Neo défi lecture 2024 - Ici, on papote!

3. Un livre avec un mode de transport en couverture: le monde sans fin, Jancovici/Blain

J'ai choisi cette BD étant donné les échos lus ici l'an dernier. En effet les causes de l'emballement climatique (et autres problèmes) sont très bien expliqués, j'ai bien retrouvé ce que j'ai vu en formation sur la frise du climat. C'est très clair et bien expliqué et j'ai tendance à être d'accord avec Jancovici sur le nucléaire: pas sans inconvénients, mais les autres énergies sont pires. Un peu comme la démocratie, le pire des systèmes à l'exception de tous les autres. je n'ai pas trouvé cette BD aussi pessimiste que certains l'ont dit: certes, le changement climatique et ses manifestations font peur, mais on le sait déjà, et finalement la BD donne un peu d'espoir à la fin avec les solutions qu'on connaît déjà: ne pas consommer inutile (prendre l'avion, acheter trop de vêtements et de machins divers). Pas mal.

Amaliah a écrit:Moi aussi, j'ai Le Livre des ossements à la couverture verte à lire.

Le mien est bleu, mais je recommande même s'il faut avoir le coeur bien accroché.

Je teste un Camus pour ''ombre et lumière ''.

Est-ce qu'un livre dont l'histoire se passe partiellement en Russie suffirait pour l'item 21 ?

Je finis mon dernier livre pour 2023 et ai fait une bonne moisson pour 2024! Est-ce que la trilogie berlinoise ira pour roman noir? Je pense que oui (privé et milieu interlope) mais attend une confirmation.

Premier livre terminé. Une BD, Les crocodiles de Thomas Mathieu, placée dans pour le défi 30, un livre qui parle d'animaux. Le dessinateur illustre des témoignages de femmes sur le harcèlement de rue. Les hommes sont donc représentés en crocodiles lorsqu'ils endossent le rôle de harceleurs. Il faut donc prendre, ici, les animaux au sens figuré. Certains témoignages sont assez glaçants et montrent la violence sexiste assumée par certains. Je recommande. BD qui peut aussi servir pour le défi 3, un livre avec un moyen de transport sur la couverture et le défi 7, un livre féministe. Pour ce dernier, j'ai une BD sur Gisèle Halimi qui m'attend et qui sera sans doute la prochaine lecture.

Pourle temps de Noël j'ai souhaité une lecture plus facile que Marcel Proust et j'ai choisi La Maison des Hollandais d'Ann Patchett pour le défi 17 : le titre comporte trois A .  Après le départ de leur mère deux enfants sont élevés par leur père et choyés par la gouvernante, mais une belle-mère s'installe et prend le pouvoir dans la maison, les choses empirent après le décès brutal du père.  J'ai apprécié la belle étude de la relation fraternelle et  les ruptures dans l'ordre chronologique qui donnent du rythme à la narration, par contre la dernière partie m'a semblé artificielle et trop pleine de bons sentiments. Ce livre peut cocher le défi 14, top 5 de Caspar en 2022, le défi 28, Ombre et lumière, le défi 48 Faire la paix, le défi 49 objets inanimés et le défi 50 trompeuses apparences.  Choisi pour le défi 17, il est quasiment certain que ce livre va bouger dans ma liste.

J'ai terminé le Murat, Proust, un roman familial, un bel essai sur l'aristocratie et les vertus libératrices de la littérature en général, et de Proust en particulier. Cela m'a donné envie de relire La Recherche (je dis relire, mais je n'ai pas lu tous les volumes) : je me joindrai peut-être à toi, Nicole, un peu plus tard dans l'année. Cet essai sera parfait pour l'item "un livre sur la littérature", mais il conviendrait aussi pour "A la recherche de", "livre avec 3 a dans le titre", voire "archéologie", tant on est dans l'exhumation de l'Histoire, des généalogies, de la genèse de soi et de l'écriture, le 29, bien sûr (un livre qui concerne un auteur qui a vraiment existé), et le 41 (Laure Murat est historienne).
En farfouillant à la médiathèque, j'ai choisi un Gallmeister pour l'item "diable" : L'été où tout a fondu, de McDaniel.
J'ai reçu d'autres livres pour Noël, notamment Que notre joie demeure, de Kevin Lambert, sur la couverture duquel on voit un homme tenant un skateboard. D'où ma question : un skate peut-il être considéré comme un moyen de transport ?

Pour la question d'Ombre, je dirais que oui, mais le fait que mon fils se déplace beaucoup avec m'influence sans doute.
Pour le défi 46, Écoute, je viens de terminer L'oreille de Kiev, d'Andrei Kourkov, reçu pour mon anniversaire.
Dans le Kiev du début des années 20 en plein désordre dans lequel les Russes s'installent, un étudiant dont l'oreille a été coupée par le coup de sabre d'un cosaque essaie de se débrouiller comme il peut. C'est gentiment farfelu, très plaisant à lire. Du même auteur, j'avais beaucoup aimé Le Pingouin.

Et hop, Caligula fini. Belle pièce, mais pas évidente à comprendre je pense. Le personnage de Caligula me semble parfaitement correspondre pour le défi ''ombre et lumière " : son règne était d'abord positif avant de virer au meurtre et à la folie; sa recherche d'absolu en fait un être lumineux, mais il a choisi la mort comme moyen de l'atteindre.

Question moyen de transport, un peu dans la ligne de celle d'Ombre: une couverture qui représente l'entrée d'une bouche de métro, ou une gare, cela suffit?

Après mon échec pour 2023, je vous rejoins sur la pointe des pieds pour une nouvelle tentative...

Pas grave, je ne finis jamais non plus ! L'important est de sortir de sa zone de confort.

Maju a écrit:Question moyen de transport, un peu dans la ligne de celle d'Ombre: une couverture qui représente l'entrée d'une bouche de métro, ou une gare, cela suffit?

Je dirais non : un train ou un métro oui, le lieu d'où ils partent plutôt non.

Pour le skate oui, pour moi c'est bien un moyen de transport.


Et il faudrait que j'arrête de lire ce topic, j'ai encore 800 pages à lire avant de vous rejoindre, ça devient stressant 

*Ombre* a écrit:J'ai terminé le Murat, Proust, un roman familial, un bel essai sur l'aristocratie et les vertus libératrices de la littérature en général, et de Proust en particulier. Cela m'a donné envie de relire La Recherche (je dis relire, mais je n'ai pas lu tous les volumes) : je me joindrai peut-être à toi, Nicole, un peu plus tard dans l'année. Cet essai sera parfait pour l'item "un livre sur la littérature", mais il conviendrait aussi pour "A la recherche de", "livre avec 3 a dans le titre", voire "archéologie", tant on est dans l'exhumation de l'Histoire, des généalogies, de la genèse de soi et de l'écriture, le 29, bien sûr (un livre qui concerne un auteur qui a vraiment existé), et le 41 (Laure Murat est historienne).
En farfouillant à la médiathèque, j'ai choisi un Gallmeister pour l'item "diable" : L'été où tout a fondu, de McDaniel.
J'ai reçu d'autres livres pour Noël, notamment Que notre joie demeure, de Kevin Lambert, sur la couverture duquel on voit un homme tenant un skateboard. D'où ma question : un skate peut-il être considéré comme un moyen de transport ?

Après avoir adoré Betty, je n'ai pas du tout (mais vraiment pas) accroché à L'été où tout a fondu. Tu me diras ce que tu en as pensé !
Je note pour le Murat, ton résumé me donne envie.

Mes premières lectures du défi 2024 ne m'ont pas vraiment emballée.
J'ai lu Le jour et l'heure de Carole Fives : roman choral où l'on écoute chacun des 4 enfants d'Edith ainsi que son mari. Edith est atteinte d'une maladie dégénérative et a décidé d'avoir recours au suicide assisté. Le roman raconte le voyage de la famille en Suisse et ce qu'ils ressentent, chacun leur tour. Dans le thème de la fin de vie, je conseillerais plutôt Les amants du Lutetia. Ici, le sujet est un peu survolé, ça se lit d'ailleurs très vite. Lecture dispensable. Elle me permet toutefois de cocher l'item 1 (un livre dont la couverture est verte).


J'ai lu ensuite Girl d'Edna O'Brien : le roman s'inspire des lycéennes enlevées par Boko Haram au Nigeria au début des années 2010. La narratrice est une des adolescentes. On vit avec elle le rapt, la traversée de la jungle, l'arrivée au camp, les mauvais traitements (et les multiples viols), le mariage forcé... jusqu'à son évasion et son impossible retour dans sa famille. C'est une lecture éprouvante qui peine toutefois à emporter le lecteur car la description de ce que vit Maryam est quasi documentaire. J'ai lu ensuite qu'Edna O'Brien (presque 90 ans !!) est allée enquêter sur place et ça se ressent dans l'écriture.
Je coche avec ce roman l'item 16 (un livre publié chez Sabine Wespieser).


Et ma dernière lecture (et la moins intéressante des trois), c'est Le cœur synthétique de Chloé Delaume (prix Médicis 2020). Adélaïde se retrouve célibataire à 46 ans après des années de vie commune et se rend compte que sur le "marché" de la séduction, elle a subi une importante décote. Elle ne supporte pas la solitude et essaie par tous les moyens de trouver l'amour. Entre son travail qui la déçoit (la maison d'édition pour laquelle elle travaille a été rachetée par un grand groupe qui pense profit et non littérature) et les histoires plus décevantes les unes que les autres (difficile de trouver un quadragénaire célibataire sans enfants et sans névroses), elle sombre peu à peu dans la dépression. Son groupe d'amies va lui permettre de sortir de cette spirale. Certains passages sont bien vus mais j'ai trouvé ennuyeuse l'histoire de cette Parisienne plutôt aisée qui pleurniche entre deux soirées coke. Le livre est pourtant plutôt bien noté. Il me permet de cocher l'item 5 (Séduction).


Celui que j'ai commencé hier me semble prometteur, j'espère bien après ce départ décevant.
Pour l'item année bissextile, doit-on prendre en compte, pour les livres traduits, de leur parution dans leur pays d'origine ou bien de la traduction française?

AsarteLilith a écrit:Et hop, Caligula fini. Belle pièce, mais pas évidente à  comprendre je pense.  Le personnage de Caligula me semble parfaitement correspondre pour le défi ''ombre et lumière " : son règne était d'abord positif avant de virer au meurtre et à  la folie; sa recherche d'absolu en fait un être lumineux, mais il a choisi la mort comme moyen de l'atteindre.

Merci pour ce retour! J'y avais pensé pour le défi n°11. Rois, reines, empereurs et impératrices et autres chefs d'État.

Avec plaisir !

*Ombre* a écrit:J'ai reçu d'autres livres pour Noël, notamment Que notre joie demeure, de Kevin Lambert, sur la couverture duquel on voit un homme tenant un skateboard. D'où ma question : un skate peut-il être considéré comme un moyen de transport ?

Pour moi le skate peut être considéré comme un moyen de se déplacer (sur une distance plutôt courte en général).
Petite question pour le défi 1 : est-ce que la première de couverture dans des tons vert suffit ou la totalité de la couverture doit-elle être verte ?

Locko a écrit:

*Ombre* a écrit:J'ai reçu d'autres livres pour Noël, notamment Que notre joie demeure, de Kevin Lambert, sur la couverture duquel on voit un homme tenant un skateboard. D'où ma question : un skate peut-il être considéré comme un moyen de transport ?

Pour moi le skate peut être considéré comme un moyen de se déplacer (sur une distance plutôt courte en général).
Petite question pour le défi 1 : est-ce que la première de couverture dans des tons vert suffit ou la totalité de la couverture doit-elle être verte ?

Je dirais que la tonalité suffit, ou au moins une dominante verte, il y a de toute façon assez peu de couvertures totalement monochromes.


Premier livre terminé: Box Hill d'Adam Mars Jones, un court roman sur une relation sado-masochiste (mais l'auteur n'entre pas trop dans les détails) entre un jeune homme et un motard un peu plus âgé que lui rencontré par hasard sur la Box Hill du titre. Un court roman qui ne me marquera pas durablement que je mettrai soit dans la catégorie "séduction", soit "nom ou prénom composé".

J'ai passé beaucoup de temps en métro et en autobus ce matin, j'ai pu terminer Le sens de ma vie de Romain Gary, titre avec un possessif (4), livre très court.
C'est la transcription d'un entretien à Radio Canada en 1980, le style est très oral donc, ce n'a pas été réécrit. Il revient sur sa vie, et ses œuvres, et je m'aperçois que j'en connais bien peu, cela me donne envie d'en lire davantage.

Conviendrait aussi pour Ascension (22)

@Maju Qu'en penses-tu, toi? A moi, il me semble que cela ne suffit pas.

Angua a écrit:Après mon échec pour 2023, je vous rejoins sur la pointe des pieds pour une nouvelle tentative...

Lire n'est jamais un échec.  

lulucastagnette a écrit:


Pour l'item année bissextile, doit-on prendre en compte, pour les livres traduits, de leur parution dans leur pays d'origine ou bien de la traduction française?

Je dirais plutôt l'année de parution dans le pays d'origine. Sinon, on va se poser la question des rééditions, etc. Je me demande si la question n'a pas été posée déjà mais je n'ai pas retenu la réponse.

Locko a écrit:

*Ombre* a écrit:J'ai reçu d'autres livres pour Noël, notamment Que notre joie demeure, de Kevin Lambert, sur la couverture duquel on voit un homme tenant un skateboard. D'où ma question : un skate peut-il être considéré comme un moyen de transport ?

Pour moi le skate peut être considéré comme un moyen de se déplacer (sur une distance plutôt courte en général).
Petite question pour le défi 1 : est-ce que la première de couverture dans des tons vert suffit ou la totalité de la couverture doit-elle être verte ?

Des nuances de vert ou une majorité de vert peuvent suffire.


J'ai profité du week-end chez mes parents pour lire L'Iris blanc et leur emprunter des Agatha Christie.
Avec L'Iris blanc, l'Astérix de Fabcaro et Conrad, je valide le défi 6: déplacement puisque les héros se déplacent de leur village en Armorique à Lutèce, et notamment en CGV (char à Grande Vitesse).
C'est une lecture sympa: le graphisme est très fidèle à l'original et l'histoire est rigolote, avec quelques belles trouvailles en matière de jeux de mots.
Il peut aussi valider le défi 13 (à la recherche de Bonnemine).

Destination inconnue est un roman d'espionnage que je n'avais jamais lu ( je suis toujours surprise de tomber sur un A.C. que je n'ai pas encore lu). Pas de Poirot ni de miss Marple, mais une héroïne pas si belle mais intrépide qui accepte d'aider les services secrets britanniques au péril de sa vie. Cela se passe pendant la guerre froide et des cerveaux de l'Occident disparaissent, sans doute de l'autre côté du rideau de fer: après le nazisme, quel totalitarisme gouvernera-t-il le monde?
Avec ce roman très plaisant, je valide le 50: Trompeuses apparences, car notre héroïne ne sait à qui se fier ni de qui se méfier. Elle-même, d'ailleurs, se fait passer pour quelqu'un d'autre.
Il peut aussi valider les défis 6 (déplacement de Londres au Maroc), 13 (à la recherche des cerveaux disparus) et 24 (So British ! les Anglaises du roman et leur vision de l'étranger, d'après A. Christie).

Aphrodissia a écrit:@Maju Qu'en penses-tu, toi? A moi, il me semble que cela ne suffit pas.

Angua a écrit:Après mon échec pour 2023, je vous rejoins sur la pointe des pieds pour une nouvelle tentative...

Lire n'est jamais un échec.  

lulucastagnette a écrit:


Pour l'item année bissextile, doit-on prendre en compte, pour les livres traduits, de leur parution dans leur pays d'origine ou bien de la traduction française?

Je dirais plutôt l'année de parution dans le pays d'origine. Sinon, on va se poser la question des rééditions, etc. Je me demande si la question n'a pas été posée déjà mais je n'ai pas retenu la réponse.

Locko a écrit:

*Ombre* a écrit:J'ai reçu d'autres livres pour Noël, notamment Que notre joie demeure, de Kevin Lambert, sur la couverture duquel on voit un homme tenant un skateboard. D'où ma question : un skate peut-il être considéré comme un moyen de transport ?

Pour moi le skate peut être considéré comme un moyen de se déplacer (sur une distance plutôt courte en général).
Petite question pour le défi 1 : est-ce que la première de couverture dans des tons vert suffit ou la totalité de la couverture doit-elle être verte ?

Des nuances de vert ou une majorité de vert peuvent suffire.


J'ai profité du week-end chez mes parents pour lire L'Iris blanc et leur emprunter des Agatha Christie.
Avec L'Iris blanc, l'Astérix de Fabcaro et Conrad, je valide le défi 6: déplacement puisque les héros se déplacent de leur village en Armorique à Lutèce, et notamment en CGV (char à Grande Vitesse).
C'est une lecture sympa: le graphisme est très fidèle à l'original et l'histoire est rigolote, avec quelques belles trouvailles en matière de jeux de mots.
Il peut aussi valider le défi 13 (à la recherche de Bonnemine).

Destination inconnue est un roman d'espionnage que je n'avais jamais lu ( je suis toujours surprise de tomber sur un A.C. que je n'ai pas encore lu). Pas de Poirot ni de miss Marple, mais une héroïne pas si belle mais intrépide qui accepte d'aider les services secrets britanniques au péril de sa vie. Cela se passe pendant la guerre froide et des cerveaux de l'Occident disparaissent, sans doute de l'autre côté du rideau de fer: après le nazisme, quel totalitarisme gouvernera-t-il le monde?
Avec ce roman très plaisant, je valide le 50: Trompeuses apparences, car notre héroïne ne sait à qui se fier ni de qui se méfier. Elle-même, d'ailleurs, se fait passer pour quelqu'un d'autre.
Il peut aussi valider les défis 6 (déplacement de Londres au Maroc), 13 (à la recherche des cerveaux disparus) et 24 (So British ! les Anglaises du roman et leur vision de l'étranger, d'après A. Christie).

Ah oui ! Je viens de le lire L'iris blanc, après l'avoir offert à mon fils. Je ne pensais pas du tout à le compter dans le défi. Très drôle !

Pour le défi 7, un livre féministe ou sur une femme (réelle) qui a marqué son temps. Une farouche liberté. Gisèle Halimi, la cause des femmes de Annick Cojean, Sophie Couturier, Sandrine Revel et Myriam Lavialle. Cette BD revient sur les différents combats de cette avocate célèbre qui a défendu la cause des femmes. Intéressant.

Pour le défi 34 (Négritude), j'ai lu Nickel boys de Colson Whitehead.
L'histoire du jeune Elwood Curtis, jeune Noir qui grandit en Floride dans les années 1960. Admirateur de Martin Luther King et ne rêvant que d'études supérieures, il se retrouve, par un fâcheux concours de circonstances, à la Nickel Academy, une maison de correction où les pensionnaires sont soumis aux pires sévices...
Prix Pulitzer 2020 pour l'auteur (le 2e pour lui), ce roman qui s'inspire de faits réels fait froid dans le dos mais rend hommage et donne une voix à cette foule d'innocents victimes de l'injustice du fait de leur couleur de peau.

Si vous n'avez pas d'idée pour "objets inanimés": Le Chardonneret de Donna Tartt, où un tableau (imaginaire) d'un maître hollandais est au centre de toute l'intrigue.

En fait j'ai vu le film hier, mais je ne sais pas si je vais m'attaquer au roman qui pèse son poids et frôle les 900 pages.

cavatine a écrit:

Edit : Mais je viens de retrouver, aussi, ce Félicratie (qui semble assez barré !), de H. Lenoir (c'est le vrai nom de plume de l'autrice).

Effectivement complètement barré, mais excellent ! J'ai passé un très bon moment de détente. Je me souviens (cette lecture a bien deux ans) de la trame principale mais aussi des allusions qui fourmillent et chatouillaient la lectrice de SF que je suis...

AsarteLilith a écrit:Pas grave, je ne finis jamais non plus ! L'important est de sortir de sa zone de confort.

Modérément, hein !

L'instant confession ::

Aphrodissia a écrit:@Maju Qu'en penses-tu, toi? A moi, il me semble que cela ne suffit pas.

Angua a écrit:Après mon échec pour 2023, je vous rejoins sur la pointe des pieds pour une nouvelle tentative...

Lire n'est jamais un échec.  

Rassure-toi : je lis. Comme je respire, sinon, mon cerveau manque d'oxygène.

Caspar a écrit:Si vous n'avez pas d'idée pour "objets inanimés": Le Chardonneret de Donna Tartt, où un tableau (imaginaire) d'un maître hollandais est au centre de toute l'intrigue.

En fait j'ai vu le film hier, mais je ne sais pas si je vais m'attaquer au roman qui pèse son poids et frôle les 900 pages.

C'est un roman fabuleux ! Ne te laisse pas effrayer par l'épaisseur !

Caspar a écrit:Si vous n'avez pas d'idée pour "objets inanimés": Le Chardonneret de Donna Tartt, où un tableau (imaginaire) d'un maître hollandais est au centre de toute l'intrigue.

En fait j'ai vu le film hier, mais je ne sais pas si je vais m'attaquer au roman qui pèse son poids et frôle les 900 pages.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Le_Chardonneret