Témoigner sur la situation dans les écoles

Bonjour à toutes et tous,

Mon livre sur l'école inclusive vient de paraître (donner son titre s'apparente à de la publicité, ce qui est interdit sur ce forum, donc chut ! ).

Mais comment faire connaître à l'ensemble des enseignants ce livre qui parle de leurs conditions d'exercice, du manque de formation professionnelle, de la problématique de la scolarisation et de la gestion dans les classes des enfants à besoin éducatif particulier (enfants handicapés, élèves hautement perturbant, élèves en difficulté scolaire, sociale) ?

J’enseigne depuis plus de 20 ans en Seine Saint Denis dans des écoles primaires au cœur des cités. J’ai été professeure des écoles puis conseillère à la scolarisation auprès d’enfants handicapés. Je me consacre, depuis quelques années en tant qu’enseignante spécialisée, aux élèves en grande difficulté scolaire, toujours au sein de l’Education nationale. La situation est tellement épouvantable dans les écoles que j'ai voulu témoigner. Mais je me disais qu'un énième livre sur le sujet ne ferait pas vraiment évoluer la situation.

Aussi, j'ai repris mes études en 2015 et menée une recherche doctorale. Les résultats de ma recherche montrent que la situation est tout aussi complexe en Seine-Saint-Denis que dans d’autres départements, y compris en outre-mer. Les besoins, insuffisamment anticipés, sont si conséquents que l’institution peine dans sa gestion de la difficulté scolaire, de l’enseignement adapté, des moyens de remplacement et de formation professionnelle, des mesures pour les directions d’école, la baisse des effectifs RASED au primaire, etc. C’est d’autant plus flagrant depuis la crise sanitaire que nous traversons. La politique de l’école dite inclusive est vouée à l’échec si elle laisse sur le bord du chemin les besoins spécifiques d’un grand nombre d’élèves et d’acteurs de terrain, si elle n’abonde pas vers une reconnaissance de l’expertise des enseignants.

Mais comment promouvoir ce livre dans toute la France, y compris en outre-mer ? J'ai cette "double casquette" : professeure des écoles et chercheure en sciences humaines. C'est inédit. Et je pense que plus le lectorat sera conséquent et plus l’attention - notamment celle des médias et des pouvoirs publics - sera alors portée sur une réalité dans les établissements scolaires et sur la nécessité primordiale de faire évoluer la situation. A mon avis, ce livre peut à la fois intéresser les enseignants parce qu'un chercheur parle enfin de ce qu'ils vivent au quotidien et amorcer un changement dans l'Education nationale. C'est l'objectif de mon engagement ces dernières années.

Merci de vos suggestions.

Une suggestion qui paraît évidente : si ce livre est à ce point d'utilité publique, le diffuser gratuitement permettrait de le rendre beaucoup plus accessible.

Sinon, poster des sujets pour vanter un bouquin à 25 € dont on est l'auteur, c'est de la pub, ne vous en déplaise.

Il me semble avoir déjà vu passer il y a peu sur l'un des fils ici le même type de message émanant de la même personne poursuivant le même but ; j'ai la berlue ou est-ce la réalité?

Non, c'est bien la réalité, mais la dame persiste.

Et mon message sera-t-il enfin posté sur le forum ?

Heu ? Quel message ? Celui qui a l'honneur d'inaugurer ce topic ?

S'il s'agit de celui qui a été corbeillé, en tout cas, la réponse est non : c'était de la pub, on ne veut pas de ça sur ce forum, point.

Croyez-vous que les 25 euros iront dans ma poche ? Non dans celles de mon éditeur ERES et toute la chaîne de production.
J'ai écrit des articles gratuits (je suis professeure des écoles et chercheure en sociologie) et ils n'ont pas été diffusés massivement. Comment réformer l'Education nationale si on n'a pas un éditeur, un directeur de collection réputé, des chercheurs qui vous soutiennent ? Pensez-vous vraiment que les médias (presse écrite, télévision et radios) vont s'intéresser à un article gratuit ? Soyons sérieux. Les médias ne s'intéressent qu'aux best-sellers.

Je dois avouer que je ne comprends pas l'attitude des modérateurs de ce forum. Très décevant.

Vous voyez bien que le forums regorgent de posts d'enseignants en difficulté, en souffrance. Et vous que faites-vous pour eux ? Juste relayer des réponses pour colmater des brèches.

Mon engagement dépasse ce cadre, j'essaie d'avoir une vision à plus long terme. A méditer....

Et que l'on soit bien clair, mon message n'a pas pour but de vous convaincre de poster mon message, ce n'est pas grave, j'irai voir ailleurs.
Signé : Sylviane CORBION (je ne me cache pas derrière un pseudo, moi !).

Faut dire que vous auriez du mal à promouvoir votre livre en vous cachant derrière un pseudo Et curieusement, j'ai un peu de mal à croire que vous ne toucheriez pas un centime des 25 € en question... Si c'est le cas, résiliez vite votre contrat avec votre éditeur, vous êtes en train de vous faire arnaquer.

En attendant, j'envisagerai de méditer sur votre vision à long terme, peut-être, quand vous aurez réussi à expliquer en quoi votre livre n'est pas, comme vous le dites si bien, "un énième livre sur le sujet qui ne ferait pas vraiment évoluer la situation".

sylviane a écrit:Croyez-vous que les 25 euros iront dans ma poche ? Non dans celles de mon éditeur ERES et toute la chaîne de production.
J'ai écrit des articles gratuits (je suis professeure des écoles et chercheure en sociologie) et ils n'ont pas été diffusés massivement. Comment réformer l'Education nationale si on n'a pas un éditeur, un directeur de collection réputé, des chercheurs qui vous soutiennent ? Pensez-vous vraiment que les médias (presse écrite, télévision et radios) vont s'intéresser à un article gratuit ? Soyons sérieux. Les médias ne s'intéressent qu'aux best-sellers.

Je dois avouer que je ne comprends pas l'attitude des modérateurs de ce forum. Très décevant.

Vous voyez bien que le forums regorgent de posts d'enseignants en difficulté, en souffrance. Et vous que faites-vous pour eux ? Juste relayer des réponses pour colmater des brèches.

Mon engagement dépasse ce cadre, j'essaie d'avoir une vision à plus long terme. A méditer....

Et que l'on soit bien clair, mon message n'a pas pour but de vous convaincre de poster mon message, ce n'est pas grave, j'irai voir ailleurs.
Signé : Sylviane CORBION (je ne me cache pas derrière un pseudo, moi !).  

Je ne suis pas d'accord avec ce que vous écrivez ici : je crois que bon nombre de personnes trouvent de l'aide sur ce forum. De l'écoute, du soutien, et très souvent des conseils concrets. Je trouve la phrase "juste relayer des réponses pour colmater des brèches" un peu méprisante.

maldoror1 a écrit:

sylviane a écrit:Croyez-vous que les 25 euros iront dans ma poche ? Non dans celles de mon éditeur ERES et toute la chaîne de production.
J'ai écrit des articles gratuits (je suis professeure des écoles et chercheure en sociologie) et ils n'ont pas été diffusés massivement. Comment réformer l'Education nationale si on n'a pas un éditeur, un directeur de collection réputé, des chercheurs qui vous soutiennent ? Pensez-vous vraiment que les médias (presse écrite, télévision et radios) vont s'intéresser à un article gratuit ? Soyons sérieux. Les médias ne s'intéressent qu'aux best-sellers.

Je dois avouer que je ne comprends pas l'attitude des modérateurs de ce forum. Très décevant.

Vous voyez bien que le forums regorgent de posts d'enseignants en difficulté, en souffrance. Et vous que faites-vous pour eux ? Juste relayer des réponses pour colmater des brèches.

Mon engagement dépasse ce cadre, j'essaie d'avoir une vision à plus long terme. A méditer....

Et que l'on soit bien clair, mon message n'a pas pour but de vous convaincre de poster mon message, ce n'est pas grave, j'irai voir ailleurs.
Signé : Sylviane CORBION (je ne me cache pas derrière un pseudo, moi !).  

Je ne suis pas d'accord avec ce que vous écrivez ici : je crois que bon nombre de personnes trouvent de l'aide sur ce forum. De l'écoute, du soutien, et très souvent des conseils concrets. Je trouve la phrase "juste relayer des réponses pour colmater des brèches" un peu méprisante.

J'approuve.

Par contre, la double casquette enseignant / chercheur est la norme dans le supérieur, et ne me semble pas si rare dans le secondaire. Cela me surprendrait qu'il n'y ait pas des docteurs PE qui gardent une petite activité de recherche.

Quand à la publication... Croyez vous vraiment que vous aurez plus de visibilité en faisant imprimer votre livre ? Laissez le en auto édition sur Amazon, et publiez le pdf gratuitement. S'il est intéressant, votre livre passera de main en main bien plus facilement et sera utilisé dans les formations. Si elle n'est pas mercantile ou égocentrique, la logique m'échappe totalement.

En fait, vous débarquez sur le forum et vous nous faites une crise comme une gamine capricieuse  de 4 ans à qui l’on refuse un joujou dans une boutique de jouets.
Si de nombreux collègues continuent à poster et à demander des conseils, ici, c’est parce qu’ils y trouvent du soutien et de l’aide.

Vous avez effectivement très bien fait de donner votre nom: je n’irai pas acheter votre livre.

sylviane a écrit:Croyez-vous que les 25 euros iront dans ma poche ? Non dans celles de mon éditeur ERES et toute la chaîne de production.
J'ai écrit des articles gratuits (je suis professeure des écoles et chercheure en sociologie) et ils n'ont pas été diffusés massivement. Comment réformer l'Education nationale si on n'a pas un éditeur, un directeur de collection réputé, des chercheurs qui vous soutiennent ? Pensez-vous vraiment que les médias (presse écrite, télévision et radios) vont s'intéresser à un article gratuit ? Soyons sérieux. Les médias ne s'intéressent qu'aux best-sellers.

Je dois avouer que je ne comprends pas l'attitude des modérateurs de ce forum. Très décevant.

Vous voyez bien que le forums regorgent de posts d'enseignants en difficulté, en souffrance. Et vous que faites-vous pour eux ? Juste relayer des réponses pour colmater des brèches.

Mon engagement dépasse ce cadre, j'essaie d'avoir une vision à plus long terme. A méditer....

Et que l'on soit bien clair, mon message n'a pas pour but de vous convaincre de poster mon message, ce n'est pas grave, j'irai voir ailleurs.
Signé : Sylviane CORBION (je ne me cache pas derrière un pseudo, moi !).  

si ça, ce n'est pas une façon de faire de la pub sans en faire.... tout ce qu'il faut pour retrouver votre livre ...

Certes. Mais il a fallu lire le fil pour avoir ces infos, et le lire ne donne pas forcément une envie soudaine et irrépressible de se ruer pour l'acheter.

sylviane a écrit:Croyez-vous que les 25 euros iront dans ma poche ? Non dans celles de mon éditeur ERES et toute la chaîne de production.
J'ai écrit des articles gratuits (je suis professeure des écoles et chercheure en sociologie) et ils n'ont pas été diffusés massivement. Comment réformer l'Education nationale si on n'a pas un éditeur, un directeur de collection réputé, des chercheurs qui vous soutiennent ? Pensez-vous vraiment que les médias (presse écrite, télévision et radios) vont s'intéresser à un article gratuit ? Soyons sérieux. Les médias ne s'intéressent qu'aux best-sellers.

Je dois avouer que je ne comprends pas l'attitude des modérateurs de ce forum. Très décevant.

Vous voyez bien que le forums regorgent de posts d'enseignants en difficulté, en souffrance. Et vous que faites-vous pour eux ? Juste relayer des réponses pour colmater des brèches.

Mon engagement dépasse ce cadre, j'essaie d'avoir une vision à plus long terme. A méditer....

Et que l'on soit bien clair, mon message n'a pas pour but de vous convaincre de poster mon message, ce n'est pas grave, j'irai voir ailleurs.
Signé : Sylviane CORBION (je ne me cache pas derrière un pseudo, moi !).  

Mais si vous avez un éditeur, c'est lui qui doit assurer la promo de votre bouquin, non ? Presse, encarts publicitaires dans des revues spécialisées, Internet...

L'école inclusive, ce sont des mots orwelliens pour habiller la politique de suppression des moyens, déjà très pauvres, sur les élèves en difficulté (suppression des RASED, des sixièmes et cinquièmes SEGPA, des places en ITEP, des redoublements...).
Je serais sincèrement curieux de lire votre livre pour y découvrir les solutions que vous y proposez (avec un pressentiment, sûrement erroné, que la formation des enseignants y figure en bonne place).

Sinon j'admire votre démarche altruiste qui vise à informer le plus grand nombre, sans gagner le moindre sou pour cinq ans de votre travail.

Je cite : "Ce livre montre l'écart abyssal entre, d'un côté, les prescriptions et recommandations des politiques ministérielles, qui affichent le souci d'une école inclusive et bienveillante, et de l'autre, le travail des enseignants, peu formés, qui doivent faire preuve d'inventivité pour les élèves les plus vulnérables, dont les besoins éducatifs particuliers sont insuffisamment pris en compte. "
La solution serait donc de "former les enseignants". Est-ce nécessaire d'en faire de la publicité ? Nous le savons déjà, c'est la grande tendance : un collègue décapité. Formons davantage les enseignants ? Au Krav-maga certainement. A pallier l'incurie en faisant des économies sur l'accompagnement des élèves à besoin particulier, malheureusement.

Ah cette belle école inclusive qui fait que j'ai la chance d'avoir eu des élèves relevant de soin psychiatriques dans mes classes (et auxquels je repense amèrement tant j'ai trouvé la situation désespérante).

Ah cette belle école inclusive qui fait que j'ai cette année en classe de 5e un élève arrivé il y a 3 ans en France dont le niveau en maths est CE1/CE2 et qui ne sait pas lire 3 mots de français. Et auquel j'ai la chance de faire un cours de primaire en parallèle des autres.

Ah cette belle école inclusive qui fait que j'ai la chance d'avoir eu jusqu'à 10 PAP dans une même classe.

Ah cette belle école inclusive qui fait que le fils à papa a un PAP dont on s'occupe, pendant que le fils de la misère est laissé pour compte...

Mais puisqu'on te dit qu'on a la solution.  :|

Dadoo33 a écrit:Vous avez effectivement très bien fait de donner votre nom: je n’irai pas acheter votre livre.

:sourit:

Le jour où on s'occupera réellement des élèves en difficulté, avec leurs parents en les aidant réellement (quand on voit le parcours du combattant de nombreux parents de bonne volonté) ou sans eux quand ils sont dans le déni, et le plus tôt possible comme le recommandait déjà Françoise Dolto dans les années 60, et pas en jouant la montre, on en recausera ...

En attendant je n'ai pas tellement envie de lire un nième livre dans lequel on m'expliquera à quel point tout est de ma faute, avec de soi-disant solutions inapplicables dès lors qu'on a plusieurs élèves avec des problématiques différentes dans une classe.

Je ne crois pas que je serai soulagée ou consolée si un chercheur parlait de ce qui se passe dans ma classe. Des témoignages ? Bof, je sais bien que je ne suis pas la seule. Du côté des parents c'est horrible, des montagnes de paperasses, des réunions qui se passent plus ou moins bien, des choses dites avec plus ou moins de tact et sinon du déni, de la contestation pour tout.
Alors non, je ne veux pas d'un énième livre constat/témoignage, ou alors destiné au grand public, parce moi j'ai l'impression bien d'y être !
Ah si, une revendication : que les élèves ULIS existent vraiment, je veux dire soient prioritaires sur les remplacements (ce qui n'est pas le cas), qu'ils aient un vrai budget alloué à ce classe dispositif, que ce ne soit pas les enfants qui attendent une place en hôpital de jour, IME ou ITEP qui y soient orientés. Peut-être à ajouter en PS à la fin d'un livre ?

Puisqu'on en est à rêver :

- Que les services sociaux puissent en lien avec les enseignants faire leur travail de suivi des situations de violence, misère,... J'ai plusieurs exemples de situations où cette aide a été inexistante alors que les situations sont dramatiques.

- Que les services médicaux puissent, en lien avec les enseignants, dépister les maladies psychiatriques, accompagner les situations plus légères,...

- Que les élèves nouvellement arrivés ne lisant pas et n'écrivant pas le français ne soient pas lâchés dans le système dans la classe correspondant à leur âge.

- Que l'on vérifie que ce ne sont pas tous les enfants de CSP+ qui ont majoritairement les PAP et donc qui monopolisent les efforts du système, au détriment de ceux qui ont besoin d'être aidés car issus de CSP- et dont personne ne s'occupe.

- Que l'on interdise les écrans aux moins de 6 ans (j'en suis à penser qu'il faudrait une loi de protection de l'enfance à ce sujet).

J'en suis aussi arrivé à la conclusion que la médicalisation des difficultés scolaires à travers les PAP nous conduit sûrement vers une dérive du dispositif. (il y a à mon avis, selon les années et les classes, un tiers ou une moitié des PAP qui ne sont pas justifiés "médicalement"). Les PAP sont aussi devenus un business à part entière dont beaucoup de professionnels vivent, et qui doivent faire tourner la boutique. C'est aussi devenu la porte de sortie qui permet d'évacuer les stress des familles et l'impuissance de l'enseignant.

sylviane a écrit:Mon engagement dépasse ce cadre, j'essaie d'avoir une vision à plus long terme. A méditer....

Et que l'on soit bien clair, mon message n'a pas pour but de vous convaincre de poster mon message, ce n'est pas grave, j'irai voir ailleurs.
Signé : Sylviane CORBION (je ne me cache pas derrière un pseudo, moi !).  

Merci pour votre suffisance.

sylviane a écrit:
Signé : Sylviane CORBION (je ne me cache pas derrière un pseudo, moi !).  

Votre remarque montre surtout que vous n'avez pas compris l'objectif de ce forum, qui est d'échanger entre collègues librement sur notre métier - mais pas que. Nous formons une communauté, nous disons (parfois, souvent c'est selon) des choses intimes, personnelles et nous ne tenons pas à ce que nos élèves, leurs parents ou nos collègues, sachent ce que nous confions ici. Certains d'entre nous sont reconnaissables - parce qu'ils s'expriment publiquement, renvoient vers un twitt, ont publié des livres- mais jouent le jeu du "pseudo", parce que tout simplement c'est l'usage ici... Mais même les "personnalités publiques" du forum, ne sont pas ici pour faire de la publicité pour ce qu'elles publient et parfois nous font l'honneur ( et il n'y a aucune ironie de ma part, parce que je trouve cela stimulant) d'échanger avec nous lors du processus d'élaboration ou d'écriture. Aucune d'elles ne se présente ex cathedra pour nous dire "voici la bonne parole": elles ne sont pas ici en représentation professionnelle, ce qui est de toute évidence votre façon d'intervenir ici - et  ceci me semble incompatible avec le forum, mais fort heureusement pour vous, je ne suis pas modératrice...

Du coup, je voulais en savoir un peu plus, et il y a une vidéo de présentation du livre sur YouTube :
https://m.youtube.com/watch?v=Qi6PHDrGxcs

C'est probablement un livre que j'aurais du mal à lire, car dans la vidéo de présentation les éléments de langage qui reviennent à toutes les phrases sont des éléments de langage des sciences de l'éducation type Espe. Je suis devenu allergique à ce type de discours indépendamment du fond qui est peut-être derrière.