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- liliepingouinÉrudit
Ne vous fatiguez pas à répondre, l'habitant des cavernes ne saurait entendre raison.
Je me posais des questions depuis le post de départ, je n'ai pas été étonnée par la suite.
- Anne_68Niveau 10
Danska a écrit:Eh bien écoutez, postulez, lancez-vous, et dans quelques années quand vous aurez appris vous reviendrez nous expliquer comment vous avez fait pour vous en sortir "mieux que ceux qui ont un diplôme en lien avec la matière enseignée."
Et tant pis pour les élèves qui entre-temps auront eu à passer un an de scolarité avec un "prof" qui a décidé que "c'est en faisant qu'on apprend" et qui en attendant ne connaît rien à la discipline qu'il est censé enseigner.
+1
Cyrilg12 veut probablement aussi que l'on laisse leur chance aux médecins sans "papier", aux avocats "différents" et aux ingénieurs "qui assument" - par exemple d'envoyer un submersible conçu pour -1500 mètres à -4000m, du moment qu'ils ne sont pas dedans...
Et puis zut à la fin
- A TuinVénérable
joebar69 a écrit:M'enfin !
On essaye, avec + ou - d'humour, de tact, d'argumentations variées, de vous expliquer qu'il y a un minimum de cohérences à réunir entre un parcours de formation initial et un métier (car oui, enseigner est un métier).
Que diriez-vous, si un plombier débarquait chez vous pour réparer une fuite d'eau et qu'il vous annonçait qu'il découvre le métier mais qu'il a "la volonté, et puis c’est en faisant qu’on apprend".
Que votre désir soit de devenir enseignant, soit. Il en manque actuellement.
Que votre souhait soit de tenter une expérience de contractuel, soit. C'est plutôt, une démarche de découverte que nous encourageons.
Que votre cursus soit en inadéquation avec les disciplines que vous cherchez à pratiquer avec des jeunes en formation, là est le problème.
Un choix de discipline plus proche de vos pratiques professionnelles actuelles semble être un pré-requis, que ce soit au niveau du recrutement ou au niveau découverte du métier.
Une formation universitaire plus proche de la discipline que vous cherchez à enseigner est par contre plus que recommandée.
Il est certainement possible clairement, d'obtenir un PLP dans les filières restauration, avec ce cursus. Là il y aurait une adéquation.
- joebar69Fidèle du forum
@A_Tuin : Au regard du post initial de ce fil et du métier occupé actuellement par l'émetteur, je pense plus à un poste PLP contractuel sur la partie enseignement pro du BACPro CIEL. A voir ...
- A TuinVénérable
joebar69 a écrit:@A_Tuin : Au regard du post initial de ce fil et du métier occupé actuellement par l'émetteur, je pense plus à un poste PLP contractuel sur la partie enseignement pro du BACPro CIEL. A voir ...
+1.
Math sciences, c'est un peu farfelu.
Il faut imaginer derrière, le parent qui va devoir reprendre chaque semaine les devoirs en math sciences, parce que le niveau du professeur ne va pas. Ça, on se le traîne des années ensuite, car ce qui n'est pas vu comme il faut une année, s'incrémente par la suite sous forme de difficultés ....
Ces réformes de notre métier sont vraiment infectes pour cela. Mais bien sûr, il suffit maintenant à priori de voir la lumière et ouvrir la porte pour devenir professeur. On est vraiment passé dans une société du nombril.
Il faut ne pas avoir d'enfant soi-même et n'être pas conscient, ou des enfants désormais grands et ne plus se sentir concerné, pour ne pas voir les problèmes que va poser cette nouvelle vision de notre métier dans l'avenir...
- mafalda16Modérateur
On peut ne pas avoir d’enfant et être un peu conscient du problème. Cet argument est franchement éculé ! ou alors on interdit aux gens sans enfant d’être prof ?!
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"Si no luchas, al menos ten la decencia de respetar a quienes lo hacen", José Martí.
- JennyMédiateur
mafalda16 a écrit:On peut ne pas avoir d’enfant et être un peu conscient du problème. Cet argument est franchement éculé ! ou alors on interdit aux gens sans enfant d’être prof ?!
+1. Le cliché habituel et désolant.
- jésusFidèle du forum
Le juge de paix, c'est le rectorat et l'inspecteur de la matière.
Si ils disent oui, rien n'interdit de le faire.
Après, il faut au moins une licence dans la matière enseignée pour avoir toutes ses chances, et/ou sinon de l'expérience pour enseigner approchante dans les filières pro.
Là, avec ce parcours, une équivalence de niveau, c'est à vérifier. Des formations en immobilier me semblent plus adéquates.
Si ils disent oui, rien n'interdit de le faire.
Après, il faut au moins une licence dans la matière enseignée pour avoir toutes ses chances, et/ou sinon de l'expérience pour enseigner approchante dans les filières pro.
Là, avec ce parcours, une équivalence de niveau, c'est à vérifier. Des formations en immobilier me semblent plus adéquates.
- A TuinVénérable
mafalda16 a écrit:On peut ne pas avoir d’enfant et être un peu conscient du problème. Cet argument est franchement éculé ! ou alors on interdit aux gens sans enfant d’être prof ?!
Pas dans ce sens là.
Dans le sens, les pires idées viennent souvent des gens peu concernés hélas ...
- KeaFidèle du forum
J'ai cette interrogation depuis le début de ce sujet. Une "équivalence bac+x" est-elle assimilée à un "bac+x" par l'Education Nationale lorsqu'elle recrute ses enseignants ?jésus a écrit:Le juge de paix, c'est le rectorat et l'inspecteur de la matière.
Si ils disent oui, rien n'interdit de le faire.
Après, il faut au moins une licence dans la matière enseignée pour avoir toutes ses chances, et/ou sinon de l'expérience pour enseigner approchante dans les filières pro.
Là, avec ce parcours, une équivalence de niveau, c'est à vérifier. Des formations en immobilier me semblent plus adéquates.
Il est aussi possible de se tourner vers le 3e concours, pour lequel il n'y a pas de condition de diplôme mais l'exigence d'une expérience professionnelle (et donc peut-être envisager d'enseigner des matières professionnelles en lycée professionnel plutôt que des matières générales en collège, lycée général et technologique, lycée professionnel).
- HélipsProphète
Exigence d'une expérience professionnelle mais pas nécessairement dans le domaine visé. L'auteur du fil peut passer le 3e concours de son choix, en mathématiques s'il le souhaite.Kea a écrit:J'ai cette interrogation depuis le début de ce sujet. Une "équivalence bac+x" est-elle assimilée à un "bac+x" par l'Education Nationale lorsqu'elle recrute ses enseignants ?jésus a écrit:Le juge de paix, c'est le rectorat et l'inspecteur de la matière.
Si ils disent oui, rien n'interdit de le faire.
Après, il faut au moins une licence dans la matière enseignée pour avoir toutes ses chances, et/ou sinon de l'expérience pour enseigner approchante dans les filières pro.
Là, avec ce parcours, une équivalence de niveau, c'est à vérifier. Des formations en immobilier me semblent plus adéquates.
Il est aussi possible de se tourner vers le 3e concours, pour lequel il n'y a pas de condition de diplôme mais l'exigence d'une expérience professionnelle (et donc peut-être envisager d'enseigner des matières professionnelles en lycée professionnel plutôt que des matières générales en collège, lycée général et technologique, lycée professionnel).
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- KeaFidèle du forum
Oui, j'aurais dû être plus précise. En écrivant ma parenthèse, je pensais à l'enseignement en tant que contractuel et non à l'après-concours. Autrement dit, puisque l'initiateur de ce fil envisage de commencer comme contractuel et qu'il n'a peut-être pas un niveau reconnu par l'EN, il devrait être plus facile pour lui d'être recruté dans (et d'enseigner !) une matière professionnelle et de passer éventuellement le 3e concours ensuite.
Ceci dit, il est vrai qu'une fois un niveau d'études reconnu, on peut se présenter au concours de son choix.
Ceci dit, il est vrai qu'une fois un niveau d'études reconnu, on peut se présenter au concours de son choix.
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