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- MitcindyNiveau 10
Aujourd'hui, j'ai fait des révisions de conjugaison à une classe de seconde. C'est sûr que ce n'est pas très drôle mais ces exercices me semblaient indispensables au vu du diagnostic fait en début d'année.
10 minutes avant la fin du cours, j'entends du fond de la classe "c'est chiant!". Pas prononcé très fort mais je l'ai entendu.
J'ai fait l'erreur de faire comme si je n'avais pas entendu. Et je suis furieuse d'avoir réagi ainsi.
Comment aurait-il fallu réagir ? Je précise qu'il s'agit de secondes et qu'ils n'ont plus de carnets. L'embêtant, c'est que je n'ai pas encore mémorisé tous les élèves, donc je ne suis pas certaine de l'élève qui a dit cela. J'aurais du avoir de la répartie sur ce coup là, mais j'étais fatiguée et c'est vrai que les conjugaisons ne sont pas drôles. Mais tout doit-il être "fun" en cours ???
Je trouve vraiment que les élèves se permettent de plus en plus de choses.
10 minutes avant la fin du cours, j'entends du fond de la classe "c'est chiant!". Pas prononcé très fort mais je l'ai entendu.
J'ai fait l'erreur de faire comme si je n'avais pas entendu. Et je suis furieuse d'avoir réagi ainsi.
Comment aurait-il fallu réagir ? Je précise qu'il s'agit de secondes et qu'ils n'ont plus de carnets. L'embêtant, c'est que je n'ai pas encore mémorisé tous les élèves, donc je ne suis pas certaine de l'élève qui a dit cela. J'aurais du avoir de la répartie sur ce coup là, mais j'étais fatiguée et c'est vrai que les conjugaisons ne sont pas drôles. Mais tout doit-il être "fun" en cours ???
Je trouve vraiment que les élèves se permettent de plus en plus de choses.
- HocamSage
Pour ta dernière remarque, quand j'étais élève en CM1 au millénaire dernier, nous faisions des concours de «c'est nul» et «ça sert à quoi ?» pour énerver la maîtresse (oui, c'était idiot). Le «c'est chiant» n'a rien de nouveau, même si c'est particulièrement irrespectueux et exaspérant.
Parfois, faire semblant de ne pas entendre n'est pas une si mauvaise idée. Si tu n'avais pas l'énergie de réagir fermement sans t'emporter sur le coup, eh bien ma foi, ça n'a pas grande importance. Dans l'idéal, ça mérite une double ration de frites en conjugaison, mais on fait ce qu'on peut dans les conditions qui nous sont données. Pas de quoi se prendre la tête ! Bon courage pour la suite.
Parfois, faire semblant de ne pas entendre n'est pas une si mauvaise idée. Si tu n'avais pas l'énergie de réagir fermement sans t'emporter sur le coup, eh bien ma foi, ça n'a pas grande importance. Dans l'idéal, ça mérite une double ration de frites en conjugaison, mais on fait ce qu'on peut dans les conditions qui nous sont données. Pas de quoi se prendre la tête ! Bon courage pour la suite.
- courage_fuyonsNiveau 5
Effectivement parfois on n’a pas l’énergie sur le moment de réagir….Bien se préparer si cela se reproduit?
J’ai des élèves vraiment difficiles par moment et parfois laisser aller les laisse respirer…mais si cela se reproduit je ne laisse pas passer car on doit bien mettre les limites…
C’est courageux d’avoir fait une séance difficile…
J’ai des élèves vraiment difficiles par moment et parfois laisser aller les laisse respirer…mais si cela se reproduit je ne laisse pas passer car on doit bien mettre les limites…
C’est courageux d’avoir fait une séance difficile…
- VolteNiveau 5
Maugréer à voix basse, ce n'est pas une attaque contre toi, laisse passer.
- MédéeÉrudit
Je rejoins Hocam : ignorer une remarque faite à voix basse par un élève c'est ne pas donner plus d'importance à une remarque qu'elle n'en mérite.
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Rentrée 2024 : Poste fixe ! (et 16e établissement )
2021-2024 : TZR en remplacements courts
2020-2021 : T3 - TZR en AFA : 1 collège 6e, 5e + PP 5e
2019-2020 : T2 - TZR en AFA : 2 collèges 6e, 5e, 4e + PP 5e
2018-2019 : T1 - TZR en AFA : 3 collèges 5e, 4e
2017-2018 : Stagiaire en lycée (2nde x2)
- valleExpert spécialisé
Je suis d'accord. Ne t'en fais pas !! Tu peux la prochaine fois où tu feras des exercices "répétitifs", les introduire en rappelant que, bien que peu entraînants pour certains (et tu préfères ne pas répéter l'expression entendue la dernière fois en cours...), ces exercices sont plus que nécessaires pour eux.
Comme ça, tu fais voir que tu n'es pas sourde/dupe, et que tu es là pour les faire travailler et progresser.
Comme ça, tu fais voir que tu n'es pas sourde/dupe, et que tu es là pour les faire travailler et progresser.
- Philomène87Grand sage
"C'est chiant", j'ai dû l'entendre une tonne de fois.
Ce qui m'amuse moins, c'est quand j'entends chuchoter "elle me casse les c***" et que le gusse, appuyé par ses voisins-potes, jure ses grands dieux qu'il n'a pas dit ça. Quand c'est comme ça, on est bien coincé...
Ce qui m'amuse moins, c'est quand j'entends chuchoter "elle me casse les c***" et que le gusse, appuyé par ses voisins-potes, jure ses grands dieux qu'il n'a pas dit ça. Quand c'est comme ça, on est bien coincé...
- Fab72Niveau 5
D'accord aussi. Surtout si tu ne sais pas qui a dit ça (pour éviter de punir ou râler sur le mauvais élève ou sur tout le monde).
Il y a des fois où il vaut mieux laisser tomber...
Il y a des fois où il vaut mieux laisser tomber...
- SolovieïNiveau 10
Soit on laisse tomber, soit on entame une spirale de coercition qui finit par nous pourrir totalement l'ambiance.
Une autre voie est peut-être possible : si ces comportements et commentaires se répètent, il s'agirait de "faire comme si de rien n'était", mais enregistrer l'information, le nom de l'élève (par ex. dans notre carnet/agenda/bloc-notes). Ensuite, lui faire comprendre par de menus gestes et à petit feu que nous ne sommes pas dupes : le tenir à l'écart de tout, ne pas l'écouter quand il lève la main, ne jamais le choisir pour une action ou une activité, lui répondre "oui-oui-c'est-ça-bonjour" à chaque entrée, etc. Il va comprendre très vite et saura très bien d'où ça vient. S'inscrire dans le temps long et la patience peut porter ses fruits. Il est possible aussi de mentionner sur le bulletin son mépris ouvert de la matière et ses commentaires désobligeants. Inutile de se fâcher, c'est épuisant.
L'école, c'est aussi l'école de la vie : donnant-donnant.
Une autre voie est peut-être possible : si ces comportements et commentaires se répètent, il s'agirait de "faire comme si de rien n'était", mais enregistrer l'information, le nom de l'élève (par ex. dans notre carnet/agenda/bloc-notes). Ensuite, lui faire comprendre par de menus gestes et à petit feu que nous ne sommes pas dupes : le tenir à l'écart de tout, ne pas l'écouter quand il lève la main, ne jamais le choisir pour une action ou une activité, lui répondre "oui-oui-c'est-ça-bonjour" à chaque entrée, etc. Il va comprendre très vite et saura très bien d'où ça vient. S'inscrire dans le temps long et la patience peut porter ses fruits. Il est possible aussi de mentionner sur le bulletin son mépris ouvert de la matière et ses commentaires désobligeants. Inutile de se fâcher, c'est épuisant.
L'école, c'est aussi l'école de la vie : donnant-donnant.
- scot69Modérateur
Hocam a écrit:
Parfois, faire semblant de ne pas entendre n'est pas une si mauvaise idée.
Totalement!
- CasparProphète
Il y a aussi la variante, "ça ne sert à rien" (cette année j'ai déjà eu droit à "est-ce vraiment essentiel d'apprendre ça ?" question sincère d'un élève par ailleurs poli et motivé qui a droit à une double dose de Caspar: spé et tronc commun).
Ne pas trop se formaliser, que les adolescents trouvent parfois les cours "chiants" ça n'a rien de bien surprenant, faire une remarque un peu cassante et passer à la suite....
Ne pas trop se formaliser, que les adolescents trouvent parfois les cours "chiants" ça n'a rien de bien surprenant, faire une remarque un peu cassante et passer à la suite....
- CasparProphète
Solovieï a écrit:Soit on laisse tomber, soit on entame une spirale de coercition qui finit par nous pourrir totalement l'ambiance.
Une autre voie est peut-être possible : si ces comportements et commentaires se répètent, il s'agirait de "faire comme si de rien n'était", mais enregistrer l'information, le nom de l'élève (par ex. dans notre carnet/agenda/bloc-notes). Ensuite, lui faire comprendre par de menus gestes et à petit feu que nous ne sommes pas dupes : le tenir à l'écart de tout, ne pas l'écouter quand il lève la main, ne jamais le choisir pour une action ou une activité, lui répondre "oui-oui-c'est-ça-bonjour" à chaque entrée, etc. Il va comprendre très vite et saura très bien d'où ça vient. S'inscrire dans le temps long et la patience peut porter ses fruits. Il est possible aussi de mentionner sur le bulletin son mépris ouvert de la matière et ses commentaires désobligeants. Inutile de se fâcher, c'est épuisant.
L'école, c'est aussi l'école de la vie : donnant-donnant.
Ouh là je trouve ça bien compliqué et "stigmatisant" dans le sens où l'élève peut ensuite se plaindre du méchant prof qui le harcèle...
- Lord StevenExpert
Vous pouvez également tenter une réponse un peu acerbe comme: Certes, je confirme, ça l'est, mais si votre niveau correspondait au niveau attendu en seconde, nous ferions immédiatement des choses passionnantes.
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If you play with a cat, you should mind his scratch
- Panta RheiExpert
Caspar a écrit:Il y a aussi la variante, "ça ne sert à rien" (cette année j'ai déjà eu droit à "est-ce vraiment essentiel d'apprendre ça ?" question sincère d'un élève par ailleurs poli et motivé qui a droit à une double dose de Caspar: spé et tronc commun).
Ne pas trop se formaliser, que les adolescents trouvent parfois les cours "chiants" ça n'a rien de bien surprenant, faire une remarque un peu cassante et passer à la suite....
Tout à fait. J’ajouterais bien nous-mêmes ! Non ?
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- Signature:
- 'Don't you find yourself getting bored?' she asked of her sister. 'Don't you find, that things fail to materialise? NOTHING MATERIALISES! Everything withers in the bud.'
'What withers in the bud?' asked Ursula.
'Oh, everything—oneself—things in general.'First Page of Women in Love, D. H. Lawrence
- FZNiveau 10
Je rejoins ce qui a été dit précédemment, à mon avis pas la peine de sur-réagir ; la remarque est inappropriée, mais factuelle. Je ne sanctionne pas ce genre de propos mais je peux les amener à trouver le plus de mots et d'expressions en langage courant et soutenu pour exprimer la même idée.
- ChomskyNiveau 4
Caspar a écrit:Solovieï a écrit:Soit on laisse tomber, soit on entame une spirale de coercition qui finit par nous pourrir totalement l'ambiance.
Une autre voie est peut-être possible : si ces comportements et commentaires se répètent, il s'agirait de "faire comme si de rien n'était", mais enregistrer l'information, le nom de l'élève (par ex. dans notre carnet/agenda/bloc-notes). Ensuite, lui faire comprendre par de menus gestes et à petit feu que nous ne sommes pas dupes : le tenir à l'écart de tout, ne pas l'écouter quand il lève la main, ne jamais le choisir pour une action ou une activité, lui répondre "oui-oui-c'est-ça-bonjour" à chaque entrée, etc. Il va comprendre très vite et saura très bien d'où ça vient. S'inscrire dans le temps long et la patience peut porter ses fruits. Il est possible aussi de mentionner sur le bulletin son mépris ouvert de la matière et ses commentaires désobligeants. Inutile de se fâcher, c'est épuisant.
L'école, c'est aussi l'école de la vie : donnant-donnant.
Ouh là je trouve ça bien compliqué et "stigmatisant" dans le sens où l'élève peut ensuite se plaindre du méchant prof qui le harcèle...
Du même avis que toi, cela me semble une pente bien glissante vers une ambiance de classe catastrophique !
- ElaïnaDevin
Moi je pense qu'il n'y a pas de bonne ou de mauvaise solution, il faut faire comme on le sent à l'instant T (et danser la vie, chanter la vie, n'être qu'amour).
En ce qui me concerne, suivant le jour, l'heure, l'humeur, je peux ignorer la remarque, balancer à la cantonade "oui, c'est chiant, mais si vous aviez un niveau correct de seconde, on n'aurait pas à le faire" comme ça a été suggéré, ou encore clasher l'élève bien comme il faut. Ignorer n'est pas la plus mauvaise des solutions.
En ce qui me concerne, suivant le jour, l'heure, l'humeur, je peux ignorer la remarque, balancer à la cantonade "oui, c'est chiant, mais si vous aviez un niveau correct de seconde, on n'aurait pas à le faire" comme ça a été suggéré, ou encore clasher l'élève bien comme il faut. Ignorer n'est pas la plus mauvaise des solutions.
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It took me forty years to realize this. But for guys like us... our lives aren't really our own. There's always someone new to help. Someone we need to protect. These past few years, I fought that fate with all I had. But I'm done fighting. It's time I accept the hand I was dealt. Too many people depend on us. Their dreams depend on us.
Kiryu Kazuma inYakuza 4 Remastered
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- AnneNevilleNiveau 7
Pour ma part pas plus tard que ce matin j'ai eu un 4eme qui me sort "madame, c'est pas que je veux critiquer vos cours, mais faudrait donner un peu de contexte au lieu de balancer ça comme ça". Pas de bol pour lui, il parlait de la correction d'un exercice. J'avais certes affiché la première phrase au tableau, MAIS avant j'avais aussi rappelé quels exercices étaient à faire, relu et reformulé la consigne... Je lui ai donc répondu que sa remarque montrait qu'il n'avait pas vraiment écouté.
- Panta RheiExpert
Elaïna a écrit:Moi je pense qu'il n'y a pas de bonne ou de mauvaise solution, il faut faire comme on le sent à l'instant T (et danser la vie, chanter la vie, n'être qu'amour).
En ce qui me concerne, suivant le jour, l'heure, l'humeur, je peux ignorer la remarque, balancer à la cantonade "oui, c'est chiant, mais si vous aviez un niveau correct de seconde, on n'aurait pas à le faire" comme ça a été suggéré, ou encore clasher l'élève bien comme il faut. Ignorer n'est pas la plus mauvaise des solutions.
Voilà ! Elaïna a parfaitement synthétisé ce qu'il fallait dire. Merci.
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- 'Don't you find yourself getting bored?' she asked of her sister. 'Don't you find, that things fail to materialise? NOTHING MATERIALISES! Everything withers in the bud.'
'What withers in the bud?' asked Ursula.
'Oh, everything—oneself—things in general.'First Page of Women in Love, D. H. Lawrence
- TivinouDoyen
C'est exactement ça. Quand je suis en forme, solution 1 ; quand ils m'agacent, mais que je ne suis pas épuisée, solution 2, avec humour ; et quand je suis trop fatiguée, ou bien énervée, solution 3.Elaïna a écrit: En ce qui me concerne, suivant le jour, l'heure, l'humeur, je peux ignorer la remarque, balancer à la cantonade "oui, c'est chiant, mais si vous aviez un niveau correct de seconde, on n'aurait pas à le faire" comme ça a été suggéré, ou encore clasher l'élève bien comme il faut. Ignorer n'est pas la plus mauvaise des solutions.
Le plus souvent, je choisis l'option médiane, mais je crois qu'ignorer la remarque est bien plus sage, quitte à commencer la séance suivante du même type par de l'ironie "Comme je sais que vous adorez ça, aujourd'hui nous allons faire des exercices de grammaire".
- Lisak40Expert spécialisé
En LP, on a teeeellement l'habitude des commentaires déplacés, qu'on (ne) gère (pas) beaucoup mieux !! Ce matin un élève m'a traitée de débile ; je l'ai viré évidemment, mais il n'a absolument pas compris pourquoi. J'ai pris aussi des "De quoi elle me parle cette grosse conne", "vous me faites *** avec vos cours de merde", etc. etc. J'exclus direct, mais parfois on me le reproche... D'un autre côté je tolère d'autres choses qui ici sembleraient beaucoup plus problématiques ; chacun son seuil de tolérance... En LP on est un labo : ce qui nous arrive va aussi vous arriver...
- roxanneOracle
Tiens, anecdote fraiche de ce matin Classe de STI, avec deux trois loustics qui ont un potentiel de perturbateurs et que je tiens serrés. On bosse, ça bronche pas, et là j'entends le gugus devant (qui est le perturbateur n°1) dire tout bas à son voisin "t'es crampté" . Le dit voisin n'ose pas trop ricaner. J'ai entendu, ne relève pas. Mais, évidemment 2 minutes plus tard, il recommence un tout petit peu plus fort, le voisin se retient de plus en plus difficilement. Il n'y a que nous trois qui avons entendu. J'ai joué le grand jeu avec foutage de gueule sur le thème "mais en Première, tu en es encore là mon pauvre garçon, sérieux, tu me fais le coup de quoikoube !! " Ca n'a pas duré, juste ce qu'il fallait, puis je suis repartie sur le cours. Mais, je pense que ça l'a calmé.
- miss sophieExpert spécialisé
Lord Steven a écrit:Vous pouvez également tenter une réponse un peu acerbe comme: Certes, je confirme, ça l'est, mais si votre niveau correspondait au niveau attendu en seconde, nous ferions immédiatement des choses passionnantes.
Je réagirais comme toi.
- MitcindyNiveau 10
Elaïna a écrit:Moi je pense qu'il n'y a pas de bonne ou de mauvaise solution, il faut faire comme on le sent à l'instant T (et danser la vie, chanter la vie, n'être qu'amour).
En ce qui me concerne, suivant le jour, l'heure, l'humeur, je peux ignorer la remarque, balancer à la cantonade "oui, c'est chiant, mais si vous aviez un niveau correct de seconde, on n'aurait pas à le faire" comme ça a été suggéré, ou encore clasher l'élève bien comme il faut. Ignorer n'est pas la plus mauvaise des solutions.
Excellent, je retiens.
Aujourd'hui, évaluation sur le cours de conjugaison "bien chiant".
Les élèves n'ont rien dit et se sont exécutés sans broncher.
J'ai dit qu'il y aurait contrôle de conjugaison toutes les semaines et donc des verbes à apprendre toutes les semaines.
Chiant ou pas, il va falloir bosser !
J'en ai plus que MARRE de récupérer des élèves qui n'ont fait que du ludique en allemand.
Sous prétexte que cette langue est difficile et rébarbative, je devrais brader mes cours ? Hors de question.
Terminé le fun ! Mais au moins, ils vont pouvoir bosser sur des textes intéressants.
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