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- Hervé HervéFidèle du forum
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https://www.culture.gouv.fr/content/download/93737/file/voca_2013_education-recherche_def.pdf?inLanguage=fre-FR
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- ElyasEsprit sacré
Le souci est de distinguer vocabulaire professionnel spécifique, vocabulaire didactique (qui n'a pas vocation à être du langage professionnel mais du langage pour nommer des notions/concepts/idées spécifiques afin de gagner du temps dans les écrits et débats de ce champ d'étude et qui n'ont d'intérêt que pour ceux qui s'y intéressent ou qui veulent comprendre certains trucs dans leur champ professionnel spécifique à leur discipline) et jargon.
Le problème est qu'on a deux extrêmes : les gens qui refusent tout langage professionnel pour de nombreux motifs (dont certains légitimes en raison du comportement institutionnel à plusieurs époques) et ceux qui ne parlent que comme cela et veulent l'imposer, plus ceux qui sont en train d'assimiler et ont besoin de manipuler les mots avant de les traduire car ils arrivent à bien les penser (perso, c'est mon cas, j'ai besoin des mots des autres sur certaines idées avant de pouvoir me les approprier et les traduire).
Le truc est de trier. CECRL n'est pas du jargon même si la formulation est barbare. C'est un outil de travail pour les langues vivantes. Les différents types d'évaluation aussi sont des outils de travail, les nommer n'est pas du jargon. En revanche, commencer à dire, oui mais là tu fais du process de rétroaction inversée... oui, là, on entre dans le jargon. De même, pour ma discipline, le terme de QSV est issu de la didactique. Il signifie questions socialement vives et c'est un vocabulaire didactique qui nous permet de réfléchir parce que cela permet de catégoriser. Dans le champ professionnel, on parlera de chapitres qui vont soulever chez certains élèves des comportements et réactions dangereux (au hasard, la Shoah, la Guerre d'Algérie, l'homophobie, la reproduction humaine...). Dans ma salle des professeurs, je ne dirai pas "J'ai eu une situation de QSV avec les 3eC aujourd'hui ! M. a eu une réaction qui montre clairement qu'il possède un savoir social teinté par des idées nauséabondes" !" Non, je vais dire "Cela a explosé en 3eC quand j'ai parlé des migrations dans le monde et M. a clairement besoin de réfléchir entre ce qu'il entend hors de l'école et à l'école. Cela va être compliqué et j'ai dû le sanctionner pour des termes inappropriés en classe." QSV et savoir social relèvent de la didactique, pas du langage professionnel quotidien. C'est comme quand un collègue me demande comment je travaille. Je ne vais pas lui répondre que je travaille selon la théorie des langages et que je fais travailler par pratiques langagières pour que les élèves se saisissent du savoir scientifique et développent de plus en plus un rapport au monde en code ouvert. Je vais juste dire : je fais écrire, cartographier et commenter des documents en masse.
Il y a des catégories d'usage des mots : celui de la réflexion professionnelle et celui du quotidien professionnel. On ne les mélange pas. Leur usage n'a pas à se faire dans les mêmes lieux et les mêmes temps. Les mélanger est un problème. Enfin, quand on commence à sortir des mots qui ne relèvent ni du champ réflexif (didactique) ni du quotidien (professionnel), on est dans le jargon comme par exemple le référentiel bondissant aléatoire ou les process rétroactifs invariants.
Après, si un formateur ne sait pas se rendre audible, c'est un vrai souci. Dans le même temps, quand des gens vont en formation et refusent le langage professionnel ou le langage didactique, c'est aussi un problème. Quand un formateur inaudible et un public sourd se rencontrent, c'est marrant (ou dramatique, mais j'aime la tragi-comédie).
Le problème est qu'on a deux extrêmes : les gens qui refusent tout langage professionnel pour de nombreux motifs (dont certains légitimes en raison du comportement institutionnel à plusieurs époques) et ceux qui ne parlent que comme cela et veulent l'imposer, plus ceux qui sont en train d'assimiler et ont besoin de manipuler les mots avant de les traduire car ils arrivent à bien les penser (perso, c'est mon cas, j'ai besoin des mots des autres sur certaines idées avant de pouvoir me les approprier et les traduire).
Le truc est de trier. CECRL n'est pas du jargon même si la formulation est barbare. C'est un outil de travail pour les langues vivantes. Les différents types d'évaluation aussi sont des outils de travail, les nommer n'est pas du jargon. En revanche, commencer à dire, oui mais là tu fais du process de rétroaction inversée... oui, là, on entre dans le jargon. De même, pour ma discipline, le terme de QSV est issu de la didactique. Il signifie questions socialement vives et c'est un vocabulaire didactique qui nous permet de réfléchir parce que cela permet de catégoriser. Dans le champ professionnel, on parlera de chapitres qui vont soulever chez certains élèves des comportements et réactions dangereux (au hasard, la Shoah, la Guerre d'Algérie, l'homophobie, la reproduction humaine...). Dans ma salle des professeurs, je ne dirai pas "J'ai eu une situation de QSV avec les 3eC aujourd'hui ! M. a eu une réaction qui montre clairement qu'il possède un savoir social teinté par des idées nauséabondes" !" Non, je vais dire "Cela a explosé en 3eC quand j'ai parlé des migrations dans le monde et M. a clairement besoin de réfléchir entre ce qu'il entend hors de l'école et à l'école. Cela va être compliqué et j'ai dû le sanctionner pour des termes inappropriés en classe." QSV et savoir social relèvent de la didactique, pas du langage professionnel quotidien. C'est comme quand un collègue me demande comment je travaille. Je ne vais pas lui répondre que je travaille selon la théorie des langages et que je fais travailler par pratiques langagières pour que les élèves se saisissent du savoir scientifique et développent de plus en plus un rapport au monde en code ouvert. Je vais juste dire : je fais écrire, cartographier et commenter des documents en masse.
Il y a des catégories d'usage des mots : celui de la réflexion professionnelle et celui du quotidien professionnel. On ne les mélange pas. Leur usage n'a pas à se faire dans les mêmes lieux et les mêmes temps. Les mélanger est un problème. Enfin, quand on commence à sortir des mots qui ne relèvent ni du champ réflexif (didactique) ni du quotidien (professionnel), on est dans le jargon comme par exemple le référentiel bondissant aléatoire ou les process rétroactifs invariants.
Après, si un formateur ne sait pas se rendre audible, c'est un vrai souci. Dans le même temps, quand des gens vont en formation et refusent le langage professionnel ou le langage didactique, c'est aussi un problème. Quand un formateur inaudible et un public sourd se rencontrent, c'est marrant (ou dramatique, mais j'aime la tragi-comédie).
- trompettemarineMonarque
Elyas a écrit:Quand un formateur inaudible et un public sourd se rencontrent, c'est marrant (ou dramatique, mais j'aime la tragi-comédie).
- valleExpert spécialisé
Le problème vient quand, et c'est ce qui arrive, ce langage technique devient, par son usage, du jargon qui ne sert qu'à justifier n'importe quelle demande. Quel pourcentage des enseignants de langues a lu le CECRL, au-delà des tableaux de descripteurs ? Qui est à même d'assurer que l'ensemble des inspecteurs donnerait la même réponse à la question "Peut la note d'une évaluation formative être prise en compte dans le calcul de la moyenne trimestrielle ?". Ces éléments de langage ne servent, en fait, qu'à identifier le sous-ensemble des enseignants qui sont "à la page" (non dans leur enseignement, mais dans leur façon d'en parler).
- DeliaEsprit éclairé
"Peut la note d'une évaluation formative être prise en compte dans le calcul de la moyenne trimestrielle ?". Non, pour l'excellente raison que les évaluations formatives ne sont pas notées. La question est plutôt la suivante : peut-on noter les évaluations formatives ? (Normalement non, mais sous la pression d'une l'Administration gourmande de notes,je me suis résignée à en donner des notes...)
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Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- HélipsProphète
https://eduscol.education.fr/2688/bac-2021-guide-de-l-evaluationDelia a écrit:"Peut la note d'une évaluation formative être prise en compte dans le calcul de la moyenne trimestrielle ?". Non, pour l'excellente raison que les évaluations formatives ne sont pas notées. La question est plutôt la suivante : peut-on noter les évaluations formatives ? (Normalement non, mais sous la pression d'une l'Administration gourmande de notes,je me suis résignée à en donner des notes...)
On y lit entre autres :
Les IG de LCA a écrit:Littérature et langues et cultures de l'Antiquité (latin ou grec)
Dans le cadre de la session 2021 du baccalauréat et de l’annulation de la passation de l’épreuve écrite de spécialité initialement programmée en mars 2021, deux formes d’évaluation doivent être mises en œuvre. La première, l’évaluation formative (conduite au cours des apprentissages), permet un positionnement de l’élève dans le but de le faire progresser. Elle recouvre des formes variées (oral/écrit, travail individuel/travail collectif, en classe/hors de la classe, distanciel/présentiel) et porte sur divers types de tâches et d’activités. Le portfolio, les lecturespersonnelles, les recherches entreprises sous la conduite du professeur, les connaissances acquises dans l’autre langue ancienne (éventuellement étudiée par l’élève), sont aussi des éléments à prendre en compte lors de l’évaluation de l’élève.
La seconde, l’évaluation sommative (conduite en classe en temps limité au terme des apprentissages), atteste d’un niveau de maîtrise des élèves. En raison du contexte sanitaire, cette évaluation doit être non pas sommative (c’est-à-dire regrouper en un seul test les quatre sections de l’épreuve terminale), mais doit être scindée en différents temps, consacrés tantôt à l’exercice de traduction, tantôt au lexique et à la grammaire, tantôt enfin à l’analyse et à l’interprétation, sous quelque combinaison que ce soit.
On veille à répartir équitablement ces différents types d’exercices.La moyenne attribuée à l’élève tient compte équitablementde ces deux formes d’évaluation et, au sein de chacune d’elles, des différentes activités menées.Un minimumde trois évaluations par trimestre ou semestre est attendu
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- valleExpert spécialisé
Euh oui, non, non, pitié, je ne veux pas être responsable d'avoir initié un débat "note pour les évals. formatives OUI ou NON". Pour moi c'était juste un fait que parmi les pilotes pédagogiques, les deux solutions sont possibles (parfois en même temps, je dirais...). Je ne prenais cela que comme exemple d'un langage technique qui est loin des spécificités du langage technique.
- DeliaEsprit éclairé
les connaissances acquises dans l’autre langue ancienne (éventuellement étudiée par l’élève),
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Amadou Hampaté Ba
- HélipsProphète
Delia a écrit: les connaissances acquises dans l’autre langue ancienne (éventuellement étudiée par l’élève),
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- trompettemarineMonarque
Mais qui lit encore tout cela au regard du nombre d'élèves qu'il a en Langues anciennes et conditions indignes dans lesquelles il travaille ?
- HélipsProphète
Ben écoute, les quelques privilégiés qui ont une spé LCA. Sinon, je peux vous mettre l'extrait concernant la spécialité mathématiques, c'est pas moitié/moitié, c'est deux tiers/un tiers, mais le principe est le même : une partie au moins des évaluations formatives comptent dans la moyenne trimestrielle/semestrielle, qui elle-même donne la note du bac (puisque ce document concerne l'évaluation au regard de la situation sanitaire).trompettemarine a écrit:Mais qui lit encore tout cela au regard du nombre d'élèves qu'il a en Langues anciennes et conditions indignes dans lesquelles il travaille ?
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- henrietteMédiateur
Je ne vois pas trop ce qui déclenche ton hilarité : c'est en effet le cas lorsque les élèves font de l'ECLA.Delia a écrit: les connaissances acquises dans l’autre langue ancienne (éventuellement étudiée par l’élève),
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- DeliaEsprit éclairé
Evaluer les connaissances acquises dans une langue que l'élève n'étudie pas, ça ne t'évoque pas Kafka et Courteline ?
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Amadou Hampaté Ba
- henrietteMédiateur
Non, car dans le cas de l'ECLA, officiellement seul le latin apparaît comme étudié, il n'est pas fait mention du grec alors que les deux langues sont en pratique conjointement enseignées.Delia a écrit:Evaluer les connaissances acquises dans une langue que l'élève n'étudie pas, ça ne t'évoque pas Kafka et Courteline ?
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- HélipsProphète
Et qu'en plus, il me semble que le texte (qui est concerne l'enseignement de spécialité, je le rappelle), se contente de préciser que si les deux langues sont étudiées, alors les deux langues sont évaluées, prenant acte du fait que l'étude des deux langues n'est pas obligatoire. Mais bon, pour avoir confirmation, il faudrait relire le programme de la spécialité LCA.
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- DeliaEsprit éclairé
Un texte qui est concerne ??
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Amadou Hampaté Ba
- DanskaProphète
Ça c'est de la réponse argumentée, je suis impressionnée par une telle pertinence, une réflexion aussi profonde et nuancée, voilà un exemple pour nous tous
- HélipsProphète
Ah oui, je corrige, j'ai changé la tournure de ma phrase en laissant un mot de trop. C'est vrai que ça modifie tout à fait mon message et que je m'incline devant la profondeur de cette remarque (ceci est du café, je le rappelle).
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- DeliaEsprit éclairé
Le filles, vous êtes adorables ! Je vous fais plein de gros poutous.
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Amadou Hampaté Ba
- HélipsProphète
T'as oublié un s.Delia a écrit:Le filles, vous êtes adorables ! Je vous fais plein de gros poutous.
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- DanskaProphète
Hélips a écrit:T'as oublié un s.Delia a écrit:Le filles, vous êtes adorables ! Je vous fais plein de gros poutous.
:sourit:
Bref, l'intermède est fini, retour au sujet du topic
- SacapusHabitué du forum
Elaïna a écrit:Faut quand même pas être grand clerc pour comprendre évaluation sommative/formative, j'ai aussi découvert le terme en formation, et ça ne me semble pas bien sorcier à comprendre. Après les trucs vicariants dont parle Elyas, je ne connais pas et je m'en fous un peu, en fait, mais si le formateur en parle en formation, je pose la question - [...]
On peut hésiter à poser des questions, parfois. La façon dont tu commences ta réponse "Faut quand même pas être grand clerc pour comprendre..." a quelque chose de glaçant, propre à décourager les questions ultérieures.
- ElyasEsprit sacré
Sacapus a écrit:Elaïna a écrit:Faut quand même pas être grand clerc pour comprendre évaluation sommative/formative, j'ai aussi découvert le terme en formation, et ça ne me semble pas bien sorcier à comprendre. Après les trucs vicariants dont parle Elyas, je ne connais pas et je m'en fous un peu, en fait, mais si le formateur en parle en formation, je pose la question - [...]
On peut hésiter à poser des questions, parfois. La façon dont tu commences ta réponse "Faut quand même pas être grand clerc pour comprendre..." a quelque chose de glaçant, propre à décourager les questions ultérieures.
Normalement, quand on forme, lors d'lintroduction d'un terme spécifique, on le définit immédiatement, avec exemples d'application immédiats (exemples de consignes et exemples de productions d'élèves). Parfois, on oublie ou on pense que tout le monde sait, poser la question est important (évidemment, il faut faire attention à ne pas laisser croire qu'on va prendre le collègue pour un idiot de ne pas savoir).
Je pense que ça fait partie des qualités tant d'un enseignant que d'un formateur d'agir ainsi.
- Monsieur_TeslaNiveau 10
Kant a écrit:J'entends, de temps en temps, des collègues parler d'évaluations sommatives et cie. Apparemment, il faut maîtriser un certain langage, en formation, propre à l'EN. Est-ce que vous auriez un livre de référence pour pouvoir parler l'EN? :|
"Les précieuses ridicules" et "Le Tartuffe ou l'Imposteur"
_________________
Ce que j'entends je l'oublie.
Ce que le lis je le retiens.
Ce que je fais, je le comprends !
Tchuang Tseu
- trompettemarineMonarque
Bien d'accord.Hélips a écrit:Ben écoute, les quelques privilégiés qui ont une spé LCA. Sinon, je peux vous mettre l'extrait concernant la spécialité mathématiques, c'est pas moitié/moitié, c'est deux tiers/un tiers, mais le principe est le même : une partie au moins des évaluations formatives comptent dans la moyenne trimestrielle/semestrielle, qui elle-même donne la note du bac (puisque ce document concerne l'évaluation au regard de la situation sanitaire).trompettemarine a écrit:Mais qui lit encore tout cela au regard du nombre d'élèves qu'il a en Langues anciennes et conditions indignes dans lesquelles il travaille ?
On en est maintenant à nous imposer un nombre de notes, alors que le bac Blanquer multiplie déjà les évaluations.
Bref, la distinction éculée formatif/ sommatif se résume à mettre des notes pour de petites interrogations et une grosse note de DS : des mots bien compliqués pour une réalité toute bête. Et en attendant, toujours plus de travail et moins d'énergie pour faire cours.
- SacapusHabitué du forum
Elyas a écrit:
Normalement, quand on forme, lors d'lintroduction d'un terme spécifique, on le définit immédiatement, avec exemples d'application immédiats (exemples de consignes et exemples de productions d'élèves). Parfois, on oublie ou on pense que tout le monde sait, poser la question est important (évidemment, il faut faire attention à ne pas laisser croire qu'on va prendre le collègue pour un idiot de ne pas savoir).
Je pense que ça fait partie des qualités tant d'un enseignant que d'un formateur d'agir ainsi.
Ce qui arrive trop souvent, c'est qu'on trouve une "diapo" au début qui regroupe une trentaine d'acronymes utilisés dans le reste de la formation,
- qu'au lieu d'expliquer ce qu'ils signifient, on se contente d'en donner la forme in extenso, en "oubliant" que bien souvent, elle est à peine moins absconse,
- que les exemples d'application immédiate sont réduits à des phrases qui ne sont intelligibles qu'à la condition d'avoir parfaitement assimilé le sens de l'expression qu'elles sont censées aider à comprendre,
- et que dans toute la suite de la formation, toutes les phrases sont constituées exclusivement de ces acronymes, qui, en tant que mots sans voyelles, donnent l'impression que le formateur a profité du passage à la diapo numéro 2 pour ne désormais plus parler que le polonais,
- et que c'est un peu gonflé de penser qu'une diapo projetée pendant moins d'une minute, c'est suffisant pour assimiler le vocabulaire polonais (même basique).
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- cherche textes sur le pouvoir du langage
- [résolu] Recherche le titre d'un livre de lecture (CP) utilisé en 1990, avec Pierre, Magalie et Olivier.
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