Page 2 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
- doubledeckerSage
olive-in-oil a écrit:Leur faire prendre conscience des nuisances sonores ? Je n'ai pas testé mais on nous a parlé de "bouncy balls" en formation. Une collègue disait même que les élèves autogéraient le bruit grâce à cette appli. Ca se tente !
Les bouncy balls c’est à manipuler avec précaution selon les classes : certains trouvent ça super drôle de faire du bruit pour faire sauter les balles
- SochNiveau 7
J'utilise une cloche.
Sinon, quand il y a vraiment trop de bruit (ca peut être aussi très bruyant en maternelle...) et bien, j'éteins la lumière.
Je trouve que ça m'évite de faire encore du bruit ou plus de bruit que les élèves (ça me fatigue !) Il faut préciser que, dans ma classe, l'éclairage fonctionne quasiment tout le temps car la salle est sombre...
En revanche, j'ai dû régulièrement rappeler aux enfants que rallumer la lumière ne voulait pas dire qu'ils pouvaient refaire plein de bruit, hein!
Il faut tenter "l'extinction des feux" et me dire si ça marche chez vous
Sinon, quand il y a vraiment trop de bruit (ca peut être aussi très bruyant en maternelle...) et bien, j'éteins la lumière.
Je trouve que ça m'évite de faire encore du bruit ou plus de bruit que les élèves (ça me fatigue !) Il faut préciser que, dans ma classe, l'éclairage fonctionne quasiment tout le temps car la salle est sombre...
En revanche, j'ai dû régulièrement rappeler aux enfants que rallumer la lumière ne voulait pas dire qu'ils pouvaient refaire plein de bruit, hein!
Il faut tenter "l'extinction des feux" et me dire si ça marche chez vous
- roxanneOracle
Les ados raffolent d'être dans le noir.
- SochNiveau 7
Ah m****! Dommage! Bon il fait sombre, mais pas nuit quand même !
- CasparProphète
Ça peut être bruyant en maternelle ? Ah ben ça alors je n'aurais jamais cru.
- CorvollaNiveau 2
En fait, le concept de la règle en bois, je le trouve surtout utile pour le moment où je suis à mon bureau et que que je fais l'appel. Car c'est souvent le moment où les bavardages commencent. Souvent, j'essaie de dire "j'aimerais faire l'appel en silence" mais ça ne marche pas vraiment. Peut-être que je m'épuise pour rien et que je dois accepter de faire l'appel dans le bruit...
- Fesseur ProGuide spirituel
Mauvaise idée je pense avec des classes difficiles en collège.Soch a écrit:Il faut tenter "l'extinction des feux" et me dire si ça marche chez vous
Ça terminerait en émeute.
_________________
Pourvu que ça dure...
- SochNiveau 7
Ok, ok, j'ai compris!
Je vois bien qu'on ne peut pas transposer ce qu'on peut faire dans le 1er degré au second degré...
Après, "l'extinction des feux", chez moi, dure 2 secondes... Quand même, faut pas pousser
Je vois bien qu'on ne peut pas transposer ce qu'on peut faire dans le 1er degré au second degré...
Après, "l'extinction des feux", chez moi, dure 2 secondes... Quand même, faut pas pousser
- lene75Prophète
En effet dans le secondaire éteindre la lumière risque fort de bien les exciter.
La règle, je serais trop tentée de frapper les élèves avec. Il ne faut pas tenter le diable.
La règle, je serais trop tentée de frapper les élèves avec. Il ne faut pas tenter le diable.
_________________
Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- CasparProphète
Je laisse souvent les lumières éteintes dans ma salle, ils préfèrent et moi aussi mais je ne pense pas que ça joue sur le niveau sonore.
- AudreyOracle
Caspar a écrit:Autre technique pratiquée par une collègue, prof de langue vivante comme moi (donc: travail oral en binômes ou en groupes = "bruit pédagogique"): s'il y a trop de bruit elle se tait et lève la main, les élèves qui la voient faire se taisent et lèvent la main également, et ça finit par faire tache d'huile...Je ne sais pas si ça me conviendrait mais avec elle ça marche.
La sonnette ne fait pas forcément beaucoup de bruit mais un petit bruit énervant et répétitif.
Et c'est vraiment lourd pour les collègues voisins...
- CasparProphète
Audrey a écrit:Caspar a écrit:Autre technique pratiquée par une collègue, prof de langue vivante comme moi (donc: travail oral en binômes ou en groupes = "bruit pédagogique"): s'il y a trop de bruit elle se tait et lève la main, les élèves qui la voient faire se taisent et lèvent la main également, et ça finit par faire tache d'huile...Je ne sais pas si ça me conviendrait mais avec elle ça marche.
La sonnette ne fait pas forcément beaucoup de bruit mais un petit bruit énervant et répétitif.
Et c'est vraiment lourd pour les collègues voisins...
Haha oui tu as raison pour la sonnette. Le travail oral en binômes ou groupes fait aussi du bruit mais on peut difficilement en faire l'économie en LV.
- SteredDoyen
Moi, j'utilise un très laid Colisée en plastique pour taper sur le bureau en cas de bruit. Ça tient bien en main et ça fait du bruit sans m'esquinter les mains ou la voix. Je m'en sers très peu. Ils détestent le bruit que ça fait et il me suffit à présent d'en approcher la main pour qu'ils se taisent.
Mais ce n'est pas juste l'objet qui apporte le silence, c'est un ensemble de règles.
Quand ils sont trop bruyants en début de cours pour que je leur donne l'autorisation de s'asseoir, je regarde ostensiblement ma montre. Puis je note le temps perdu au tableau. Un élève me demande forcément ce que c'est.
"Le temps perdu. Quand on arrive à 55 minutes, tout le monde revient un vendredi de 16h30 à 17h30 pour rattraper ce temps.
- Mais punition collective, interdit, gnagna.
- Oh, mais ce n'est pas une punition. Bien au contraire. Il me semblerait impensable, voire criminel, de vous faire perdre trop de mon précieux cours. C'est donc entièrement pour votre bien que ça se fera."
J'ai dû le faire une fois en 17 ans de carrière. Depuis ils se régulent eux mêmes. J'ai mis du temps à comprendre : ne pas ajouter du bruit sur le bruit. Faire ce qu'on dit. Voix calme, posée, si on doit se mettre en colère, le faire avant de l'être (pour maîtriser voix, propos et gestuelle). Suivre les punitions.
Je n'avais pas d'autorité innée, j'étais trop soupe au lait. J'ai appris (dans la douleur... 3 ans très difficiles). Depuis c'est bon, globalement, même si on tombe toujours sur des classes plus dures que d'autres.
Dans ces cas-là, je les interpelle directement : "Machin, on baisse la voix, Truc, sors tes affaires". Plutôt qu'un "silence" général.
Mais ce n'est pas juste l'objet qui apporte le silence, c'est un ensemble de règles.
Quand ils sont trop bruyants en début de cours pour que je leur donne l'autorisation de s'asseoir, je regarde ostensiblement ma montre. Puis je note le temps perdu au tableau. Un élève me demande forcément ce que c'est.
"Le temps perdu. Quand on arrive à 55 minutes, tout le monde revient un vendredi de 16h30 à 17h30 pour rattraper ce temps.
- Mais punition collective, interdit, gnagna.
- Oh, mais ce n'est pas une punition. Bien au contraire. Il me semblerait impensable, voire criminel, de vous faire perdre trop de mon précieux cours. C'est donc entièrement pour votre bien que ça se fera."
J'ai dû le faire une fois en 17 ans de carrière. Depuis ils se régulent eux mêmes. J'ai mis du temps à comprendre : ne pas ajouter du bruit sur le bruit. Faire ce qu'on dit. Voix calme, posée, si on doit se mettre en colère, le faire avant de l'être (pour maîtriser voix, propos et gestuelle). Suivre les punitions.
Je n'avais pas d'autorité innée, j'étais trop soupe au lait. J'ai appris (dans la douleur... 3 ans très difficiles). Depuis c'est bon, globalement, même si on tombe toujours sur des classes plus dures que d'autres.
Dans ces cas-là, je les interpelle directement : "Machin, on baisse la voix, Truc, sors tes affaires". Plutôt qu'un "silence" général.
_________________
"Il nous faut arracher la joie aux jours qui filent." Maïakovski
- CorvollaNiveau 2
Tornado a écrit:J'éviterais clairement la règle en bois, sauf en mode blagounette, une fois que je les ai dans la poche.
Une sonnette ou un petit triangle me paraissent plus appropriés.
Y'a aussi le simple repère visuel genre règle graduée du vert au rouge avec un curseur qu'on bouge soi même, à afficher au tableau.
Perso, je n'ai jamais rien pratiqué de tout ça car ça me gonfle de me déplacer jusqu'au dit instrument.
Ce qui marche le mieux, je trouve, c'est de varier, voila comment pour ma part, je garde un calme relatif:
- il faut intervenir dès le premier bavardage et, en début d'année, beaucoup insister sur les règles, pourquoi, comment
- il est possible de s'arrêter pour adresser une remarque à un élève en disant simplement son nom d'un ton ferme (en général ils comprennent) .
- il est possible de lui faire non de la tête ou de la main en le regardant fixement tout en continuant de parler, car il ne faut pas s'arrêter trop souvent
- quand c'est toute la classe qui parle et qu'il ne s'agit pas d'un bruit de travail, il faut s'arrêter de parler en mode "j'attends" et si ça dure trop "j'attends mais je ne vais pas attendre longtemps"
- on peut pratiquer l'arrêt magistral en mode "puisque vous avez décidé de ne rien faire, je ne vais plus perdre mon temps et je m'avance sur ma correction de copie, prévenez moi quand vous serez prêt". A double tranchant tout de même car si ça ne s'arrête pas, t'es mal barré^^ Mais t'auras corrigé une ou deux copies. Et puis tu peux aussi t'arrêter en mode "bon, ça ne va pas, vous faites TELLEMENT de bruit, que même moi, je n'arrive plus à travailler")
- on peut noter les noms des élèves pris en faute au tableau et on ajoute des barres à chaque remarque. A x remarque, ils savent que qque chose tombera (perso, je pratique mais j'oublie souvent de les punir après, du coup ce n'est pas efficace. Mais ça marche avec d'autres)
- on peut pousser une gueulante (qui ne doit pas durer longtemps, être très contrôlé, et il ne faut pas hurler, juste hausser le ton)
- on peut tout simplement se rapprocher de l'élève. Il faut du reste circuler à minima dans la classe; l'élève qui sait que son travail sera contrôlé durant la séance est toujours plus au travail que celui qui peut ne rien faire durant plusieurs séances, en attendant l'évaluation.
- on peut tapper dans les mains
- on peut tout simplement changer d'activité et les passer à l'écrit (ca rétablit souvent le calme) . Si ça ne suffit pas, annoncer que ce sera noté.
- on peut prévoir un truc trop bien qu'on écrit au tableau pour la fin de séance et enlever une lettre chaque fois que y'a trop de bruit, voire le moindre bruit si y'a suffisamment de lettres, étant entendu que quand y'en a plus, on oublie l'activité (ex: DOCUMENTAIRE).
Et mille autres trucs, chaque cohorte est différente et ces trucs ne marchent pas toujours, mais pour ma part, j'ai tendance à penser que le mieux est de varier car en réalité, y'a pas de solutions miracles (en tout cas je n'en ai pas trouvé)
Il faut aussi expérimenter pour voir ce qui nous convient. Et si on insiste vraiment sur un truc , s'y tenir (ce qui n'est pas mon cas, raison pour laquelle je varie)
Enfin, les bavardages peuvent être également un signe qu'ils s'ennuient: prévois des activités plus courtes en alternant les modalités (oral, écrit) et fais les intervenir davantage (ça peut tout simplement être en posant des questions ou en les mettant en activité plus rapidement, ou en multipliant les exercices). Vérifie également que tu t'es mis au niveau des élèves, c'est à dire que : ça correspond bien à leur niveau (ni trop facile, ni trop difficile) et qu'ils comprennent le sens de l'apprentissage en annonçant clairement les objectifs et pourquoi on fait/ apprend ça.
A ce sujet, des exercices un peu plus faciles qui les mettent en confiance, au moins pour commencer, ont tendance à mettre tout le monde au travail (il faudra alors bannir les "trop facile!" pour que les élèves plus en difficulté ne se découragent pas)
Cela me semble très intéressant pour moi qui débute mais comment gérez-vous les moments de transition pendant lesquels les bavardages ont souvent tendance à s'installer ? Je pense à des moments tels que :
- l'appel ou juste avant l'appel lorsque j'allume Pronote
- lorsque je m'adresse à un élève en particulier (les autres en profitent généralement pour bavarder à ce moment-là, ce qui fait que je ne peux pas discuter avec un élève trop longtemps)
- la distribution de photocopies...
Etant encore très peu expérimentée, je ne sais pas si je dois laisser les bavardages se faire et considérer ces moments comme des moments de respiration pour les élèves ou si je dois essayer d'obtenir le silence dans ces moments-là et, si oui, comment ?
- scot69Modérateur
Pour les photocopies, j'en donne pile le nombre à chaque début de rangées et je continue de parler en même temps, par contre, je précise qu'ils la colleront chez eux (ça évite les "passe-moi ta colle, passe moi tes ciseaux")
Pour les moments de transitions, tu as effectivement bien pointé le fait que ce sont des moments critiques et qu'ils peuvent s'engouffrer dans la mèche. C'est vraiment selon le contexte, tu peux demander à un élève de relire le texte précédent, le travail à faire, le cours juste avant et faire l'appel pendant ce temps.
Pour les moments de transitions, tu as effectivement bien pointé le fait que ce sont des moments critiques et qu'ils peuvent s'engouffrer dans la mèche. C'est vraiment selon le contexte, tu peux demander à un élève de relire le texte précédent, le travail à faire, le cours juste avant et faire l'appel pendant ce temps.
- PunkyNiveau 9
Pour ma part, j'arrive en avance, quand cela est possible, de cinq minutes pour ouvrir pronote et distribuer les photocopies sur les tables. Uniquement avec les stmg.
- scot69Modérateur
C'est clair que si tu n'as rien juste avant et que la salle de classe est dispo, c'est une riche idée!
- PunkyNiveau 9
Quand c'est possible, disais je. À 8h, après la récréation... mais bien sûr ce n'est pas une évidence.
- CorvollaNiveau 2
Donc, faire distribuer les photocopies par un élève (comme j'avais tendance à le faire), c'est une mauvaise idée ?Punky a écrit:Pour ma part, j'arrive en avance, quand cela est possible, de cinq minutes pour ouvrir pronote et distribuer les photocopies sur les tables. Uniquement avec les stmg.
- scot69Modérateur
Difficile à dire hors contexte, c'est vraiment comment tu le sens dans la classe. Je le fais parfois, pas toujours, je ne saurais même pas t'expliquer pourquoi parfois je perçois que c'est une bonne idée et parfois pas.
Si c'est des prétextes à parler ou à chahuter, j'éviterais.
Si c'est des prétextes à parler ou à chahuter, j'éviterais.
- mafalda16Modérateur
Alors franchement les transitions moi je laisse papoter. J’en profite pour boire une gorgée, effacer mon tableau, chercher le doc dans l’ordi… par contre ils savent que quand je reprends la parole c’est fini. Ils ont eu leur minie pause, hop on reprend le travail. Si ça ne vient pas assez vite j’en interroge un ou deux, ils sèchent et donc les autres finissent par se taire.
Mais ça ne fonctionne que parce que je leur ai expliqué en début d’année, et parce que c’est un rituel. Si le calme ne revient pas facilement je supprime le sas de respiration.
Mais ça ne fonctionne que parce que je leur ai expliqué en début d’année, et parce que c’est un rituel. Si le calme ne revient pas facilement je supprime le sas de respiration.
_________________
"Si no luchas, al menos ten la decencia de respetar a quienes lo hacen", José Martí.
- totoroMonarque
profML01 a écrit:Donc, faire distribuer les photocopies par un élève (comme j'avais tendance à le faire), c'est une mauvaise idée ?Punky a écrit:Pour ma part, j'arrive en avance, quand cela est possible, de cinq minutes pour ouvrir pronote et distribuer les photocopies sur les tables. Uniquement avec les stmg.
Je trouve qu’ils mettent des heures à distribuer ! Et les « moi madame, je peux distribuer ? » par les 10 élèves les moins aptes à le faire me fatiguent…
Pour le silence, je donne un ou deux coups de manuel sur le bureau. Au bout d’un moment, il faut théâtraliser l’action pour leur laisser le temps de se taire avant de faire tomber l’objet. Je l’utilise quand ça parle vraiment fort et que j’ai l’impression qu’ils se rendent même pas compte de ma présence…
Sinon, se taire en attendant le silence, ça peut être long, mais en effet, il suffit de s’occuper et il y en a toujours quelques uns pour se souvenir qu’ils sont en classe et demander aux autres de se taire.
_________________
- SphinxProphète
profML01 a écrit:
Cela me semble très intéressant pour moi qui débute mais comment gérez-vous les moments de transition pendant lesquels les bavardages ont souvent tendance à s'installer ? Je pense à des moments tels que :
- l'appel ou juste avant l'appel lorsque j'allume Pronote
- lorsque je m'adresse à un élève en particulier (les autres en profitent généralement pour bavarder à ce moment-là, ce qui fait que je ne peux pas discuter avec un élève trop longtemps)
- la distribution de photocopies...
Etant encore très peu expérimentée, je ne sais pas si je dois laisser les bavardages se faire et considérer ces moments comme des moments de respiration pour les élèves ou si je dois essayer d'obtenir le silence dans ces moments-là et, si oui, comment ?
Pour l'appel et la distribution de photocopies : ce n'est pas le bavardage à ce moment-là qui pose problème (sauf si ça vire au concert de hurlements), c'est la capacité à s'arrêter après, comme dit Mafalda. Donc si c'est une classe qui après avoir laissé s'échapper quelques borudonnements est capable de se reconcentrer : pas de problème. Si c'est une classe pénible qui s'engouffre chaque fois dans la brèche et il faut sortir les rames pour les rattraper : alors ce n'est pas qu'il faut les faire cesser, c'est qu'il ne faut pas les laisser commencer. Par exemple exiger le silence avant de faire l'appel. Punis le premier qui l'ouvre, ou le dernier à ne pas être silencieux, au choix.
Mais sinon, il faut effectivement gagner du temps sur ces moments-là : comme Scot je donne les photocopies à chaque tête de rangée et ils font passer derrière, et surtout, je continue à parler en même temps ; pour l'appel, j'ai un plan de classe, je ne fais jamais l'appel nom par nom, je sais qui doit être assis où et je repère les trous. Et je remplis l'appel en ligne quand ils sont au travail, pas avant : tu les as lancés sur des exercices, quelqu'un est au tableau pour la correction des devoirs, ils doivent lire un texte en silence, que sais-je. (Bon du coup ça m'est arrivé un paquet de fois d'oublier et de me faire enguirlander par la vie scolaire Mais disons que ça se conjuguait au fait que les ordis mettent un quart d'heure à s'allumer...)
Quand tu t'adresses à un élève, qu'est-ce que tu veux dire ? Si tu donnes une explication pendant le cours, même si un élève a posé la question, la réponse s'adresse à toute la classe, donc ils doivent se taire et écouter. S'il s'agit d'aider pendant qu'ils font un travail en autonomie, quand j'ai ce genre de classe où je ne peux pas tourner le dos deux secondes, je reste à mon bureau et ils m'apportent leur travail (et oui il faut vérifier le travail d'un oeil et garder l'autre sur la classe, et on finit avec un beau strabisme). Et si c'est quand on les réprimande, il faut que ça ne dure pas plus de quelques secondes.
_________________
An education was a bit like a communicable sexual disease. It made you unsuitable for a lot of jobs and then you had the urge to pass it on. - Terry Pratchett, Hogfather
"- Alors, Obélix, l'Helvétie c'est comment ? - Plat."
- Aed2022Niveau 9
La question c’est est-ce qu’on peut frapper les élèves insolents avec ?
(Si vous me cherchez, je suis déjà dehors )
(Si vous me cherchez, je suis déjà dehors )
- MitcindyNiveau 10
Aed2022 a écrit:La question c’est est-ce qu’on peut frapper les élèves insolents avec ?
(Si vous me cherchez, je suis déjà dehors )
Petite, j'avais un instituteur qui faisait avancer le fautif dans l'allée centrale et qui, au choix, donnait
- un coup de règle magistral sur les doigts de l'élève
- un aller-retour (gifle).
Le silence qui régnait dans les rangs... je m'en souviens encore.
Et pas question de se plaindre.
Plus le droit de faire cela...
- Aed2022Niveau 9
Mitcindy a écrit:Aed2022 a écrit:La question c’est est-ce qu’on peut frapper les élèves insolents avec ?
(Si vous me cherchez, je suis déjà dehors )
Petite, j'avais un instituteur qui faisait avancer le fautif dans l'allée centrale et qui, au choix, donnait
- un coup de règle magistral sur les doigts de l'élève
- un aller-retour (gifle).
Le silence qui régnait dans les rangs... je m'en souviens encore.
Et pas question de se plaindre.
Plus le droit de faire cela...
Heureusement quelque part.... je tenterais pas de gifler un lycéen d’1m95 :lol:
Page 2 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum