- Pierre_au_carréGuide spirituel
roxanne a écrit:Tiens une reconversion vue sur M6 "coach en orthographe"....
- Spoiler:
bon , ça commence par une dictée mais "c'est pas du tout comme à l'école , hein"
Ben oui, on fait plus d'orthographe à l'école. :lol:
- cavecattumNeoprof expérimenté
CarmenLR a écrit:cavecattum a écrit:L'opération Phénix, laissez-moi rire. Pour les postes marketingo-bidons qu'ils offrent...Tu intègres le privé, certes, mais faut voir à quel poste!
C'est-à-dire ?
Bah, larbin dans les RH, responsable formation pour adultes ( à mourir d'ennui ce genre de trucs en général) , marketing mais toujours en France. J'avais eu une liste précise de postes à pourvoir, avec "profils recherchés", mais je n'arrive plus à remettre la main dessus...
Moi, ce genre de trucs, rien que d'y penser, . Vous vous voyez dire en salle de réunion, sérieusement, "On n'a pas encore tout à fait bien impacté la clientèle-target?" Moi pas, mais ça n'est peut-être que moi...
- PseudoDemi-dieu
Ca me rappelle une embauche à edf ça.
- Tu sais, j'ai embauché une littéraire pour mon service gestion.
- Ah bon ?! Ah ben ça alors !
- Oui. Elle vient de chez l'Oréal, elle a fait 6 ans de service achat chez eux
- ??? :|
- Tu sais, il y a quelques mois jamais je n'aurai embauché une littéraire, sont cv serait parti à la poubelle.
Les études de lettres, c'est prometteur, à condition d'en sortir (et de tomber sur un recruteur qui couche avec une passionnée de littérature).
La route est longue !
- Tu sais, j'ai embauché une littéraire pour mon service gestion.
- Ah bon ?! Ah ben ça alors !
- Oui. Elle vient de chez l'Oréal, elle a fait 6 ans de service achat chez eux
- ??? :|
- Tu sais, il y a quelques mois jamais je n'aurai embauché une littéraire, sont cv serait parti à la poubelle.
Les études de lettres, c'est prometteur, à condition d'en sortir (et de tomber sur un recruteur qui couche avec une passionnée de littérature).
La route est longue !
- EmeraldiaÉrudit
C'est ça, d'ailleurs, c'est bizarre ce genre de jobs : on a beau être littéraire, qd on lit la liste des "responsabilités" confiées ou l'expérience requise, on n'y comprend rien.cavecattum a écrit:CarmenLR a écrit:cavecattum a écrit:L'opération Phénix, laissez-moi rire. Pour les postes marketingo-bidons qu'ils offrent...Tu intègres le privé, certes, mais faut voir à quel poste!
C'est-à-dire ?
Bah, larbin dans les RH, responsable formation pour adultes ( à mourir d'ennui ce genre de trucs en général) , marketing mais toujours en France. J'avais eu une liste précise de postes à pourvoir, avec "profils recherchés", mais je n'arrive plus à remettre la main dessus...
Moi, ce genre de trucs, rien que d'y penser, . Vous vous voyez dire en salle de réunion, sérieusement, "On n'a pas encore tout à fait bien impacté la clientèle-target?" Moi pas, mais ça n'est peut-être que moi...
Les élèves sont certes souvent chiants, mais je ne peux pas bosser ds autre chose que le domaine culturel...Qd je prépare mes cours, au moins, je lis, je choisis des textes.
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Cavecattum, si tu remets la main sur la liste, j'aimerais y jeter un coup d'oeil.
- papillonbleuEsprit éclairé
Bah, je ne regretterai pas mon choix d'en sortir, je pense.
Pour ce que je fais comme littérature avec mes élèves, en fin de compte...
Pour ce que je fais comme littérature avec mes élèves, en fin de compte...
- InvitéInvité
moi, je ne regretterai pas du tout. Je ferai sûrement davantage de géo et de socio à l'insee qu'en classe.
- cavecattumNeoprof expérimenté
CarmenLR a écrit:Cavecattum, si tu remets la main sur la liste, j'aimerais y jeter un coup d'oeil.
Carmen, là tu devrais pouvoir te faire une idée: http://phenix.proaxian.com/poste/index.html
- simone du bavoirNiveau 6
cavecattum a écrit:
Moi, ce genre de trucs, rien que d'y penser, . Vous vous voyez dire en salle de réunion, sérieusement, "On n'a pas encore tout à fait bien impacté la clientèle-target?" Moi pas, mais ça n'est peut-être que moi...
C'est exactement ce genre de phrases qui m'ont fait abandonner mon stage en entreprise... Effectivement, quand on vise des postes dans le privé, il faut s'attendre à ça. Je n'ai pas réussi à m'adapter malheureusement, j'avais l'impression de jouer un rôle...
- simone du bavoirNiveau 6
Moi, la littérature me manque... mais c'est vrai que ça me manquait aussi quand j'enseignais. Quand par hasard je tombe sur un texte sur lequel j'ai bossé avec les élèves, je ressens un sentiment de dégoût... Je ne prends plus plaisir à lire ces textes, même certains que j'adorais comme l'Albatros, de Baudelaire... J'espère que ça reviendra. J'espère surtout que je n'aurai pas à y retourner mais c'est mal barré pour le moment!myfarenier a écrit:Bah, je ne regretterai pas mon choix d'en sortir, je pense.
Pour ce que je fais comme littérature avec mes élèves, en fin de compte...
- olivier-np30Habitué du forum
Quand on n'enseigne pas on a plus de temps pour soi donc Simone tu pourras enfin te faire plaisir le soir. Quant au dégoût c'est un peu normal, il est difficile de s'extasier 1000 fois sur un même sujet...
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Quadra aujourd'hui, quinqua demain
- olivier-np30Habitué du forum
simone du bavoir a écrit:
C'est exactement ce genre de phrases qui m'ont fait abandonner mon stage en entreprise... Effectivement, quand on vise des postes dans le privé, il faut s'attendre à ça. Je n'ai pas réussi à m'adapter malheureusement, j'avais l'impression de jouer un rôle...
oui on peut en dire autant de la didactique des Mathématiques liée à la psychologie pour enfants : un verbiage prétentieux pour exprimer des choses souvent terre à terre : ce n'est pas cela la vie non plus ...
Aujourd'hui je suis plus attiré par les métiers de contact : avocat dans le domaine des affaires familiales (divorce, etc ...), plombier, agent immobilier ... ; je sais aussi que chacun des métiers cités a ses travers mais ça bouge un minimum, on est un indépendant et moins dans un moule. Il y aurait aussi les métiers liés à la topographie en cabinet indépendant.
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Quadra aujourd'hui, quinqua demain
- cavecattumNeoprof expérimenté
olivier-np30 a écrit:Quand on n'enseigne pas on a plus de temps pour soi donc Simone tu pourras enfin te faire plaisir le soir. Quant au dégoût c'est un peu normal, il est difficile de s'extasier 1000 fois sur un même sujet...
Vraiment? Arguer pour le privé en exhibant des horaires cool et le caractère non répétitif des tâches qu'on y effectue me paraît pour le moins fumeux...
Sinon, on peut aussi ne pas faire l'Albatros chaque année, c'est un avantage que l'on a sur les profs de sciences...
- Reine MargotDemi-dieu
cavecattum a écrit:olivier-np30 a écrit:Quand on n'enseigne pas on a plus de temps pour soi donc Simone tu pourras enfin te faire plaisir le soir. Quant au dégoût c'est un peu normal, il est difficile de s'extasier 1000 fois sur un même sujet...
Vraiment? Arguer pour le privé en exhibant des horaires cool et le caractère non répétitif des tâches qu'on y effectue me paraît pour le moins fumeux...
Sinon, on peut aussi ne pas faire l'Albatros chaque année, c'est un avantage que l'on a sur les profs de sciences...
le problème, c'est que non seulement tu passes tes we et tes vacances à travailler sur l'Albatros qui t'émeut au plus haut point, mais que quand tu le fais en classe, au lieu de partager la beauté de ce poème avec eux, tu passes l'heure à faire la police et à interpeller Kevin, qui fait des bruits pour amuser ses camarades, ou Kévina, qui fait salon de thé avec sa copine et te répond "quoi?" quand tu oses lui faire une réflexion. Inutile de dire que les bons élèves qui auraient pu être intéressés s'ennuient aussi, en fin de compte, et que tu es la seule que l'Albatros intéresse, en fin de compte.
- cavecattumNeoprof expérimenté
Oh, je conçois bien, Reine Margot. Il se trouve que je ne me fais aucune illusion sur cet aspect là du métier, je m'y attends, et c'est ce qui me fait dire que justement, je ne passerai pas mes WE sur l'Albatros, pourquoi se torturer pour rien? Mais comme je fais de la recherche, je fais de la littérature. Les quelques colloques auxquels j'ai participé m'ont demandé travail et réflexion, et j'espère que cela suffira à gommer l'ennui...Si ce n'est pas le cas, je ferai comme vous, je songerai à une reconversion ( j'ai déjà une biblio. complète d'ouvrage de droit public et administratif, et d'éco. quelque part dans un coin de l'ordi...).
- val09Neoprof expérimenté
V.Marchais a écrit:
Une de mes copines s'est reconvertie dans un domaine auquel on pense très peu, mais dans lequel elle est à présent très épanouie : écrivain public.
Oui, ça existe. Il y a même une formation, courte mais efficace, d'après elle. Notre société exige de plus en plus de savoir s'exprimer à l'écrit, élaborer toutes sortes de courriers, et vous n'êtes pas sans avoir remarqué que bien des personnes sont démunies dans ce domaine.
Soyons clair, le plus gros de son boulot, c'est des courriers administratifs. Mais aussi quelques beaux échanges : lire au destinataire une lettre reçue du pays, l'aider à formuler une réponse au plus près de sa pensée, exercice difficile quand la personne parle mal français : il faut s'abstenir de toute recherche d'effet, essayer d'être nuancé sans dénaturer la pensée d'autrui... Elle en parle avec passion. Elle ne gagne pas des cents et des mille - les débuts, surtout, sont durs - mais elle vit correctement et elle est très heureuse.
Si tu veux, je lui demande des détails sur sa formation.
J'avais déjà songé à ça aussi mais pas comme une reconversion, juste comme un complément mais ... peut-on être prof et écrivain public en même temps (je veux dire, en a-t-on le droit ?).
Je ne savais pas qu'il existait une formation : pourrais-tu nous en dire plus, Véronique ?
Désolée Simone , je ne t'aide pas vraiment quant à ta question initiale
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Plus vraiment "néo" : prof de LM depuis 2001
- Reine MargotDemi-dieu
je crois que ce qui permet de ne pas s'ennuyer ou de souffrir dans ce métier, ce n'est pas seulement de trouver un exutoire pour faire de la littérature en dehors (moi 'javais l'agreg) ; mais d'aimer le contact avec les ados. Il faut aimer les éduquer, les aimer malgré leur manque de respect, entretenir un lien malgré leurs insolences. c'est ça qui fait qu'on tient ou pas.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- cavecattumNeoprof expérimenté
Je crois que les adultes me navrent pour la plupart plus que les ados, même toute provocation et irrespect dehors. Un petit truc qui me fait dire parfois: "Là, il n'y a vraiment plus rien à faire...". Mais les ados peuvent être aussi si stupides...
A priori, je ne redoute pas ce contact. Je ne suis pas timide, j'aime jouer au petit Kapo, pour moi c'est du théâtre. J'aime prendre la parole en public. Mais c'est vrai qu'être le professeur, et donc quelqu'un qu'on a d'emblée pas envie d'écouter, risque de corser l'affaire!
Je verrai bien!
A priori, je ne redoute pas ce contact. Je ne suis pas timide, j'aime jouer au petit Kapo, pour moi c'est du théâtre. J'aime prendre la parole en public. Mais c'est vrai qu'être le professeur, et donc quelqu'un qu'on a d'emblée pas envie d'écouter, risque de corser l'affaire!
Je verrai bien!
- simone du bavoirNiveau 6
Très juste!je crois que ce qui permet de ne pas s'ennuyer ou de souffrir dans ce métier, ce n'est pas seulement de trouver un exutoire pour faire de la littérature en dehors (moi 'javais l'agreg) ; mais d'aimer le contact avec les ados. Il faut aimer les éduquer, les aimer malgré leur manque de respect, entretenir un lien malgré leurs insolences. c'est ça qui fait qu'on tient ou pas.
Pas de problème, je n'atends pas de réponse à ma question d'ailleurs, juste un partage d'expériences et un espace ou parler de ce problème !Désolée Simone , je ne t'aide pas vraiment quant à ta question initiale
- olivier-np30Habitué du forum
cavecattum a écrit:
Vraiment? Arguer pour le privé en exhibant des horaires cool et le caractère non répétitif des tâches qu'on y effectue me paraît pour le moins fumeux...
Sinon, on peut aussi ne pas faire l'Albatros chaque année, c'est un avantage que l'on a sur les profs de sciences...
-Quand tu n'enseignes pas, tu as forcément plus de temps à toi le soir vu que tu ne corriges pas de copies ni ne prépares de cours donc ...
-L'aspect de redondance existe dans tout métier c'est certain, mais tout dépend du métier exercé : c'est pour cela que je n'en parle pas.
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Quadra aujourd'hui, quinqua demain
- olivier-np30Habitué du forum
Reine Margot a écrit:(...)mais d'aimer le contact avec les ados. Il faut aimer les éduquer, les aimer malgré leur manque de respect, entretenir un lien malgré leurs insolences. c'est ça qui fait qu'on tient ou pas.
Il faut aimer l'aspect éducatif : moi je me sentais nul, je n'aimais pas remplir les bulletins, mettre des notes, j'avais le sentiment de brasser de l'air.
Plutôt que de pousser les jeunes aux études afin qu'ils aient une retraite la plus courte possible, je serais plutôt partisan qu'on revoit le système et qu'on rende les formations plus attractives et plus courtes, la majorité des métiers ne requérant que 2 ans d'études en général, même enseigner au collège d'ailleurs, les anciennes générations le faisaient et ne s'en portaient pas plus mal.
Je ne regrette pas mes études car je me suis éclaté, mais peut-être un peu trop car j'étais jeune et le retour de boomerang a été rude après, car l'essentiel aujourd'hui pour moi est de vivre dans des conditions décentes et d'avoir un travail un minimum intéressant, le reste...
A+
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Quadra aujourd'hui, quinqua demain
- InvitéeHrÉrudit
[quote="val0]
peut-on être prof et écrivain public en même temps (je veux dire, en a-t-on le droit ?). [/quote]
Cette question m'intéresse aussi, mais dans un autre domaine, même si j'ai aussi déjà réfléchi au métier d'écrivain public, je connais mal cette profession, je lis donc attentivement les précisions de Véronique.
peut-on être prof et écrivain public en même temps (je veux dire, en a-t-on le droit ?). [/quote]
Cette question m'intéresse aussi, mais dans un autre domaine, même si j'ai aussi déjà réfléchi au métier d'écrivain public, je connais mal cette profession, je lis donc attentivement les précisions de Véronique.
- sabethNiveau 6
olivier-np30 a écrit:cavecattum a écrit:
Vraiment? Arguer pour le privé en exhibant des horaires cool et le caractère non répétitif des tâches qu'on y effectue me paraît pour le moins fumeux...
Sinon, on peut aussi ne pas faire l'Albatros chaque année, c'est un avantage que l'on a sur les profs de sciences...
-Quand tu n'enseignes pas, tu as forcément plus de temps à toi le soir vu que tu ne corriges pas de copies ni ne prépares de cours donc ...
-L'aspect de redondance existe dans tout métier c'est certain, mais tout dépend du métier exercé : c'est pour cela que je n'en parle pas.
+ 1: j'ai quitté un an l'EN pour travailler dans un domaine tout à fait différent. J'avais beaucoup plus de temps libre...que j'utilisais pour garder le contact avec la littérature et la recherche. Ceci dit, l'université et la recherche peuvent être aussi très décevantes.
Je suis sortie de cette manière de voir très tranchée et dichotomique (opposition privé/public, travail intellectuel/travail répétitif...) La réalité me paraît bien plus nuancée et contrastée et je suis sortie quelque peu de l'idéalisation d'un métier, quel qu'il soit (ce qui ne signifie pas que je n'ai plus d'activité intellectuelle et artistique, au contraire, mais je ne cherche plus autant à les pratiquer dans des cadres, institutionnels ou professionnels...).
Je pense que les déceptions liés à la profession d'enseignant - et peut-être à toute profession, d'ailleurs - provient grandement des représentations que nous nous en faisons et du décalage avec la réalité (représentations, d'ailleurs, savamment entretenues par l'institution et parfois même par les personnes qui y travaillent!).
- Pierre_au_carréGuide spirituel
val09 a écrit:V.Marchais a écrit:
Une de mes copines s'est reconvertie dans un domaine auquel on pense très peu, mais dans lequel elle est à présent très épanouie : écrivain public.
Oui, ça existe. Il y a même une formation, courte mais efficace, d'après elle. Notre société exige de plus en plus de savoir s'exprimer à l'écrit, élaborer toutes sortes de courriers, et vous n'êtes pas sans avoir remarqué que bien des personnes sont démunies dans ce domaine.
Soyons clair, le plus gros de son boulot, c'est des courriers administratifs. Mais aussi quelques beaux échanges : lire au destinataire une lettre reçue du pays, l'aider à formuler une réponse au plus près de sa pensée, exercice difficile quand la personne parle mal français : il faut s'abstenir de toute recherche d'effet, essayer d'être nuancé sans dénaturer la pensée d'autrui... Elle en parle avec passion. Elle ne gagne pas des cents et des mille - les débuts, surtout, sont durs - mais elle vit correctement et elle est très heureuse.
Si tu veux, je lui demande des détails sur sa formation.
J'avais déjà songé à ça aussi mais pas comme une reconversion, juste comme un complément mais ... peut-on être prof et écrivain public en même temps (je veux dire, en a-t-on le droit ?).
Je ne savais pas qu'il existait une formation : pourrais-tu nous en dire plus, Véronique ?
Désolée Simone , je ne t'aide pas vraiment quant à ta question initiale
Il me semble que quelqu'un était venu sur le forum et faisait ça : encore prof pour débuter son activité d'écrivain public.
Avec une autorisation de cumul, ça doit passer car c'est proche du domaine enseigné.
Mais sans doute pas en libéral pur, mais plutôt en auto-entrepreneur tant qu'on est dans l'EN.
- Info sur les reconversions
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