À la reconquête du mois de juin !

Je viens d'apprendre que le collège privé de ma ville, qui se targue de former la future élite de la Nation Française en imposant un laborieux travail et un esprit de sériosité sérieuse à ses élèves...

arrête ses cours le 21 juin.

beaverforever a écrit:Je viens d'apprendre que le collège privé de ma ville, qui se targue de former la future élite de la Nation Française en imposant un laborieux travail et un esprit de sériosité sérieuse à ses élèves...

arrête ses cours le 21 juin.

Dans les collèges dans lesquels j'ai officié, c'est approximativement à cette date-là que s'arrêtent les cours.

Dans les cités scolaires, c'est parfois un peu avant le bac de philo... même partie collège.

Pontorson50 a écrit:

Ajonc35 a écrit:Il y a aussi les transports vers les collèges
Plus de lycéens, plus de 3ème,  ici les transports scolaires s'arrêtaient le 30 juin, c'est le département qui finance.
En ville, er peripherie, pas de problème, les transports urbains fonctionnent, mais les collèges ruraux ou les certains collégiens de la grand'ville  mais qui dépendent de ces transports, ils n'ont pas toujours de solution. Ceci explique une partie des fermetures dès la fin du dnb.
Dans mon lepa, les élèves viennent parfois de loin et après une mauvaise expérience, il y a longtemps, on les mettait en stage la dernière semaine. Pour nos 3eme, de plus en plus d'entreprises demandaient un stage avant de signer le contrat d'apprentissage et donc dernière semaine aussi,
Et pour ce petit monde, suivi auprès de ces entreprises. Ça nous occupait et ça occupe toujours mes ex- collègues.

Encore un effet pervers de la décentralisation : au nom de quelle légitimité un département est-il légalement juge de la date de fin des transports scolaires pour amener des élèves dans un collège qui a une date officielle de vacances scolaires au niveau national? Dans mon département de travail, les transports s'arrêtent le 7 juillet, point, leur tournée est raccourcie si tel ou tel établissement n'a plus d'élèves et c'est tout.  D'ailleurs nous aurons au nom de cette date du 7 juillet une poignée d'élèves en études du 4 au 7 juillet leurs parents ayant désiré que leurs enfants soient au collège jusqu'à cette date et c'est leur droit.

Exactement, c'est très étonnant. Dans mon département où les transports sont également totalement financés par le département, il y a des bus jusqu'au dernier jour.
A la lecture de ce post, on se demande à quoi correspond l'adjectif d'Education nationale !
Pour moi aussi, la semaine de la mort c'est avoir une poignée d'élèves toute une semaine qui arrivent en disant "on peut jouer au Uno ?"

Pareil et là ça va être 10 jours comme ça.
Bon je suis équipée : cluedo Madrid ! Un jeu oui mais en espagnol ! Gniark !

lulucastagnette a écrit:

Pontorson50 a écrit:

Ajonc35 a écrit:Il y a aussi les transports vers les collèges
Plus de lycéens, plus de 3ème,  ici les transports scolaires s'arrêtaient le 30 juin, c'est le département qui finance.
En ville, er peripherie, pas de problème, les transports urbains fonctionnent, mais les collèges ruraux ou les certains collégiens de la grand'ville  mais qui dépendent de ces transports, ils n'ont pas toujours de solution. Ceci explique une partie des fermetures dès la fin du dnb.
Dans mon lepa, les élèves viennent parfois de loin et après une mauvaise expérience, il y a longtemps, on les mettait en stage la dernière semaine. Pour nos 3eme, de plus en plus d'entreprises demandaient un stage avant de signer le contrat d'apprentissage et donc dernière semaine aussi,
Et pour ce petit monde, suivi auprès de ces entreprises. Ça nous occupait et ça occupe toujours mes ex- collègues.

Encore un effet pervers de la décentralisation : au nom de quelle légitimité un département est-il légalement juge de la date de fin des transports scolaires pour amener des élèves dans un collège qui a une date officielle de vacances scolaires au niveau national? Dans mon département de travail, les transports s'arrêtent le 7 juillet, point, leur tournée est raccourcie si tel ou tel établissement n'a plus d'élèves et c'est tout.  D'ailleurs nous aurons au nom de cette date du 7 juillet une poignée d'élèves en études du 4 au 7 juillet leurs parents ayant désiré que leurs enfants soient au collège jusqu'à cette date et c'est leur droit.

Exactement, c'est très étonnant. Dans mon département où les transports sont également totalement financés par le département, il y a des bus jusqu'au dernier jour.
A la lecture de ce post, on se demande à quoi correspond l'adjectif d'Education nationale !
Pour moi aussi, la semaine de la mort c'est avoir une poignée d'élèves toute une semaine qui arrivent en disant "on peut jouer au Uno ?"

C'est un peu comme les TAP. L'Etat a décidé de les mettre en place, mais ce sont les communes qui les ont organisées ( certes l'Etat les finançait mais pas toujours suffisamment).
Tant que les décideurs ne sont pas les payeurs, les mêmes, il y a forcément distorsion. Donc ici le département, qui n'est pas pauvre, mais qui constate que ce service consomme de l'argent pour peu d'élèves. Il faut le déplorer.

Jenny a écrit:Dans les cités scolaires, c'est parfois un peu avant le bac de philo... même partie collège.

Oui, arrêt mi-juin.
Et cette année le 9.

Je ne comprends pas trop les histoires de problèmes de garde. On parle de collégiens. Ils se gardent tout seuls, non ?

C'est plus facile, je trouve, d'occuper/ surveiller un collégien qui est libre toute la journée, et qu'on peut donc inscrire à des activités, envoyer chez un parent ou autre, qu'un collégien qui a un edt gruyère qui change sans cesse et dont on ne sait pas trop où il est quand sauf pour les rares que les parents n'autorisent pas à sortir de l'établissement après leur dernière heure de cours (bonjour la galère pour les vies sco si c'était comme ça pour tous).

lulucastagnette a écrit:

Pontorson50 a écrit:

Ajonc35 a écrit:Il y a aussi les transports vers les collèges
Plus de lycéens, plus de 3ème,  ici les transports scolaires s'arrêtaient le 30 juin, c'est le département qui finance.
En ville, er peripherie, pas de problème, les transports urbains fonctionnent, mais les collèges ruraux ou les certains collégiens de la grand'ville  mais qui dépendent de ces transports, ils n'ont pas toujours de solution. Ceci explique une partie des fermetures dès la fin du dnb.
Dans mon lepa, les élèves viennent parfois de loin et après une mauvaise expérience, il y a longtemps, on les mettait en stage la dernière semaine. Pour nos 3eme, de plus en plus d'entreprises demandaient un stage avant de signer le contrat d'apprentissage et donc dernière semaine aussi,
Et pour ce petit monde, suivi auprès de ces entreprises. Ça nous occupait et ça occupe toujours mes ex- collègues.

Encore un effet pervers de la décentralisation : au nom de quelle légitimité un département est-il légalement juge de la date de fin des transports scolaires pour amener des élèves dans un collège qui a une date officielle de vacances scolaires au niveau national? Dans mon département de travail, les transports s'arrêtent le 7 juillet, point, leur tournée est raccourcie si tel ou tel établissement n'a plus d'élèves et c'est tout.  D'ailleurs nous aurons au nom de cette date du 7 juillet une poignée d'élèves en études du 4 au 7 juillet leurs parents ayant désiré que leurs enfants soient au collège jusqu'à cette date et c'est leur droit.

Exactement, c'est très étonnant. Dans mon département où les transports sont également totalement financés par le département, il y a des bus jusqu'au dernier jour.
A la lecture de ce post, on se demande à quoi correspond l'adjectif d'Education nationale !
Pour moi aussi, la semaine de la mort c'est avoir une poignée d'élèves toute une semaine qui arrivent en disant "on peut jouer au Uno ?"

J’ignore ce qu’il en est cette année dans mon secteur, mais ces dernières années nous avons aussi vu les transports scolaires s’arrêter fin juin.
Le rectorat lui-même arrête des contrats de suppléance autour du 25 juin, alors...

Chez nous, les corrections sont les 3 et 4 juillet.

lene75 a écrit:Je ne comprends pas trop les histoires de problèmes de garde. On parle de collégiens. Ils se gardent tout seuls, non ?

C'est plus facile, je trouve, d'occuper/ surveiller un collégien qui est libre toute la journée, et qu'on peut donc inscrire à des activités, envoyer chez un parent ou autre, qu'un collégien qui a un edt gruyère qui change sans cesse et dont on ne sait pas trop où il est quand sauf pour les rares que les parents n'autorisent pas à sortir de l'établissement après leur dernière heure de cours (bonjour la galère pour les vies sco si c'était comme ça pour tous).

Je ne sais pas si j’aurais laissé mon fils de 11 ans seul toute la journée pendant deux semaines.

Oui, les collégiens se gardent tout seuls, effectivement ... Mais la grosse glandouille pendant deux semaines, ça ne fait pas vraiment rêver les parents ! ;0)
Quant aux activités, il n'y en pas pas, puisque la fin des cours est officiellement le 7 juillet ...

Par exemple aujourd'hui la mienne finit à 12h30. Forcément, les profs sont convoqués à droite à gauche. Elle prend le bus pour rentrer à 16h30. Entre les deux, j'ignore où elle est avec qui et ce qu'elle fait. Enfin j'ai une petite idée : il est question de batailles d'eau dans le parc à côté du collège. Alors certes, c'est sympa, ils sont entre eux et ça les autonomise, mais je ne suis pas sûre que ce soit plus rassurant pour les parents que de les savoir chez eux, chez les grands-parents ou ailleurs.

lene75 a écrit:Par exemple aujourd'hui la mienne finit à 12h30. Forcément, les profs sont convoqués à droite à gauche. Elle prend le bus pour rentrer à 16h30. Entre les deux, j'ignore où elle est avec qui et ce qu'elle fait. Enfin j'ai une petite idée : il est question de batailles d'eau dans le parc à côté du collège. Alors certes, c'est sympa, ils sont entre eux et ça les autonomise, mais je ne suis pas sûre que ce soit plus rassurant pour les parents que de les savoir chez eux,  chez les grands-parents ou ailleurs.

Chez eux seuls ou chez les grands-parents, ce n’est pas la même chose.
Et cela dépend aussi de l’enfant, de son environnement (campagne/ville), de la présence ou non de frères et sœurs, de sa maturité et du degré de confiance que tu peux avoir,  Personnellement entre mes 3 fils, il y en a un que je n’aurais pas laissé tout seul longtemps et plusieurs jours à la suite. Et même l’année où j’en avais deux au collège et le grand au lycée, cela m’aurait embêté de laisser cette responsabilité au grand.
(Heureusement pour moi, la question ne s’est jamais posée car mon mari travaille en partie à la maison)

sookie a écrit:

lene75 a écrit:Je ne comprends pas trop les histoires de problèmes de garde. On parle de collégiens. Ils se gardent tout seuls, non ?

C'est plus facile, je trouve, d'occuper/ surveiller un collégien qui est libre toute la journée, et qu'on peut donc inscrire à des activités, envoyer chez un parent ou autre, qu'un collégien qui a un edt gruyère qui change sans cesse et dont on ne sait pas trop où il est quand sauf pour les rares que les parents n'autorisent pas à sortir de l'établissement après leur dernière heure de cours (bonjour la galère pour les vies sco si c'était comme ça pour tous).

Je ne sais pas si j’aurais laissé mon fils de 11 ans seul toute la journée pendant deux semaines.

Je rappelle que les établissements ont l'obligation d'accueillir les enfants jusqu'au 7 juillet inclus. Si des parents sont véritablement empêchés ou ne soutiennent pas ces arrêts anticipés de cours, ils peuvent par ce biais manifester leur souhait. Entre cinq et dix familles chez nous enverront leurs enfants au collège en étude sur 250 élèves. Cela montre qu'une part notable des parents trouvent une solution ou ne désapprouvent pas si fortement que cela la cessation anticipée des cours dans des étés devenant plus sévères (même si cette année dans la moitié nord, les deux dernières semaines vont être  thermiquement clémentes). Il suffirait que un cinquième des parents refuse que l'enseignement s'arrête avant la date officielle des congés pour l'empêcher matériellement, je ne sais pas si les parents en ont conscience d'ailleurs, mais je gage que si la FCPE ou la PEEP souhaitaient véritablement nous imposer les enseignements à leur terme calendaire, elles auraient tenté le coup.

Côté parents il y a des avis et des pratiques diverses. Chez moi il y en a un certain nombre qui sont partis en vacances la semaine dernière ou cette semaine car après justement la saison touristique commence et ils vont travailler.

Pontorson50 a écrit:

sookie a écrit:

lene75 a écrit:Je ne comprends pas trop les histoires de problèmes de garde. On parle de collégiens. Ils se gardent tout seuls, non ?

C'est plus facile, je trouve, d'occuper/ surveiller un collégien qui est libre toute la journée, et qu'on peut donc inscrire à des activités, envoyer chez un parent ou autre, qu'un collégien qui a un edt gruyère qui change sans cesse et dont on ne sait pas trop où il est quand sauf pour les rares que les parents n'autorisent pas à sortir de l'établissement après leur dernière heure de cours (bonjour la galère pour les vies sco si c'était comme ça pour tous).

Je ne sais pas si j’aurais laissé mon fils de 11 ans seul toute la journée pendant deux semaines.

Je rappelle que les établissements ont l'obligation d'accueillir les enfants jusqu'au 7 juillet inclus. Si des parents sont véritablement empêchés ou ne soutiennent pas ces arrêts anticipés de cours, ils peuvent par ce biais manifester leur souhait. Entre cinq et dix familles chez nous enverront leurs enfants au collège en étude sur 250 élèves. Cela montre qu'une part notable des parents trouvent une solution ou ne désapprouvent pas si fortement que cela la cessation anticipée des cours dans des étés devenant plus sévères (même si cette année dans la moitié nord, les deux dernières semaines vont être  thermiquement clémentes). Il suffirait que un cinquième des parents refuse que l'enseignement s'arrête avant la date officielle des congés pour l'empêcher matériellement, je ne sais pas si les parents en ont conscience d'ailleurs, mais je gage que si la FCPE ou la PEEP souhaitaient véritablement nous imposer les enseignements à leur terme calendaire, elles auraient tenté le coup.

Sauf que, sauf que:
-plus de bus
-des commentaires bien lourdingues qui font comprendre que les élèves qui viennent ont de mauvais parents qui ne pensent qu'à se débarrasser je cite "de leur gosse". Je n'y ai pas cru la première fois lorsque mon fils en sixième est revenu en larme parce qu'il avait entendu de tels commentaires, jusqu'au moment où j'ai contacté d'autres parents qui avaient la même expérience...
-sans cours car professeurs absents, ils se retrouvent en salle de permanence tout âge confondu à ne rien faire. Certes ils emportent un livre et sont "gardés" mais la journée est longue surtout si on leur fait comprendre qu'ils n'ont rien à faire là.

Alors, au collège, dans la rue ou à la maison ? Mystère. Si vous voulez tout savoir, Mistinguette vient de débarquer chez moi avec une copine, croyant que je n'étais pas là, puisque je pensais rentrer plus tard et ferme à clé derrière moi quand je suis à l'intérieur. Elles n'ont finalement pas voulu attendre la bataille d'eau parce que l'autre moitié de la classe avait cours jusqu'à 15h. Le fait qu'il y ait encore cours ne garantit pas grand chose de plus que la cantine aux parents, avec des edt chamboulés. Toutefois, elles ont pensé à charger une copine de ramener la petite qui est au CP et qui est censée prendre le bus à 16h30 avec elles... Demain ils commencent à 11h40. Je viens de voir l'info dans Pronote, qui n'apparaissait pas ce matin. Mistinguette ne m'a rien dit concernant le bus pour sa sœur demain matin. Va-t-elle aller au collège à l'heure normale et trouver à s'occuper avec ses copines pendant 3h ? La suite au prochain numéro.

sookie a écrit:

lene75 a écrit:Je ne comprends pas trop les histoires de problèmes de garde. On parle de collégiens. Ils se gardent tout seuls, non ?

C'est plus facile, je trouve, d'occuper/ surveiller un collégien qui est libre toute la journée, et qu'on peut donc inscrire à des activités, envoyer chez un parent ou autre, qu'un collégien qui a un edt gruyère qui change sans cesse et dont on ne sait pas trop où il est quand sauf pour les rares que les parents n'autorisent pas à sortir de l'établissement après leur dernière heure de cours (bonjour la galère pour les vies sco si c'était comme ça pour tous).

Je ne sais pas si j’aurais laissé mon fils de 11 ans seul toute la journée pendant deux semaines.

Pour ma fille en 6e, entre les jours libérés pour le DNB, le jour de correction et donc les profs correcteurs absents, elle ne va déjà aller qu'une journée en cours cette semaine et une matinée.
Je ne la laisse pas seule à la maison 2 jours pleins. Hors de question, même si elle vient d'avoir 12 ans.
La semaine prochaine, pas de cours du tout.

Même chose pour ma fille de 6e. Je suis bien d'accord que l'école n'est pas une garderie. Mais ces dates de congé tardives et non respectées empêchent l'inscription à des activités extra scolaires. Les collégiens sont indésirables à partir du 25 juin en gros, mais on ne peut pas les inscrire en centre aéré ou autre. Bref, pour les parents qui bossent et n'ont pas les grands-parents pour suppléer c'est la débrouille et pour pas mal d'enfants je suppose que c'est la fête des écrans.  

Cours maintenus y compris pendant le brevet pour les 6-5-4 : moralité, une classe a eu 1h de cours de maths ce matin et une autre 1h de français cet après-midi. Le reste du temps : heure de CDI (on a mis un film) pour une classe, étude (si, si, on fait encore étude le 26 juin), et beaucoup de récré. Là, je suis seule avec le surveillant pour les 3 classes. La CDE est en convalescence, les profs surveillaient le brevet cet après midi. Re belote demain. On les garde jusqu'à vendredi inclus et tant pis si 4 profs sont absents pour correction. Et la semaine prochaine, on peut accueillir (en quasi autonomie) ceux que leurs parents ne veulent pas garder. Tout en faisant nos réunions de fin d'année. Si c'est pas un sacerdoce!!

Vous avez sans doute reçu le mail de G. Attal sur la reconquête du mois de juin...

Les choix que j’ai retenus permettent une véritable reconquête du mois de juin pour l’ensemble des lycéens : en classes de Première et de Terminale, en maintenant les élèves dans les établissements jusqu’aux premières épreuves et, en classe de Seconde, en organisant pour chaque lycéen un stage en entreprise, dans une association ou un service public, d’une durée de deux semaines du 17 au 28 juin 2024.

ça va faire du monde en stage et une rude concurrence aux pfmp des lycées pro !

Et le brevet en juillet !

Avec au collège des conseils de classe autour du 15 juin à cause des commissions d'appel (qui de toute façon feront quand même passer les élèves en seconde)... cela ne changera rien pour les élèves. Ils ne viendront plus dès que le conseil sera passé. Ce n'est pas la date de brevet qui changera grand chose.
Au mieux, c'est un message pour les parents.
Espérons que la canicule ne frappera pas. Dès début juin, c'est invivable dans les classes chez nous. Mais c est un autre problème.

trompettemarine a écrit:Avec au collège des conseils de classe autour du 15 juin à cause des commissions d'appel (qui de toute façon feront quand même passer les élèves en seconde)... cela ne changera rien pour les élèves. Ils ne viendront plus dès que le conseil sera passé. Ce n'est pas la date de brevet qui changera grand chose.
Au mieux, c'est un message pour les parents.
Espérons que la canicule ne frappera pas. Dès début juin, c'est invivable dans les classes chez nous. Mais c est un autre problème.

Les conseils de 3e ont plutôt lieu fin mai que mi juin.

Pas chez nous.
Fin mai, waouh ! Comment faites-vous pour tenir les élèves ? Je vous plains.