Page 1 sur 26 • 1, 2, 3 ... 13 ... 26
- PointàlaligneExpert
Je viens de découvrir La Bicyclette rouge, un manga coréen. Ce sont de petites histoires au fil des saisons. C'est poétique et reposant... Je vais lire la suite (il y a quatre tomes).
- nicole 86Expert spécialisé
Adren a écrit:Nicole, la présentation faite par Nasopi ne t'as pas fait le même effet ?
La présentation de Nasopi était moins explicite même si l'adjectif "noir" m'avait fait douter.
- RyuzakiNiveau 9
Défi 20, Merveille : La vouivre, Marcel Aymé
Bienvenue à Vaux-le-Dévers, paisible petit village du Jura avec son curé, son maire anticlérical, son fossoyeur ivrogne, ses rivalités paysannes, ses histoires d'amour et de coucheries. Mais toute cette existence ordinaire bascule quand vient rôder dans la forêt la Vouivre, créature des temps anciens, jeune fille maîtresse des serpents et propriétaire d'un rubis d'une valeur inestimable mais fatal à quiconque tente de le voler.
Pourquoi ai-je aimé ce roman ?
Pour les personnages d'abord, tous clairement définis et individualisés, reconnaissables par quelques traits saillants sans paraître caricaturaux pour autant.
Pour les multiples intrigues qui se croisent ensuite, chaque habitant du village étant le héros de sa propre histoire.
Pour le fantastique discret, sans ostentation, qui vient apporter une touche d'étrangeté dans un monde très prosaïque.
Pour les réflexions sur la valeur de la vie humaine qui parsèment le roman.
Enfin, pour la peinture d'un village d'antan, avec ses traditions, ses moeurs et le parler paysan de ses habitants.
Verdict : très agréable
PS : Death Note est un très bon choix de manga.
Aymé a écrit:Vouivre, en patois de Franche-Comté, est l'équivalent du vieux mot français "guivre" qui signifie serpent et qui est resté dans la langue du blason. La Vouivre des campagnes jurassiennes, c'est à proprement parler la fille aux serpents. Elle représente à elle seule toute la mythologie comtoise, si l'on veut bien négliger la bête faramine, monstre certainement très horrifique, mais dont la forme et l'activité sont laissées au caprice de l'imagination.
Bienvenue à Vaux-le-Dévers, paisible petit village du Jura avec son curé, son maire anticlérical, son fossoyeur ivrogne, ses rivalités paysannes, ses histoires d'amour et de coucheries. Mais toute cette existence ordinaire bascule quand vient rôder dans la forêt la Vouivre, créature des temps anciens, jeune fille maîtresse des serpents et propriétaire d'un rubis d'une valeur inestimable mais fatal à quiconque tente de le voler.
Pourquoi ai-je aimé ce roman ?
Pour les personnages d'abord, tous clairement définis et individualisés, reconnaissables par quelques traits saillants sans paraître caricaturaux pour autant.
Pour les multiples intrigues qui se croisent ensuite, chaque habitant du village étant le héros de sa propre histoire.
Pour le fantastique discret, sans ostentation, qui vient apporter une touche d'étrangeté dans un monde très prosaïque.
Pour les réflexions sur la valeur de la vie humaine qui parsèment le roman.
Enfin, pour la peinture d'un village d'antan, avec ses traditions, ses moeurs et le parler paysan de ses habitants.
Verdict : très agréable
PS : Death Note est un très bon choix de manga.
- Clecle78Bon génie
J'aime beaucoup Deathnote, découvert grâce à mes enfants
- NasopiBon génie
Ryuzaki a écrit:Défi 20, Merveille : La vouivre, Marcel AyméAymé a écrit:Vouivre, en patois de Franche-Comté, est l'équivalent du vieux mot français "guivre" qui signifie serpent et qui est resté dans la langue du blason. La Vouivre des campagnes jurassiennes, c'est à proprement parler la fille aux serpents. Elle représente à elle seule toute la mythologie comtoise, si l'on veut bien négliger la bête faramine, monstre certainement très horrifique, mais dont la forme et l'activité sont laissées au caprice de l'imagination.
Bienvenue à Vaux-le-Dévers, paisible petit village du Jura avec son curé, son maire anticlérical, son fossoyeur ivrogne, ses rivalités paysannes, ses histoires d'amour et de coucheries. Mais toute cette existence ordinaire bascule quand vient rôder dans la forêt la Vouivre, créature des temps anciens, jeune fille maîtresse des serpents et propriétaire d'un rubis d'une valeur inestimable mais fatal à quiconque tente de le voler.
Pourquoi ai-je aimé ce roman ?
Pour les personnages d'abord, tous clairement définis et individualisés, reconnaissables par quelques traits saillants sans paraître caricaturaux pour autant.
Pour les multiples intrigues qui se croisent ensuite, chaque habitant du village étant le héros de sa propre histoire.
Pour le fantastique discret, sans ostentation, qui vient apporter une touche d'étrangeté dans un monde très prosaïque.
Pour les réflexions sur la valeur de la vie humaine qui parsèment le roman.
Enfin, pour la peinture d'un village d'antan, avec ses traditions, ses moeurs et le parler paysan de ses habitants.
Verdict : très agréable
PS : Death Note est un très bon choix de manga.
J'ai beaucoup aimé ce roman, moi aussi ! Je suis une fan de Marcel Aymé. Pour la petite anecdote : j'ai fait dévouvrir Les contes du chat perché à mon correspondant allemand. Il n'en avait jamais entendu parler. Ce n'est même pas traduit en allemand !
_________________
"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- chtitenonoNiveau 1
Bonjour à tous,
Pour le défi 11 mais qui rentre aussi dans le défi 39, je viens de terminer l'oeuvre "LE JOUR OU NINA SIMONE A CESSE DE CHANTER" de Darina Al-Joundi. Livre autobiographique se déroulant dans les années 70 - 80 au Liban en pleine guerre. Bouleversant ... J'en ai versé une petite larme.
Je me demande d'ailleurs s'il ne pourrait pas entrer aussi dans le défi "Paradis ou Enfer" car la situation de Darina dans ce pays en guerre semble vaciller entre paradis et enfer de la guerre.
Un ouvrage pour lequel j'ai eu un gros coup de coeur et que je recommande.
Par ailleurs, pour le défi "poison", pensez vous que Dr Jeckyll et Mr Hide puisse rentrer dans les clous????
Bon weekend à tous
Pour le défi 11 mais qui rentre aussi dans le défi 39, je viens de terminer l'oeuvre "LE JOUR OU NINA SIMONE A CESSE DE CHANTER" de Darina Al-Joundi. Livre autobiographique se déroulant dans les années 70 - 80 au Liban en pleine guerre. Bouleversant ... J'en ai versé une petite larme.
Je me demande d'ailleurs s'il ne pourrait pas entrer aussi dans le défi "Paradis ou Enfer" car la situation de Darina dans ce pays en guerre semble vaciller entre paradis et enfer de la guerre.
Un ouvrage pour lequel j'ai eu un gros coup de coeur et que je recommande.
Par ailleurs, pour le défi "poison", pensez vous que Dr Jeckyll et Mr Hide puisse rentrer dans les clous????
Bon weekend à tous
- Clecle78Bon génie
J'ai vu le spectacle. C'etait très puissant. Je recommande aussi Nina Simone ...
- EloahExpert spécialisé
J'aime beaucoup Death Note, qui pose de vraies questions éthiques et philosophiques !
Dans le défi 37 "sorcières" je place ma laborieuse lecture de Un été sans les hommes de Siri Hustvend. On y suit la vie intérieure d'une femme, quittée par son mari, qui après un épisode dépressif en HP part rejoindre sa mère qui vit dans une sorte de foyer pour personnes âgées. Là-bas elle passe son temps entre les visites à sa mère et aux amies de sa mère, l'atelier de poésie qu'elle propose à des jeunes filles (qui se nomment les Sorcières), les moments passés avec sa voisine, une jeune mère de deux petits enfants en difficulté avec son mari.
L'écriture est souvent poétique mais j'ai eu du mal à suivre le fil du récit, il y a des passages entiers que je pense ne pas avoir compris. Pour autant la lecture n'est pas désagréable, on est plongé dans les pensées, les ressentis, les souvenirs de la narratrice (d'où sans doute parfois la difficulté à tout suivre), c'est une sorte de parenthèse dans la vie d'une femme mais aussi une galerie de portraits des femmes, de la petite fille à la femme en fin de vie. La partie consacrée aux sorcières (les adolescentes) est celle que j'ai préférée, c'est pourquoi je place ce roman dans ce défi.
Dans le défi 37 "sorcières" je place ma laborieuse lecture de Un été sans les hommes de Siri Hustvend. On y suit la vie intérieure d'une femme, quittée par son mari, qui après un épisode dépressif en HP part rejoindre sa mère qui vit dans une sorte de foyer pour personnes âgées. Là-bas elle passe son temps entre les visites à sa mère et aux amies de sa mère, l'atelier de poésie qu'elle propose à des jeunes filles (qui se nomment les Sorcières), les moments passés avec sa voisine, une jeune mère de deux petits enfants en difficulté avec son mari.
L'écriture est souvent poétique mais j'ai eu du mal à suivre le fil du récit, il y a des passages entiers que je pense ne pas avoir compris. Pour autant la lecture n'est pas désagréable, on est plongé dans les pensées, les ressentis, les souvenirs de la narratrice (d'où sans doute parfois la difficulté à tout suivre), c'est une sorte de parenthèse dans la vie d'une femme mais aussi une galerie de portraits des femmes, de la petite fille à la femme en fin de vie. La partie consacrée aux sorcières (les adolescentes) est celle que j'ai préférée, c'est pourquoi je place ce roman dans ce défi.
- PointàlaligneExpert
Nasopi a écrit:Ryuzaki a écrit:Défi 20, Merveille : La vouivre, Marcel AyméAymé a écrit:Vouivre, en patois de Franche-Comté, est l'équivalent du vieux mot français "guivre" qui signifie serpent et qui est resté dans la langue du blason. La Vouivre des campagnes jurassiennes, c'est à proprement parler la fille aux serpents. Elle représente à elle seule toute la mythologie comtoise, si l'on veut bien négliger la bête faramine, monstre certainement très horrifique, mais dont la forme et l'activité sont laissées au caprice de l'imagination.
Bienvenue à Vaux-le-Dévers, paisible petit village du Jura avec son curé, son maire anticlérical, son fossoyeur ivrogne, ses rivalités paysannes, ses histoires d'amour et de coucheries. Mais toute cette existence ordinaire bascule quand vient rôder dans la forêt la Vouivre, créature des temps anciens, jeune fille maîtresse des serpents et propriétaire d'un rubis d'une valeur inestimable mais fatal à quiconque tente de le voler.
Pourquoi ai-je aimé ce roman ?
Pour les personnages d'abord, tous clairement définis et individualisés, reconnaissables par quelques traits saillants sans paraître caricaturaux pour autant.
Pour les multiples intrigues qui se croisent ensuite, chaque habitant du village étant le héros de sa propre histoire.
Pour le fantastique discret, sans ostentation, qui vient apporter une touche d'étrangeté dans un monde très prosaïque.
Pour les réflexions sur la valeur de la vie humaine qui parsèment le roman.
Enfin, pour la peinture d'un village d'antan, avec ses traditions, ses moeurs et le parler paysan de ses habitants.
Verdict : très agréable
PS : Death Note est un très bon choix de manga.
J'ai beaucoup aimé ce roman, moi aussi ! Je suis une fan de Marcel Aymé. Pour la petite anecdote : j'ai fait dévouvrir Les contes du chat perché à mon correspondant allemand. Il n'en avait jamais entendu parler. Ce n'est même pas traduit en allemand !
Bravo Nasopi !
Encore une belle critique de Ryuzaki !
Marcel Aymé est mon chouchou. Il n'est pas assez reconnu. Voilà, c'est dit
- BartleboothNiveau 7
Je vous rejoins complètement, Marcel Aymé est très injustement oublié!
- AphrodissiaMonarque
J'aime beaucoup aussi MArcel Aymé: il me semble qu'il est plus "auteur phare" que "second couteau". Qu'en dites-vous?
_________________
Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- JennyMédiateur
Sandor Marai conviendrait-il pour le défi seconds couteaux ?
- *Ombre*Grand sage
Oui, sans doute. Et en plus, c'est drôlement bien, Marai.
- JennyMédiateur
Merci ! J’avais lu Les braises et Métamorphoses d’un mariage et j’avais beaucoup aimé.
- miss sophieExpert spécialisé
Mise à jour avec trois lectures très différentes :
Les lunes de Jupiter d’Alice Munro (1982) : convient aux défis 1 (l'auteur, prix Nobel de littérature, est canadienne) et 15 (le titre comporte le nom d'un astre - deux même !).
Pour le défi 24 (une dystopie ou un livre évoquant les mutations écologiques à venir) ainsi que le 42 (Cultivons notre jardin) : Et le désert disparaîtra de Marie Pavlenko (2020).
Pour le défi 41 (un livre dont les initiales de l'auteur sont des voyelles) mais convient aussi au défi 24 (dystopie) ainsi qu'aux 27 et 49 (le titre contient une subordonnée et un adverbe) : L’homme qui n’aimait plus les chats d’Isabelle Aupy (2019).
Les lunes de Jupiter d’Alice Munro (1982) : convient aux défis 1 (l'auteur, prix Nobel de littérature, est canadienne) et 15 (le titre comporte le nom d'un astre - deux même !).
Ce sont des nouvelles qui parlent des gens. De femmes. Des personnes banales aux vies pas très réussies, pas ratées non plus, laissant plutôt un sentiment d’insatisfaction ou d’inaboutissement. En une trentaine de pages, une tranche de vie, souvent mise en parallèle avec un moment du passé du personnage, et qui se termine abruptement, comme une parenthèse dans un flux que nous ne suivrons pas. Une plongée dans l’intimité de ces femmes, leurs pensées, la façon dont elles mettent leur vie en perspective, les relations qu’elles entretiennent avec les autres… L’écriture crée une ambiance particulière, qui m’a un peu ennuyée, en fait, tout en me laissant le sentiment que c'est moi qui suis passée à côté.
Pour le défi 24 (une dystopie ou un livre évoquant les mutations écologiques à venir) ainsi que le 42 (Cultivons notre jardin) : Et le désert disparaîtra de Marie Pavlenko (2020).
« Samaa vit dans un monde qui pourrait être le nôtre si on ne fait rien », dit l’auteur dans une interview (https://www.flammarion-jeunesse.fr/Interviews/Interview-Marie-Pavlenko-ELDD ). Dans un futur indéterminé, la tribu de Samaa, adolescente de 12 ans, vit dans le désert qui a tout envahi ; les plantes et les animaux ont (quasiment) disparu ; les hommes « chassent » les derniers arbres pour en vendre le bois à la grande ville où cette matière précieuse leur permet d’obtenir de quoi survivre, notamment des bouteilles d’oxygène et de l’eau gélifiée. Seule l’Ancienne s’insurge contre cette destruction des arbres, qui étaient selon elle la source de la vie dans un passé qu’elle-même n’a pas connu. Un jour, Samaa décide de suivre les chasseurs et se perd dans le désert ; l’expérience qu’elle va vivre va remettre en cause ses certitudes... Un roman « pour jeunes adultes » à l’écriture simple et au propos intelligemment construit.
Pour le défi 41 (un livre dont les initiales de l'auteur sont des voyelles) mais convient aussi au défi 24 (dystopie) ainsi qu'aux 27 et 49 (le titre contient une subordonnée et un adverbe) : L’homme qui n’aimait plus les chats d’Isabelle Aupy (2019).
Le point de départ de cette dystopie semble anodin, bien qu’intrigant : le narrateur se rend compte que les chats errants qui vivaient nombreux sur son île disparaissent. Des hommes du continent seraient venus les prendre. Les habitants se mobilisent pour récupérer les chats mais reçoivent alors la visite d’agents administratifs qui leur apportent des chiens… qu’ils appellent « chats ».
Une réflexion intéressante sur la manipulation exercée par le pouvoir et sur le contrôle de la liberté.
Une réflexion intéressante sur la manipulation exercée par le pouvoir et sur le contrôle de la liberté.
- NasopiBon génie
Je viens de relire Le nom de la rose d'Umberto Eco, que je n'ai pas à présenter je pense. Je me demandais si je pouvais le classer dans le défi "un polar historique" : certes, le mot "polar" paraît bien léger pour un roman pareil, et en même temps on ne peut pas nier qu'il ait un côté roman policier...
_________________
"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- Cléopatra2Guide spirituel
Il s'agit bien d'un roman policier, non? Je le mettrais aussi là-dedans.
- NasopiBon génie
D'accord, adjugé, vendu, je le classe donc là.
_________________
"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- lulucastagnetteEmpereur
Mise à jour de mes lectures avec trois titres. J'ai fait une longue pause (presque un mois) lecture car j'étais noyée sous le boulot et le quotidien.
Pour le défi 21 (un livre qui évoque un peuple autochtone opprimé), j'ai lu Dalva de Jim Harrison. Je l'ai lu sur un mois car je lisais très peu à chaque fois. Je ne saurais dire si j'ai aimé ou pas, c'est étrange. L'impression de ne pas bien savoir où j'allais tout en étant embarquée quand même.
Pour le défi 10 (livre d'un auteur phare de la France de la première moitié du XXe), j'ai lu L'Or de Blaise Cendrars. L'histoire vraie d'un homme que l'or va ruiner.
Pour le défi 36 (de la poésie en prose), j'ai lu Gaspard de la nuit d'Aloysius Bertrand dont je ne connaissais que les extraits les plus célèbres. J'ai beaucoup aimé.
Pour le défi 21 (un livre qui évoque un peuple autochtone opprimé), j'ai lu Dalva de Jim Harrison. Je l'ai lu sur un mois car je lisais très peu à chaque fois. Je ne saurais dire si j'ai aimé ou pas, c'est étrange. L'impression de ne pas bien savoir où j'allais tout en étant embarquée quand même.
Pour le défi 10 (livre d'un auteur phare de la France de la première moitié du XXe), j'ai lu L'Or de Blaise Cendrars. L'histoire vraie d'un homme que l'or va ruiner.
Pour le défi 36 (de la poésie en prose), j'ai lu Gaspard de la nuit d'Aloysius Bertrand dont je ne connaissais que les extraits les plus célèbres. J'ai beaucoup aimé.
- lulucastagnetteEmpereur
Pour le défi (un livre qui se passe en hiver), je viens de finir Il neigeait de Patrick Rambaud, qui raconte la célèbre retraite de Russie et la débâcle napoléonienne.
Je saute vraiment du coq à l'âne avec le défi de cette année, c'est stimulant !
Je saute vraiment du coq à l'âne avec le défi de cette année, c'est stimulant !
- Cléopatra2Guide spirituel
Pour livre d'un auteur immigré, j'ai lu un roman graphique de Li-Chin Lin, Formose. C'est une taïwanaise qui vit en France et qui raconte son enfance et adolescence à Taïwan.
C'est très intéressant pour comprendre la situation de Taïwan par rapport à la Chine ou au Japon. Après, ce n'est pas non plus un grand roman graphique, il y a pas mal de répétitions, de longueurs. Mais ça vaut le coup néanmoins car j'ai appris plein de trucs.
C'est très intéressant pour comprendre la situation de Taïwan par rapport à la Chine ou au Japon. Après, ce n'est pas non plus un grand roman graphique, il y a pas mal de répétitions, de longueurs. Mais ça vaut le coup néanmoins car j'ai appris plein de trucs.
- MalagaModérateur
Pour le défi 43. Enfer ou Paradis, j'ai lu Hippocrate aux enfers de Michel Cymes.
Cet essai, signé par Michel Cymes dont les deux grands-pères ont été assassinés durant la Seconde Guerre mondiale, s'intéresse au rôle joué par certains médecins dans les camps de concentration nazis. Il raconte notamment les expériences menées par Josef Mengele, August Hirt ou Herta Oberheuser.
Mon avis : un essai qui se lit rapidement, assez intéressant même si, évidemment, le sujet est sans nul doute traité de manière plus approfondi dans des livres écrits par des historiens.
Cet essai, signé par Michel Cymes dont les deux grands-pères ont été assassinés durant la Seconde Guerre mondiale, s'intéresse au rôle joué par certains médecins dans les camps de concentration nazis. Il raconte notamment les expériences menées par Josef Mengele, August Hirt ou Herta Oberheuser.
Mon avis : un essai qui se lit rapidement, assez intéressant même si, évidemment, le sujet est sans nul doute traité de manière plus approfondi dans des livres écrits par des historiens.
_________________
J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- AsarteLilithBon génie
Déjà lu pour un défi précédent, j'ai trouvé le livre très intéressant.
_________________
Chuis comme les plantes sans eau : sans grec ni latin, j'me dessèche.
ON DIT CHOCOLATINE, PHILISTINS !
- PointàlaligneExpert
Nasopi a écrit:Je viens de relire Le nom de la rose d'Umberto Eco, que je n'ai pas à présenter je pense. Je me demandais si je pouvais le classer dans le défi "un polar historique" : certes, le mot "polar" paraît bien léger pour un roman pareil, et en même temps on ne peut pas nier qu'il ait un côté roman policier...
C'est le meilleur du genre, il a rendu tous les autres fades et sans intérêt ! :sourit:
- AphrodissiaMonarque
J'ai lu Le dit de l'ost d'Igor que je classe dans C'est la guerre ! On peut aussi le classer dans Un livre paru avant 1600.
C'est un poème épique datant du XIIe siècle, l'épopée du prince Igor lors d'une campagne perdue contre les Polovtsy (un peuple nomade turc). Les neuf chants sont assez courts. Ce n'est pas comme les épopées que j'ai l'habitude de lire: c'est très lyrique, très allusif. Et puis, les noms de princes et de peuples ne renvoient à rien que je connaisse: cela n'a pas été toujours facile à lire, mais c'était exotique.
C'est un poème épique datant du XIIe siècle, l'épopée du prince Igor lors d'une campagne perdue contre les Polovtsy (un peuple nomade turc). Les neuf chants sont assez courts. Ce n'est pas comme les épopées que j'ai l'habitude de lire: c'est très lyrique, très allusif. Et puis, les noms de princes et de peuples ne renvoient à rien que je connaisse: cela n'a pas été toujours facile à lire, mais c'était exotique.
_________________
Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
Page 1 sur 26 • 1, 2, 3 ... 13 ... 26
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum