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- BalthazaardVénérable
En effet, bientôt le gouvernement va parodier le Gorafi.....c'est dire!!!
- beaverforeverNeoprof expérimenté
C'est clairement un ballon d'essai... Le but est de voir comment une telle idée fait réagir les électeurs : est-ce que les électeurs les plus à gauche de Macron acceptent cette idée ou est-ce que cela peut influencer sur leur choix de vote. Macron doit conserver une base d'électorat centre-gauche. Or, beaucoup étaient des enseignants en 2017. A priori, peu devraient revoter pour lui...
- CathEnchanteur
Tout à fait.Balthazaard a écrit:Cath a écrit:Et qui peut croire que c'est juste "comme ça pour voir" ?
je dirai...moi. Il doit y avoir (j'exagère un peu) 10 propositions de loi par mois émanant du sénat ou du parlement demandant la fin du statut de fonctionnaire, et systématiquement elles sont rejetées....donc pas grand chose de nouveau
Mais là, ce sera une promesse de campagne du président.
Alors bien sûr "les promesses n'engagent..." mais vu le prof bashing de ces dernières années, la "nécessité" de rembourser le fameux "quoi qu'il en coûte"...le terrain est mûr.
On vantera auprès des parents les merveilleuses conséquences du recrutement par les établissements de profs hyper motivés, prêts à faire la roue et à vendre leur âme pour avoir un poste, l'"agilité" que ça entrainera (c'est à dire les fins de contrat de ceux qui n'auront pas faits suffisamment de prooooojets) et ça glissera tout seul.
Et parmi les enseignants...combien d'étudiants qui se réjouissent déjà à l'idée d'échapper au concours, persuadés qu'ils sont qu'ils sauront "mieux" y faire ? Combien de collègues qui se disent que ma foi, s'il faut promettre son âme pour rentrer dans sa région d'origine, le prix n'est pas si élevé ?
- BalthazaardVénérable
Sincèrement, comment pourrait-on vouloir devenir prof aujourd'hui?
- muonNiveau 6
Étudiant médiocre ? Job d'appoint ou alimentaire? Naïf ?Masochiste?Balthazaard a écrit:
Sincèrement, comment pourrait-on vouloir devenir prof aujourd'hui?
- CathEnchanteur
Il reste des candidats.
Et avec la précarisation du monde du travail, enseignant deviendra un job qu'on fait entre deux, on y sera de passage.
Et avec la précarisation du monde du travail, enseignant deviendra un job qu'on fait entre deux, on y sera de passage.
- LokomazoutNiveau 9
beaverforever a écrit:Macron doit conserver une base d'électorat centre-gauche. Or, beaucoup étaient des enseignants en 2017.
Centre-gauche ?! En 2017 peut-être, mais aujourd'hui...
beaverforever a écrit:Or, beaucoup étaient des enseignants en 2017. A priori, peu devraient revoter pour lui...
Vu le bilan (!) de ces cinq dernières années, difficilement imaginable en effet...
- AzodothJe viens de m'inscrire !
Balthazaard a écrit:
Sincèrement, comment pourrait-on vouloir devenir prof aujourd'hui?
Bonjour,
Je lis régulièrement ce forum. Je suis actuellement en master 1 de mathématiques fondamentales, et je me sens un peu bloqué par mes choix d'orientations. Ce master me destine soit à une préparation à l'agrégation, soit à une thèse.
En licence, je n'ai reçu aucune information sur la poursuite d'études et sur les éventuels débouchés professionnels mais apparemment le master de recherche est bouché (1 à 3 bourses de thèse pour 20 étudiants) et depuis que je lis ce forum ici et que je me renseigne sur le métier de prof, j'en ai des sueurs froides. Je me sens un peu bouché, malgré moi.
Je pense quand même essayer l'agrégation l'année prochaine, et vérifier vraiment si le métier me correspond avant d'envisager une réorientation. Nous sommes plusieurs dans le master après discussion, à redouter au final le métier de prof. J'espère qu'il y aura une amélioration quand même dans la décennie qui arrive.
Cordialement
- muonNiveau 6
Azodoth a écrit:Balthazaard a écrit:
Sincèrement, comment pourrait-on vouloir devenir prof aujourd'hui?
Bonjour,
Je lis régulièrement ce forum. Je suis actuellement en master 1 de mathématiques fondamentales, et je me sens un peu bloqué par mes choix d'orientations. Ce master me destine soit à une préparation à l'agrégation, soit à une thèse.
En licence, je n'ai reçu aucune information sur la poursuite d'études et sur les éventuels débouchés professionnels mais apparemment le master de recherche est bouché (1 à 3 bourses de thèse pour 20 étudiants) et depuis que je lis ce forum ici et que je me renseigne sur le métier de prof, j'en ai des sueurs froides. Je me sens un peu bouché, malgré moi.
Je pense quand même essayer l'agrégation l'année prochaine, et vérifier vraiment si le métier me correspond avant d'envisager une réorientation. Nous sommes plusieurs dans le master après discussion, à redouter au final le métier de prof. J'espère qu'il y aura une amélioration quand même dans la décennie qui arrive.
Cordialement
Maths appliquées, informatique, Data science, école d'ingénieurs...Ce sont des secteurs où études qui offrent de nombreuses opportunités pour des "matheux" tant à bac+5 que PhD
- InvitéInvité
Azodoth a écrit:Balthazaard a écrit:
Sincèrement, comment pourrait-on vouloir devenir prof aujourd'hui?
Bonjour,
Je lis régulièrement ce forum. Je suis actuellement en master 1 de mathématiques fondamentales, et je me sens un peu bloqué par mes choix d'orientations. Ce master me destine soit à une préparation à l'agrégation, soit à une thèse.
En licence, je n'ai reçu aucune information sur la poursuite d'études et sur les éventuels débouchés professionnels mais apparemment le master de recherche est bouché (1 à 3 bourses de thèse pour 20 étudiants) et depuis que je lis ce forum ici et que je me renseigne sur le métier de prof, j'en ai des sueurs froides. Je me sens un peu bouché, malgré moi.
Je pense quand même essayer l'agrégation l'année prochaine, et vérifier vraiment si le métier me correspond avant d'envisager une réorientation. Nous sommes plusieurs dans le master après discussion, à redouter au final le métier de prof. J'espère qu'il y aura une amélioration quand même dans la décennie qui arrive.
Cordialement
J'ai lu les mêmes propos, j'ai nourri les mêmes inquiétudes avant de passer les concours. Cela fait cinq ans que j'y suis et malgré la difficulté du métier, malgré les désagréments et les obstacles, j'arrive à m'y plaire. L'important, si tu comptes entrer dans le métier, c'est d'y entrer sans (trop d') illusions.
- User20159Esprit éclairé
Cath a écrit:Et qui peut croire que c'est juste "comme ça pour voir" ?
On appelle ça un ballon d'essai
Quand à réformer à la truelle, oui ça ressemblera nécessairement à du FT ou à du ANPE : les anciens restent aux statuts, les nouveaux passent à la nouvelle formule : non rétroactivité toussa...
- AscagneGrand sage
Il peut se dispenser d'en prendre bien compte. Du terrain c'est un autre son de cloche qui remonte par les partis de la majorité (je le dis en connaissance de cause) mais après tout pour sa campagne il peut s'en moquer plus ou moins.beaverforever a écrit:C'est clairement un ballon d'essai... Le but est de voir comment une telle idée fait réagir les électeurs : est-ce que les électeurs les plus à gauche de Macron acceptent cette idée ou est-ce que cela peut influencer sur leur choix de vote. Macron doit conserver une base d'électorat centre-gauche. Or, beaucoup étaient des enseignants en 2017. A priori, peu devraient revoter pour lui...
- beyond_the_endJe viens de m'inscrire !
@Cath cf. "un job qu'on fait entre deux"...
C'est déjà le cas depuis trèèèès longtemps dans de nombreux pays, et j'ai pu l'observer notamment en Grande-Bretagne : certains ont étudié pour enseigner, de nombreux autres postulent à ce boulot comme à un autre pour l'exercer de deux à cinq ans par exemple, avec un minimum d'études ou d'expérience apparentée (ingénieur entre deux postes plus adéquats comme prof de maths, hôtesse de l'air en reconversion comme prof de langues...), tous sont recrutés directement par le chef d'établissement, lui-même en mode gestionnaire d'entreprise, avec tout ce que ça implique de sélection arbitraire à l'entretien, ou en négociation de salaire. Certains y prennent goût, se découvrent un talent en même temps qu'ils découvrent les mille et une facettes du métier, d'autres ne font qu'y passer - et s'en vont avant d'être détruits.
Nous y venons déjà, petit à petit, indirectement, insidieusement, en précarisant de plus en plus (maîtres-auxiliaires > contractuels > vacataires, ou affectations TZR) et en intégrant l'idée d'une disparition programmée de la permanence du métier, mais surtout de son expertise, largement bafouée.
Du bon et du moins bon dans chaque système, c'est une question de projet de société.
Quant à l'importance primordiale de "l'école", au même titre que la santé, et la recherche, je n'ai pas su déceler de programme convaincant en ce sens, pour avril prochain...
C'est déjà le cas depuis trèèèès longtemps dans de nombreux pays, et j'ai pu l'observer notamment en Grande-Bretagne : certains ont étudié pour enseigner, de nombreux autres postulent à ce boulot comme à un autre pour l'exercer de deux à cinq ans par exemple, avec un minimum d'études ou d'expérience apparentée (ingénieur entre deux postes plus adéquats comme prof de maths, hôtesse de l'air en reconversion comme prof de langues...), tous sont recrutés directement par le chef d'établissement, lui-même en mode gestionnaire d'entreprise, avec tout ce que ça implique de sélection arbitraire à l'entretien, ou en négociation de salaire. Certains y prennent goût, se découvrent un talent en même temps qu'ils découvrent les mille et une facettes du métier, d'autres ne font qu'y passer - et s'en vont avant d'être détruits.
Nous y venons déjà, petit à petit, indirectement, insidieusement, en précarisant de plus en plus (maîtres-auxiliaires > contractuels > vacataires, ou affectations TZR) et en intégrant l'idée d'une disparition programmée de la permanence du métier, mais surtout de son expertise, largement bafouée.
Du bon et du moins bon dans chaque système, c'est une question de projet de société.
Quant à l'importance primordiale de "l'école", au même titre que la santé, et la recherche, je n'ai pas su déceler de programme convaincant en ce sens, pour avril prochain...
- CzarNiveau 9
Si avec la réforme prévue on s’oriente sur un statut à l'allemande ou la suisse, avec un salaire X2 par rapport à un professeur français actuel avec des taches supplémentaires, ça m'intéresse et ça rendra le métier plus attractif, quitte à passer par la régionalisation et un statut moins protecteur. Qu'un professeur PP, qui organise des voyages, fait venir des intervenants (et donc travaille plus) soit valorisé de manière plus importante je trouve ça normal.
La gestion actuelle me laisse cependant plutôt craindre qu'en contrepartie d'une revalorisation "historique" de 20% (ce qui, rappelons, correspond la perte de pouvoir d’achat des enseignants depuis 20 ans d'après un rapport du Sénat) le nombre de mission obligatoires et autres missions annexes non rémunérées (dans l’intérêt des élèves!) se multiplient avec une pression plus importante de la part de la direction. Un système qui serait finalement inspiré, tissé, filé à l'anglaise.
La gestion actuelle me laisse cependant plutôt craindre qu'en contrepartie d'une revalorisation "historique" de 20% (ce qui, rappelons, correspond la perte de pouvoir d’achat des enseignants depuis 20 ans d'après un rapport du Sénat) le nombre de mission obligatoires et autres missions annexes non rémunérées (dans l’intérêt des élèves!) se multiplient avec une pression plus importante de la part de la direction. Un système qui serait finalement inspiré, tissé, filé à l'anglaise.
- InvitéInvité
Cela fait vraiment écho au dernier Houellebecq, dans lequel le personnage de Bruno Juge, ministre de l’Économie (inspiré par Le Maire, ami de l'écrivain), envisage de réduire drastiquement le budget de l'EN et trouve qu'il y a "trop de professeurs". J'y ai pensé tout de suite.
- RuthvenGuide spirituel
Czar a écrit: Qu'un professeur PP, qui organise des voyages, fait venir des intervenants (et donc travaille plus) soit valorisé de manière plus importante je trouve ça normal.
Tandis que celui qui lit pour maintenir ses connaissances, c'est un gros glandeur ... Celui qui corrige minutieusement ses copies aussi ... Au salaire de base !
- HonchampDoyen
Cath a écrit:Il reste des candidats.
Et avec la précarisation du monde du travail, enseignant deviendra un job qu'on fait entre deux, on y sera de passage.
Oui, il en reste.
On lit sur Neo "qui voudrait être prof aujourd'hui ? ".
Je trouve ça condescendant, et même méchant. Je ne parle pas pour toi , Cath.
J'ai encore rencontré un ancien élève la semaine dernière, bon élève, qui est en terminale, et souhaite devenir prof d'EPS.
J'ai été sa prof principale en 3ème, je vois quel est le profil de ses parents. Père qui travaille dans les vignes comme ouvrier agricole, mère employée.
Et mon ancienne collègue/copine a en stage Master 1 une ancienne élève qui s'apprête à passer le capes d'histoire, parents également de milieux modestes, mère caissière à Intermarché (jamais d'augmentation de salaire, parfois des primes). .
Bref, pour ces jeunes,et leurs parents, devenir prof reste une ascension sociale. Ils ne se préoccupent pas du salaire avant de le percevoir, et n'ont pas de points de comparaison avec nos carrières à nous.
Certains néos peuvent les prendre pour des coui..ons
Mais ces jeunes existent.
Pas assez pour nourrir les concours, et mes 2 exemples sont dans des matières qui drainent encore pas mal d'étudiants pour les concours.
Bref, un peu marre qu'on prenne ceux qui veulent être enseignants pour des c....
Bon, ça dévie un peu le fil, mon post...
_________________
"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- muonNiveau 6
Tout ce qui ne se voit pas ne compte pasRuthven a écrit:Czar a écrit: Qu'un professeur PP, qui organise des voyages, fait venir des intervenants (et donc travaille plus) soit valorisé de manière plus importante je trouve ça normal.
Tandis que celui qui lit pour maintenir ses connaissances, c'est un gros glandeur ... Celui qui corrige minutieusement ses copies aussi ...
- chmarmottineGuide spirituel
Ruthven a écrit:Czar a écrit: Qu'un professeur PP, qui organise des voyages, fait venir des intervenants (et donc travaille plus) soit valorisé de manière plus importante je trouve ça normal.
Tandis que celui qui lit pour maintenir ses connaissances, c'est un gros glandeur ... Celui qui corrige minutieusement ses copies aussi ...
Ne compte que ce qui se voit ...
- CeladonDemi-dieu
Je ne sais pas si c'est vraiment ça, Honchamp. J'ai plutôt l'impression qu'il s'agit de l'expression du dépit, de la déception, de l'amertume quand on voit la déréliction dans laquelle patauge désormais cette profession que l'on a aimée /aime peut-être encore (?) car on y trouvait notre compte d'une manière ou d'une autre. Mais tu as raison de penser à ces jeunes pour qui devenir enseignant représente encore malgré tout une ascension sociale.
- RuthvenGuide spirituel
chmarmottine a écrit:
Ne compte que ce qui se voit ...
Bon, cela doit se voir que je pars au quart de tour sur ces questions (parce que je trouve que cela met en crise l'enseignement comme profession intellectuelle).
Honchamp a écrit:
Bref, pour ces jeunes,et leurs parents, devenir prof reste une ascension sociale. Ils ne se préoccupent pas du salaire avant de le percevoir, et n'ont pas de points de comparaison avec nos carrières à nous.
Certains néos peuvent les prendre pour des coui..ons
Mais ces jeunes existent.
Pas assez pour nourrir les concours, et mes 2 exemples sont dans des matières qui drainent encore pas mal d'étudiants pour les concours.
Bref, un peu marre qu'on prenne ceux qui veulent être enseignants pour des c....
Bon, ça dévie un peu le fil, mon post...
D'accord avec toi. J'ai des étudiants sérieux, d'un bon niveau qui préparent Capes et agrégation et qui rêvent de décrocher le concours.
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Je considère que le salaire à la qualification est une des avancées majeures du dernier siècle. J'y tiens et je ne veux pas d'un retour au salaire à la tâche.
- CathEnchanteur
maldoror1 a écrit:Cela fait vraiment écho au dernier Houellebecq, dans lequel le personnage de Bruno Juge, ministre de l’Économie (inspiré par Le Maire, ami de l'écrivain), envisage de réduire drastiquement le budget de l'EN et trouve qu'il y a "trop de professeurs". J'y ai pensé tout de suite.
Exactement ce que je me suis dit. Même si je n'ai pas compris comment le personnage du ministre ou celui du héros pouvaient être d'accord sur le fait qu'il y avait trop de professeurs. On le voit particulièrement en ce moment, mais pas seulement.
- eleonore69Érudit
Balthazaard a écrit:De toute façon avec ce qui se prépare, il ne me semble plus concevable d'être enseignant à vie. Tous les partis ont plus ou moins intégré le fait que la retraite passera à terme à 65 ans ou plus, avec quelques mesures pour accompagner les "carrières longues". Il n'est à mon avis pas concevable de faire ce métier jusqu'à cet age, la fatigue est exponentielle, j'ai passé 62 et malgré des classes sans histoire c'est très très dur, jusqu'à 55 tout va bien et après la décrue est exponentielle...
Je pense qu'ils le savent et que de toute façon dans la FP les vieux coutent trop cher et ne sont pas suffisamment malléables, donc légalement ou de fait, on peut faire une croix sur l'emploi à vie.
Et je dis cela en étant "en forme", je pense que personne ne soupçonne chez moi que je suis le doyen de l'établissement.
Je suis d'accord; passé un certain âge la fatigue est un problème. J'ai 53 ans et je connais déjà ce problème, pourtant depuis 4 ans je suis dans un chouette lycée . Mais de manière plus générale, existe-t-il des boulots où il est possible de tenir jusqu'à 65 ans.. Je n'en suis pas sûre. Par contre, lorsque j'ai commencé" à travailler, il existait la CPa... La solution (pour moi) est ici: travailler moins ...
- Fesseur ProGuide spirituel
C'était bien la CPA !
Mais c'était avant...
Mais c'était avant...
_________________
Pourvu que ça dure...
- AurevillyHabitué du forum
Mélenchon a la réponse : les professeurs d'université peuvent travailler jusqu'à 65 ans (je cite de mémoire) !eleonore69 a écrit:. Mais de manière plus générale, existe-t-il des boulots où il est possible de tenir jusqu'à 65 ans.. Je n'en suis pas sûre.
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