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- Aed2022Niveau 9
Mitcindy a écrit:Aed2022 a écrit:La question c’est est-ce qu’on peut frapper les élèves insolents avec ?
(Si vous me cherchez, je suis déjà dehors )
Petite, j'avais un instituteur qui faisait avancer le fautif dans l'allée centrale et qui, au choix, donnait
- un coup de règle magistral sur les doigts de l'élève
- un aller-retour (gifle).
Le silence qui régnait dans les rangs... je m'en souviens encore.
Et pas question de se plaindre.
Plus le droit de faire cela...
Heureusement quelque part.... je tenterais pas de gifler un lycéen d’1m95 :lol:
- mafalda16Modérateur
Hum… on va arrêter avec les violences physiques du bon vieux temps !
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"Si no luchas, al menos ten la decencia de respetar a quienes lo hacen", José Martí.
- Aed2022Niveau 9
C’était de l’humour , bien évidemment !
- TornadoNiveau 6
profML01 a écrit:
Cela me semble très intéressant pour moi qui débute mais comment gérez-vous les moments de transition pendant lesquels les bavardages ont souvent tendance à s'installer ? Je pense à des moments tels que :
- l'appel ou juste avant l'appel lorsque j'allume Pronote
- lorsque je m'adresse à un élève en particulier (les autres en profitent généralement pour bavarder à ce moment-là, ce qui fait que je ne peux pas discuter avec un élève trop longtemps)
- la distribution de photocopies...
Etant encore très peu expérimentée, je ne sais pas si je dois laisser les bavardages se faire et considérer ces moments comme des moments de respiration pour les élèves ou si je dois essayer d'obtenir le silence dans ces moments-là et, si oui, comment ?
Je pense que tant que les bavardages restent raisonnables, il n'est pas gênant qu'ils s'instaurent dans les moments où ce n'est pas très grave (ex: distribution d'exercices, phase où ils sortent les cahiers, etc) tant que vous savez rétablir le calme ensuite ("allez, maintenant je lance la consigne, plus un bruit!")
Comme on dit, il faut choisir ses combats! ^^
Pour l'appel, à voir si c'est gênant pour vous: dans le premier degré, les élèves sont placés et je vois donc qui est absent sans avoir besoin d'appeler chacun un à un de manière fastidieuse. Ca ne dure donc pas longtemps et ce n'est pas grave s'ils discutent en même temps. Je pense que si j'étais dans le second degré, j'essaierais de le faire très rapidement, que j'exigerais le silence le temps que ça dure, ce qui constituerait une sorte de rituel de démarrage de la séance, et que j'enchainerais ensuite immédiatement sur la séance. Je n'exigerais pas le silence le temps que je m'installe, allume l'ordi, sorte pronote, etc, mais je le demanderai juste avant d'appeler le premier nom d'un "allez, je commence l'appel, plus un bruit que j'entende bien chacun répondre".
Pour les discussions avec un élève, je les ai bannies pour ma part depuis longtemps car je perdais tout le monde: si j'interroge un élève, c'est une réponse parmi d'autre (et si j'en vois un inattentif, je lui demande de répéter si l'élève qui vient de parler venait de donner la bonne réponse, ou de compléter si ce n'était pas le cas, manière rapide de remettre l'élève bavard dans le groupe), si je répond à une question , je vais plutôt être en mode "question très intéressante, qui peut répondre à cela?" avant de finir par donner la bonne réponse si elle n'émerge pas (ou simplement répéter/ reformuler pour valider une bonne réponse apportée par un élève).
Et j'essaie de m'adapter à la classe: quand c'est un élève ou deux qui bavardent, je les remets dans le groupe par une des techniques suscitées, quand c'est tout le groupe, c'est qu'il est temps de passer à autre chose, soit en avancant sur la séance, soit en changeant de modalité, etc. Evidemment, c'est sous réserve que tout le groupe ne passe pas son temps à bavarder, auquel cas je pousse une gueulante et je distribue des punitions pour calmer les "meneurs"/les plus gênants ^^
Savoir distinguer les moments où il faut couper court aux velléités de bavardages et les moments où il faut changer d'activité, j'ai l'impression que ça vient avec l'expérience. Ne serait ce que parce que quand on refait une séquence qu'on a déjà faite, et que les autres années ça passait crème, y'a aucune raison qu'ils bavardent, en particulier si c'est une notion un peu difficile et qu'il faut être très attentif: c'est ces moments là qui valent une bonne gueulante de ma part si je les perçois insuffisamment attentifs.
Et sinon, je me contente de m'adapter en n'oubliant pas qu'ils sont enfants, et qu'il est un peu normal qu'ils ne tiennent pas en place des heures durant s'ils s'ennuient, à moi de les intéresser/ les relancer dans la tâche/ les faire interagir en leur posant des questions, etc.
- CorvollaNiveau 2
Je parlais bien d'un échange avec l'élève qui ne concerne que lui en particulier. D'ailleurs, j'ai fini par laisser tomber l'idée de donner des précisions à chaque élève sur son travail en rendant les copies : même si les autres élèves ont du travail à faire à ce moment-là, ils en profitent toujours pour bavarder.Sphinx a écrit:
Quand tu t'adresses à un élève, qu'est-ce que tu veux dire ? Si tu donnes une explication pendant le cours, même si un élève a posé la question, la réponse s'adresse à toute la classe, donc ils doivent se taire et écouter. S'il s'agit d'aider pendant qu'ils font un travail en autonomie, quand j'ai ce genre de classe où je ne peux pas tourner le dos deux secondes, je reste à mon bureau et ils m'apportent leur travail (et oui il faut vérifier le travail d'un oeil et garder l'autre sur la classe, et on finit avec un beau strabisme). Et si c'est quand on les réprimande, il faut que ça ne dure pas plus de quelques secondes.
- TornadoNiveau 6
profML01 a écrit:Je parlais bien d'un échange avec l'élève qui ne concerne que lui en particulier. D'ailleurs, j'ai fini par laisser tomber l'idée de donner des précisions à chaque élève sur son travail en rendant les copies : même si les autres élèves ont du travail à faire à ce moment-là, ils en profitent toujours pour bavarder.Sphinx a écrit:
Quand tu t'adresses à un élève, qu'est-ce que tu veux dire ? Si tu donnes une explication pendant le cours, même si un élève a posé la question, la réponse s'adresse à toute la classe, donc ils doivent se taire et écouter. S'il s'agit d'aider pendant qu'ils font un travail en autonomie, quand j'ai ce genre de classe où je ne peux pas tourner le dos deux secondes, je reste à mon bureau et ils m'apportent leur travail (et oui il faut vérifier le travail d'un oeil et garder l'autre sur la classe, et on finit avec un beau strabisme). Et si c'est quand on les réprimande, il faut que ça ne dure pas plus de quelques secondes.
Pour ma part, je fais un point général avant de rendre les copies sur les erreurs que j'ai vu dans une grande part des copies (et j'en profite pour réexpliquer la notion si ça s'y prête en le faisant faire par une élève si possible). Et ensuite, comme pour la distribution des feuilles, je distribue cela à toute allure. Mais c'est toujours un moment propice au bavardage: il est difficile de les empêcher de se montrer leurs notes...
- MitcindyNiveau 10
La taille n'a pas grand chose à voir, je pense... Je n'en giflerais aucun, bien sûr.Aed2022 a écrit:Mitcindy a écrit:Aed2022 a écrit:La question c’est est-ce qu’on peut frapper les élèves insolents avec ?
(Si vous me cherchez, je suis déjà dehors )
Petite, j'avais un instituteur qui faisait avancer le fautif dans l'allée centrale et qui, au choix, donnait
- un coup de règle magistral sur les doigts de l'élève
- un aller-retour (gifle).
Le silence qui régnait dans les rangs... je m'en souviens encore.
Et pas question de se plaindre.
Plus le droit de faire cela...
Heureusement quelque part.... je tenterais pas de gifler un lycéen d’1m95 :lol:
La taille de l'élève ne me fait absolument pas peur.
Je ne mesure qu'un mètre 62 mais j'ai déjà fait pleurer plus d'un grand gaillard d'un mètre 90...
En revanche, j'ai une petite élève qui est carrément flippante, avec un regard de tueuse. Elle a des problèmes de comportement et elle m'impressionne plus que le grand élève basketteur au regard franc.
- BaldredSage
profML01 a écrit:
Cela me semble très intéressant pour moi qui débute mais comment gérez-vous les moments de transition pendant lesquels les bavardages ont souvent tendance à s'installer ? Je pense à des moments tels que :
- l'appel ou juste avant l'appel lorsque j'allume Pronote
- lorsque je m'adresse à un élève en particulier (les autres en profitent généralement pour bavarder à ce moment-là, ce qui fait que je ne peux pas discuter avec un élève trop longtemps)
- la distribution de photocopies...
Etant encore très peu expérimentée, je ne sais pas si je dois laisser les bavardages se faire et considérer ces moments comme des moments de respiration pour les élèves ou si je dois essayer d'obtenir le silence dans ces moments-là et, si oui, comment ?
Par curiosité combien as-tu eu de temps de formation ?
Je te pose la question car sur ce fil comme sur celui de l'exclusion, tu abordes des points qui sont particulièrement
pertinents en début de carrière et qui sont normalement abordés en formation.
Les transitions, beaucoup de conseils utiles ont déjà été donnés, est un point délicat et tu as bien repéré les moments où peut s'installer un bazar qui prendra du temps et de l'énergie à réduire.
On peut d'abord déculpabiliser en disant que le silence absolu pendant 55mn est un mythe ( sauf à utiliser les aides pédagogiques n° 1, 2, 3, et 4, soit dans l'ordre : la gifle, le tirage d'oreille plus ou moins pincé, les coups de règles (en bois mais de mon temps c'était en fer), et l'aide tacite du parent maltraitant, aides dont la nostalgie trainent encore malheureusement jusque dans ce forum).
Tu as donc très bien repéré les moments incontournables de flottement. Il me semble que moins on est sûr de son autorité, et c'est normal quand on débute, plus ces moments de perte de contrôle paraissent redoutables. Plus tu seras sûre de toi et que la classe saura ce qui est permis ou pas, plus tu laisseras des moments de respiration. Je te conseille donc de ritualiser au maximum ces moments délicats, il y a plusieurs méthodes déjà décrites ici, pour que les élèves se régulent aux moments que tu évoques, tu verras ce sont toujours à peu près les mêmes. Tu peux appliquer n'importe quelle méthode, l'important est d'en appliquer une, qui soit celle qui te convient le mieux et qu'elle soit explicitement présentée aux élèves.
- JennyMédiateur
Pour l'appel, mettre les élèves au travail avant ou les laisser relire avant une interro orale, ça marche bien.
Sinon, tu fais un plan de classe et tu repères vite les élèves absents.
Sinon, tu fais un plan de classe et tu repères vite les élèves absents.
- MitcindyNiveau 10
Personnellement, pour éviter le temps de flottement du début, j'arrive 5 à 10 minutes en avance.
L'ordinateur et le projecteur sont allumés et j'attends les élèves la liste en main. Je leur dis bonjour et ils entrent en silence dans la classe.
Ils restent debout en silence. Ils s'assoient quand je leur dis.
Silence absolu pendant l'appel.
Je demande la date, puis on fait le récapitulatif du cours précédent (j'interroge).
Ensuite, je passe dans les rangs pour vérifier les devoirs.
Je mets les objectifs de la séance au tableau, puis je démarre mon cours.
J'autorise les petits bavardages pendant que je distribue les fiches de travail ou pendant que je rends les contrôles.
Idem pendant les périodes de transition.
Sinon, ça doit être silence (enfin j'essaie de l'avoir ) et on lève le doigt avant de prendre la parole après y avoir été invité.
J'ai encore du mal avec les prises de paroles intempestives (les réactions "hors sujet").
Les rituels aident pas mal. Les élèves aiment savoir où ils vont.
L'ordinateur et le projecteur sont allumés et j'attends les élèves la liste en main. Je leur dis bonjour et ils entrent en silence dans la classe.
Ils restent debout en silence. Ils s'assoient quand je leur dis.
Silence absolu pendant l'appel.
Je demande la date, puis on fait le récapitulatif du cours précédent (j'interroge).
Ensuite, je passe dans les rangs pour vérifier les devoirs.
Je mets les objectifs de la séance au tableau, puis je démarre mon cours.
J'autorise les petits bavardages pendant que je distribue les fiches de travail ou pendant que je rends les contrôles.
Idem pendant les périodes de transition.
Sinon, ça doit être silence (enfin j'essaie de l'avoir ) et on lève le doigt avant de prendre la parole après y avoir été invité.
J'ai encore du mal avec les prises de paroles intempestives (les réactions "hors sujet").
Les rituels aident pas mal. Les élèves aiment savoir où ils vont.
- TulipiaNiveau 7
Quand cela est possible, je le fais également. Cependant, je change souvent de salle sans récréation et là, c’est plus compliqué en collège. Par ailleurs, chez moi il n’y a pas d’interclasse donc on enchaine les heures de cours. Je trouve à peine le temps de fermer mes PowerPoint, sortir les bonnes fiches et retrouver ma fiche de préparation… Accueillir les élèves en étant prêt, c’est effectivement un très bon point pour bien commencer !Mitcindy a écrit:Personnellement, pour éviter le temps de flottement du début, j'arrive 5 à 10 minutes en avance.
L'ordinateur et le projecteur sont allumés et j'attends les élèves la liste en main.
- LaverdureEmpereur
Il m'est arrivé, certaines années et avec des classes de 2e assez bruyantes que j'avais de 17 à 18, de commencer la séance par 3 à 5 min. de silence : les élèves sont assis, la tête dans les mains sur leurs tables (ou bien éventuellement à griffonner sur une feuille). Il ne font rien d'autre qu'être silencieux pendant quelques minutes avant que le cours ne commence. L'idée est de se calmer après l'agitation de la récréation et pouvoir commencer dans de bonnes conditions ; après ce temps de silence, on sort les affaires, je vérifie les devoirs/matériel, etc. et on s'y met. Si le bazar reprend, je stoppe le cours pour refaire ces 3 minutes ou 5 minutes et on reprend. Ça fonctionne plutôt bien (et je ne fais pas l'économie d'un système traditionnel de croix qui mènent à des heures de colle). Je ne l'ai pas encore fait cette année (je n'ai pas de 2de tard dans l'après-midi) mais je sens qu'avec au moins une classe, ça ne va pas tarder.
Pour ce qui est d'arriver en avance en classe, je pratique aussi et ça fonctionne bien. Je projette le plan de classe (en écran gelé) que j'ai instauré dès la rentrée ce qui fait que je peux faire l'appel très vite en repérant les absents.
Pour ce qui est d'arriver en avance en classe, je pratique aussi et ça fonctionne bien. Je projette le plan de classe (en écran gelé) que j'ai instauré dès la rentrée ce qui fait que je peux faire l'appel très vite en repérant les absents.
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- zigmag17Guide spirituel
Arriver avant les élèves dans une salle est en effet la panacée. C'est tout simplement impossible dans certaines configurations ( en particulier quand on change de salle à chaque heure de cours). Quand on peut, c'est l'idéal. Ces premières minutes - et souvent les minutes dans le couloir avant d'entrer en classe- sont primordiales pour installer un climat propice au travail, surtout de 17h à 18h ( quand les élèves arrivent du cours d'EPS et s'apprêtent à entamer leur 8ème heure de cours de la journée, reposés, frais et calmes comme on l'imagine...)
- IannaNiveau 7
L'écran gelé, c'est bien, mais j'ignore comment il faut faire.
- MédéeÉrudit
Tu as une touche gel sur la télécommande du rétro.
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Rentrée 2024 : Poste fixe ! (et 16e établissement )
2021-2024 : TZR en remplacements courts
2020-2021 : T3 - TZR en AFA : 1 collège 6e, 5e + PP 5e
2019-2020 : T2 - TZR en AFA : 2 collèges 6e, 5e, 4e + PP 5e
2018-2019 : T1 - TZR en AFA : 3 collèges 5e, 4e
2017-2018 : Stagiaire en lycée (2nde x2)
- LaverdureEmpereur
Tu as un bouton sur la plupart des télécommandes de VP : sur celles que j'utilise, c'est "Freeze", tu appuies dessus pour geler/dégeler
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- SteredDoyen
Je plussoie pour la mise au travail dès que les élèves sont assis : je commence directement avec la phrase du jour (dictée en français, thème en latin et grec). Comme ça je fais l'appel rapidement et hop, on commence.
Pendant la distrib. de doc., j'annonce la consigne avant (lire, souvent) et je distribue après. Je ne permets pas aux élèves de le faire car trop souvent ils en profitent pour faire un peu les andouilles...
Pendant la distrib. de doc., j'annonce la consigne avant (lire, souvent) et je distribue après. Je ne permets pas aux élèves de le faire car trop souvent ils en profitent pour faire un peu les andouilles...
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"Il nous faut arracher la joie aux jours qui filent." Maïakovski
- Fesseur ProGuide spirituel
C'est à dire ?Tulipia a écrit: Par ailleurs, chez moi il n’y a pas d’interclasse
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Pourvu que ça dure...
- TulipiaNiveau 7
Quand la sonnerie retentit et met fin au cours, le cours suivant commence aussitôt. Il n’y a pas 5 minutes de battement. Je prends souvent le temps de ranger mon cours pour faire de la place et je me retrouve à être dans les dernières à faire rentrer les élèves… Dans mes deux collèges précédents, ce n’était pas comme ça, j’avais cinq minutes de respiration. Là, c’est rude, surtout quand l’heure s’est mal passée ou que je dois changer de salle…Fesseur Pro a écrit:C'est à dire ?Tulipia a écrit: Par ailleurs, chez moi il n’y a pas d’interclasse
- zigmag17Guide spirituel
C'est ce que j'allais dire : comment tu fais quand tu dois changer de salle? Ca doit être infernal!Tulipia a écrit:Quand la sonnerie retentit et met fin au cours, le cours suivant commence aussitôt. Il n’y a pas 5 minutes de battement. Je prends souvent le temps de ranger mon cours pour faire de la place et je me retrouve à être dans les dernières à faire rentrer les élèves… Dans mes deux collèges précédents, ce n’était pas comme ça, j’avais cinq minutes de respiration. Là, c’est rude, surtout quand l’heure s’est mal passée ou que je dois changer de salle…Fesseur Pro a écrit:C'est à dire ?Tulipia a écrit: Par ailleurs, chez moi il n’y a pas d’interclasse
- TulipiaNiveau 7
Eh bien la collègue dont je prends la salle entre dans la salle que j’occupais tandis que je range mes affaires, et les élèves attendent déjà bien agités devant la porte de la salle suivante. Pour éviter de changer de salle trop souvent (je suis TZR et il manque une salle de LV), j’ai demandé à faire cours le plus possible en salle de techno. Ce n’est pas idéal, mais au moins je peux enchaîner 4 heures dans la même salle de temps en temps.zigmag17 a écrit:C'est ce que j'allais dire : comment tu fais quand tu dois changer de salle? Ca doit être infernal!Tulipia a écrit:Quand la sonnerie retentit et met fin au cours, le cours suivant commence aussitôt. Il n’y a pas 5 minutes de battement. Je prends souvent le temps de ranger mon cours pour faire de la place et je me retrouve à être dans les dernières à faire rentrer les élèves… Dans mes deux collèges précédents, ce n’était pas comme ça, j’avais cinq minutes de respiration. Là, c’est rude, surtout quand l’heure s’est mal passée ou que je dois changer de salle…Fesseur Pro a écrit:C'est à dire ?Tulipia a écrit: Par ailleurs, chez moi il n’y a pas d’interclasse
- zigmag17Guide spirituel
J'ai connu ça (mon record : 13 salles différentes la même année, merci les gens, coucou les gens), maintenant ça va mieux (4 ou 5 salles différentes), n'empêche que c'est inconfortable au possible, usant, éreintant, et j'en passe. Conditions de travail dégradées ça s'appelle. J'aimerais qu'on dise aux PA de changer de bureau à chaque heure, avec leur matériel et leur travail en cours, je suis sûre qu'au bout d'une journée ils auraient compris et feraient le maximum pour arrêter de nous placer comme des pions d'un étage à l'autre quand ils font les edt en se fichant pas mal des conséquences sur notre santé et la tenue de nos classes. Et sans battement entre les cours je ne sais pas comment tu tiens.Tulipia a écrit:Eh bien la collègue dont je prends la salle entre dans la salle que j’occupais tandis que je range mes affaires, et les élèves attendent déjà bien agités devant la porte de la salle suivante. Pour éviter de changer de salle trop souvent (je suis TZR et il manque une salle de LV), j’ai demandé à faire cours le plus possible en salle de techno. Ce n’est pas idéal, mais au moins je peux enchaîner 4 heures dans la même salle de temps en temps.zigmag17 a écrit:C'est ce que j'allais dire : comment tu fais quand tu dois changer de salle? Ca doit être infernal!Tulipia a écrit:Quand la sonnerie retentit et met fin au cours, le cours suivant commence aussitôt. Il n’y a pas 5 minutes de battement. Je prends souvent le temps de ranger mon cours pour faire de la place et je me retrouve à être dans les dernières à faire rentrer les élèves… Dans mes deux collèges précédents, ce n’était pas comme ça, j’avais cinq minutes de respiration. Là, c’est rude, surtout quand l’heure s’est mal passée ou que je dois changer de salle…Fesseur Pro a écrit:
C'est à dire ?
- ProflambdadaHabitué du forum
C'est bien ça... Mais quand tu as une télécommande !! Ici, non... "Elève X, tu peux allumer le vidéo ? ..." .." L'éteindre ?" (et "ne tombe pas en montant sur ta chaise, hein ;-))"Laverdure a écrit:Tu as un bouton sur la plupart des télécommandes de VP : sur celles que j'utilise, c'est "Freeze", tu appuies dessus pour geler/dégeler
Nous on passe aussi d'une salle à l'autre (d'un bâtiment à l'autre même)... Les élèves parfois restent dans la même salle, seuls en attendant leur prochain professeur... Cela se passe plutôt bien mais cela dépend du profil de la classe..
Quand je reste 3 séances de suite dans une même salle, c'est Noël !! Et en plus on a des séances de 50 minutes, autant dire 40 finalement.....
- scot69Modérateur
Je n'ai pas de télécommande non plus mais j'utilise une tige télescopique!
https://www.manomano.fr/p/primematik-tige-telescopique-avec-aimant-a-lextremite-enlevement-magnetique-extensible-13318709
https://www.manomano.fr/p/primematik-tige-telescopique-avec-aimant-a-lextremite-enlevement-magnetique-extensible-13318709
- CorvollaNiveau 2
Baldred a écrit:profML01 a écrit:
Cela me semble très intéressant pour moi qui débute mais comment gérez-vous les moments de transition pendant lesquels les bavardages ont souvent tendance à s'installer ? Je pense à des moments tels que :
- l'appel ou juste avant l'appel lorsque j'allume Pronote
- lorsque je m'adresse à un élève en particulier (les autres en profitent généralement pour bavarder à ce moment-là, ce qui fait que je ne peux pas discuter avec un élève trop longtemps)
- la distribution de photocopies...
Etant encore très peu expérimentée, je ne sais pas si je dois laisser les bavardages se faire et considérer ces moments comme des moments de respiration pour les élèves ou si je dois essayer d'obtenir le silence dans ces moments-là et, si oui, comment ?
Par curiosité combien as-tu eu de temps de formation ?
Je te pose la question car sur ce fil comme sur celui de l'exclusion, tu abordes des points qui sont particulièrement
pertinents en début de carrière et qui sont normalement abordés en formation.
C'est une très bonne question car, en réalité, j'ai démarré dans le courant du mois de septembre je n'ai reçu AUCUNE formation.
- CorvollaNiveau 2
Mitcindy a écrit:
Silence absolu pendant l'appel.
Il y a un truc pour avoir le silence absolu pendant l'appel ?
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