- Monsieur PinelNiveau 5
Lord Steven a écrit:Dommage, j'aimais bien les candidats en maths qui faisaient des schémas au tableau sans se soucier du jury, maintenant je vais avoir droit à de belles courbes de Lorentz élaborées pendant le temps de preparation et auxquelles je ne comprendrai rien, et sur lesquelles je poserai des questions absurdes que je ne comprendrai pas moi-même sans savoir quelle peut être la réponse, juste pour justifier ma présence dans cette épreuve absurde et ne pas m'endormir.
Merci. Tu viens de décrire à la perfection mon sentiment après avoir subi deux sessions de GO...
- VinZTDoyen
Proton a écrit:
La le candidat va devoir tenir une feuille dans ses mains avec sa formule ? C'est moi ou c'est débile ?
Ce n'est pas toi.
On se rapproche des règles du sloubi.
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« Il ne faut pas croire tout ce qu'on voit sur Internet » Victor Hugo.
« Le con ne perd jamais son temps. Il perd celui des autres. » Frédéric Dard
« Ne jamais faire le jour même ce que tu peux faire faire le lendemain par quelqu'un d'autre » Pierre Dac
« Je n'ai jamais lâché prise !» Claude François
« Un économiste est un expert qui saura demain pourquoi ce qu'il avait prédit hier ne s'est pas produit aujourd'hui. » Laurence J. Peter
- micaschisteMonarque
On ne peut pas faire écrire sur le tableau ou une feuille désormais pendant le temps 2. De plus en plus idiotes et hors-sol les consignes. J'apporterai une ardoise effaçable si la malchance veut que je sois de nouveau jury de cette mascarade. Ce n'est pas écrit aardoise effaçable donc c'est autorisé, non ?
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"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- mistinguetteFidèle du forum
J'ai hâte de voir la formation qui apprendra aux candidats à mimer les courbes et les équations. Y avait le air guitare,le air sport,l'avenir est au air tableau...Blague à part, d'où vien cette allergie à la notion de support? c'est quand même pas le mal absolu? quand mon gamin me parle d'un exo ou il veut de l'aide, ma première phrase( qui horripile)
est attend,je prend un papier et un stylo.
est attend,je prend un papier et un stylo.
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.'..Texte sur les l'oies' commentaires du prof hg que j’adorais sur ma copie de 6e : loi/ l'oie Vous en êtes une!. J'ai évolué depuis mais mon complexe orthographique m'accompagnera toujours. Il semble qu'aujourd’hui on parle de dyslexie pour l'étourdie éternelle que j'étais...alors si c'est la science des ânes, merci de pas charger la mule.
- Djedje_BzhNiveau 6
Sur ce site, 5 minutes de présentation de travaux de mathématiciens des laboratoires de Rennes et Nantes. Nous sommes donc dans le format du Grand Oral. Étonnamment, toutes et tous utilisent un support…
https://video.math.cnrs.fr/les-5-minutes-lebesgue
Le format de cette épreuve est d’une stupidité totale pour la spécialité mathématiques (pour d’autres aussi mais je laisse les professeurs de ces disciplines s’exprimer).
https://video.math.cnrs.fr/les-5-minutes-lebesgue
Le format de cette épreuve est d’une stupidité totale pour la spécialité mathématiques (pour d’autres aussi mais je laisse les professeurs de ces disciplines s’exprimer).
- PrezboGrand Maître
Djedje_Bzh a écrit:Sur ce site, 5 minutes de présentation de travaux de mathématiciens des laboratoires de Rennes et Nantes. Nous sommes donc dans le format du Grand Oral. Étonnamment, toutes et tous utilisent un support…
https://video.math.cnrs.fr/les-5-minutes-lebesgue
Le format de cette épreuve est d’une stupidité totale pour la spécialité mathématiques (pour d’autres aussi mais je laisse les professeurs de ces disciplines s’exprimer).
Le grand oral, c'est l'aboutissement ultime d'une réforme du lycée voulue par des gens de culture sciences po/ENA (Laurent Bigorgne, Pierre Mathiot, Cyril Delhay et même Macron), qui n'ont aucune idée de ce à quoi ressemble l'enseignement des sciences exactes, les méprisent probablement discrètement comme ils méprisent l'enseignement secondaire, pensent que le format sciences po peut s'appliquer partout et que les compétences en communication prennent le pas sur les compétences scientifiques et techniques. Quand aux matheux ils ne peuvent s'en prendre qu'à eux même, ils n'avaient qu'à être moins naïfs, ne pas s'imaginer qu'ils resteraient sans efforts au sommet de la chaîne alimentaire et faire plus de politique.
Il n'y a que cette histoire de décrochage scientifique et industriel du pays qui reste un peu embêtante.
- Cléopatra2Guide spirituel
Non, c'était implicite, ça disait qu'un membre du jury au moins devait être d'une des spés des élèves mais ne parlait pas du sujet. Sur un autre fil, quelqu'un disait qu'il avait interrogé sur une autre spé parce qu'il s'y connaissait et qu'il préférait le sujet.Hélips a écrit:Oh ben on le remplace par le débat "montrer mais pas remettre au jury" ça veut dire "je le montre mais en restant à plus de 1m" ou "je peux le poser sur le bureau du jury mais pas le lâcher complètement" ?Jenny a écrit:Le nombre de feuilles de brouillon rechange. Ça nous évitera ce débat en réunion d’entente pour savoir si c’est une feuille recto ou recto-verso.
Pour le coup d'interroger sur la spé avec au moins un membre du jury qui est de cette spé, il me semble que c'était déjà dans les textes.
- JennyMédiateur
J'ai entendu la même chose au jury, par un collègue qui se moquait d'un élève... le souci, c'est que l'élève avait raison.Cléopatra2 a écrit:Sur un autre fil, quelqu'un disait qu'il avait interrogé sur une autre spé parce qu'il s'y connaissait et qu'il préférait le sujet.
- beaverforeverNeoprof expérimenté
Les jésuites, qui enseignaient à la future élite politique et économique, avaient lourdement axé leur enseignement sur la rhétorique notamment après la révolution industrielle qui avait mis en avant les savoirs scientifiques et techniques. L'idée des jésuites étaient qu'il ne fallait pas former les futurs dirigeants à la maîtrise experte de ces connaissances, car cela aurait été contraire à la dignité de leurs élèves, mais qu'il fallait les former à une maîtrise suffisante pour qu'ils puissent argumenter sur ces sujets. Les jésuites voulaient que leurs élèves puissent discourir sur ces sujets pour justifier leurs décisions auprès des dirigés. (Chez Jean Baptiste de la Salle, qui s'occupait des pauvres, le latin a été abandonné et les enfants étaient formés au dessin technique.) Ceci dit la stratégie des jésuites n'a que médiocrement fonctionné, et polytechnique a pris de plus en plus de poids au XIXe siècle. Cette tension entre "Ceux qui parlent comme des chefs" et "Ceux qui connaissent la science et la technique" est ancienne et sans doute structurelle.Prezbo a écrit:Le grand oral, c'est l'aboutissement ultime d'une réforme du lycée voulue par des gens de culture sciences po/ENA (Laurent Bigorgne, Pierre Mathiot, Cyril Delhay et même Macron), qui n'ont aucune idée de ce à quoi ressemble l'enseignement des sciences exactes, les méprisent probablement discrètement comme ils méprisent l'enseignement secondaire, pensent que le format sciences po peut s'appliquer partout et que les compétences en communication prennent le pas sur les compétences scientifiques et techniques. Quand aux matheux ils ne peuvent s'en prendre qu'à eux même, ils n'avaient qu'à être moins naïfs, ne pas s'imaginer qu'ils resteraient sans efforts au sommet de la chaîne alimentaire et faire plus de politique.
Il n'y a que cette histoire de décrochage scientifique et industriel du pays qui reste un peu embêtante.
Paradoxalement, du point de vue de Blanquer et Macron, le grand oral est un acte immense d'émancipation puisse qu'il arme une génération entière au langage du pouvoir.
- Lord StevenExpert
Cléopatra2 a écrit:Non, c'était implicite, ça disait qu'un membre du jury au moins devait être d'une des spés des élèves mais ne parlait pas du sujet. Sur un autre fil, quelqu'un disait qu'il avait interrogé sur une autre spé parce qu'il s'y connaissait et qu'il préférait le sujet.Hélips a écrit:Oh ben on le remplace par le débat "montrer mais pas remettre au jury" ça veut dire "je le montre mais en restant à plus de 1m" ou "je peux le poser sur le bureau du jury mais pas le lâcher complètement" ?Jenny a écrit:Le nombre de feuilles de brouillon rechange. Ça nous évitera ce débat en réunion d’entente pour savoir si c’est une feuille recto ou recto-verso.
Pour le coup d'interroger sur la spé avec au moins un membre du jury qui est de cette spé, il me semble que c'était déjà dans les textes.
C'est moi je crois et je persiste et signe: j'ai beau être angliciste, je pourrai beaucoup plus facilement évaluer un GO sur l'oeuvre de Balzac que les implications politiques de l'oeuvre de je ne sais quel chanteur US actuel. Si le cas devait se représenter je n'hésiterais pas à interroger là où je me sens plus légitime.
Évidemment, entre le chanteur US et la courbe de Lorentz ce sera le chanteur US si mon binôme n'est pas non plus scientifique. Mais si personne n'y connaît rien les 10 mn de questionnement seront longues....
C'est là l'une des nombreuses limites du GO: dans beaucoup de disciplines le programme reste limitatif. En LV le GO peut porter sur n'importe quoi tant les axes sont flous.
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If you play with a cat, you should mind his scratch
- DanskaProphète
Lord Steven a écrit:Cléopatra2 a écrit:Non, c'était implicite, ça disait qu'un membre du jury au moins devait être d'une des spés des élèves mais ne parlait pas du sujet. Sur un autre fil, quelqu'un disait qu'il avait interrogé sur une autre spé parce qu'il s'y connaissait et qu'il préférait le sujet.Hélips a écrit:Oh ben on le remplace par le débat "montrer mais pas remettre au jury" ça veut dire "je le montre mais en restant à plus de 1m" ou "je peux le poser sur le bureau du jury mais pas le lâcher complètement" ?Jenny a écrit:Le nombre de feuilles de brouillon rechange. Ça nous évitera ce débat en réunion d’entente pour savoir si c’est une feuille recto ou recto-verso.
Pour le coup d'interroger sur la spé avec au moins un membre du jury qui est de cette spé, il me semble que c'était déjà dans les textes.
C'est moi je crois et je persiste et signe: j'ai beau être angliciste, je pourrai beaucoup plus facilement évaluer un GO sur l'oeuvre de Balzac que les implications politiques de l'oeuvre de je ne sais quel chanteur US actuel. Si le cas devait se représenter je n'hésiterais pas à interroger là où je me sens plus légitime.
Évidemment, entre le chanteur US et la courbe de Lorentz ce sera le chanteur US si mon binôme n'est pas non plus scientifique. Mais si personne n'y connaît rien les 10 mn de questionnement seront longues....
C'est là l'une des nombreuses limites du GO: dans beaucoup de disciplines le programme reste limitatif. En LV le GO peut porter sur n'importe quoi tant les axes sont flous.
En clair ça ne vous gêne absolument pas de bafouer ouvertement les consignes officielles pour un examen national ?
- BalthazaardVénérable
Prezbo a écrit:Djedje_Bzh a écrit:Sur ce site, 5 minutes de présentation de travaux de mathématiciens des laboratoires de Rennes et Nantes. Nous sommes donc dans le format du Grand Oral. Étonnamment, toutes et tous utilisent un support…
https://video.math.cnrs.fr/les-5-minutes-lebesgue
Le format de cette épreuve est d’une stupidité totale pour la spécialité mathématiques (pour d’autres aussi mais je laisse les professeurs de ces disciplines s’exprimer).
Le grand oral, c'est l'aboutissement ultime d'une réforme du lycée voulue par des gens de culture sciences po/ENA (Laurent Bigorgne, Pierre Mathiot, Cyril Delhay et même Macron), qui n'ont aucune idée de ce à quoi ressemble l'enseignement des sciences exactes, les méprisent probablement discrètement comme ils méprisent l'enseignement secondaire, pensent que le format sciences po peut s'appliquer partout et que les compétences en communication prennent le pas sur les compétences scientifiques et techniques. Quand aux matheux ils ne peuvent s'en prendre qu'à eux même, ils n'avaient qu'à être moins naïfs, ne pas s'imaginer qu'ils resteraient sans efforts au sommet de la chaîne alimentaire et faire plus de politique.
Il n'y a que cette histoire de décrochage scientifique et industriel du pays qui reste un peu embêtante.
En maths, c'est aberrant, cette bande de crétins pense que notre matière est du domaine de la conviction...et que les résultats énoncés par un costard-cravate qui phrase à l’excès seront plus importants que ceux d'un barbu en pull à la voix monocorde.
- PrezboGrand Maître
beaverforever a écrit:Les jésuites, qui enseignaient à la future élite politique et économique, avaient lourdement axé leur enseignement sur la rhétorique notamment après la révolution industrielle qui avait mis en avant les savoirs scientifiques et techniques. L'idée des jésuites étaient qu'il ne fallait pas former les futurs dirigeants à la maîtrise experte de ces connaissances, car cela aurait été contraire à la dignité de leurs élèves, mais qu'il fallait les former à une maîtrise suffisante pour qu'ils puissent argumenter sur ces sujets. Les jésuites voulaient que leurs élèves puissent discourir sur ces sujets pour justifier leurs décisions auprès des dirigés. (Chez Jean Baptiste de la Salle, qui s'occupait des pauvres, le latin a été abandonné et les enfants étaient formés au dessin technique.) Ceci dit la stratégie des jésuites n'a que médiocrement fonctionné, et polytechnique a pris de plus en plus de poids au XIXe siècle. Cette tension entre "Ceux qui parlent comme des chefs" et "Ceux qui connaissent la science et la technique" est ancienne et sans doute structurelle.Prezbo a écrit:Le grand oral, c'est l'aboutissement ultime d'une réforme du lycée voulue par des gens de culture sciences po/ENA (Laurent Bigorgne, Pierre Mathiot, Cyril Delhay et même Macron), qui n'ont aucune idée de ce à quoi ressemble l'enseignement des sciences exactes, les méprisent probablement discrètement comme ils méprisent l'enseignement secondaire, pensent que le format sciences po peut s'appliquer partout et que les compétences en communication prennent le pas sur les compétences scientifiques et techniques. Quand aux matheux ils ne peuvent s'en prendre qu'à eux même, ils n'avaient qu'à être moins naïfs, ne pas s'imaginer qu'ils resteraient sans efforts au sommet de la chaîne alimentaire et faire plus de politique.
Il n'y a que cette histoire de décrochage scientifique et industriel du pays qui reste un peu embêtante.
Paradoxalement, du point de vue de Blanquer et Macron, le grand oral est un acte immense d'émancipation puisse qu'il arme une génération entière au langage du pouvoir.
Et pour le montrer, on fera une convention ZEP pour permettre à quelques élèves issus des "quartiers populaires" d'intégrer sciences po, en oubliant que ce sont souvent les mieux armées culturellement des familles scolarisant leurs enfants en ZEP qui utilisent ce genre de dispositifs, pour cacher l'aspect socialement discriminant de ce type d'épreuve.
Ne pas oublier que polytechnique est une création républicaine destinée à répondre aux besoins de la nation, même si l'image du fils de paysan travailleur qui intégrait l'X à toujours été un peu mythifiée.
- trompettemarineMonarque
Mes deux grands pères étaient ingénieurs et sont passés par une grande école. L'un était fils de paysans pauvres, l'autre était fils d'ouvrière. Cela ne vaut certes pas argument. Mais cela m'a toujours fait toujours un peu mal quand en formation le formateur iufm balayait totalement ces vies d'un revers de statistiques. J'avais l'impression que l'on me forçait à effacer une partie de l'histoire de ma famille.
- beaverforeverNeoprof expérimenté
Il faut dire qu'il y a 70 ans, il y avait une plus grande proportion d'agriculteurs et d'ouvriers dans la population active française.
- SergeMédiateur
Lord Steven a écrit:
C'est moi je crois et je persiste et signe: j'ai beau être angliciste, je pourrai beaucoup plus facilement évaluer un GO sur l'oeuvre de Balzac que les implications politiques de l'oeuvre de je ne sais quel chanteur US actuel. Si le cas devait se représenter je n'hésiterais pas à interroger là où je me sens plus légitime.
Évidemment, entre le chanteur US et la courbe de Lorentz ce sera le chanteur US si mon binôme n'est pas non plus scientifique. Mais si personne n'y connaît rien les 10 mn de questionnement seront longues....
C'est là l'une des nombreuses limites du GO: dans beaucoup de disciplines le programme reste limitatif. En LV le GO peut porter sur n'importe quoi tant les axes sont flous.
La modération ne cautionne pas cette pratique et se désolidarise de ce genre de propos.
- trompettemarineMonarque
@beaverforever Je suis bien d'accord. La manipulation idéologique qui avait lieu en iufm à l'époque m'attriste encore. C'est aux historiens que nous devons nous en remettre pour ces questions.
J'arrête de dévier le fil.
J'arrête de dévier le fil.
- DanskaProphète
Je remonte ce sujet : on a du nouveau au sujet de l'oral ? Pour la question du lien avec l'orientation notamment, ça a été tranché dans un sens ou dans l'autre ? J'ai une élève qui veut savoir si son sujet doit avoir un lien avec la licence qu'elle a choisie, je n'ai pas su lui répondre...
(et je m'aperçois en relisant ce topic que j'avais déjà oublié le coup du support qu'on peut montrer au jury mais pas lui remettre - j'aurai intérêt à le relire une nouvelle fois avant de présenter l'épreuve aux élèves fin mars ! )
(et je m'aperçois en relisant ce topic que j'avais déjà oublié le coup du support qu'on peut montrer au jury mais pas lui remettre - j'aurai intérêt à le relire une nouvelle fois avant de présenter l'épreuve aux élèves fin mars ! )
- TamacunNiveau 3
Bonjour,
Si on lit la dernière version fournie sur Eduscol, pour les 5 dernières minutes, il est indiqué :
"Les 5 dernières minutes d'échanges avec le jury portent sur le projet d'orientation du candidat. Le candidat montre que la question traitée a participé à la maturation de son projet de poursuite d'études, et même pour son projet professionnel"
Donc on pourrait en conclure qu'il vaut mieux qu'il y ait un lien, mais que dans le cas où il n'y a pas de lien, le candidat doit pouvoir le justifier, en expliquant des changements éventuels ou des hésitations dans le projet de poursuites d'études ?
Si on lit la dernière version fournie sur Eduscol, pour les 5 dernières minutes, il est indiqué :
"Les 5 dernières minutes d'échanges avec le jury portent sur le projet d'orientation du candidat. Le candidat montre que la question traitée a participé à la maturation de son projet de poursuite d'études, et même pour son projet professionnel"
Donc on pourrait en conclure qu'il vaut mieux qu'il y ait un lien, mais que dans le cas où il n'y a pas de lien, le candidat doit pouvoir le justifier, en expliquant des changements éventuels ou des hésitations dans le projet de poursuites d'études ?
- JennyMédiateur
Je l'ai compris comme ça, y compris sur les deux premières moutures. S'il n'y a pas de lien, le candidat peut expliquer son cheminement en matière d'orientation.
- DanskaProphète
Tamacun a écrit:Bonjour,
Si on lit la dernière version fournie sur Eduscol, pour les 5 dernières minutes, il est indiqué :
"Les 5 dernières minutes d'échanges avec le jury portent sur le projet d'orientation du candidat. Le candidat montre que la question traitée a participé à la maturation de son projet de poursuite d'études, et même pour son projet professionnel"
Donc on pourrait en conclure qu'il vaut mieux qu'il y ait un lien, mais que dans le cas où il n'y a pas de lien, le candidat doit pouvoir le justifier, en expliquant des changements éventuels ou des hésitations dans le projet de poursuites d'études ?
J'avais espéré que la parution d'un texte plus clair m'avait échappé, j'avoue
Franchement c'est débile, cette formulation : la moitié des élèves au bas mot vont choisir un sujet du GO qui n'a rien à voir avec leur orientation et n'a joué aucun rôle dedans... ne serait-ce que pour des raisons de calendrier : les miens s'attaqueront à la question après les épreuves écrites en mars, leur choix d'orientation sera déjà bouclé d'ici là.
- olive-in-oilSage
+1 !
Dans certaines disciplines, la problématique choisie en spé pour le GO est parfois très éloignée du choix d'études... C'est délicat d'ajouter ce paramètre.
Dans certaines disciplines, la problématique choisie en spé pour le GO est parfois très éloignée du choix d'études... C'est délicat d'ajouter ce paramètre.
- JennyMédiateur
Danska a écrit:Tamacun a écrit:Bonjour,
Si on lit la dernière version fournie sur Eduscol, pour les 5 dernières minutes, il est indiqué :
"Les 5 dernières minutes d'échanges avec le jury portent sur le projet d'orientation du candidat. Le candidat montre que la question traitée a participé à la maturation de son projet de poursuite d'études, et même pour son projet professionnel"
Donc on pourrait en conclure qu'il vaut mieux qu'il y ait un lien, mais que dans le cas où il n'y a pas de lien, le candidat doit pouvoir le justifier, en expliquant des changements éventuels ou des hésitations dans le projet de poursuites d'études ?
J'avais espéré que la parution d'un texte plus clair m'avait échappé, j'avoue
Franchement c'est débile, cette formulation : la moitié des élèves au bas mot vont choisir un sujet du GO qui n'a rien à voir avec leur orientation et n'a joué aucun rôle dedans... ne serait-ce que pour des raisons de calendrier : les miens s'attaqueront à la question après les épreuves écrites en mars, leur choix d'orientation sera déjà bouclé d'ici là.
C'est surtout dans le cas où la spécialité n'a pas de rapport avec leur projet d'orientation.
- HélipsProphète
Ah non l'an dernier je suis certaine qu'il avait été dit que la question n'avait pas à être liée avec le projet.Jenny a écrit:Je l'ai compris comme ça, y compris sur les deux premières moutures. S'il n'y a pas de lien, le candidat peut expliquer son cheminement en matière d'orientation.
Et puis même si la spécialité est en lien avec l'orientation, je suis désolée mais même en allant en MPSI avec comme projet Ulm en maths, une question s'appuyant sur le programme de spécialité qui a permis au candidat de mûrir son projet d'orientation, bonne chance.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- lene75Prophète
Idem. J'avais compris que toute idée de lien avec le projet d'orientation avait été abandonnée dans la mesure où dans beaucoup de cas c'est tout bonnement impossible.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
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