Page 4 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
- DaphnéDemi-dieu
J'ai vu - je ne sais plus dans quel article - que ce collègue était agrégé hors classe, si c'est vrai ça m'étonnerait qu'il passe en commission disciplinaire pour incompétence.
Et puis ce type de commission est rarissime, il faut vraiment abuser pour y passer. Surtout à son âge.
Et puis ce type de commission est rarissime, il faut vraiment abuser pour y passer. Surtout à son âge.
- ZarkoHabitué du forum
Si c'est exact, ça n'est plus du tout pareil...
_________________
Chacun a raison de son propre point de vue, mais il n'est pas impossible que tout le monde ait tort. (Gandhi)
La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. (Albert Einstein)
Tout ce qui ne tue pas rend plus fort...ou bien très malade ! (Nietzsche...et moi, mais pas malade !)
- ChocolatGuide spirituel
prof a écrit:
Merci Lorica ! Tu as tout compris toi au moins à mon ironie. Cela ne te dédoine pas d'une part de la responsabilité collective que nous avons tous dans ce suicide. Il est temps de regarder notre propre fonctionnement dans le malheur des autres. Cessons de nous demander pourquoi il est mort. Demandons nous plutôt pourquoi nous l'avons tué. Et surtout arrêtons de tuer les vivants qui sont autour de nous. Que cet acte soit une leçon pour tous ceux qui reste et qui retourneront dès lundi dans la salle des profs.Avis aux assassins !
Si le sujet n'était pas aussi grave, je te dirais juste que tu es en plein délire!
Mais non, hein
Donc
Tes propos sont tout simplement irrecevables, car d'une part scandaleux, et d'autre part totalement injustifiés!
Chaque être humain est responsable de sa personne, de ses choix et des actes qui vont avec.
Qq'un qui va vraiment mal, et qui a vraiment un gros problème, ne se confiera pas facilement.
Tout le monde n'est pas obligé d'avoir des dons de psy afin de détecter le mal être, très souvent très bien dissimulé (hélas) d'autrui.
Une mise en accusation peut être faite lorsqu'on a refusé d'accorder l'aide à qq'un qui l'a sollicitée, d'une manière ou d'une autre.
Et ça, il n'y a, pour le cas qui fait l'objet de ce fil, que l'entourage proche et moins proche de l'enseignant en question qui soit en mesure d'exprimer un avis. Il n'y a qu'eux qui sachent s'il allait bien ou mal, s'il a demandé de l'aide ou non, si son comportement était différent ces derniers temps, et encore... alors nous ici, rien; tout est spéculation!
Or accuser sur cette base, c'est très grave!
Point
_________________
- InvitéInvité
c'est comme ça que les profs agressés sont toujours "bien notés par leur hiérarchie"kensington a écrit:Je viens de lire sur un autre forum le post de quelqu'un qui lui-même a lu ça sur un autre forum (vous suivez?):
ce que ne dit pas le recteur, c'est que ce professeur (et j'utilise ce terme car sa fonction est bien partie de son geste) allait passer en commission paritaire pour "insuffisance professionnelle" comme l'une de ses collègues (d'EPS elle aussi) l'a été cette semaine. le but de la commission paritaire réunie cette semaine était de faire voter son licenciement. je suis finalement heureux d'apprendre de la bouche du recteur que cet homme était «remarquablement apprécié par ses collègues et fortement investi dans l'établissement». mais alors, est ce que cette future commission aurait pu influencer un homme à quelques années de la retraite pour commettre l'irréparable ?
Vous n'avez jamais remarqué?
- InvitéNGrand sage
Je viens de lire sur un autre forum le post de quelqu'un qui lui-même a lu ça sur un autre forum (vous suivez?):Lu sur un forum, donc à prendre avec des pincettes tant que ce n'est pas
confirmé:
ce que ne dit pas le recteur, c'est que ce professeur (et j'utilise ce terme car sa fonction est bien partie de son geste) allait passer en commission paritaire pour "insuffisance professionnelle" comme l'une de ses collègues (d'EPS elle aussi) l'a été cette semaine. le but de la commission paritaire réunie cette semaine était de faire voter son licenciement. je suis finalement heureux d'apprendre de la bouche du recteur que cet homme était «remarquablement apprécié par ses collègues et fortement investi dans l'établissement». mais alors, est ce que cette future commission aurait pu influencer un homme à quelques années de la retraite pour commettre l'irréparable ?
J'espère que l'affaire ne sera pas étouffée si cette version s'avère exacte.
N'êtes-vous pas étonné qu'on ait entendu personne de l'établissement témoigner (même pour dire quelques "banalités"), pas même le/la principal(e)?
En ce cas la réaction du SNEP serait trompeuse et mensongère car les représentants syndicaux ne peuvent ignorer une telle situation. En fait des collègues ayant travaillé avec ce collègue témoignent tous sur pepsteam ( forum collaboratif de prof d'eps ) du sérieux, de l'autorité et des compétences de celui-ci. Qu'est ce qui pourrait l'avoir fait basculer ??
Pensées pour la famille
- InvitéInvité
parce que ça n'en est plusDaphné a écrit:prof a écrit:Lorica a écrit:euh... le message de prof est à prendre au 36e degré.
J'aime beaucoup, mais c'est parce que mon sens de l'humour est très spécial
Merci Lorica ! Tu as tout compris toi au moins à mon ironie. Cela ne te dédoine pas d'une part de la responsabilité collective que nous avons tous dans ce suicide. Il est temps de regarder notre propre fonctionnement dans le malheur des autres. Cessons de nous demander pourquoi il est mort. Demandons nous plutôt pourquoi nous l'avons tué. Et surtout arrêtons de tuer les vivants qui sont autour de nous. Que cet acte soit une leçon pour tous ceux qui reste et qui retourneront dès lundi dans la salle des profs.Avis aux assassins !
Comprends pas cet humour.
- DaphnéDemi-dieu
Je dirais même que ça en est très loin
- zabriskieÉrudit
Par "drôle de choix", j'entends le fait de se suicider dans un lieu plus ou moins public, d'une façon particulièrement violente.
Et je reviens encore sur les propos de "prof". S'il a envie de se considérer comme un salopard indifférent à la détresse d'autrui, grand bien lui fasse. Maintenant, venir dire ça dans un forum où les participants prennent toujours le temps de répondre à un collègue qui fait part de ses difficultés, c'est juste déplacé. Ce forum est bien la preuve que la solidarité existe dans notre métier.
Je me range à nouveau du côté des propos de Chocolat : non, nous ne sommes pas de pauvres choses ballotées par l'existence, chaque individu demeure responsable de ses actes, et on ne peut pas tout pour quelqu'un. Ca ne veut pas dire bien sûr qu'il ne faut pas essayer...
Et je reviens encore sur les propos de "prof". S'il a envie de se considérer comme un salopard indifférent à la détresse d'autrui, grand bien lui fasse. Maintenant, venir dire ça dans un forum où les participants prennent toujours le temps de répondre à un collègue qui fait part de ses difficultés, c'est juste déplacé. Ce forum est bien la preuve que la solidarité existe dans notre métier.
Je me range à nouveau du côté des propos de Chocolat : non, nous ne sommes pas de pauvres choses ballotées par l'existence, chaque individu demeure responsable de ses actes, et on ne peut pas tout pour quelqu'un. Ca ne veut pas dire bien sûr qu'il ne faut pas essayer...
- InvitéInvité
@ zabriskie : mes critiques ne s'adressaient pas à toi bien sûr. Toi tu es différent. Ne change rien.
- ChocolatGuide spirituel
prof a écrit:@ zabriskie : mes critiques ne s'adressaient pas à toi bien sûr. Toi tu es différent. Ne change rien.
Arrête d'essayer de brosser les gens dans le sens du poil parce que tu constates que tes énormités ne passent pas!
C'est encore pire que le fait d'assumer tes dires...
Et j'espère juste que tu n'es pas prof!
_________________
- lene75Prophète
zabriskie a écrit:Par "drôle de choix", j'entends le fait de se suicider dans un lieu plus ou moins public, d'une façon particulièrement violente.
J'ai bien compris ce que tu désignais par "drôle de choix", ce que je ne comprends pas, c'est en quoi il l'est. Ça me paraît être un choix tout à fait naturel, du moins s'il a effectivement une signification professionnelle.
Tout comme prof (peut-être), j'ai été choquée par certains propos que tu as pu tenir sur l'absence de souci de l'autre de celui qui s'est suicidé, comme si la souffrance devait demeurer cachée pour ne pas déranger la tranquillité des autres.
Ces discussions me rappellent d'ailleurs celles de nos élèves lors du suicide de l'une de leurs camarades. À des hurlements de détresse de la forme "Elle n'avait pas le droit de faire ça, est-ce qu'elle se rend compte du mal qu'elle a fait autour d'elle ?" répondaient des "On n'a pas le droit de la juger, il faut respecter son choix, même si c'est dur de ne pas savoir pourquoi elle a fait ça".
Il n'est peut-être pas si facile que ça de trancher entre les deux positions, même si chacun a son avis sur la question... mais c'est une question générale sur le suicide. Je crois que la question que nous nous posons, en tant que profs est plutôt de savoir, maintenant que c'est fait (et sans juger ce qui a pu être fait), quelle est la signification de ce geste commis par l'un de nos collègues sur son lieu de travail.
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- InvitéInvité
Chocolat a écrit:prof a écrit:@ zabriskie : mes critiques ne s'adressaient pas à toi bien sûr. Toi tu es différent. Ne change rien.
Arrête d'essayer de brosser les gens dans le sens du poil parce que tu constates que tes énormités ne passent pas!
C'est encore pire que le fait d'assumer tes dires...
Et j'espère juste que tu n'es pas prof!
les deux dernières phrases (au moins) de prof sont ironiques
- ChocolatGuide spirituel
Lorica a écrit:
les deux dernières phrases (au moins) de prof sont ironiques
Heu... je reconnais que je ne suis pas d'humeur à jouer sur les mots sur un sujet aussi grave que le suicide!
Très discutables, et l'humour, et l'ironie de "prof", dans un tel contexte.
Par conséquent, je maintiens mon propos!
_________________
- ChocolatGuide spirituel
lene75 a écrit:
Tout comme prof (peut-être), j'ai été choquée par certains propos que tu as pu tenir sur l'absence de souci de l'autre de celui qui s'est suicidé, comme si la souffrance devait demeurer cachée pour ne pas déranger la tranquillité des autres.
Je n'ai pas du tout lu cela dans les propos de Zabriskie.
Est-ce que tu veux bien rappeler les propos qui affirment cela?
_________________
- InvitéInvité
c'est ce qu'on appelle un troll; c'est ton indignation qui l'attire. Ignore-le.Chocolat a écrit:Lorica a écrit:
les deux dernières phrases (au moins) de prof sont ironiques
Heu... je reconnais que je ne suis pas d'humeur à jouer sur les mots sur un sujet aussi grave que le suicide!
Très discutables, et l'humour, et l'ironie de "prof", dans un tel contexte.
Par conséquent, je maintiens mon propos!
- miss sophieExpert spécialisé
Zabriskie, je te rejoins tout à fait sur le choix qu'a fait ce collègue de se tuer de cette manière-là et dans ce lieu-là. En fait, lorsque j'ai appris la nouvelle, ma première pensée a été pour ses collègues... Je sais bien que lorsqu'on est désespéré au point de se tuer, on est dans l'incapacité de prendre en compte les autres, et pourtant cela me choque, quelqu'un qui va se faire sauter la cervelle devant des gens qu'il connaît.
- lene75Prophète
@chocolat, voici les phrases qui me font penser ça :
zabriskie a écrit:Alors oui, ce monsieur s'est suicidé en salle des profs. Acte symbolique a-t-on dit ; on pourrait aussi dire acte fou. Laisser entendre aux autres qu'ils sont responsables de votre mort est profondément injuste ; personne ne mérite de se prendre un acte d'une telle violence en pleine face, pas même celui qui n'a pas été solidaire ou qui a fermé les yeux.
J'imagine bien que celui qui se suicide en arrive à cette extrémité parce qu'il ne voit plus aucune autre solution, mais j'ai beaucoup de mal avec les "mises en scène", qui sont l'indice d'un certain calcul.
Certain ici ont souligné - et c'est d'ailleurs assez glauque ! - que s'ils avaient dû en arriver là, ils auraient pris soin d'épargner leurs proches. Cela témoigne d'un souci de l'autre qui perdurerait même quand on s'apprête à commettre l'irréparable ; cela n'apparaît pas dans l'acte de ce monsieur.
Nous ne pouvons pas utiliser ces drames pour nous faire entendre, parce que c'est trop grave et trop compliqué. Si ceux qui étouffent l'affaire le font de façon dégueulasse, autorisons-nous néanmoins à penser qu'un tel acte témoigne d'un type très particulier de rapport à l'autre.
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- ChocolatGuide spirituel
Lorica a écrit:
c'est ce qu'on appelle un troll; c'est ton indignation qui l'attire. Ignore-le.
Je n'ai pas la moindre envie de l'ignorer.
Il est indigne de tenir de tels propos et se se prétendre enseignant!
D'ailleurs, je n'ai plus la moindre envie d'ignorer les cons en général.
Et j'arrête là, pour épargner John et les modos en cette merveilleuse journée de 1er mai (ils en ont bien de la patience, avec ce genre de zozos qui se ramènent régulièrement par ici...)
_________________
- ChocolatGuide spirituel
lene75 a écrit:@chocolat, voici les phrases qui me font penser ça :
Rien ne me choque dans les propos que tu cites; mais je ne les lis pas de la même manière que toi, sans doute.
Et je trouve ton interprétation abusive, du coup
_________________
- lene75Prophète
Chocolat a écrit:Et je trouve ton interprétation abusive, du coup
Miss sophie semble avoir la même :
Zabriskie, je te rejoins tout à fait (...)
Je sais bien que lorsqu'on est désespéré au point de se tuer, on est
dans l'incapacité de prendre en compte les autres
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- ChocolatGuide spirituel
lene75 a écrit:
Miss sophie semble avoir la même
Ben non, justement...
_________________
- zabriskieÉrudit
Lorica a écrit:Chocolat a écrit:prof a écrit:@ zabriskie : mes critiques ne s'adressaient pas à toi bien sûr. Toi tu es différent. Ne change rien.
Arrête d'essayer de brosser les gens dans le sens du poil parce que tu constates que tes énormités ne passent pas!
C'est encore pire que le fait d'assumer tes dires...
Et j'espère juste que tu n'es pas prof!
les deux dernières phrases (au moins) de prof sont ironiques
Oui, c'est bien comme ça que le comprends, et j'ai envie de dire : pffff.
Si c'est se sentir au dessus de tout le monde de ne pas avoir envie d'être traitée "d'assassin", franchement, j'arrête là avec Prof.
Pour te répondre Lene75, je ne veux pas dire que ceux qui sont en pleine détresse doivent garder ça pour eux et régler leurs problèmes dans leur coin, pour ne pas troubler la tranquillité des autres. Il y a de la marge entre essayer d'être attentif aux difficultés d'un collègue, et accepter sans y réagir qu'il nous implique dans un acte de la violence de celui qui est en question. C'est peut-être choquant, mais c'est ma position.
Quand quelqu'un se suicide, ceux qui restent ont à se débrouiller avec le fait qu'ils n'ont rien senti venir - ou n'ont rien voulu voir - mais aussi avec le fait que la vie, pour certains, ne mérite pas d'être vécue. Je ne les plains pas, c'est leur affaire. Celui sur qui on peut pleurer, c'est celui qui est arrivé en bout de course, au point de ne plus avoir d'autre solution que celle de se supprimer. Comme tu le dis, c'est une question générale sur le suicide, mais j'y ajoute le fait d'impliquer aussi directement dans l'acte les autres est extrêmement violent. Je suis arrivée dans un lycée peu après qu'un collègue se soit suicidé. Il ne l'a pas fait sur son lieu de travail, et pour autant, l'ensemble de l'équipe a été choquée et s'est remise en question. Les hommes n'ont pas besoin de "voir" pour se sentir concernés.
Bien évidemment, le lieu n'est pas un hasard, et révèle une grande souffrance professionnelle. Simplement, je me répète : il me paraît impossible d'analyser un suicide comme une simple relation de cause à effet, c'est réducteur, y compris pour la personne qui s'est suicidée.
- lene75Prophète
J'avais donc bien interprété ?
C'est à mon avis le cas de toute personne qui se suicide : le sentiment d'être face à un mur, de ne plus avoir la force de supporter la souffrance.
En revanche, pour le choix du lieu, j'aurais plutôt tendance à penser qu'au contraire, c'est un acte altruiste s'il est lié à son travail : un appel au secours pour ceux qui restent et qui souffrent (de leur métier, pas du suicide). Pour que sa mort n'ait pas servi à rien. Et à aucun instant je n'ai pensé que cela puisse viser ses collègues.
Par ailleurs, s'il s'était suicidé n'importe où ailleurs, c'est sa famille qui aurait été directement impliquée, de façon beaucoup plus profonde qu'un "simple" collègue.
zabriskie a écrit:Celui sur qui on peut pleurer, c'est celui qui est arrivé en bout de course, au point de ne plus avoir d'autre solution que celle de se supprimer.
C'est à mon avis le cas de toute personne qui se suicide : le sentiment d'être face à un mur, de ne plus avoir la force de supporter la souffrance.
En revanche, pour le choix du lieu, j'aurais plutôt tendance à penser qu'au contraire, c'est un acte altruiste s'il est lié à son travail : un appel au secours pour ceux qui restent et qui souffrent (de leur métier, pas du suicide). Pour que sa mort n'ait pas servi à rien. Et à aucun instant je n'ai pensé que cela puisse viser ses collègues.
Par ailleurs, s'il s'était suicidé n'importe où ailleurs, c'est sa famille qui aurait été directement impliquée, de façon beaucoup plus profonde qu'un "simple" collègue.
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- AudreyOracle
Beh moi je suis quand même sidérée de vous voir extrapoler sur les raisons ou les significations supposées de son geste. Personne ne saura jamais ce qui est passé dans son esprit au moment où il a commis ce geste. Seule chose sûre: il allait mal au point de s'ôter la vie.
- zabriskieÉrudit
lene75 a écrit:J'avais donc bien interprété ?
Nan ! parce que tu me reproches de dire qu'il faut souffrir dans son coin sans troubler la tranquillité des autres, alors que je pense que se tirer une balle dans la tête quasiment en public n'est pas "troubler la tranquillité des autres", mais leur infliger l'insupportable.
Audrey, il ne s'agit pas seulement de quelqu'un qui s'est ôté la vie. Il l'a fait en salle des profs ; ce débat n'aurait pas lieu sans ça.
- miss sophieExpert spécialisé
zabriskie a écrit:tu me reproches de dire qu'il faut souffrir dans son coin sans troubler la tranquillité des autres, alors que je pense que se tirer une balle dans la tête quasiment en public n'est pas "troubler la tranquillité des autres", mais leur infliger l'insupportable.
+1
Penser au traumatisme des collègues de cet homme ne veut pas dire que l'on se désintéresse de la souffrance de ce dernier. C'est effroyable d'en arriver à ne plus vouloir être en vie. Mais je le répète, je trouve la manière de faire choquante. Ses collègues n'ont sûrement pas mérité cela.
Page 4 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
- Décès (suicide probable) d'un enseignant au collège Maupassant de Limoges
- Condamnation d'un collégien pour dénonciation calomnieuse après le suicide de son enseignant
- Près de Blois, suicide d'un enseignant avant la rentrée
- France Info : le suicide d'un enseignant reconnu comme imputable au service
- Suicide de Pauline au collège Jean Jaurès de Lens : la mère affirme que sa fille était harcelée au collège
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum