- EtivnixNiveau 4
Oui, littéralement cette phrase, j’ai même pensé que c’était une mauvaise blague mais non même pas.
- User20159Esprit éclairé
Etivnix a écrit:Aujourd’hui j’ai eu le droit à « c’est pas évident TZR, tu devrais passer le concours » heu….
Non mais on rêve ...
Ignorer le système à ce point....Remarque je ne suis même pas étonné, vu comment on est traités comme des sous-profs.
D'ailleurs les rares qui témoignent un peu d'empathie/sympathie/qui daignent t'adresser la parole, sont généralement ceux qui reconnaissent la situation qu'ils ont vécue dans le passé.
@valle : l'administration est encore plus violente sur ce point, quand un secrétaire de bahut ou un chef d'et' où tu viens de débarquer apprend que tu es TZR, ta côte remonte sensiblement, (pas trop non plus, faut pas charrier) après tout, dans TZR il y a titulaire. Je n'ose imaginer ce que certains contractuels en rempla' courts se prennent dans la tronche ...
- JennyMédiateur
Etivnix a écrit:Hello,
Je rejoins les collègues ce genre de réunion franchement autant s’économiser !
Aujourd’hui j’ai eu le droit à « c’est pas évident TZR, tu devrais passer le concours » heu….
Puis d’une autre collègue au sujet des heures qui étaient libres dans mon RAD et auraient pu me faire un temps plein « oui mais bon c’était mieux de mettre une contractuelle car eux ne sont pas payés s’ils n’ont pas de poste contrairement à toi »…
(Évidemment je ne jette pas la pierre à la collègue contractuelle et suis ravi qu’elle ne soit pas au chômage mais je l’ai toujours mauvaise d’être passé après pour les affectations…)
J’y ai le droit régulièrement…
Avec les « je ne savais pas qu’un TZR pouvait enseigner en lycée ».
- EtivnixNiveau 4
Jenny a écrit:Etivnix a écrit:Hello,
Je rejoins les collègues ce genre de réunion franchement autant s’économiser !
Aujourd’hui j’ai eu le droit à « c’est pas évident TZR, tu devrais passer le concours » heu….
Puis d’une autre collègue au sujet des heures qui étaient libres dans mon RAD et auraient pu me faire un temps plein « oui mais bon c’était mieux de mettre une contractuelle car eux ne sont pas payés s’ils n’ont pas de poste contrairement à toi »…
(Évidemment je ne jette pas la pierre à la collègue contractuelle et suis ravi qu’elle ne soit pas au chômage mais je l’ai toujours mauvaise d’être passé après pour les affectations…)
J’y ai le droit régulièrement…
Avec les « je ne savais pas qu’un TZR pouvait enseigner en lycée ».
Ah bah d’accord… comment rester calme après ça !!
_________________
Etivnix
- nanouevaNiveau 10
Il y a aussi :" ah oui, t'es néotitulaire alors?"
Bah non. Je galère avec le système de mutation, c'est tout.
Bah non. Je galère avec le système de mutation, c'est tout.
- IllianeExpert
Je me dis que j'ai eu beaucoup de chance, on ne m'a jamais sorti des trucs pareils en X années de TZR-ariat.
- JennyMédiateur
En poste fixe mais avec complément de service, un collègue m'appelait le BMP.
Charmant...
Charmant...
- IllianeExpert
Jenny a écrit:En poste fixe mais avec complément de service, un collègue m'appelait le BMP.
Charmant...
Y a des qui se perdent !
- JennyMédiateur
"Tu comprends, ça ne sert à rien de retenir ton prénom, tu ne vas pas rester".
La majorité des établissements sont heureusement plus accueillants. Mais de temps en temps, il faut rappeler qu'on a le même concours.
La majorité des établissements sont heureusement plus accueillants. Mais de temps en temps, il faut rappeler qu'on a le même concours.
- MédéeÉrudit
Je n'ai jamais eu ce genre de réflexion, par contre j'ai une anecdote :
L'an dernier, lors d'un remplacement, j'étais assise en salle des profs avec des collègues. Un collègue propose du gâteau à tous les collègues et prend soin de m'éviter. Il refait un tour et insiste auprès de ceux qui n'en ont pas pris, toujours en m'évitant soigneusement. Son gâteau, j'en avais rien à faire, mais j'ai trouvé cette attitude tellement excluante et méprisante ! D'ailleurs, ce collègue ne m'a jamais adressé la parole. Heureusement, les autres étaient très sympas.
L'an dernier, lors d'un remplacement, j'étais assise en salle des profs avec des collègues. Un collègue propose du gâteau à tous les collègues et prend soin de m'éviter. Il refait un tour et insiste auprès de ceux qui n'en ont pas pris, toujours en m'évitant soigneusement. Son gâteau, j'en avais rien à faire, mais j'ai trouvé cette attitude tellement excluante et méprisante ! D'ailleurs, ce collègue ne m'a jamais adressé la parole. Heureusement, les autres étaient très sympas.
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Rentrée 2024 : Poste fixe ! (et 16e établissement )
2021-2024 : TZR en remplacements courts
2020-2021 : T3 - TZR en AFA : 1 collège 6e, 5e + PP 5e
2019-2020 : T2 - TZR en AFA : 2 collèges 6e, 5e, 4e + PP 5e
2018-2019 : T1 - TZR en AFA : 3 collèges 5e, 4e
2017-2018 : Stagiaire en lycée (2nde x2)
- InvitéInvité
Je trouve ça dingue, tout ce mépris !
J'ai eu la chance de ne pas (encore ?) le vivre. Les collègues étaient plutôt accueillants, lors de mes précédentes affectations (et pour mon court passage cette année dans mon RAD, au moment de la pré-rentrée). Ceux qui ont été les plus désagréables avec moi, c'était quand j'étais en poste fixe pendant 3 ans dans le même établissement et qui ne supportaient pas mon côté grande-gueule-revendicatrice-syndicaliste qui risquait de mettre en branle leur petit univers limite "mafieux" où un certain nombre d'entre eux entretenaient des relations privilégiées avec le chef d'établissement, au détriment des autres (et notamment des TZR ou des nouveaux arrivants dans le bahut).
J'avoue que notre statut de remplaçant n'est pas des plus confortables. N'ayant toujours pas reçu d'appel à ce jour (même mon RAD ne me demande rien, lol), j'ai l'impression de ne servir à rien, de n'être personne et de n'intéresser personne. Et puis, hier soir, en surfant sur le net avec les mots-clés "TZR sans affectation" (histoire de se sentir moins seul ), je suis tombée sur un article de je-ne-sais-plus quel journal qui parlait de cette situation en écrivant que les TZR étaient "l'armée de réserve du rectorat".
J'ai adoré cette expression ! Je trouve qu'elle donne un côté plus noble à notre statut, comme si nous faisions partie des forces spéciales de l'Education Nationale . C'est un peu comme si on sous-entendait qu'il fallait être encore plus compétent que les autres pour exercer la fonction de TZR (ce qui me semble être effectivement le cas, pour certains aspects : je pense qu'un TZR - ou quelqu'un amené à muter souvent pour X autre raison - développe davantage de capacités d'adaptation, d'ouverture d'esprit et d'efficacité dans son travail personnel que celui qui reste sur le même poste fixe pendant 20 ans). C'est con, mais ça a regonflé mon ego. Je me sens encore plus légitime pour enseigner, maintenant .
J'ai eu la chance de ne pas (encore ?) le vivre. Les collègues étaient plutôt accueillants, lors de mes précédentes affectations (et pour mon court passage cette année dans mon RAD, au moment de la pré-rentrée). Ceux qui ont été les plus désagréables avec moi, c'était quand j'étais en poste fixe pendant 3 ans dans le même établissement et qui ne supportaient pas mon côté grande-gueule-revendicatrice-syndicaliste qui risquait de mettre en branle leur petit univers limite "mafieux" où un certain nombre d'entre eux entretenaient des relations privilégiées avec le chef d'établissement, au détriment des autres (et notamment des TZR ou des nouveaux arrivants dans le bahut).
J'avoue que notre statut de remplaçant n'est pas des plus confortables. N'ayant toujours pas reçu d'appel à ce jour (même mon RAD ne me demande rien, lol), j'ai l'impression de ne servir à rien, de n'être personne et de n'intéresser personne. Et puis, hier soir, en surfant sur le net avec les mots-clés "TZR sans affectation" (histoire de se sentir moins seul ), je suis tombée sur un article de je-ne-sais-plus quel journal qui parlait de cette situation en écrivant que les TZR étaient "l'armée de réserve du rectorat".
J'ai adoré cette expression ! Je trouve qu'elle donne un côté plus noble à notre statut, comme si nous faisions partie des forces spéciales de l'Education Nationale . C'est un peu comme si on sous-entendait qu'il fallait être encore plus compétent que les autres pour exercer la fonction de TZR (ce qui me semble être effectivement le cas, pour certains aspects : je pense qu'un TZR - ou quelqu'un amené à muter souvent pour X autre raison - développe davantage de capacités d'adaptation, d'ouverture d'esprit et d'efficacité dans son travail personnel que celui qui reste sur le même poste fixe pendant 20 ans). C'est con, mais ça a regonflé mon ego. Je me sens encore plus légitime pour enseigner, maintenant .
- JennyMédiateur
Mais oui, on a un côté couteau suisse.
C'est effectivement extrêmement formateur et on développe forcément de grandes capacités d'adaptation.
C'est effectivement extrêmement formateur et on développe forcément de grandes capacités d'adaptation.
- Stel6584Niveau 7
Il y vraiment des collègues qui ne manquent pas de toupet. Le coup du gâteau , c'est vraiment mesquin.
Comme dans toutes les professions, il y a des collègues qui manquent d'empathie et se comportent mal avec les nouveaux collègues tant qu'ils n'ont pas vécu ou été touchés de près par la situation des TZR, des contractuels ou qui ont oublié qu'ils ont été stagiaires. Quand j'étais stagiaire, une collègue d'une autre discipline ne m'adressait jamais la parole et ne répondait pas à mes bonjours quand je la croisais. J'ai aussi connu des collègues qui "attendaient qu'on fasse nos preuves" pour enfin venir taper la causette. Je me dis que c'est triste pour eux. Heureusement qu'il y a des collègues super accueillants et qui comprennent notre situation.
Comme dans toutes les professions, il y a des collègues qui manquent d'empathie et se comportent mal avec les nouveaux collègues tant qu'ils n'ont pas vécu ou été touchés de près par la situation des TZR, des contractuels ou qui ont oublié qu'ils ont été stagiaires. Quand j'étais stagiaire, une collègue d'une autre discipline ne m'adressait jamais la parole et ne répondait pas à mes bonjours quand je la croisais. J'ai aussi connu des collègues qui "attendaient qu'on fasse nos preuves" pour enfin venir taper la causette. Je me dis que c'est triste pour eux. Heureusement qu'il y a des collègues super accueillants et qui comprennent notre situation.
- Prof_heureuxNiveau 1
Bonjour,
oui l'attitude des collègues dans l'EN n'est pas top, parfois mesquine et renfermée sur le statut, le poste, l'établissement.
Je pensais à autre chose concernant les TZR : il y a longtemps de cela, on en voyait rester plusieurs années sans poste, et parfois chez eux, sans qu'on leur demande de faire quoi que ce soit. Apparemment, ce n'est plus vraiment le cas, même si cela arrive encore comme un témoigne d'ailleurs un collègue plus haut sur ce fil.
Or, vu que les inspections maintenant se font sous PPCR, je me demande comment ça se passe pour un TZR dans ces situations-là : sur quoi est-il évalué ? Y a-t-il report de son PPCR avec impératif de nomination sur un poste l'année suivante ? ...
oui l'attitude des collègues dans l'EN n'est pas top, parfois mesquine et renfermée sur le statut, le poste, l'établissement.
Je pensais à autre chose concernant les TZR : il y a longtemps de cela, on en voyait rester plusieurs années sans poste, et parfois chez eux, sans qu'on leur demande de faire quoi que ce soit. Apparemment, ce n'est plus vraiment le cas, même si cela arrive encore comme un témoigne d'ailleurs un collègue plus haut sur ce fil.
Or, vu que les inspections maintenant se font sous PPCR, je me demande comment ça se passe pour un TZR dans ces situations-là : sur quoi est-il évalué ? Y a-t-il report de son PPCR avec impératif de nomination sur un poste l'année suivante ? ...
- valleExpert spécialisé
Prof_heureux a écrit:Bonjour,
oui l'attitude des collègues dans l'EN n'est pas top, parfois mesquine et renfermée sur le statut, le poste, l'établissement.
Je pensais à autre chose concernant les TZR : il y a longtemps de cela, on en voyait rester plusieurs années sans poste, et parfois chez eux, sans qu'on leur demande de faire quoi que ce soit. Apparemment, ce n'est plus vraiment le cas, même si cela arrive encore comme un témoigne d'ailleurs un collègue plus haut sur ce fil.
Or, vu que les inspections maintenant se font sous PPCR, je me demande comment ça se passe pour un TZR dans ces situations-là : sur quoi est-il évalué ? Y a-t-il report de son PPCR avec impératif de nomination sur un poste l'année suivante ? ...
As-tu vraiment vu un TZR rester plusieurs années sans affectation ? Ça me paraît assez bizarre.
Sinon, pour le PPCR, c'est fait comme pour tout le monde, sauf qu'il n'y a pas d'inspection devant élèves s'il n'y a pas d'affectation. Il est statutairement impossible de rapporter le RDV de carrière et, en revanche, avec la nouvelle formule, le déroulé physique du cours n'est pas essentiel (tu peux aller voir le descriptif de l'entretien avec l'IPR et le CDE).
Je ne sais pas s'il y a des IPR qui "forcent" des affectations pour les collègues éligibles au RDV de carrière.
- uneodysséeNeoprof expérimenté
Je suis sidérée par ce que vous rapportez. Je n’ai été TZR qu’un an, et encore en remplacement à l’année. J’ai été bien intégrée par l’équipe voire coucounée (j’étais toute jeune), y compris par celle qui m’a dit ouvertement qu’elle était jalouse de moi !
Je suis maintenant une ancienne dans mon lycée, et je suis peut-être aveugle mais je n’ai pas remarqué de tels comportements. Je me sens même plutôt, en tant que vieille de la vieille, une sorte de responsabilité à accueillir les nouveaux. On a toujours eu des remplaçantes (de statut divers) dans l’équipe de Lettres, c’est peut-être pour ça : on est bien obligées de leur parler !!!
Je suis maintenant une ancienne dans mon lycée, et je suis peut-être aveugle mais je n’ai pas remarqué de tels comportements. Je me sens même plutôt, en tant que vieille de la vieille, une sorte de responsabilité à accueillir les nouveaux. On a toujours eu des remplaçantes (de statut divers) dans l’équipe de Lettres, c’est peut-être pour ça : on est bien obligées de leur parler !!!
- JennyMédiateur
Il y a des établissements où l'équipe accueille très bien les TZR.
Et parfois, on tombe sur des gens moins agréables. Certains collègues, tout simplement, ne connaissent pas le statut de TZR.
Et parfois, on tombe sur des gens moins agréables. Certains collègues, tout simplement, ne connaissent pas le statut de TZR.
- MitcindyNiveau 10
Ha@_x a écrit: l'administration est encore plus violente sur ce point, quand un secrétaire de bahut ou un chef d'et' où tu viens de débarquer apprend que tu es TZR, ta côte remonte sensiblement, (pas trop non plus, faut pas charrier) après tout, dans TZR il y a titulaire. Je n'ose imaginer ce que certains contractuels en rempla' courts se prennent dans la tronche ... furieux
On se prend parfois de sacrés réflexions, enfin surtout au début.
Je suis contractuelle mais j'ai du mal à comprendre que certains titulaires à poste fixe s'acharnent sur les tzr...
C'est pour se remonter l'égo aux frais des autres ???
- Choup90Niveau 10
En plus, quel égo ? On n'est pas (encore…) affectés "au mérite". Les points sont liés à la situation administrative et professionnelle. Aucun mérite à avoir un poste fixe (éventuellement, dans certains cas, des vœux bien formulés tout au plus).Mitcindy a écrit:Ha@_x a écrit: l'administration est encore plus violente sur ce point, quand un secrétaire de bahut ou un chef d'et' où tu viens de débarquer apprend que tu es TZR, ta côte remonte sensiblement, (pas trop non plus, faut pas charrier) après tout, dans TZR il y a titulaire. Je n'ose imaginer ce que certains contractuels en rempla' courts se prennent dans la tronche ... furieux
On se prend parfois de sacrés réflexions, enfin surtout au début.
Je suis contractuelle mais j'ai du mal à comprendre que certains titulaires à poste fixe s'acharnent sur les tzr...
C'est pour se remonter l'égo aux frais des autres ???
- User20159Esprit éclairé
Jenny a écrit:En poste fixe mais avec complément de service, un collègue m'appelait le BMP. Charmant...
Moi quand on me demande qui je suis, je répond sèchement que je suis le BMP d'HG. Mais ça n'arrive pas souvent, qu'on me le demande. Tant que mes élèves connaissent mon nom, tout baigne, le reste je m'en cogne.
Lucia21 a écrit:J'ai adoré cette expression ! Je trouve qu'elle donne un côté plus noble à notre statut, comme si nous faisions partie des forces spéciales de l'Education Nationale
Le TZR apprend à changer de salle à la volée en cas de changement d'EDT (car on ne l'a évidemment pas informé).
Le TZR apprend à transformer le double U de la salle de langue qu'on lui a filée en autobus en 5 minutes.
Le TZR apprend à avoir un plan A, un B, un C au cas où, tiens par exemple : il est en poste depuis 3 jours mais personne, n'a jamais pensé à lui filer des codes session/photocop'/wifi/pronote.
Dans ce dernier cas, le TZR s'éclate et fait un appel papier, le plus précis et le plus méticuleux possible.
Le TZR sait se repérer dans l'espace, surtout s'il est sur plusieurs bahuts, il a appris à reconnaître en moins de 48h le photocopieur le plus performant, et a découvert le photocopieur couleur.
Le TZR est meilleur pour la planète, tous les dossiers/cahiers qu'il se trimbalait quand il était en poste fixe (ou pas) sont informatisés pour un maximum d'efficacité.
Le TZR a souvent un ordinateur portable, pas celui fourni par certaines régions et certainement pas celui fourni par Mme Pécresse, qui est peut être fanless, mais sur lequel on ne peut rien installer, donc c'est le sien, mais qui ne sera payé par la prime informatique qu'à la toute fin de sa décade tzrale....(soyons optimistes).
Le TZR a un trousseau de clés conséquent, surtout s'il a 15 salles différentes, pour ne pas le confondre avec un CPE, vérifiez bien qu'il porte une sacoche de prof.
Oui par rapport à certains collègues, je pense qu'on peut parler de qualification "forces spéciales". Mais quand je pense à notre condition, j'ai encore plus mal pour les contractuels.
- MehitabelVénérable
Après, il y a aussi entretien de confusion, l'année dernière, une collègue de français, contractuelle, disait partout qu'elle était TZR. Et quand la personne qu'elle remplaçait est revenue, elle a envoyé un message indiquant que sa "mission de TZR" se terminait. Alors qu'elle n'était pas du tout TZR. Et personne ne l'a reprise.
- User20159Esprit éclairé
Mehitabel a écrit:Après, il y a aussi entretien de confusion, l'année dernière, une collègue de français, contractuelle, disait partout qu'elle était TZR. Et quand la personne qu'elle remplaçait est revenue, elle a envoyé un message indiquant que sa "mission de TZR" se terminait. Alors qu'elle n'était pas du tout TZR. Et personne ne l'a reprise.
Vu comment les contractuels sont traités, je comprend parfaitement que certains se fassent passer pour des TZR...
Le problème ne serait pas du côté des cuistres en poste fixe au melon surdimensionné ? On se demande par quoi d'ailleurs...
- TulipiaNiveau 7
Cette année, je suis surprise de l’accueil des collègues. On me fait de la place dans les armoires de LV, on libère le bureau quand je prends la salle. Je me sens bien. L’année dernière, quand j’étais sur 6 salles, c’était terrible car certains collègues me faisaient sentir - plus ou moins explicitement - que je dérangeais. Une fois, je suis arrivée dans une salle après un changement de bâtiment, la collègue était tout juste de retour après un congé formation. J’ouvre la porte, elle est à son bureau. Devant les élèves, elle s’exclame : « Oh mais ils t’ont mise là ? Ah non, c’est super chiant. Ça me gonfle. »
J’ai aussi eu deux collègues qui sont allés voir le PA pour lui demander de me changer de salle. En trois mois j’ai eu trois EDT - même nombre d’heures, mêmes horaires, mais avec des changements de salle.
Hier, je suis arrivée dans la salle « d’une collègue » qui avait oublié que je venais et qui a présenté ses excuses à trois reprises. Ça m’a fait un bien fou.
J’ai aussi eu deux collègues qui sont allés voir le PA pour lui demander de me changer de salle. En trois mois j’ai eu trois EDT - même nombre d’heures, mêmes horaires, mais avec des changements de salle.
Hier, je suis arrivée dans la salle « d’une collègue » qui avait oublié que je venais et qui a présenté ses excuses à trois reprises. Ça m’a fait un bien fou.
- MatteoNiveau 10
Tulipia a écrit:Cette année, je suis surprise de l’accueil des collègues. On me fait de la place dans les armoires de LV, on libère le bureau quand je prends la salle. Je me sens bien. L’année dernière, quand j’étais sur 6 salles, c’était terrible car certains collègues me faisaient sentir - plus ou moins explicitement - que je dérangeais. Une fois, je suis arrivée dans une salle après un changement de bâtiment, la collègue était tout juste de retour après un congé formation. J’ouvre la porte, elle est à son bureau. Devant les élèves, elle s’exclame : « Oh mais ils t’ont mise là ? Ah non, c’est super chiant. Ça me gonfle. »
J’ai aussi eu deux collègues qui sont allés voir le PA pour lui demander de me changer de salle. En trois mois j’ai eu trois EDT - même nombre d’heures, mêmes horaires, mais avec des changements de salle.
Hier, je suis arrivée dans la salle « d’une collègue » qui avait oublié que je venais et qui a présenté ses excuses à trois reprises. Ça m’a fait un bien fou.
C'était une formation "réussir son brevet des collèges" ? Non sérieusement il y a des enseignants qui fréquentent trop d'enfants.
- Arck89Niveau 2
Hello la team TZR ! J'ai une question/besoin d'un petit conseil.
Je suis agrégée, je fais une suppléance sur un service de 20 h.
J'ai signé un PV d'installation pour 18 h : mes 15 h règlementaires d'agrégée + 3 HSA.
Est-ce que vous pensez que l'écart entre le PV et le service réel sera rectifié automatiquement ? Sinon, à qui s'adresser pour vérifier qu'on va bien me payer les 20 h de travail hebdo (soit 5 HSA et pas 3)...?
Je précise qu'au moment où j'ai signé, l'emploi du temps non définitif affichait bien 18 h.
Je vous prie de m'excuser pour ces basses considérations pécuniaires, la TZR a besoin de manger et de payer son double-loyer
Je suis agrégée, je fais une suppléance sur un service de 20 h.
J'ai signé un PV d'installation pour 18 h : mes 15 h règlementaires d'agrégée + 3 HSA.
Est-ce que vous pensez que l'écart entre le PV et le service réel sera rectifié automatiquement ? Sinon, à qui s'adresser pour vérifier qu'on va bien me payer les 20 h de travail hebdo (soit 5 HSA et pas 3)...?
Je précise qu'au moment où j'ai signé, l'emploi du temps non définitif affichait bien 18 h.
Je vous prie de m'excuser pour ces basses considérations pécuniaires, la TZR a besoin de manger et de payer son double-loyer
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