Neo défi lecture 2021 - Ici, on papote !

Bravo clélia et Cléopatra2 !

28e et dernier défi relevé avec le défi 49. Un livre dont le titre contient un adverbe en lisant Certaines n'avaient jamais vu la mer de Julie Otsuka.

ce court roman poétique suit le destin de femmes japonaises parties au début du XXe siècle pour épouser, aux Etats-Unis, un homme japonais qui vit déjà là-bas. Le roman raconte la traversée du Pacifique, la découverte de ce mari, les durs travaux aux champs, la maternité puis l'arrivée de la Seconce Guerre mondiale et les déportations dans les camps.

Mon avis : un roman puissant, à la forme très originale puisque l'autrice utilise le "nous" pour évoquer en même ces multiples femmes et leurs destins. Cela donne une forte impression, presque le sentiment d'entendre un chant. L'histoire nous permet également de découvrir le destin méconnus de ces femmes dans la première moitié du XXe siècle.

Je poste un peu en retard le compte-rendu de mes dernières lectures et ensuite j'aurai fini pour le défi de cette année. C'était ma troisième participation, et aussi la première fois que je ne finis pas : 35/50. Bon c'est pas si mal et j'ai bien descendu la pile de non-lus de ma bibliothèque

8. Résister / Se soumettre. Frank Herbert, Dune Celui-là je l'avais déjà lu, mais je me suis autorisé la relecture en passant du français à la VO (et aussi parce que la dernière fois je devais avoir quoi, quinze ans ?) J'ai bien aimé, ça m'a paru plus verbeux que dans mon souvenir peut-être (c'est LONG : même si j'avais eu pour ambition de finir le défi, entre celui-là et Vanity Fair, pas sûr que j'y serais arrivée).

34. Seconds couteaux. (Des auteurs qui eurent du succès en leur temps et tombent dans l'oubli, éclipsés par les monuments de leur siècle). Eugène Sue, Les Mystères de Paris, tome 2. Largement lu et diffusé à l'époque des feuilletons, souvent cité dans les manuels de français comme l'un des auteurs du roman policier (j'avoue que je ne sais pas trop pourquoi : il y a la pègre parisienne, des crimes, du mystère, des individus masqués, des révélations d'identité, des vols, des kidnappings, mais aucune enquête), jamais plu lu ni édité à l'heure actuelle - vive la liseuse et le Projet Gutenberg qui m'ont permis d'y avoir accès. J'avais bien aimé le premier tome, là je trouve que ça avance un peu moins dans les nombreuses intrigues (un peu trop de considérations morales, mais j'aime bien les petites leçons féministes et antiracistes ici et là). Je pense que je lirai les tomes suivants quand même, j'ai envie de voir le héros réuni avec sa fille disparue et les multiples comtesses maléfiques punies :lol:

Et maintenant je dois adresser mes plus chaleureux remerciements à Tremere, qui m'a très gentiment envoyé des livres pour le défi 

17. Un livre du mouvement Harlem Renaissance ou dont le personnage est un Noir américain. Toni Morrison, Délivrances Je ne sais pas si c'est un livre que j'ai beaucoup aimé (à cause du réalisme parfois très cru), mais c'est sûr que ça scotche, ça ne laisse pas de marbre. L'héroïne voit sa vie entière influencée par la couleur de sa peau (inhabituellement sombre même pour une Noire américaine) et il est beaucoup question de crimes pédophiles. Assez vite lu, intéressant, parfois plein de malaise.

11. Un livre d'un auteur libanais. Amin Maalouf, Léon l'Africain J'ai beaucoup aimé celui-là, dans la lignée du Baudolino d'Umberto Eco. La plume de Maalouf est très plaisante, le héros s'efface finalement pas mal devant le décor, ça a été une vraie évasion pour moi, culturelle et temporelle, dans une période de l'histoire que je ne connais pas du tout.

Malaga a écrit:28e et dernier défi relevé avec le défi 49. Un livre dont le titre contient un adverbe en lisant Certaines n'avaient jamais vu la mer de Julie Otsuka.

ce court roman poétique suit le destin de femmes japonaises parties au début du XXe siècle pour épouser, aux Etats-Unis, un homme japonais qui vit déjà là-bas. Le roman raconte la traversée du Pacifique, la découverte de ce mari, les durs travaux aux champs, la maternité puis l'arrivée de la Seconce Guerre mondiale et les déportations dans les camps.

Mon avis : un roman puissant, à la forme très originale puisque l'autrice utilise le "nous" pour évoquer en même ces multiples femmes et leurs destins. Cela donne une forte impression, presque le sentiment d'entendre un chant. L'histoire nous permet également de découvrir le destin méconnus de ces femmes dans la première moitié du XXe siècle.

Je l'ai lu il y a deux ans et j'ai beaucoup aimé ce livre, le style est saisissant et en effet j'ignorais complètement le sort de ces femmes !

Eloah a écrit:

Malaga a écrit:28e et dernier défi relevé avec le défi 49. Un livre dont le titre contient un adverbe en lisant Certaines n'avaient jamais vu la mer de Julie Otsuka.

ce court roman poétique suit le destin de femmes japonaises parties au début du XXe siècle pour épouser, aux Etats-Unis, un homme japonais qui vit déjà là-bas. Le roman raconte la traversée du Pacifique, la découverte de ce mari, les durs travaux aux champs, la maternité puis l'arrivée de la Seconce Guerre mondiale et les déportations dans les camps.

Mon avis : un roman puissant, à la forme très originale puisque l'autrice utilise le "nous" pour évoquer en même ces multiples femmes et leurs destins. Cela donne une forte impression, presque le sentiment d'entendre un chant. L'histoire nous permet également de découvrir le destin méconnus de ces femmes dans la première moitié du XXe siècle.

Je l'ai lu il y a deux ans et j'ai beaucoup aimé ce livre, le style est saisissant et en effet j'ignorais complètement le sort de ces femmes !

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