6e - Français - progression littéraire 2024-2025

9 séquences je ne crois pas que ce soit possible. Depuis les nouveaux programmes pour travailler la ruse et le plus faible qui l'emporte sur le plus fort, je fais Scapin en 6e.

1. Les contes
-un conte à l'oral comme Andersen le souhaitait par exemple (j'ai choisi une traduction en ce sens)
-OI : La Belle et la Bête (Conte difficile pour eux à cause de l'écriture) + Le film de Cocteau (efficace)
- un ou plusieurs contes du monde entier (sur une liste imposée aujourd'hui : passage à  l'oral : qu'avez-vous compris de l'histoire).
- des petits contes de Nazreddine (choisis par mes soins) pour des exercices de lecture expressive.
-un conte télégramme (idée trouvée dans la BDD) pour l'écriture.
Cela pour entrer dans le thème du monstre.

2. OI.   L'Odyssée (édition avec la lecture se certains passages par un comédien de la comédie française), mais j'hésite avec  la très bonne traduction destinée aux élèves de Pierre Balmond. Je travaille sur les thèmes de l'hospitalité, de l'intelligence d'Ulysse, du retour du Héros à la condition humaine.
Cela peut entrer dans le thème du monstre, de la ruse... mais bon... je fais L'Odyssée pour elle-même.
-En lecture cursive : quelques Métamorphoses d'Ovide avec un livret à préparer (présentation du personnage, décoration (rapide, on n'est pas arts plastiques) de la métamorphose, un court passage (je propose de donner le passage en latin à  ceux qui me.le demandent) + extraits des Grands mythes d'ARTE.

3.OI : Molière, Le Médecin malgré lui ou Les fourberies de Scapin (pour la ruse)

4. Groupement : poèmes autour du chat.
LC : Le château de ma mère (grand succès) même si c est hors programme. : questions à l'oral précises + lecture expressive d'un passage préféré avec justification (à leur niveau).

5. Quand j'ai le temps : un court GT sur la fable.

6. Oi : Jack London, L'appel de la forêt (apprécié des élèves)

+ au cours de l'année : une 3e LC facile (15 kg d'espoir) et une autre selon le niveau de la classe : discussion sur l'œuvre en classe.

Il manque les récits de création : si j'ai  le temps en GT. Mais je ne suis pas à l'aise (intérêt littéraire).

Bref, du point de vue strictement des programmes, ce sont  les GT qui sont un peu sacrifiés en sixième (moins en quatrième et plus du tout en troisième) et les récits de création hors monde grec.

Avec  les groupes, je vais perdre du temps à cause du début d'année (classes entières avant d'avoir nos groupes pour faire acheter les œuvres dans les éditions de mon choix).

Évaluations : texte ( vu en classe ou non) + questions de compréhension (type brevet adapté au niveau)
Exercices d'écriture : gros travail sur la.ponctuation : un travail d'écriture (par chapitre ou séquence si j'ai le temps) en classe (sinon ce sont les parents qui le font)
En début d'année, exercices de graphie.
Récitation pour chaque chapitre ou séquence.


Du très classique en somme.

Bien sûr, beaucoup de grammaire et je compte accentuer le travail sur l'orthographe. C'est pour cela que je n'ai pas le temps de faire 3 GT.

Et en sixième, l'éducation : Bonjour,  au revoir,  merci, ne pas taper son camarade, ne pas interrompre celui qui parle, etc. Désapprentissage en douceur du "tu" universel pour expliquer quelque chose.

A priori, pas de progression commune cette année, le CA a pu voter des groupes hétérogènes.

J'adore ta progression @trompettemarine

Je travaille L'Odyssée dans le même esprit que toi.

Ta façon d'aborder les contes m'inspire beaucoup.
Peux-tu préciser certains points s'il te plait ?
Quel conte d'Andersen ? Comment abordes-tu son étude à l'oral ?
Quels contes du monde ?

Merci

Pour Andersen, je lis intégralement le conte à l'oral (Le vilain petit canard ou le sapin). S'ensuit une "conversation " sur le sens de la vie (l'adolescence  pour le vilain petit canard, le temps perdu ou gagné à vouloir toujours une autre vie) Puis je leur donne parfois  le texte pour le sens plus précis et la structure (rapidement les points saillants comme la chronologie,  les répétitions, etc.). Je laisse de côté le schéma narratif et les théories universitaires de Propp. Il faut que je retrouve l'édition (le traducteur a choisi une version moins académique, plus proche d'Andersen et de sa langue destinée à être lue à voix haute). On est proche de la captatio  benevolentiae tout en respectant les caractéristiques du conte. Le dispositif est simple. et libre. Ce ne doit pas être trop long.

Pour les contes du monde entier, je suis aidée par la documentaliste. Certains parents vont à la médiathèque.
Les élèves sont fiers de présenter à cet âge leur conte. Certains en lisent plusieurs. Certains s'échangent leurs livres.
Cela me permet de jauger en début d'année les élèves qui se perdent dans les détails, ceux qui aiment raconter, ceux qui ont déjà un esprit de synthèse et les meilleurs qui sont capables de repérer ce qui est important dans la signification du conte.
J'avoue que je leur demandais de résumer au présent, mais après les lectures de fils très intéressants concernant le passé simple comme temps du récit même à l'oral,  je n'ai plus cette exigence. L'évaluation est à ce stade de l'année (le tout début d'année) plus que bienveillante et très peu formelle.

Pour les contes : j'interdis les légendes romaines et grecques et les contes lus à l'école élémentaires. Cela va des contes provençaux (le monde vu au sens très large donc) aux contes du Japon (souvent des contes de création du monde).
Je me demande si je ne vais pas fournir une liste. Je ne sais pas encore.

Il y a vieil ouvrage américain du début du siècle: comment raconter des histoires aux enfants qui est fort intéressant.  Il faut passer outre les préjugés en tout genre, mais certains conseils sont intéressants pour maintenir par la lecture à vœux haute l'intérêt des élèves qui écoutent un conte.

Moi aussi ton travail sur les contes m'intéresse.  
Pour la Genèse,  mon fil directeur,  si je puis dire,  c'est la difficulté des rapports humains, et la mise à l'épreuve (par Dieu, ou par le père, même par le frère si on allait jusqu' à Joseph). La première création,  où tout est vu de très loin, c'est facile,  Dieu tout puissant crée et chaque jour il peut constater que tout est bien.  Il n'y a pas d'histoire.  À partir de la 2e création,  où Dieu met les mains dans la glaise, où des personnages apparaissent avec leur histoire,  ça se complique. L'envie,  les différentes façons de percevoir les choses (vous pouvez manger de tout sauf > vous ne pouvez pas manger), le ressentiment, et surtout la jalousie, font que les humains n'agissent pas comme il faut. Pas parce qu'ils sont foncièrement mauvais, mais parce que c'est très dur, et notamment de supporter la préférence (acceptation de l'offrande de Cain et pas de celle d'Abel, préférence pour un enfant au détriment des autres, etc). Dieu qui offre comme une 2e chance avec ses questions, mais les personnages n'assument pas ce qu'ils ont fait (Adam qui rejette la faute sur Eve, Eve qui rejette la faute sur le serpent,  mais il en ira de même pour les autres personnages,  Cain qui dira par exemple : Est-ce à moi de surveiller mon frère ? ). On pourrait dire que la Genèse, c'est une série d'échecs, des humains face aux épreuves qu'ils rencontrent (avec de petites exceptions et une très grosse, Joseph, qui clôt le livre). Je suis cette structure pour la rédaction : le fils de Cain. On commence la rédaction avec la première phrase qui suit l'histoire d'Abel et Cain. Et les élèves doivent inventer une épreuve à laquelle est soumis ce fils (j'ai oublié son nom), difficulté avec sa mère,  son père,  ses frères et sœurs,  ses propres enfants.  Le plus évident,  par exemple,  c'est la difficulté à vivre avec un père maudit, dont tout le monde se moque et a peur quand ils rencontrent des gens à cause de sa marque maudite. C'est le premier paragraphe.  Le second,  c'est Dieu qui invite ce fils à supporter cette épreuve.  Le 3e, c'est l'échec de ce fils, qui fera du mal à sa famille, d'une façon ou d'une autre. Le dernier, c'est le dialogue avec Dieu et la malédiction de Dieu (malédiction qui doit expliquer quelque chose de terrible avec quoi doit vivre l'humanité,  la maladie, l'infertilité, par exemple).
Je donne deux passages du Coran pour montrer l'exploitation différente d'histoires presque semblables (la question de la justice et de l'égalité comme valeurs par exemple, qui n'est pas du tout le sujet de la Genèse, où au contraire,  l'inégalité est posée comme un fait avec lequel on doit vivre).

Oui, dans beaucoup de légendes qui racontent la création du monde, l'Histoire commence quand Dieu ou les dieux chassent les hommes de leur monde. Cela peut être un point très intéressant. Il faudra que je m'y penche. Vous me donnez de belles idées.

Cela me fait penser que j'ai vu à Noël sur ARTEle peplum "La Bible" de John Huston (1966) : les épisodes sur Abel et Caïn et sur la tour de Babel sont impressionnants.

@trompettemarine : tu parles d'un livre américain sur la lecture "offerte" : de quel livre s'agit-il ? Quels conseils te paraissent intéressants ?

Merci pour les précisions @trompettemarine !

À mon tour de proposer ma progression. Les quatre premiers chapitres fonctionnent bien, Pinocchio sera une nouveauté et je n'ai encore jamais eu le temps de faire sérieusement le théâtre ni les fables.

Chapitre 1 : La poésie au fil des saisons
Beaucoup de lecture à voix haute, de copie, de récitations. Rédaction de deux poèmes.
J'ai vu le menuisier, La Bise fait le bruit, En hiver la terre pleure, Le Temps a laissé son manteau, Sensation, Chanson d'automne
LC : un roman jeunesse ?

Chapitre 2 : Les récits de création
Lecture suivie : Persée et Méduse (roman jeunesse qu'on lira en classe, un chapitre au début de chaque cours)
LC : Les Métamorphoses => exposés (jamais fait encore, mais ce que j'ai lu dans ce fil m'inspire)
- la mythologie grecque : récit audio de Claudie Obin sur les premiers dieux + le mythe de Prométhée (texte de Platon, 
- extraits de la Bible et du Coran : la création du monde, Adam et Ève, le déluge, la tour de Babel (+ un extrait d'Ovide sur l'âge d'or et un conte aborigène à comparer avec la tour de Babel)
Constamment faire des rapprochements entre la mythologie grecque et les récits de la Bible et du Coran, voir les similitudes.

Chapitre 3 : L'épopée du héros aux mille ruses
OI : L'Odyssée
contexte de la guerre de Troie, puis lecture du début du livre ensemble jusqu'à l'arrivée d'Ulysse chez les Phéaciens et le début de son récit. L'hospitalité dont fait preuve Alkinoos. Les pleurs d'Ulysse chez Calypso, chez Alkinoos : son humanité.
- le cyclope (force/ruse, orgueil d'Ulysse)
- Circé + les sirènes (monstres ambivalents, maléfiques/bénéfiques, monstrueux/charmants)
- thèmes de l'oubli et de l'identité (oublier qui on est, être oublié, les Lotophages, être changé en cochon, s'endormir, le chant des sirènes, "je suis personne", "je suis Ulysse)
- le retour à Ithaque : déguisement et reconnaissances, retrouver son identité

Chapitre 4 : Les contes : merveilleux et monstrueux
Projet avec un conteur
La figure du monstre dans les contes : l'ogre dans le Petit Poucet et Le Chat Botté + monstres ambivalents dans La Barbe Bleue, La Belle et la Bête
LC : La Belle et la Bête et autres contes (La Belle et la Bête, Barbe Bleue, La Princesse printanière, Peau-de-toutes-bêtes)

Chapitre 5 : Un récit d'aventures : 
OI : Pinocchio de Collodi
+ extraits à lire, voir et jouer de Pinocchio de Pommerat

Chapitre 6 : Les fables ou le théâtre :
... mais je n'aurai pas le temps !

J'aime bien ton chapitre 6, je le fais chaque année.

Coucou ! A mon tour :

Progression 6e 2024:

Voilà, n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez. Au besoin, je pourrais écourter mes chapitres, enlever un ou plusieurs "ateliers poétiques" ou les chapitres 3 et/ou 6.

J'aime beaucoup !

Pour la description du monstre, tu peux peut-être demander non seule des adjectis variés mais aussi des noms et des verbes (j'ai envie de dire surtout des verbes, mais c'est ma marotte). Je fais faire trois colonnes, une pour les noms, une pour les verbes, une pour les adjectifs qu'on complète ensemble à partir d'images.

On peut aussi proposer des exanpansions du nom il me semble ? Ta proposition m'intéresse, on avait parlé dans mon équipe de décrire un monstre, comment travailles-tu ?

En fait simplement comme je l'ai dit. Je fais ça sur Orphée,  les grands mythes la première fois donc ils doivent décrire soit Cerbère,  soit un dragon. Dans une colonne on écrit des noms (queue, griffe, museau, mais aussi muscles, veines, narines, mâchoires,  canines, pupilles etc),
il faut une longue liste pourqu'ils soient precis, et quand ça commence à s'essouffler je les invite à réfléchir aux 5 sens (je fais ça pour les 3 colonnes), dans une deuxième des verbes (en s'aidant d' images et d'images mentales mais aussi des noms, le nom veine invite à trouver saillir, le nom griffe invite à trouver déchirer,  queue fouetter, gueule baver, etc, ils ont pleins de bonnes idées à vrai dire, je montre que j'aime bien les mots un peu dégoûtants,  alors ils.me disent vomir, cracher. Etc. Puis pareil avec les adjectifs, on s'inspire des images et des noms et verbes.  Ça va assez vite à vrai dire, une demi-heure je crois.

La rédaction suivante,  ils décrivent le territoire du monstre, avec ses traces (en suivant l'avancée d'Orphée ou des Argonautes, suivant qu'ils ont décrit Cerbère ou le dragon). J'insiste toujours beaucoup sur les verbes,
un peu de suspense déjà pour certains, mais surtout quelques figures de style ici (c'est le travail que je.mene dans mon chapitre sur la poésie.  Des oxymores pour les enfers par exemple, sombre lueur, flammes noires, etc) Puis Ils refont l'ensemble au propre que je note (le territoire du monstre découvert suivant l'avancée du heros  et la description du monstre)

Le coup de la liste, c’est un travail plutôt collectif si je comprends bien. Ensuite, ils font les phrases et la rédaction proprement dite tout seuls ?

ernya a écrit:Le coup de la liste, c’est un travail plutôt collectif si je comprends bien. Ensuite, ils font les phrases et la rédaction proprement dite tout seuls ?

Oui, tout seuls (mais je leur dis toujours qu'en rédaction ils doivent piquer leurs bonnes idées aux autres)

Très sympa ! On peut piquer la bonne idée, nous aussi, même si on est pas des 6e ?

Merci, as-tu tenté la relecture et les conseils par les élèves eux-mêmes ? C’est quelque chose que j’aimerais bien développer aussi.
Je retiens en tout cas l’idée d’inclure davantage les verbes !

Ah oui c'est fait pour ça !
Pas spécialement mais on travaille quand même beaucoup en commun, et ils se lisent facilement leur travail entre eux. Je travaille la rédaction en demi-classe (maintenant que je n'en ai plus, hé vais devoir faire sans). Comme je l'ai dit ailleurs, je ne sais plus où, je reste à mon bureau, et les élèves viennent à mon bureau. Quand une phrase ou un passage pose problème à moi ou à l'élève qui est au bureau, il m 'arrive de demander à la classe (ceux qui veulent bien interrompre quelques instants leur travail à ce moment-là) de nous dire ce qu'ils en pensent ou de nous donner des idées (je ne suis pas très fort en rédaction, souvent les élèves sont meilleurs que moi 🫣

Tu fais ça à quelle période ? Je veux dire: des le début de l'année ?

La description du monstre, c'est le 2e exercice de rédaction.  Le premier repose sur la même vidéo, Orphée les grands mythes. On fait une "carte mentale" des différents moments de la vie d'Orphée à partir de la video, Orphée en gros au milieu,  et je crois 7 bulles (qui est Orphée ? - enfance - jeune homme : l'expédition de la toison d'or - la vie heureuse avec Eurydice - la mort d'Eurydice : descente aux Enfers - la vie après Eurydice - la mort d'Orphée.  Ils doivent raconter sa vie en autant de paragraphes. J'insiste sur les paragraphes, les alinéas, et la ponctuation, et la graphie.  Et si je comprends (je fais beaucoup semblant de pas comprendre). Pas de travail du style là,  mais comme c'est ka première rédaction de l'année,  ça leur plaît bien,  et je valorise toujours leur style, le choix du vocabulaire, etc. A la fin ils refont au propre et c'est noté.  La 2e rédaction c'est la description du monstre. Non noté dans un premier temps.  La 3e, le territoire du monstre, et ce qui est noté c'est la conjonction des 2, comme je l'ai dit ensuite.  La 3e rédaction déborde un peu sur la 2e séquence,  mais je m'en fiche un peu à vrai dire.
Mes élèves ont un cahier que pour la rédaction.  C'est un cahier de travail.

Comment vous y prenez-vous pour étudier l'Odyssée de manière satisfaisante?

L'an dernier j'avais axé l'étude autour des monstres avec comme objectif de rédaction la description d'un monstre ainsi que d'une ruse employée par Ulysse pour le vaincre (l'idée était d'imiter l'emploi des verbes d'action de la description du Cyclope, d'imaginer une ruse non violente suite à la lecture de l'épisode des Sirènes et d'enrichir la description par l'ajout d'adjectifs pour rendre le monstre inventé plus effrayant, comme dans l'extrait de Charybde et Scylla). J'avais au préalable vu l'invocation pour que les élèves aient une vision d'ensemble de l'histoire.

J'ai essayé d'étudier un peu les questions d'hospitalité (notamment d'inhospitalité du Cyclope) mais j'ai eu en fin de compte l'impression d'avoir fait une séquence qui partait dans tous les sens et pas forcément satisfaisante.

Quels extraits retenez-vous pour étudier l'Odyssée et dans quel but ? (Simple compréhension de l'histoire ? Étude autour de l'humanité d'Ulysse, entre les dieux et les monstres ? Si oui, comment faites-vous pour rendre cela accessible à de jeunes élèves ? Autre chose ?)

En général j'étudie :
1) L'invocation
2) Je suis Ulysse
3) Les sirènes
4) La nekya
5) L'épreuve de l'arc & le massacre des prétendants

Pour les extraits, je travaille en général
- l'invocation
- Ulysse chez Calypso
- la tempête et l'arrivée chez Nausicaa
- le Cyclope
- les Sirènes, Charybde et Scylla, l'outre d'Eole, les bœufs du soleil, Circé (par groupes, un extrait par groupe)
- le massacre des prétendants

Merci pour vos réponses !
Est-ce que vous visez la compréhension de l'histoire ou quelque chose de plus approfondi ?