDE, bref la cata
Quant à aller à Cergy Pontoise, Sedan ou un trou paumé dans le Cantal ou la Thiérache, ça fait partie de l'expérience qu'on a tous eue et franchement on n'en est pas mort. Au contraire.
- JohnMédiateur
Mais alors pourquoi personne ne lutte contre la régionalisation du CRPE, si c'est une telle catastrophe ?
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- AuroreEsprit éclairé
Daphné a écrit:
John, ce serait catastrophique !
Disparité du niveau de recrutement, fin du mouvement national, recrutement sur "note de geule" par les CDE, bref la cata
Je confirme. Ce serait le règne sans partage du piston au niveau du recrutement (sans parler du fait que le recrutement local ne présage pas franchement d'un bon niveau des professeurs...) et de "l'innovation pédagogique" rendue obligatoire par les projets d'établissements devenus "autonomes". Pour être recruté, il faudra montrer patte blanche.
Quant à la formation par alternance, tout me porte à croire qu'elle favoriserait le retour du formatage idéologique le plus décomplexé.
Tiens, une question à mille francs : mais pourquoi donc à votre avis cette mesure bénéficie d'un si large consensus, aussi bien chez les "progressistes" pédagos que chez leurs homologues "libéraux" ?
- AuroreEsprit éclairé
John a écrit:Mais alors pourquoi personne ne lutte contre la régionalisation du CRPE, si c'est une telle catastrophe ?
Quel est l'état actuel des syndicats du primaire, John ? :lol!:
Tu vois le Snuipp défendre le maintien des concours nationaux ?
- doublecasquetteEnchanteur
Abraxas a écrit:Oh non, pas même. Ils dirigent à vue.
On nous annonce des masters en alternance : c'est la fin de concours — qui seront dans un premier temps régionalisés. Puis le dispositif CLAIR sera étendu — et les chefs d'établissements, et les "équipes", recruteront sur des postes à profil. C'est la mort programmée de l'Ecole — tiens, ça me dit quelque chose, cette formule… Mais rien n'a été pensé a priori — ils n'ont pas le cerveau pour ça.
En tout cas, ça fait les affaires simultanément des gratte-petit du ministère, et des pédagos. Moins de tracas pour les uns, plus de pouvoir pour les autres.
Ils auront quand même des difficultés à installer ce système en Primaire...
Vous savez sans doute qu'ils rêvent d'E2P (nouveau sigle des EPEP) de 15 classes dirigées par un "chef d'établissement" nommé lui-même par un "conseil d'administration" composé d'élus municipaux, de parents d'élèves (et anecdotiquement d'enseignants).
Or, selon le HCE, en 2006, il y avait en France 56 000 écoles, dont la moitié avait moins de 5 classes ! Cerise sur le gâteau, il y avait encore 7000 écoles à classe unique (un seul poste de PE pour toute la commune) !
Si vous connaissez un peu la mentalité de ces petites communes rurales (en gros, les 28 000 où sont installées des écoles à moins de cinq classes), vous vous êtes certainement rendu compte tout seuls que, si les conseils municipaux acceptent, non sans mal, d'organiser un RPI (regroupement pédagogique intercommunal) de cinq ou six classes, dans les régions où cela est possible (vous évacuez toutes les zones de montagne et les îles), ils n'accepteront que très difficilement de s'organiser à quinze (ou même plus, il n'y a aucune raison pour que les communes sans école mais avec enfants de moins de douze ans participent financièrement à l'E2P sans y participer administrativement) et de faire faire à leurs enfants chaque matin et chaque soir le tour du canton (ou même plus, chez nous, il y a des cantons regroupant une centaine de gamins tout au plus, dans cinq classes distantes de plus de quinze kilomètres les unes des autres) en car ! Surtout si les frais de déplacements sont à leur charge...
Ils répondront qu'ils ont les bâtiments sur place, qu'eux-mêmes ont fait toute leur scolarité dans ces bâtiments-là, qu'ils sont prêts à les améliorer, à les doter en matériel, à une condition, c'est que leurs enfants puissent en bénéficier au lieu de courir sur les routes pour trois fois plus cher... Et ils auront raison.
- frankensteinVénérable
Tout à fait d'accord avec cette analyse.doublecasquette a écrit:Abraxas a écrit:Oh non, pas même. Ils dirigent à vue.
On nous annonce des masters en alternance : c'est la fin de concours — qui seront dans un premier temps régionalisés. Puis le dispositif CLAIR sera étendu — et les chefs d'établissements, et les "équipes", recruteront sur des postes à profil. C'est la mort programmée de l'Ecole — tiens, ça me dit quelque chose, cette formule… Mais rien n'a été pensé a priori — ils n'ont pas le cerveau pour ça.
En tout cas, ça fait les affaires simultanément des gratte-petit du ministère, et des pédagos. Moins de tracas pour les uns, plus de pouvoir pour les autres.
Ils auront quand même des difficultés à installer ce système en Primaire...
Vous savez sans doute qu'ils rêvent d'E2P (nouveau sigle des EPEP) de 15 classes dirigées par un "chef d'établissement" nommé lui-même par un "conseil d'administration" composé d'élus municipaux, de parents d'élèves (et anecdotiquement d'enseignants).
Or, selon le HCE, en 2006, il y avait en France 56 000 écoles, dont la moitié avait moins de 5 classes ! Cerise sur le gâteau, il y avait encore 7000 écoles à classe unique (un seul poste de PE pour toute la commune) !
Si vous connaissez un peu la mentalité de ces petites communes rurales (en gros, les 28 000 où sont installées des écoles à moins de cinq classes), vous vous êtes certainement rendu compte tout seuls que, si les conseils municipaux acceptent, non sans mal, d'organiser un RPI (regroupement pédagogique intercommunal) de cinq ou six classes, dans les régions où cela est possible (vous évacuez toutes les zones de montagne et les îles), ils n'accepteront que très difficilement de s'organiser à quinze (ou même plus, il n'y a aucune raison pour que les communes sans école mais avec enfants de moins de douze ans participent financièrement à l'E2P sans y participer administrativement) et de faire faire à leurs enfants chaque matin et chaque soir le tour du canton (ou même plus, chez nous, il y a des cantons regroupant une centaine de gamins tout au plus, dans cinq classes distantes de plus de quinze kilomètres les unes des autres) en car ! Surtout si les frais de déplacements sont à leur charge...
Ils répondront qu'ils ont les bâtiments sur place, qu'eux-mêmes ont fait toute leur scolarité dans ces bâtiments-là, qu'ils sont prêts à les améliorer, à les doter en matériel, à une condition, c'est que leurs enfants puissent en bénéficier au lieu de courir sur les routes pour trois fois plus cher... Et ils auront raison.
Pour la disparité des moyens à l'école primaire, cela fait des années qu'elle s'accroit. Des écoles ont un budget par élève 10 fois supérieur que d'autres (et la création des ZEP ne compense absolument pas cette disparité...).
Pour les concours régionaux pour le recrutement des enseignants du second degré, on aura surtout le phénomène qui se produit pour le CRPE: Les régions et les dpts "côtés" (sud de la France) seront plus sélectifs et donc plus difficiles que dans d'autres régions. Cela dit au passage aucune influence n'est constatée sur le niveau des élèves...
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Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
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- Les informaticiens du ministère de l'Education démentent formellement leur ministre Benoît Hamon.
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