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- InvitéInvité
je pense qu'on lui donne du grain à moudre en parlant de lui
Tout à fait d'accord ...il aime se voir démoli par les "réacs".. cela fait vendre... mais il faudrait être aveugle pour ne pas voir la machine médiatique qui tend à l'encenser...
- PseudoDemi-dieu
Tout cela m'inquiète d'autant plus que j'ai eu une discussion avec un cousin qui m'expliquait que la langue française était devenue trop peu claire, trop snob, et que si elle voulait concurencer l'anglais dans le monde scientifique il fallait revenir à un français clair et net.
Quelque chose me dit qu'il n'a pas inventé ça tout seul et qu'il ne fait que reprendre une théorie, puante à mon sens, qui doit avoir court dans certains milieux. Bégotruc ne serait donc qu'un des parangons de cette "nouvelle" idéologie (oupss... excusez pour le langage compliqué et bourgeois).
Quelque chose me dit qu'il n'a pas inventé ça tout seul et qu'il ne fait que reprendre une théorie, puante à mon sens, qui doit avoir court dans certains milieux. Bégotruc ne serait donc qu'un des parangons de cette "nouvelle" idéologie (oupss... excusez pour le langage compliqué et bourgeois).
- minnieExpert
C'est super choquant le gros plagiat du bouquin d'Onfray... surtout qu'il ne joue vraiment pas dans la même cours.
- InvitéInvité
Ce n'est pas un plagiat mais le titre d'une collection. Le propos d'Onfray pouvait se tenir...mais les commentaires sur les oeuvres me choquent au plus haut point.
L'Anglais ne s'est pas modernisé...il s'est réduit à sa plus simple expression pour permettre la communication. On ne se place pas dans la perspective de l'enseignement d'une culture.
L'Anglais ne s'est pas modernisé...il s'est réduit à sa plus simple expression pour permettre la communication. On ne se place pas dans la perspective de l'enseignement d'une culture.
- Reine MargotDemi-dieu
franchement pour l'anglais "réduit à sa plus simple expression" ils n'ont pas dû beaucoup lire shakespeare!
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- minnieExpert
[quote="Farnace"]Ce n'est pas un plagiat mais le titre d'une collection. Le propos d'Onfray pouvait se tenir...mais les commentaires sur les oeuvres me choquent au plus haut point.
Je ne savais pas.... quand même ça mélange deux auteurs qui n'ont pas la même carrure - quoiqu'on pense d'Onfray qui n'est pas non plus aimé par tout le monde.
Je ne savais pas.... quand même ça mélange deux auteurs qui n'ont pas la même carrure - quoiqu'on pense d'Onfray qui n'est pas non plus aimé par tout le monde.
- Invité24Vénérable
je ne sais quoi penser de ce titre, mais j'ai tous les bouquins de la collection (philo, economie, médecine, sexualité) et je les apprécie.
- RuthvenGuide spirituel
Pseudo a écrit: Si elle voulait concurencer l'anglais dans le monde scientifique il fallait revenir à un français clair et net. Quelque chose me dit qu'il n'a pas inventé ça tout seul et qu'il ne fait que reprendre une théorie, puante à mon sens, qui doit avoir court dans certains milieux.
Cette théorie a cours dans le milieu de la recherche, y compris en sciences humaines. Elle n'est pas en soi "puante", mais tient compte de la diffusion des savoirs dans un contexte mondialisé. En gros, on déconseille d'écrire une thèse dans un style baroque, il faut de la simplicité et de la limpidité dans la construction des phrases pour que les étrangers puissent lire le travail (pour avoir dû lire de l'allemand sans formation scolaire de germaniste, c'est vrai qu'il y a une réelle différence entre ceux qui font un effort de clarté et ceux qui se laissent embarquer dans des effets de style). La question de la littérature, c'est autre chose.
minnie a écrit:C'est super choquant le gros plagiat du bouquin d'Onfray... surtout qu'il ne joue vraiment pas dans la même cours.
Cette survalorisation d'Onfray est quand même un peu inquiétante, même s'il est vrai qu'on ne peut pas lui comparer Bégaudeau. Si son anti-manuel de philosophie n'était pas indigne, il était en son fond très classique (de la méthodo., des intros, des textes); Onfray crache sur l'institution scolaire comme le ferait un adolescent; pire que tout cela, il laisse à entendre qu'il n'y a pas de liberté dans l'enseignement philosophique, qu'il y a des contraintes d'auteurs nécessairement dualistes (Platon-Descartes-Kant), ce qui est une contre-vérité totale. Le programme est un programme de notions et l'on peut choisir la direction que l'on veut pour résoudre un problème (on peut très bien faire des cours d'inspiration nietzschéenne sans aucun souci); en terme de contenu d'enseignement, les profs de philo. disposent d'une liberté incroyable. Quant à sa pertinence d'historien de la philosophie, il faut parfois se méfier, il est souvent plus pamphlétaire qu'historien. Malgré son omniprésence médiatique (y compris sur France Culture), il n'est pas le penseur révolutionnaire qu'il prétend être (même si sur le fond on peut adhérer à cet espèce d'hédonisme ultra-individualiste qu'il veut concilier à une politique de gauche). En terme de vulgarisation philosophique, A.Comte-Sponville, un autre matérialiste, est sans doute bien plus fin.
- InvitéInvité
Je suis bien content de voir que je ne suis pas le seul à me pâmer devant Onfray.
- RuthvenGuide spirituel
Bon, j'en rajoute une couche alors sur Onfray : c'est l'adolescence érigée en philosophie. Il se veut penseur de la pure positivité, comme si la limite était seulement un obstacle à l'affirmation, alors qu'il n'y a pas de position sans opposition; je ne me définis que par ce que je surpasse ou ce qui me borne. Lorsqu'il invente par exemple la notion d' érotique solaire, il passe justement, aveuglé par une idéologie du plaisir pur, à côté de ce qui constitue l'essence de l'érotique, à savoir l'ombre ou le clair-obscur, toujours en vertu de ce souci d'affirmation de soi. (Ses livres se lisent bien, et sont intéressants pour les anecdotes que l'on peut utiliser en cours).
- AbraxasDoyen
Qui évoquait l'article d'Assouline sur Nigodo, un peu plus haut ?
En tout cas, le voici :
"Trop fort, Bégaudeau !
Pourtant, je m’étais promis de ne pas aller voir son film et donc de ne pas en parler. La bande-annonce m’avait suffi, impression confirmée par ses innombrables interviews. Le récent dossier du Nouvel obs, rare voix détonante dans un choeur dirigée à l’origine par Sean Penn qui ne comprend pas le français, m’avait ragaillardi. Enfin, des enseignants de la proche banlieue qui osaient mettre un zéro pointé à cette copie pleine de clichés racoleurs !Précisons que j’avais tout de même lu le livre à l’origine du film ainsi qu’un autre particulièrement calamiteux paru peu après. Il y a comme ça des gens qui vous tapent sur les nerfs avant même qu’ils aient ouvert la bouche. Disons que c’est épidermique. Mais voilà que le Bégaudeau me rattrape jusque chez moi en me faisant tenir son Antimanuel de littérature (300 pages, 21 euros, Editions Bréal) orné d’une exquise dédicace témoignant de ce que François est un lecteur assidu de la RDL :” Cher P.A., toujours un plaisir d’être brocardé par les réacs, vous gênez pas“. Même là, il parle en djeune ! Te gêne pas ! Nique ta grammaire ! Bref, j’ai lu tout de même cette oeuvre d’un homme de progrès. C’est écrit comme c’est dédicacé. La matière est classée en cinq parties : Qu’est-ce que (n’est pas) la littérature ? La pureté lui va-t-elle bien au teint ? Quand est-ce de la littérature ? Qu’est-ce qu’un écrivain ? La littérature va-t-elle disparaître ?
On y trouve les grands auteurs du programme ainsi que des inédits de lecteurs graves de chez grave (”Putain oh putain, t’es trop amoureuse toi, trop space et zarbe…”), Montesquieu et la fille de ma voisine. Ca se veut panoramique, ce n’est que bavard. Le pire c’est que ça se croit drôle alors que c’est d’un lourdingue ! Surtout les notes en bas de page où l’on doit subir, en deux couleurs, un ping-pong entre l’auteur et l’éditeur. Genre à propos de Zola :”N.d.é : L’Assommoir est publié cent ans avant le premier album des Damned, qui lance vraiment le mouvement punk. N.d.a. : il y a quand même aussi le passage des Pistols à l’émission de Bill Grundy. N.d.é.: oui mais je parlais discographiquement. N.d.a.: OK”. Mais quel âge a-t-il au juste, Bégaudeau ? Il est resté trop longtemps à l’école. C’est de l’humour à deux balles comme on dit du côté de chez lui.
Il n’y a qu’à voir ses définitions des auteurs cités (mais oui, mais oui, un auteur se définit) :”Artaud : sa soeur Florence traversa l’Atlantique en catamaran pour fuir ses cris”, “Bernanos : Antisémiteet auteur de bons livres, cela se peut”, ” Char : M’aura au moins permis de placer “Arrête ton char René” dans quelques conversations”, “La Rochefoucauld : Rien à faire, chaque fois que vous le croisez en ville vous l’appelez Maxime”, ” Proust : Peut être considéré comme un immense écrivain, si on arrive à oublier qu’il se prénomme Marcel”, “Zola : Aurait eu l’air malin si Dreyfus était coupable”, “Diderot : Un ami, et c’est réciproque”… . Comme quoi on peut être benêt et agrégé, ce n’est pas incompatible. Et dire que ça se veut un aussi un “guide de l’écrivain en herbe”… François Bégaudeau présente son Antimanuel comme “un livre un peu comique qui me ressemble”. C’est bien ce que l’on craignait.
Il est si pressé de désacraliser la littérature, en cédant à toutes les sirènes de la mode, de l’air du temps, de la médiocrité et de la démagogie ambiantes, qu’il la massacre avec la suffisance que lui autorise désormais l’auréole du succès. Deux bons points tout de même : les extraits, bien choisis (Gombrowicz, Faulkner, Guyotat, Barthes, Rancière, Stendhal…) et les illustrations (photos, peintures, dessins, bravo l’iconographe). Dommage qu’on les ait entrelardés d’un texte aussi infantile digne de l’infra-potache. Le succès du film lui a si vite monté à la tête qu’il n’a pas vu à quel point il se déconsidérait en publiant ça. Si j’avais eu un professeur de Lettres comme François Bégaudeau, je me serais inscrit au télé-enseignement. Pour 21 euros, Brèves de blog en dit bien davantage, bien mieux et en plus drôle sur la littérature et les écrivains. Enfin, ce que j’en dis…"
En tout cas, le voici :
"Trop fort, Bégaudeau !
Pourtant, je m’étais promis de ne pas aller voir son film et donc de ne pas en parler. La bande-annonce m’avait suffi, impression confirmée par ses innombrables interviews. Le récent dossier du Nouvel obs, rare voix détonante dans un choeur dirigée à l’origine par Sean Penn qui ne comprend pas le français, m’avait ragaillardi. Enfin, des enseignants de la proche banlieue qui osaient mettre un zéro pointé à cette copie pleine de clichés racoleurs !Précisons que j’avais tout de même lu le livre à l’origine du film ainsi qu’un autre particulièrement calamiteux paru peu après. Il y a comme ça des gens qui vous tapent sur les nerfs avant même qu’ils aient ouvert la bouche. Disons que c’est épidermique. Mais voilà que le Bégaudeau me rattrape jusque chez moi en me faisant tenir son Antimanuel de littérature (300 pages, 21 euros, Editions Bréal) orné d’une exquise dédicace témoignant de ce que François est un lecteur assidu de la RDL :” Cher P.A., toujours un plaisir d’être brocardé par les réacs, vous gênez pas“. Même là, il parle en djeune ! Te gêne pas ! Nique ta grammaire ! Bref, j’ai lu tout de même cette oeuvre d’un homme de progrès. C’est écrit comme c’est dédicacé. La matière est classée en cinq parties : Qu’est-ce que (n’est pas) la littérature ? La pureté lui va-t-elle bien au teint ? Quand est-ce de la littérature ? Qu’est-ce qu’un écrivain ? La littérature va-t-elle disparaître ?
On y trouve les grands auteurs du programme ainsi que des inédits de lecteurs graves de chez grave (”Putain oh putain, t’es trop amoureuse toi, trop space et zarbe…”), Montesquieu et la fille de ma voisine. Ca se veut panoramique, ce n’est que bavard. Le pire c’est que ça se croit drôle alors que c’est d’un lourdingue ! Surtout les notes en bas de page où l’on doit subir, en deux couleurs, un ping-pong entre l’auteur et l’éditeur. Genre à propos de Zola :”N.d.é : L’Assommoir est publié cent ans avant le premier album des Damned, qui lance vraiment le mouvement punk. N.d.a. : il y a quand même aussi le passage des Pistols à l’émission de Bill Grundy. N.d.é.: oui mais je parlais discographiquement. N.d.a.: OK”. Mais quel âge a-t-il au juste, Bégaudeau ? Il est resté trop longtemps à l’école. C’est de l’humour à deux balles comme on dit du côté de chez lui.
Il n’y a qu’à voir ses définitions des auteurs cités (mais oui, mais oui, un auteur se définit) :”Artaud : sa soeur Florence traversa l’Atlantique en catamaran pour fuir ses cris”, “Bernanos : Antisémiteet auteur de bons livres, cela se peut”, ” Char : M’aura au moins permis de placer “Arrête ton char René” dans quelques conversations”, “La Rochefoucauld : Rien à faire, chaque fois que vous le croisez en ville vous l’appelez Maxime”, ” Proust : Peut être considéré comme un immense écrivain, si on arrive à oublier qu’il se prénomme Marcel”, “Zola : Aurait eu l’air malin si Dreyfus était coupable”, “Diderot : Un ami, et c’est réciproque”… . Comme quoi on peut être benêt et agrégé, ce n’est pas incompatible. Et dire que ça se veut un aussi un “guide de l’écrivain en herbe”… François Bégaudeau présente son Antimanuel comme “un livre un peu comique qui me ressemble”. C’est bien ce que l’on craignait.
Il est si pressé de désacraliser la littérature, en cédant à toutes les sirènes de la mode, de l’air du temps, de la médiocrité et de la démagogie ambiantes, qu’il la massacre avec la suffisance que lui autorise désormais l’auréole du succès. Deux bons points tout de même : les extraits, bien choisis (Gombrowicz, Faulkner, Guyotat, Barthes, Rancière, Stendhal…) et les illustrations (photos, peintures, dessins, bravo l’iconographe). Dommage qu’on les ait entrelardés d’un texte aussi infantile digne de l’infra-potache. Le succès du film lui a si vite monté à la tête qu’il n’a pas vu à quel point il se déconsidérait en publiant ça. Si j’avais eu un professeur de Lettres comme François Bégaudeau, je me serais inscrit au télé-enseignement. Pour 21 euros, Brèves de blog en dit bien davantage, bien mieux et en plus drôle sur la littérature et les écrivains. Enfin, ce que j’en dis…"
- ArtémisHabitué du forum
Je ne connaissais pas cet ouvrage si intelligent... Effrayant...
- minnieExpert
Ruthven tu écris : "Cette survalorisation d'Onfray est quand même un peu inquiétante, même s'il est vrai qu'on ne peut pas lui comparer Bégaudeau."
Faudrait voir à ne pas déformer mes propos.
"survalorisation" alors que je dis que "ces propos peuvent se tenir" tu pousses un peu... surtout que tu es d'accord avec moi au final : les deux bonhommes ne sont pas comprables, même si tu les détestes tous les deux.
Trouve un autre prétexte pour démolir ce cher Onfray.
Faudrait voir à ne pas déformer mes propos.
"survalorisation" alors que je dis que "ces propos peuvent se tenir" tu pousses un peu... surtout que tu es d'accord avec moi au final : les deux bonhommes ne sont pas comprables, même si tu les détestes tous les deux.
Trouve un autre prétexte pour démolir ce cher Onfray.
- eowynNiveau 7
il m insupporte ce type!
et apres il va vous dire que son bouquin est un cri d amour pour la littérature, et que Baudelaire c est de la merde...sisi je vous jure, c est ce qu il a dit dans "la grande librairie"
et apres il va vous dire que son bouquin est un cri d amour pour la littérature, et que Baudelaire c est de la merde...sisi je vous jure, c est ce qu il a dit dans "la grande librairie"
- InvitéInvité
J'ai feuilleté mercredi le fameux anti manuel. Je trouve qu'Assouline a été fort indulgent ..l'élément le plus intéressant était de voir la fameuse boite "merda de l'artista" de Pierro Manzoni. Symptomatique..langage vulgaire, textes sans grand intérêt..c'est un coup médiatique.
Comme dit Marquise, laissons le propos, ne nous énervons pas.. le mieux serait que le texte soit pilonné en grand nombre.
Pour les fans de Begaudeau, ils pourront admirer leur idole dans le magazine Muze tous les mois.. entre l'article sur le rouge à lêvres et la célébration du film, cette semaine un article sur Zazie dans le Métro qui n'apporte rien. Il faut simplement espérer que l'on ne nous mette pas un extrait de son oeuvre immortelle dans le prochain sujet sti, stg pour faire djeun .. il y a trois ans, nous n'avons pas échappé au plumitif du magazine littéraire..
Comme dit Marquise, laissons le propos, ne nous énervons pas.. le mieux serait que le texte soit pilonné en grand nombre.
Pour les fans de Begaudeau, ils pourront admirer leur idole dans le magazine Muze tous les mois.. entre l'article sur le rouge à lêvres et la célébration du film, cette semaine un article sur Zazie dans le Métro qui n'apporte rien. Il faut simplement espérer que l'on ne nous mette pas un extrait de son oeuvre immortelle dans le prochain sujet sti, stg pour faire djeun .. il y a trois ans, nous n'avons pas échappé au plumitif du magazine littéraire..
- PseudoDemi-dieu
Ruthven a écrit:
Cette théorie a cours dans le milieu de la recherche, y compris en sciences humaines. Elle n'est pas en soi "puante", mais tient compte de la diffusion des savoirs dans un contexte mondialisé. En gros, on déconseille d'écrire une thèse dans un style baroque, il faut de la simplicité et de la limpidité dans la construction des phrases pour que les étrangers puissent lire le travail (pour avoir dû lire de l'allemand sans formation scolaire de germaniste, c'est vrai qu'il y a une réelle différence entre ceux qui font un effort de clarté et ceux qui se laissent embarquer dans des effets de style). La question de la littérature, c'est autre chose.
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Quand cette théorie prétend vouloir réformer la langue et l'enseignement de celle-ci, je la trouve puante. Et il s'agit bien de cela. Pour ce qui est de ne pas donner dans le style "baroque" pour un article scientifique, il s'agit de s'adapter à son destinataire. Cela n'empêche pas (ou ne devrait pas empêcher) d'avoir une langue plus riche et plus complexe dans d'autres cadres.
- Reine MargotDemi-dieu
heu....on peut faire la différence entre clarté et pauvreté non?
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
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