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- AbraxasDoyen
Voilà. Il faisait beau, tout allait bien, et Kensington me casse le moral.
Mais qu'est-ce qu'ils sont c***, à la FCPE !
Mais qu'est-ce qu'ils sont c***, à la FCPE !
- kensingtonEsprit éclairé
Abraxas a écrit:Voilà. Il faisait beau, tout allait bien, et Kensington me casse le moral.
Vraiment désolé!
Mais qu'est-ce qu'ils sont c***, à la FCPE !
On est d'accord!
- kaoriNiveau 5
ben oui, ce sont des parents, et s'entendre dire que Monchérimoncoeur n'a pas le niveau pour des études générales c'est inacceptable...
et ce sont les mêmes qui se plaignent quand leur gamin travaille dans des classes bruyantes, ou que le niveau baisse!!!
et ce sont les mêmes qui se plaignent quand leur gamin travaille dans des classes bruyantes, ou que le niveau baisse!!!
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Tu la vois ma massue tu la vois?
- InvitéeHrÉrudit
Lornet a écrit:Au niveau de l'hétérogénéité, quand j'ai demandé à mes 6e la différence entre catholiques et protestants parce qu'ils ne pouvaient pas comprendre le livre qu'ils étudiaient sans le savoir, un élève a levé sa main, évoqué les guerres de religion, Catherine de Médicis, la saint Barthélémy...Un autre, durant toute la suite de l'heure, a demandé sans comprendre que ça n'avait pas grand intérêt : "C'est qui Barthélémy ? ... Oui, mais c'est qui, Barthélémy ?"
Et moi hier des élèves me disent "c'est qui le grand Molnès" (au lieu du Grand Meaulnes), titre que j'avais écrit au tableau.Un élève rectifie et donne la bonne prononciation, je le félicite, ça rigole, ça chahute, on se moque de lui, je réponds que c'est important de bien épeler un titre, des élèves stupides me répondent qu'entre copains personne ne parle bouquins, le pauvre élève qui a bien répondu ne peut se faire entendre au milieu de la connerie satisfaite et triomphante. Je les vois tous les jours les pauvres gamins qui perdent leur temps dans des classes généreusement hétérogènes, et je me dis que c'est un gâchis sans nom la massification. De l'art de bousiller des classes entières avec des intentions généreuses.
- kaoriNiveau 5
+ 1000 à quand la fin de cette hypocrisie? que ceux qui se moquent de l'élève qui sait aillent faire autre chose...
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Tu la vois ma massue tu la vois?
- ChocolatGuide spirituel
Celeborn a écrit:Le temps de la réflexion, petit article de blog provoqué par la publication de ce rapport, et qui dit de nombreuses choses que j'avais très très envie de dire. C'est ici.
Excellent!
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- JohnMédiateur
Point de vue
Les experts du Haut conseil de l'éducation "ne savent toujours pas de quoi ils parlent"
LEMONDE.FR | 12.10.10 | 09h24
Michel Segal, professeur de mathématiques en collège
S'il est un signe caractéristique de notre société, c'est bien la religion de l'expertise : au réel, on préfère aujourd'hui sa représentation.
Ainsi, les innombrables témoignages sur l'échec dramatique du collège de 1975 laissent de marbre les observateurs, mais lorsque les critiques sont émises par un jury d'"experts", la chose est prise plus au sérieux. Ce n'est plus la vulgaire parole d'enseignants embourbés dans le réel qui sortent de l'école pour témoigner comme des soldats reviendraient du front pleins de feu et de sang pour dire ce qu'ils ont vu, c'est la parole d'experts qui regardent une photographie.
Dans le rapport sur le collège qu'ils ont rendu début octobre, les experts du Haut conseil de l'éducation "dénoncent" l'échec du collège, mais "ne savent toujours pas de quoi ils parlent", affirme Michel Segal.
Lequel de ces experts du Haut conseil de l'éducation (HCE) a déjà mis les pieds dans un collège ? Y en a-t-il un parmi eux qui ait eu envie d'aller voir, incognito, comment se déroulait un cours ou à quoi ressemblait une journée dans le bureau des surveillants ? Y en a-t-il seulement un qui ait une idée juste de ce à quoi ressemblent nos collégiens aujourd'hui ? Un rapport écrit dans ces conditions ne présente pas plus d'intérêt qu'un banal exercice à la portée de n'importe quel élève moyen de Sciences Po : lire d'autres rapports, faire des notes de synthèse et parcourir quelques enquêtes de comparaisons internationales. Mais le problème reste entier : ils ne savent toujours pas de quoi ils parlent. Bien sûr, l'échec du collège Haby est patent, tant sur un plan académique que social, et il ne pouvait pas échapper au HCE plus qu'à n'importe quel citoyen lisant parfois les journaux. Les experts du HCE "dénoncent" l'échec du collège comme des météorologues annonceraient en grande pompe qu'il est tombé de la pluie la veille.
On trouve dans ce rapport autant d'erreurs d'analyse rabâchées depuis des décennies que de lieux communs répandus par d'autres experts ou de fameux chercheurs ne connaissant de l'école que ce qu'en ont écrit leurs confrères. Pour exemple, on a droit au récurrent couplet sur les hypothétiques bienfaits de l'hétérogénéité des classes, supposée avoir été mesurée "scientifiquement". Mais de quoi parlent-ils au juste ? De l'hétérogénéité des connaissances ? De celles des capacités ? De celle des motivations ? Ces trois hétérogénéités-là sont fondamentalement différentes, mais encore faut-il enseigner pour le savoir. Pour exemple encore, le redoublement dont les "travaux des chercheurs" auraient montré l'inefficacité… en montrant que les redoublants avaient toujours plus de difficultés que les autres. Brillant raisonnement.
Mais là où le rapport devient extrêmement intéressant, c'est lorsque nos experts donnent leurs raisons de l'échec, et leurs préconisations pour en sortir.
Comme tous les défenseurs acharnés du collège unique, engoncés dans l'idéologie de l'égalitarisme dont ils ne comprennent pas qu'elle est d'abord nuisible aux plus faibles, ils commencent par affirmer que le collège unique n'existe pas dans les faits. Puis, ils se félicitent de ses bienfaits avec l'augmentation du nombre d'élèves dans le secondaire. (Y aurait-il une quelconque surprise à voir croître le nombre d'élèves scolarisés quand on prolonge la scolarité obligatoire avec un tronc commun unique ?) En s'appuyant sur Le livre blanc des collèges écrit par un inspecteur général du ministère… en 1994, et après avoir applaudi Le collège de l'an 2000 de François Dubet, nos experts concluent que le ministère n'a pas assez expliqué ses réformes, n'a pas assez formé ses enseignants et ne leur a pas donné assez de moyens pour qu'ils soient en mesure de faire ce qu'on leur disait de faire. Au passage, ils pointent également parmi ceux-là l'augmentation d'adversaires du collège unique. Comble de l'audace, ils utilisent ces statistiques pour justifier le bien-fondé de leur dénonciation de cette réticence d'enseignants comme un frein à la réussite du collège.
Pas une seconde, il ne leur vient à l'esprit que cette augmentation significative d'opposants au collège unique parmi les enseignants constitue justement la preuve de l'échec du collège unique lui-même. Le HCE réussit l'acrobatie de donner l'impression de crier au scandale sans qu'une seule ligne de son rapport ne remette en cause une seule orientation du ministère. Bien au contraire, il s'en félicite et pour trouver des "preuves" des bons choix du ministère, il utilise des typologies de systèmes éducatifs rédigés par les sociologues d'un même cercle, conseilleurs écoutés et suivis par les ministres depuis des années.
Quant aux préconisations, elles font froid dans le dos. Nos experts font du socle commun de 2005 la nouvelle bible. (L'un d'eux a dû feuilleter un programme de mathématiques car il se réjouit que les éléments du socle y soient écrits en italiques et trouve l'idée formidable, c'est dire le niveau d'analyse). Désormais, tout doit être axé dans cette direction : les compétences du socle (qui sont, rappelons-le, le strict minimum et, pour partie, les compétences précédemment acquises à l'école primaire). Ainsi, disent-ils, la finalité du collège serait de valider les "livrets de compétences" d'élèves en contrôle continu. Merveilleuse idée en effet puisqu'elle permettrait d'en finir avec les quelques 140 000 élèves sortant sans diplôme ! Aussi, sans honte ni crainte, ils proposent de lutter contre l'échec en faisant du collège le prolongement de l'école primaire avec cet objectif.
Nombreux sont les enseignants qui pensaient qu'on ne pouvait pas tomber plus bas dans l'aveuglement idéologique et l'absence d'exigence à l'école. Ce rapport est l'inquiétante augure que la chute n'est pas terminée.
Michel Segal est l'auteur de 17 réponses à la violence scolaire (Fondapol, octobre 2010), Violences scolaires : responsables et coupables (Autres temps, octobre 2010) et Autopsie de l'école républicaine (Autres temps, 2008).
Michel Segal, professeur de mathématiques en collège
Les experts du Haut conseil de l'éducation "ne savent toujours pas de quoi ils parlent"
LEMONDE.FR | 12.10.10 | 09h24
Michel Segal, professeur de mathématiques en collège
S'il est un signe caractéristique de notre société, c'est bien la religion de l'expertise : au réel, on préfère aujourd'hui sa représentation.
Ainsi, les innombrables témoignages sur l'échec dramatique du collège de 1975 laissent de marbre les observateurs, mais lorsque les critiques sont émises par un jury d'"experts", la chose est prise plus au sérieux. Ce n'est plus la vulgaire parole d'enseignants embourbés dans le réel qui sortent de l'école pour témoigner comme des soldats reviendraient du front pleins de feu et de sang pour dire ce qu'ils ont vu, c'est la parole d'experts qui regardent une photographie.
Dans le rapport sur le collège qu'ils ont rendu début octobre, les experts du Haut conseil de l'éducation "dénoncent" l'échec du collège, mais "ne savent toujours pas de quoi ils parlent", affirme Michel Segal.
Lequel de ces experts du Haut conseil de l'éducation (HCE) a déjà mis les pieds dans un collège ? Y en a-t-il un parmi eux qui ait eu envie d'aller voir, incognito, comment se déroulait un cours ou à quoi ressemblait une journée dans le bureau des surveillants ? Y en a-t-il seulement un qui ait une idée juste de ce à quoi ressemblent nos collégiens aujourd'hui ? Un rapport écrit dans ces conditions ne présente pas plus d'intérêt qu'un banal exercice à la portée de n'importe quel élève moyen de Sciences Po : lire d'autres rapports, faire des notes de synthèse et parcourir quelques enquêtes de comparaisons internationales. Mais le problème reste entier : ils ne savent toujours pas de quoi ils parlent. Bien sûr, l'échec du collège Haby est patent, tant sur un plan académique que social, et il ne pouvait pas échapper au HCE plus qu'à n'importe quel citoyen lisant parfois les journaux. Les experts du HCE "dénoncent" l'échec du collège comme des météorologues annonceraient en grande pompe qu'il est tombé de la pluie la veille.
On trouve dans ce rapport autant d'erreurs d'analyse rabâchées depuis des décennies que de lieux communs répandus par d'autres experts ou de fameux chercheurs ne connaissant de l'école que ce qu'en ont écrit leurs confrères. Pour exemple, on a droit au récurrent couplet sur les hypothétiques bienfaits de l'hétérogénéité des classes, supposée avoir été mesurée "scientifiquement". Mais de quoi parlent-ils au juste ? De l'hétérogénéité des connaissances ? De celles des capacités ? De celle des motivations ? Ces trois hétérogénéités-là sont fondamentalement différentes, mais encore faut-il enseigner pour le savoir. Pour exemple encore, le redoublement dont les "travaux des chercheurs" auraient montré l'inefficacité… en montrant que les redoublants avaient toujours plus de difficultés que les autres. Brillant raisonnement.
Mais là où le rapport devient extrêmement intéressant, c'est lorsque nos experts donnent leurs raisons de l'échec, et leurs préconisations pour en sortir.
Comme tous les défenseurs acharnés du collège unique, engoncés dans l'idéologie de l'égalitarisme dont ils ne comprennent pas qu'elle est d'abord nuisible aux plus faibles, ils commencent par affirmer que le collège unique n'existe pas dans les faits. Puis, ils se félicitent de ses bienfaits avec l'augmentation du nombre d'élèves dans le secondaire. (Y aurait-il une quelconque surprise à voir croître le nombre d'élèves scolarisés quand on prolonge la scolarité obligatoire avec un tronc commun unique ?) En s'appuyant sur Le livre blanc des collèges écrit par un inspecteur général du ministère… en 1994, et après avoir applaudi Le collège de l'an 2000 de François Dubet, nos experts concluent que le ministère n'a pas assez expliqué ses réformes, n'a pas assez formé ses enseignants et ne leur a pas donné assez de moyens pour qu'ils soient en mesure de faire ce qu'on leur disait de faire. Au passage, ils pointent également parmi ceux-là l'augmentation d'adversaires du collège unique. Comble de l'audace, ils utilisent ces statistiques pour justifier le bien-fondé de leur dénonciation de cette réticence d'enseignants comme un frein à la réussite du collège.
Pas une seconde, il ne leur vient à l'esprit que cette augmentation significative d'opposants au collège unique parmi les enseignants constitue justement la preuve de l'échec du collège unique lui-même. Le HCE réussit l'acrobatie de donner l'impression de crier au scandale sans qu'une seule ligne de son rapport ne remette en cause une seule orientation du ministère. Bien au contraire, il s'en félicite et pour trouver des "preuves" des bons choix du ministère, il utilise des typologies de systèmes éducatifs rédigés par les sociologues d'un même cercle, conseilleurs écoutés et suivis par les ministres depuis des années.
Quant aux préconisations, elles font froid dans le dos. Nos experts font du socle commun de 2005 la nouvelle bible. (L'un d'eux a dû feuilleter un programme de mathématiques car il se réjouit que les éléments du socle y soient écrits en italiques et trouve l'idée formidable, c'est dire le niveau d'analyse). Désormais, tout doit être axé dans cette direction : les compétences du socle (qui sont, rappelons-le, le strict minimum et, pour partie, les compétences précédemment acquises à l'école primaire). Ainsi, disent-ils, la finalité du collège serait de valider les "livrets de compétences" d'élèves en contrôle continu. Merveilleuse idée en effet puisqu'elle permettrait d'en finir avec les quelques 140 000 élèves sortant sans diplôme ! Aussi, sans honte ni crainte, ils proposent de lutter contre l'échec en faisant du collège le prolongement de l'école primaire avec cet objectif.
Nombreux sont les enseignants qui pensaient qu'on ne pouvait pas tomber plus bas dans l'aveuglement idéologique et l'absence d'exigence à l'école. Ce rapport est l'inquiétante augure que la chute n'est pas terminée.
Michel Segal est l'auteur de 17 réponses à la violence scolaire (Fondapol, octobre 2010), Violences scolaires : responsables et coupables (Autres temps, octobre 2010) et Autopsie de l'école républicaine (Autres temps, 2008).
Michel Segal, professeur de mathématiques en collège
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- InvitéeHrÉrudit
John a écrit:
S'il est un signe caractéristique de notre société, c'est bien la religion de l'expertise : au réel, on préfère aujourd'hui sa représentation
Bien vu !
- RobinFidèle du forum
Je me permets de mettre ici un lien avec le dernier article de mon blog dans lequel j'ai essayé d'analyser (avec un zeste d'humour) les élucubrations (pardon les préconisations) du Haut Conseil :
http://lechatsurmonepaule.over-blog.fr/
http://lechatsurmonepaule.over-blog.fr/
- DaphnéDemi-dieu
Merci Robin
- musaNeoprof expérimenté
Merci John c'est très intéressant. Et encourageant de voir que Michel Segal a une tribune dans le Monde.
Merci aussi Robin. Petite question: où avez-vous trouvé que la Finlande pratiquait une sélection à l'entrée en 6è? Je n'ai lu ça nulle part mais ça m'intéresse.
Merci aussi Robin. Petite question: où avez-vous trouvé que la Finlande pratiquait une sélection à l'entrée en 6è? Je n'ai lu ça nulle part mais ça m'intéresse.
- noelNiveau 5
J'ai trouvé ça : http://www.senat.fr/rap/r06-441/r06-44131.html
"Il convient de préciser que les élèves passent des examens d'aptitude pour l'entrée au collège, ceux ayant des résultats insuffisants étant dirigés vers l'enseignement professionnel. "
"Il convient de préciser que les élèves passent des examens d'aptitude pour l'entrée au collège, ceux ayant des résultats insuffisants étant dirigés vers l'enseignement professionnel. "
- musaNeoprof expérimenté
Merci! C'est vraiment étonnant, ça ne cadre pas du tout avec le discours habitue sur le "modèle finlandais"!
- DaphnéDemi-dieu
Mais ce n'est pas fait pour :lol:
- AuroreEsprit éclairé
Robin a écrit:Je me permets de mettre ici un lien avec le dernier article de mon blog dans lequel j'ai essayé d'analyser (avec un zeste d'humour) les élucubrations (pardon les préconisations) du Haut Conseil :
http://lechatsurmonepaule.over-blog.fr/
Robin, merci pour cette analyse aussi pertinente que complète !
- RobinFidèle du forum
Message par musa Hier à 14:06
Merci John c'est très intéressant. Et encourageant de voir que Michel Segal a une tribune dans le Monde.
Merci aussi Robin. Petite question: où avez-vous trouvé que la Finlande pratiquait une sélection à l'entrée en 6è? Je n'ai lu ça nulle part mais ça m'intéresse.
Ça m'énervait tellement cette histoire de supériorité du système éducatif finlandais, que j'ai essayé d'y regarder de plus près et je suis tombé sur cette histoire de sélection ; j'imagine que je ne suis pas le seul car j'ai remarqué qu'on parlait de moins en moins du "modèle finlandais". Tout bien réfléchi, je suis plutôt pour.
Merci John c'est très intéressant. Et encourageant de voir que Michel Segal a une tribune dans le Monde.
Merci aussi Robin. Petite question: où avez-vous trouvé que la Finlande pratiquait une sélection à l'entrée en 6è? Je n'ai lu ça nulle part mais ça m'intéresse.
Ça m'énervait tellement cette histoire de supériorité du système éducatif finlandais, que j'ai essayé d'y regarder de plus près et je suis tombé sur cette histoire de sélection ; j'imagine que je ne suis pas le seul car j'ai remarqué qu'on parlait de moins en moins du "modèle finlandais". Tout bien réfléchi, je suis plutôt pour.
- musaNeoprof expérimenté
Merci beaucoup Robin! Cela dit, j'aimerais avoir plusieurs témoignages car j'ai un peu du mal à y croire. Mais si c'est vrai c'est effectivement carrément une "bombe" et je ne manquerai pas de la balancer à l'occasion quand on me dégainera encore le modèle finlandais!
- frankensteinVénérable
Maintenant, ils parlent plus du modèle Danois ! Pour le financement et l'encadrement du personnel enseignant par les collectivités locales ainsi que pour le nbre de jours de présence dans les établissements. (si, si )musa a écrit:Merci beaucoup Robin! Cela dit, j'aimerais avoir plusieurs témoignages car j'ai un peu du mal à y croire. Mais si c'est vrai c'est effectivement carrément une "bombe" et je ne manquerai pas de la balancer à l'occasion quand on me dégainera encore le modèle finlandais!
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Mettez des pouces verts sur : https://www.youtube.com/user/Choristenimes/ videos
Si les élections pouvaient changer la société, elles seraient interdites.
- ClarianzEmpereur
Robin a écrit:Message par musa Hier à 14:06
Merci John c'est très intéressant. Et encourageant de voir que Michel Segal a une tribune dans le Monde.
Merci aussi Robin. Petite question: où avez-vous trouvé que la Finlande pratiquait une sélection à l'entrée en 6è? Je n'ai lu ça nulle part mais ça m'intéresse.
Ça m'énervait tellement cette histoire de supériorité du système éducatif finlandais, que j'ai essayé d'y regarder de plus près et je suis tombé sur cette histoire de sélection ; j'imagine que je ne suis pas le seul car j'ai remarqué qu'on parlait de moins en moins du "modèle finlandais". Tout bien réfléchi, je suis plutôt pour.
ben, oui, ce n'est pas un scoop, si??
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Mama's Rock
- JohnMédiateur
Selon ce site, il y a des sélections en seconde et non en sixième :
http://www.info-finlande.fr/societe/education/article/A_la_decouverte_du_systeme_educatif.html
http://www.info-finlande.fr/societe/education/article/A_la_decouverte_du_systeme_educatif.html
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
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